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mardi, 09 avril 2019 15:23

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vendredi, 05 octobre 2018 14:40

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  • Intitulé du poste : Stage
  • Nom de l'entreprise : Agence Cameroun Presse
  • Type d'offre : Stage
  • Durée du contrat : 3-6 mois
  • Pays : Cameroun – représentation dans les 10 provinces

Description du poste :
Au sein de la rédaction d’ACP – le magazine de l’actualité camerounaise, vous participerez activement à l’activité éditoriale du site média : production d’articles, d’interviews ou de reportages, et veille globale sur l’actualité camerounaise.

Profil du candidat :
Votre orthographe est irréprochable, vous avez envie d’apprendre, vous êtes curieux (se) de nature, et vous êtes force de proposition.
Vous êtes intéressé(e) par la politique, la culture, le sport et tout autre sujet d’actualité.
Vous avez une bonne plume et de solides notions d’anglais.

Comment postuler ?
Bien vouloir soumettre votre dossier d’application à l’adresse email suivante : 
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
N.B : Votre dossier devra contenir un CV précisant la ville dans laquelle vous résidez, une lettre de motivation et un article récemment rédiger sur un sujet d’actualité de votre choix minimum 500 mots.

 

 

Nom: Matomba
Prénom: Serge Espoir
Date de naissance: 30 septembre 1979
Lieu de naissance: Cameroun -  Région Littoral - Département du Wouri - Commune de Douala
Statut marital : marié
Parti politique: Peuple Uni pour la Rénovation Sociale (PURS)
Précédente participation à l’élection présidentielle : Aucune

 

Présidentielle 2018 du Cameroun

Préparatifs pour un processus électoral libre et équitable

Le 7 octobre 2018, les Camerounais éliront un président pour diriger leur pays pour les sept prochaines années. Bénéficiant d'un système de gouvernement démocratique et de nombreux partis politiques, le Cameroun a amélioré ses procédures électorales au fil du temps et espère un processus électoral libre, juste et transparent.

La Constitution camerounaise exige la tenue d’élections présidentielles tous les sept ans.

Contexte
La loi n ° 2006/011 du 29 décembre 2006 a créé Elections Cameroon, ou ELECAM, l’organe indépendant chargé d’organiser et de superviser les élections au Cameroun.

La plus récente élection présidentielle au Cameroun, le 9 octobre 2011, a été la première mise à l’épreuve de la capacité d’ELECAM à mener un processus suivi de près par tous les partis politiques, organisations de la société civile et observateurs internationaux. Selon ses conclusions, une mission d’observation du Commonwealth, une association volontaire de 53 États souverains indépendants, a déclaré que:
“Il s’agissait d’une élection largement pacifique avec certains des principaux critères d’élections démocratiques, notamment la liberté d’association, d’expression, le suffrage universel et le droit de vote. Les électeurs qui pouvaient voter exprimaient librement leur volonté. Le processus était généralement transparent. ”
Le 14 avril 2013, le Cameroun a tenu ses premières élections sénatoriales. Selon le Département d’État Américain, ces élections «étaient pacifiques et généralement libres et équitables».

Le processus d'élection

ELECAM a établi et supervisé un processus électoral transparent et efficace. Dans les bureaux de vote à travers le pays, le président de la commission électorale locale ouvre publiquement l'urne avant que le premier électeur ne vote pour s'assurer qu'elle est vide et qu'il n'y a pas d'ouverture. Ensuite, le président la verrouille sous le contrôle des autres membres du bureau de vote.
Le comptage des bulletins et le décompte des bulletins de vote ont lieu dans chaque bureau de vote immédiatement après la fin du scrutin, en présence des électeurs souhaitant observer cette activité. L'ouverture de l'urne, l'ouverture des enveloppes et le dépouillement des votes se font en présence du chef de la section du conseil d'ELECAM et des membres de la commission électorale locale.
Une fois le dépouillement terminé, les résultats obtenus dans chaque bureau de vote sont proclamés publiquement et communiqués au siège électoral central d’ELECAM.

Surveillance, responsabilité et sécurité

Afin d'assurer l'intégrité des élections du 7 octobre et la sécurité des électeurs, ELECAM et d'autres organisations mettent en œuvre un certain nombre de mesures de surveillance et de responsabilité.

