Nom: Afanwi
Prénom: Ndifor Frankline
âge: 39 ans
Lieu de naissance: Cameroun - Région Sud-Ouest - Département du Fako - Commune de Buéa (?)
Statut marital : marié
Parti politique: Mouvement Citoyen National du Cameroun (MCNC)
Précédente participation à l’élection présidentielle : aucune
BIOGRAPHIE:
Celui qui se fait appeler “prophète” Frankline Ndifor, est quasiment inconnu du grand public camerounais. Il est à la tête d’un mouvement pentecôtiste du nom de Kingship International Ministries.
Sur sa page facebook personnelle, il indique être de la ville de Buéa, cependant son activité semble centrée sur Douala.
Il affirme que Dieu l’a appelé à succéder à Paul Biya.
LES PROMESSES DE CAMPAGNE:
Franklin Njifor Afamwi représenté par le Mouvement National des citoyens du Cameroun, qui prône une meilleure gouvernance par l’amour et l’unité
Politique
Limitation du mandat présidentiel à 5 ans, renouvelable une fois. Institution du fédéralisme afin donner plus de pouvoir aux collectivités locales. La réduction du nombre des départements ministériels qui encombrent la macrostructure de l’État.
Éducation
La mise sur pied d’un modèle par la professionnalisation qui va passer par le numérique mais aussi, à travers la revalorisation des enseignants ainsi que de tous les corps de métiers.
Incitation fiscale et Accroissement des Investissements
Il entend mettre sur pied, l’exploitation des matières premières afin de poser les jalons de l’industrialisation du Cameroun. Ce qui va permettre de résorber le chômage.
Un système de santé réformé
Ce qui passe par une prise en charge optimale, une formation accentuée des personnels, mais beaucoup plus par une politique d’incitation qui va permettre aux médecins camerounais installés à l’étranger de rentrer au Cameroun.
La digitalisation des finances publiques
A travers la mise en place d’un système de monitoring, installé par des moyens numériques au niveau de toutes les transactions financières.
L'Agence Cameroun Presse, agence d'informations indépendante, s'engage pour la paix et la stabilité du Cameroun. Pour cela nous avons lancé une campagne d'observation des élections, pour que les Camerounais puissent constater l'honnêté de ces élections présidentielles de 2018.
Nous demanderons à tout le monde d'accepter le résultat des élections, si nous constatons qu'elles ont été libres et démocratiques "La violence n'est pas la solution, allez voter!"
Le pouvoir dans une démocratie se fonde sur la volonté du peuple.
Le bulletin de vote constitue l’instrument principal par lequel le peuple exprime sa volonté et façonne son gouvernement.
La participation au scrutin n’est pas qu’un droit - c’est aussi un devoir civique.
Le vote assure à tous les citoyens le moyen de participer directement ou indirectement aux décisions qui touchent à la vie de la société, et l’issue d’une élection contribue à déterminer l’orientation de la politique nationale.
L’importance capitale d’élections libres, régulières et honnêtes tient à plusieurs facteurs.
Tout d’abord, elles réaffirment l’autorité de l’État de droit. Ensuite, elles éclaircissent les questions en jeu car les candidats sont obligés de présenter aux électeurs leurs positions sur les dossiers ainsi que leur projet de programme. Enfin, les élections confèrent aux citoyens le pouvoir de faire leur choix entre les divers candidats.
Dans toute démocratie, le citoyen a également le pouvoir de participer au processus électoral au-delà de la simple participation au scrutin.
Il peut aider tel candidat ou tel parti politique en prenant part à des activités de campagne électorale. Il peut fournir des services, par exemple communiquer à d’autres citoyens des informations sur les candidats et sur les partis, ou encore aider à assurer le transport d’électeurs aux bureaux de vote le jour du scrutin. Il peut s’intégrer à une campagne électorale en organisant des rassemblements et des conférences. Et surtout, le citoyen engagé peut encourager ses semblables à voter. Tout cela constitue les fondements d’une démocratie dynamique.
Alors allez voter pour assurer la stabilité de notre pays.
Nom: Matomba
Prénom: Serge Espoir
Date de naissance: 30 septembre 1979
Lieu de naissance: Cameroun - Région Littoral - Département du Wouri - Commune de Douala
Statut marital : marié
Parti politique: Peuple Uni pour la Rénovation Sociale (PURS)
Précédente participation à l’élection présidentielle : Aucune
Présidentielle 2018 du Cameroun
Préparatifs pour un processus électoral libre et équitable
Le 7 octobre 2018, les Camerounais éliront un président pour diriger leur pays pour les sept prochaines années. Bénéficiant d'un système de gouvernement démocratique et de nombreux partis politiques, le Cameroun a amélioré ses procédures électorales au fil du temps et espère un processus électoral libre, juste et transparent.
La Constitution camerounaise exige la tenue d’élections présidentielles tous les sept ans.
Contexte
La loi n ° 2006/011 du 29 décembre 2006 a créé Elections Cameroon, ou ELECAM, l’organe indépendant chargé d’organiser et de superviser les élections au Cameroun.
La plus récente élection présidentielle au Cameroun, le 9 octobre 2011, a été la première mise à l’épreuve de la capacité d’ELECAM à mener un processus suivi de près par tous les partis politiques, organisations de la société civile et observateurs internationaux. Selon ses conclusions, une mission d’observation du Commonwealth, une association volontaire de 53 États souverains indépendants, a déclaré que:
“Il s’agissait d’une élection largement pacifique avec certains des principaux critères d’élections démocratiques, notamment la liberté d’association, d’expression, le suffrage universel et le droit de vote. Les électeurs qui pouvaient voter exprimaient librement leur volonté. Le processus était généralement transparent. ”
Le 14 avril 2013, le Cameroun a tenu ses premières élections sénatoriales. Selon le Département d’État Américain, ces élections «étaient pacifiques et généralement libres et équitables».
Le processus d'élection
ELECAM a établi et supervisé un processus électoral transparent et efficace. Dans les bureaux de vote à travers le pays, le président de la commission électorale locale ouvre publiquement l'urne avant que le premier électeur ne vote pour s'assurer qu'elle est vide et qu'il n'y a pas d'ouverture. Ensuite, le président la verrouille sous le contrôle des autres membres du bureau de vote.
Le comptage des bulletins et le décompte des bulletins de vote ont lieu dans chaque bureau de vote immédiatement après la fin du scrutin, en présence des électeurs souhaitant observer cette activité. L'ouverture de l'urne, l'ouverture des enveloppes et le dépouillement des votes se font en présence du chef de la section du conseil d'ELECAM et des membres de la commission électorale locale.
Une fois le dépouillement terminé, les résultats obtenus dans chaque bureau de vote sont proclamés publiquement et communiqués au siège électoral central d’ELECAM.
Surveillance, responsabilité et sécurité
Afin d'assurer l'intégrité des élections du 7 octobre et la sécurité des électeurs, ELECAM et d'autres organisations mettent en œuvre un certain nombre de mesures de surveillance et de responsabilité.
Pour plus d'informations sur l'élection présidentielle au Cameroun en 2018, veuillez consulter
Ces dernières sept années, la consommation globale est passée de 1 499 535 m3 en 2011 à environ 1 900 000 m3 en 2018 pour les produits liquides.
Si on s’en tient aux données puisées au Ministère de l’Eau et de l’Energie (Minee) actuellement dirigé par Gaston Eloundou Essomba, ces 7 dernières années, le Cameroun a connu une progression dans le secteur des produits pétroliers et gaziers. Parlons premièrement du gaz domestique. D’après le Minee, l’accès à cette source d’énergie moderne de cuisson des populations a été facilité. On est passée de 67 000TM (tonnes métriques) en 2011 à près de 110 000 TM en 2018, soit un taux de croissance moyen de 9% par an et 64% pour l’ensemble. Et l’augmentation est due par la mise en place des projets tels que l’extension et la modernisation de la Sonara, la construction de nouvelles capacités de stockage, la valorisation de nos ressources gazières, la construction de nouvelles stations-service dans les zones urbaines et rurales.