  • Le 7 juillet, le ministère de l'Administration territoriale a encouragé toutes les organisations nationales et internationales, les organisations non gouvernementales, les associations de la société civile et les groupes de défense des droits de l'homme qui souhaitent observer le processus électoral présidentiel de 2018 à soumettre des demandes. Plus de cent associations nationales et internationales ont soumis de telles demandes avant la date limite du 13 septembre.
  • La Commission de l’Union africaine a autorisé le déploiement d’une mission d’observation internationale à long terme comptant 12 membres pour l’élection présidentielle au Cameroun. Quatre équipes d'analystes et huit observateurs à long terme sont arrivées à Yaoundé le 5 septembre et resteront dans le pays jusqu'au 19 octobre pour évaluer de manière globale le processus électoral. Cette mission a ensuite été rejointe par une mission d’observation à court terme qui, du 28 septembre au 10 octobre, surveillera les derniers préparatifs et la tenue des élections.
  • Au début du mois de septembre, l’ambassade des États-Unis au Cameroun a organisé deux sessions de formation à l’intention des journalistes camerounais pour couvrir les élections d’octobre. Quarante journalistes de six régions du Cameroun étaient présents; les sujets abordés comprenaient le rôle et la responsabilité des journalistes, les principes de base du reportage électoral, la rédaction et la manière de mener des interviews. ELECAM a organisé une session de formation similaire peu après concernant le rôle des médias dans la couverture des élections.
  • Le 17 septembre, ELECAM a organisé une réunion de haut niveau avec des représentants des ministères de la défense et de la justice, du Secrétariat d’État de la défense et de la délégation générale pour la sécurité nationale, ainsi que des candidats à la présidentielle, pour discuter de mesures pratiques de préparation pour les prochaines élections. Le but de cette réunion était de garantir une bonne collaboration pendant la période de campagne entre les acteurs du processus électoral et les parties concurrentes.
  • Tous les gouverneurs ont été chargés de prendre les mesures nécessaires pour que l'élection présidentielle se déroule dans tous les 360 districts du Cameroun, y compris le petit nombre où les séparatistes armés cherchent à empêcher les populations locales d'exercer leurs droits démocratiques. Les gouverneurs ont également reçu pour instruction d'assurer la protection de tous les candidats.

Pour plus d'informations sur l'élection présidentielle au Cameroun en 2018, veuillez consulter

 

 

 

Ces dernières sept années, la consommation globale est passée de 1 499 535 m3 en 2011 à environ 1 900 000 m3 en 2018 pour les produits liquides.

Si on s’en tient aux données puisées au Ministère de l’Eau et de l’Energie (Minee) actuellement dirigé par Gaston Eloundou Essomba, ces 7 dernières années, le Cameroun a connu une progression dans le secteur des produits pétroliers et gaziers. Parlons premièrement du gaz domestique. D’après le Minee, l’accès à cette source d’énergie moderne de cuisson des populations a été facilité. On est passée de 67 000TM (tonnes métriques) en 2011 à près de 110 000 TM en 2018, soit un taux de croissance moyen de 9% par an et 64% pour l’ensemble. Et l’augmentation est due par la mise en place des projets tels que l’extension et la modernisation de la Sonara, la construction de nouvelles capacités de stockage, la valorisation de nos ressources gazières, la construction de nouvelles stations-service dans les zones urbaines et rurales.

De manière générale les projets suscités ont eu les impacts ci-après. La poursuite de la modernisation de la SONARA a permis d’améliorer la sécurité des approvisionnements en produits pétroliers pour nos populations avec un accroissement de 27% pour le septennat. Les capacités de stockage des produits blancs ont connu une augmentation de 14%. Les capacités de stockage du GPL ont connu une amélioration de 109 % durant le septennat, avec une augmentation des consommations de 64%. L’amélioration du taux d’accès des populations au gaz domestique a permis de réduire la déforestation liée à la coupe de bois de chauffage, permettant également de préserver les femmes et les enfants des maladies respiratoires résultant des fumées générées par le feu de bois.

Aux impacts sus présentés s’ajoutent le fait que le nombre de stations-service est passé de 526 en fin 2011 à 814 en 2018 soit une augmentation du taux de desserte des populations de 55%. La lutte contre la fraude des produits pétroliers par le marquage chimique institué en 2011 a permis de réduire le taux de fraude de 36% en 2011 à 1,6% en 2018, avec une amélioration nette des recettes fiscales.

Si on doit brièvement revenir sur la valorisation des ressources gazières nationales présentées par le gouvernement comme l’une de ses grandes innovations durant le septennat qui s’achève, il faut noter qu’il y a eu la construction et l’exploitation depuis 2017 d’une usine flottante de liquéfaction du gaz naturel aux larges des côtes de la ville de Kribi. Cela permet de poursuivre la valorisation de nos ressources gazières notamment celles du champ de SANAGA-SUD à hauteur de 500 BCF (Billion Cubic Feet) de gaz naturel, soit environ 14,16 milliards de m 3.