De manière générale les projets suscités ont eu les impacts ci-après. La poursuite de la modernisation de la SONARA a permis d’améliorer la sécurité des approvisionnements en produits pétroliers pour nos populations avec un accroissement de 27% pour le septennat. Les capacités de stockage des produits blancs ont connu une augmentation de 14%. Les capacités de stockage du GPL ont connu une amélioration de 109 % durant le septennat, avec une augmentation des consommations de 64%. L’amélioration du taux d’accès des populations au gaz domestique a permis de réduire la déforestation liée à la coupe de bois de chauffage, permettant également de préserver les femmes et les enfants des maladies respiratoires résultant des fumées générées par le feu de bois.
Aux impacts sus présentés s’ajoutent le fait que le nombre de stations-service est passé de 526 en fin 2011 à 814 en 2018 soit une augmentation du taux de desserte des populations de 55%. La lutte contre la fraude des produits pétroliers par le marquage chimique institué en 2011 a permis de réduire le taux de fraude de 36% en 2011 à 1,6% en 2018, avec une amélioration nette des recettes fiscales.
Si on doit brièvement revenir sur la valorisation des ressources gazières nationales présentées par le gouvernement comme l’une de ses grandes innovations durant le septennat qui s’achève, il faut noter qu’il y a eu la construction et l’exploitation depuis 2017 d’une usine flottante de liquéfaction du gaz naturel aux larges des côtes de la ville de Kribi. Cela permet de poursuivre la valorisation de nos ressources gazières notamment celles du champ de SANAGA-SUD à hauteur de 500 BCF (Billion Cubic Feet) de gaz naturel, soit environ 14,16 milliards de m 3.
La production annuelle de gaz naturel est de 1,2 million de tonnes par an. Un centre de traitement de gaz a été également construit à BIPAGA et permet une production de 30.000 TM de GPL par an. Deux sphères de stockage de 500 TM chacune ont été construites à BIPAGA avec un poste de chargement camions citernes pour l’approvisionnement du centre d’enfutage de la SCDP de Yaoundé. Ce projet a généré 200 emplois directs et 1 000 emplois indirects.
Liliane N.
Au delà des discours politiques et propagandistes, elles veulent être prises en compte pour la construction future de leur pays
La campagne pour le scrutin du 7 octobre prochain, bat son plein sur toute l’étendue du triangle national. Chaque candidat, a déroulé son programme et la santé, l’éducation, la justice sont les points d’orgue que l’on retrouve en filigrane dans chaque projet de société proposé par les prétendants au fauteuil présidentiel. Pendant que les uns parlent de la gratuité de la césarienne afin de combattre la mortalité maternelle et néonatale, d’autres évoquent l’éducation Dans le système scolaire dans son ensemble. D’autres encore semblent survoler la problématique des violences faites aux femmes en évoquant les lois qui existent. Ils ne disent malheureusement pas avec exactitude, les mesures qu’ils préconisent afin que la femme, l’épouse, la mère, la sœur et la fille n’aient plus jamais à vivre dans la terreur. Les sujets, lorsqu’ils sont évoqués, sont perdus dans le chapelet de ce qui semblent être des promesses de campagne.
État des lieux:
Tous les candidats reconnaissent le dévouement, l’intégrité, la probité morale de la femme camerounaise mais, ces dernières veulent que cela se traduise par les faits. D’autant plus que le dernier recensement dans notre pays informe que 51% de la population est féminine. Dans le gouvernement actuel, l’on note la présence de quelques femmes ministres et assimilés, 28 maires, 56 députés, 26 sénateurs. Un nombre certes appréciable mais qui ne leur permet pas de faire bouger les lignes.
Malgré quelques avancées en ce qui concerne leurs droits, les femmes sont encore considérées comme un bien à vendre si on se réfère à ce qui se passe dans les familles, lorsqu’on évoque la question de mariage et de ce qui est exigé au futur époux.
Quel est le sort qui leur est réservé lors du décès de leurs conjoints.
Qu’en est il de la succession ou de l’héritage dans la famille?
Dans certaines régions, les normes culturelles, traditionnelles, ancestrales empêchent aux femmes de recevoir un traitement égal: Elles sont encore contraintes à contracter des avec des hommes choisis par leurs parents, elles subissent des violences sexuelles à l’instar des viols, des incisions et bien d’autres. Les grossesses précoces sont le lot des filles à peine sorties de l’enfance.
Elles sont encore nombreuses, qui sont obligées d’abandonner leurs études pour céder la place à leurs frères…
Des problèmes qui certes, ne datent pas d’aujourd’hui mais qui malheureusement vont au delà des positions sociales des unes et des autres.
Le Cameroun a signé de nombreux accords internationaux, comme la charte africaine des droits de l’Homme et des peuples, qui stipule dans son article 6(6) que l’âge minimum de mariage pour la fille est de 18 ans. L’article 52(1) de l’ordonnance camerounais précise même qu’aucun mariage ne peut être célébré si la fille est mineure. Mais que reflète la réalité?
Ce sont encore ces femmes qui sont malgré les nombreuses promesses, au delà de leur niveau d’études, contraintes à la débrouillardise, à travers l’exercice des pétits métiers et la pratique d’ une agriculture de rente.
Solutions proposées:
Les femmes, lors de la dernière célébration de la journée internationale à elle consacrée, ont demandé que les pouvoirs publics leur assurent, dans tous les domaines de la vie civile, culturelle, politique, sociale et économique, des conditions égales à celles données à leurs compatriotes masculin, en mettant un accent sur les compétences. Des mesures qui vont contribuer à leur épanouissement et dans le respect de la parité.
Elles veulent que les lignes bougent afin qu’elles aient la possibilité de sortir des casseroles, parce qu’elles entendent devenir de véritables entrepreneures. Pour cela, des lois doivent être votées afin d’accompagner et de soutenir leurs ambitions.
Les femmes veulent que soient abolies les lois ancestrales qui les maintiennent dans une certaine esclavage. Un esclavage qu’elles sont obligées de vivre au delà même des frontières camerounaises, lorsqu’elles vont chercher ailleurs le bien être qui leur est interdit dans leur pays.
Elles veulent qu’une loi soit votée et qui va instaurer un quota au sénat, à l’assemblée nationale, au sein de l’administration publique…
Ce sont ces doléances et bien d’autres que les femmes camerounaises, posent sur la table des postulants à la magistrature suprême.
Le ministre des sports Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt sera présent à la réunion de la Confédération de Football Africaine (C.A.F.) en Egypte concernant la CAN 2019.
Sur les sujets à l’ordre du jour, celui relatif à l’organisation ou non de la phase finale de la CAN 2019 au Cameroun va tenir en haleine les footeux et le gouvernement camerounais. Le suspense est entretenu par les doutes régulières d’Ahmad, le président de la CAF, sur la capacité du Cameroun à organiser la prochaine Coupe d’Afrique des Nations de football.
Au terme de la réunion du Comite exécutif, les sages de l’instance continentale du football décideront sur l’avenir de la 31e édition de phase finale de la CAN. «Il y aura une prise de décision ou il y aura un ultimatum Ce que je peux vous dire, c’est que ce n’est pas la CAF qui retire la CAN à un pays ou à un autre. C’est le pays qui n’est pas prêt et qui se désiste. La CAF met tout simplement un cahier des charges” avait déclaré récemment, le Président de la CAF dans un entretien accordé à nos confrères de RFI.
Le gouvernement camerounais qui tient absolument à organiser la prochaine CAN, multiplie des actions de lobbying pour convaincre les dirigeants de la CAF de sa capacité à être « prêt le jour dit ». C’est dans cette logique que le ministre des sports Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt a tenu à se rendre sur place en Egypte pour sauver la CAN 2019 au Cameroun.
« Le ministre n’a pas été invité ni à la réunion du Comité exécutif, ni aux travaux de l’Assemblée générale de la CAF prévue le 30 septembre 2018. Mais, il a tenu à y être pour négocier dans les coulisses le maintien de la CAN 2019 au Cameroun » confie une source au Ministère des sports et de l’éducation physique.
Si le Comité exécutif se prononce pas le maintien de la prochaine CAN au Cameroun, la CAF enverra au début du mois de novembre 2018, une 4e mission d’inspection des infrastructures en cours de construction ou de réhabilitation pour la phase finale de la CAN 2019.
Pour l’heure, ce sont les Slovaques qui dominent le grand Prix cycliste Chantal Biya 2018 au Cameroun. Après Filip Taragel, son coéquipier Juraj Bellan a remporté jeudi l’étape 2 de l’événement, courue entre Yaoundé et Nanga Eboko (152 km).
Bellan (Dukla Banska) devance le Néerlandais Smith Floraian. Il fait également coup double puisqu’il endosse à l’issue de cette étape le maillot jaune du leader au classement général.
C’est également lui qui prend le maillot blanc de meilleur jeune. Tandis que le Rwandais, Jean Bosco Nsenguimana est meilleur grimpeur à l’issue de cette journée.
Ce vendredi place à la 4è étape de Yaoundé à Ebolowa (151 km).
La Cour d’appel du Centre a donné raison à l’établissement de micro finance dans l’affaire qui l’oppose depuis deux ans à la compagnie de téléphonie mobile, MTN Cameroon.
Le verdict est connu. Expression Union a gagné le procès en appel, dans l’affaire qui l’oppose depuis des années à MTN Cameroon. « Statuant publiquement, contradictoirement à l’égard des parties, en chambre civile de référé, en appel, en collégialité et à l’unanimité. En la forme : reçoit l’appel.
Au fond : se déclare compétent. Déclare l’action de la Société Express Union recevable. Confirme l’ordonnance entreprise. Condamne l’appelante aux dépens ». Extrait du plumitif de l’audience de référés de la Cour d’appel du Centre tel que rédigé dans son arrêt N° 454/REF 20 juillet 2018.
La société MTN avait dès lors 30 jours pour se pourvoir en cassation. Sans doute pour un ultime recours, après la première requête de défense à l’exécution provisoire interjetée au niveau de cette juridiction contre la décision du Tribunal de Première Instance (TPI) de Yaoundé-Centre administratif qui a été rejetée comme « non fondée au cours de l’audience du 2 mars 2018 ».
Rappel des faits
Le 7 juin 2016, MTN Cameroon suspend le menu *050#, notamment son option « 1 transfert », bloquant par conséquent l’accès à son réseau aux clients d’Express Union Mobile Money. A la suite d’une plainte auprès de l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART), MTN Cameroon a été enjoint par le régulateur en date du 18 octobre 2016 à rétablir l’option « 1 transfert » du code USSD *050#. Sauf que l’exécution cette injonction ne s’est pas faite dans l’immédiat.
Express Union a alors dû se tourner ver la justice. Vidant son délibéré le 24 janvier 2017, au terme d’une audience de référés d’heure à heure, le Tribunal de Première Instance de YaoundéCentre administratif a ordonné le rétablissement dans son entièreté du portail USSD *050# sous astreinte de 500 000 francs CFA par jour de retard. Un verdict pris au sérieux par MTN Cameroon.
Enfin, jusqu’au 31 mai 2017 lorsque la multinationale suspendait à nouveau le menu du code Ussd *050#. Pour le cas Orange Cameroun tout comme MTN, le conflit est non seulement au niveau de l’ART mais aussi au niveau de la Commission Nationale de la Concurrence qui ont déjà été notifiés des griefs de la société Express Union.
En effet, le 21 juin 2017, elle a augmenté de plus de 600 % le coût d’accès au portail USSD *050#, passant de 20 francs CFA a à 153 F CFA. Or, « les frais d’accès à ce portail ont toujours été de 20 francs CFA depuis 2014, correspondant au coût d’un SMS, dit-on à Express Union. Cette augmentation démesurée des frais par l’opérateur Orange Cameroun a pour but de favoriser l’essor de son service au détriment du service Express Union Mobile Money, d’empêcher le développement des services de transfert d’argent et de paiement par Express Union Mobile Money et de décourager sa clientèle avec ce coût prohibitif ».
Pied gauche fracturé, des dents cassées, des blessures à la tête et au poignet. C’est dans cet état que l’artiste Petit Pays a été admis cette nuit du jeudi 27 au vendredi 28 septembre 2018 à l’hôpital général de Douala.
Claude Alexandre Moundi y a été transporté d’urgence par des proches après avoir été victime d’un grave accident de la route non loin de son domicile au quartier Makepe, dans l’arrondissement de Douala 5e. « Il allait à pied quand il a été percuté à l’arrière par une moto qui roulait à tombeau ouvert. Il a perdu connaissance sur le coup. Mais, quelque temps après son admission à l’hôpital, le médecin a déclaré qu’il est hors de danger » confie un proche du célèbre musicien et producteur, âgé de 51 ans…
Le prophète Frankline Afanwi Ndiffor, représentant du Mouvement Citoyen Camerounais (MCNC) à l’élection présidentielle d’octobre dit être venu pour sauver le peuple camerounais. Il a réitéré cette position lors de sa tournée de campagne électorale dans la région de l’Adamaoua.
L’homme de Dieu candidat à l’élection présidentielle, aux yeux de ses militants dans la région château du Cameroun est un envoyé de Dieu pour sortir le pays de l’état dans lequel il se trouve.
Pour briguer le fauteuil présidentiel, Dieu reste et demeure le fondement des actions du candidat. «Tout ce qu’il fait rentre toujours dans la droiture, annoncer la bonne nouvelle. C’est quelqu’un est mieux placé pour notre pays. Il incarne le choix du Tout Puissant», nous confie Abbo Mohamadou, président régional MCNC dans l’Adamaoua.
Pour mieux se faire connaitre de la population, la stratégie adoptée par les responsables du parti accorde une place de choix au porte-à-porte dans les quartiers et autres lieux de forte concentration humaine.
«Nous sommes en train de travailler sérieusement sur le terrain, dans tous les arrondissements de Ngaoundéré et les départements. Nous avons nos membres. Nous avons espoir que nous allons enregistrer des bons résultats dans la région», renchérit-il.
En procédant à la distribution des exemplaires des bulletins de campagne, le Mouvement Citoyen National Camerounais espère occuper le fauteuil présidentiel pour les 7 prochaines années.
Ce rassemblement populaire sur la place publique n’a pas eu lieu. Et pourtant, des groupes de danse traditionnelle et l’orchestre de campagne du candidat Muna avaient commencé à chauffer l’ambiance depuis 10 heures, avant de s’enfuir vers 13 heures à cause d’une attaque sécessionniste.
« Les combattants ambazoniens s’en sont pris aux partisans du candidat Akere Muna. Face aux menaces, chaque militant a pris ses jambes à son cou. La panique s’est installée, obligeant l’équipe de campagne d’Akere à annuler le meeting » explique un témoin.
Finalement, c’est furtivement que le candidat a rencontré certains partisans courageux au lieu-dit Community field de Limbe pour une brève causerie éducative. «On a décidé d’avoir un meeting restreint parce qu’il y a eu des troubles à Buea et à Mutengene ce matin. On a tué vers 5h, quatre personnes. Donc, le tout pour nous ce n’est pas de faire un meeting», a expliqué le candidat du parti FPD dans un entretien avec nos confrères de la CRTV-Radio.
«C’est aussi de veiller à la protection de ceux qui viennent. Alors j’ai demandé qu’on ait un meeting restreint avec ceux qui sont là, au lieu d’un Méga meeting qui peut donner lieu à d’autres troubles», a-t-il poursuivi.
Si la rencontre avec ses partisans ne s’est pas déroulée comme il le souhaitait, Akere Muna entre dans l’histoire comme étant le tout premier candidat de la présidentielle 2018 à tenir une réunion publique en plein air dans les Régions anglophones en proie à une guerre de sécession.
Ce rassemblement populaire sur la place publique n’a pas eu lieu. Et pourtant, des groupes de danse traditionnelle et l’orchestre de campagne du candidat Muna avaient commencé à chauffer l’ambiance depuis 10 heures, avant de s’enfuir vers 13 heures à cause d’une attaque sécessionniste.
« Les combattants ambazoniens s’en sont pris aux partisans du candidat Akere Muna. Face aux menaces, chaque militant a pris ses jambes à son cou. La panique s’est installée, obligeant l’équipe de campagne d’Akere à annuler le meeting » explique un témoin.
Finalement, c’est furtivement que le candidat a rencontré certains partisans courageux au lieu-dit Community field de Limbe pour une brève causerie éducative. «On a décidé d’avoir un meeting restreint parce qu’il y a eu des troubles à Buea et à Mutengene ce matin. On a tué vers 5h, quatre personnes. Donc, le tout pour nous ce n’est pas de faire un meeting», a expliqué le candidat du parti FPD dans un entretien avec nos confrères de la CRTV-Radio.
«C’est aussi de veiller à la protection de ceux qui viennent. Alors j’ai demandé qu’on ait un meeting restreint avec ceux qui sont là, au lieu d’un Méga meeting qui peut donner lieu à d’autres troubles», a-t-il poursuivi.
Si la rencontre avec ses partisans ne s’est pas déroulée comme il le souhaitait, Akere Muna entre dans l’histoire comme étant le tout premier candidat de la présidentielle 2018 à tenir une réunion publique en plein air dans les Régions anglophones en proie à une guerre de sécession.
Nouvellement nommés dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, ils ont été installés dans leurs fonctions mardi dernier.
Les nouveaux officiers divisionnaires de Tinto, Alo, Upper Bayang, Dikome Balue, dans la région du Sud-Ouest, et Njinikom, Misaje et Ako ont tous été installés mardi en toute discrétion.
Les concernés ont été nommés le 19 septembre par le chef de l’État qui a également limogé certains administrateurs qui avaient déserté leur lieu d’affectation. Exception faite de Agiy Oscar Bame, le défunt sous-préfet de Misaje (Nord-Ouest) remplacé par Thomas Tchana.
L’information relative à la désertion des administrateurs avait été rendue publique le 12 septembre à travers un communiqué du secrétaire général de la présidence, qui instruisait au ministre Paul Atanga Nji, de procéder à la «réinstallation des autorités administratives dans les arrondissements du Nord-ouest et du Sud-ouest». On y apprend que ceux-ci avaient quitté leurs postes de travail du fait de l’intensification des violences dans les zones anglophones, lesquelles se manifestent par l’enlèvement des autorités locales.
Leur installation a eu lieu plus de dix jours après le délai fixé par le secrétaire général de la présidence.
Nous le rappelons que les ex sous-préfets avaient fuis leurs postes il y a quelque semaine pour des raisons de sécurité