La production annuelle de gaz naturel est de 1,2 million de tonnes par an. Un centre de traitement de gaz a été également construit à BIPAGA et permet une production de 30.000 TM de GPL par an. Deux sphères de stockage de 500 TM chacune ont été construites à BIPAGA avec un poste de chargement camions citernes pour l’approvisionnement du centre d’enfutage de la SCDP de Yaoundé. Ce projet a généré 200 emplois directs et 1 000 emplois indirects.

Liliane N.

Au delà des discours politiques et propagandistes, elles veulent être prises en compte pour la construction future de leur pays

La campagne pour le scrutin du 7 octobre prochain, bat son plein sur toute l’étendue du triangle national. Chaque candidat, a déroulé son programme et la santé, l’éducation, la justice sont les points d’orgue que l’on retrouve en filigrane dans chaque projet de société proposé par les prétendants au fauteuil présidentiel. Pendant que les uns parlent de la gratuité de la césarienne afin de combattre la mortalité maternelle et néonatale, d’autres évoquent l’éducation Dans le système scolaire dans son ensemble. D’autres encore semblent survoler la problématique des violences faites aux femmes en évoquant les lois qui existent. Ils ne disent malheureusement pas avec exactitude, les mesures qu’ils préconisent afin que la femme, l’épouse, la mère, la sœur et la fille n’aient plus jamais à vivre dans la terreur. Les sujets, lorsqu’ils sont évoqués, sont perdus dans le chapelet de ce qui semblent être des promesses de campagne.

État des lieux: 

Tous les candidats reconnaissent le dévouement, l’intégrité, la probité morale de la femme camerounaise mais, ces dernières veulent que cela se traduise par les faits. D’autant plus que le dernier recensement dans notre pays informe que 51% de la population est féminine. Dans le gouvernement actuel, l’on note la présence de quelques femmes ministres et assimilés, 28 maires, 56 députés, 26 sénateurs. Un nombre certes appréciable mais qui ne leur permet pas de faire bouger les lignes.

Malgré quelques avancées en ce qui concerne leurs droits, les femmes sont encore considérées comme un bien à vendre si on se réfère à ce qui se passe dans les familles, lorsqu’on évoque la question de mariage et de ce qui est exigé au futur époux.

Quel est le sort qui leur est réservé lors du décès de leurs conjoints.

Qu’en est il de la succession ou de l’héritage dans la famille?

Dans certaines régions, les normes culturelles, traditionnelles, ancestrales empêchent aux femmes de recevoir un traitement égal: Elles sont encore contraintes à contracter des avec des hommes choisis par leurs parents, elles subissent des violences sexuelles à l’instar des viols, des incisions et bien d’autres. Les grossesses précoces sont le lot des filles à peine sorties de l’enfance.

Elles sont encore nombreuses, qui sont obligées d’abandonner leurs études pour céder la place à leurs frères…

Des problèmes qui certes, ne datent pas d’aujourd’hui mais qui malheureusement vont au delà des positions sociales des unes et des autres.

Le Cameroun a signé de nombreux accords internationaux, comme la charte africaine des droits de l’Homme et des peuples, qui stipule dans son article 6(6) que l’âge minimum de mariage pour la fille est de 18 ans. L’article 52(1) de l’ordonnance camerounais précise même qu’aucun mariage ne peut être célébré si la fille est mineure. Mais que reflète la réalité?

Ce sont encore ces femmes qui sont malgré les nombreuses promesses, au delà de leur niveau d’études, contraintes à la débrouillardise, à travers l’exercice des pétits métiers et la pratique d’ une agriculture de rente.

Solutions proposées: 

Les femmes, lors de la dernière célébration de la journée internationale à elle consacrée, ont demandé que les pouvoirs publics leur assurent, dans tous les domaines de la vie civile, culturelle, politique, sociale et économique, des conditions égales à celles données à leurs compatriotes masculin, en mettant un accent sur les compétences. Des mesures qui vont contribuer à leur épanouissement et dans le respect de la parité.

Elles veulent que les lignes bougent afin qu’elles aient la possibilité de sortir des casseroles, parce qu’elles entendent devenir de véritables entrepreneures. Pour cela, des lois doivent être votées afin d’accompagner et de soutenir leurs ambitions.

Les femmes veulent que soient abolies les lois ancestrales qui les maintiennent dans une certaine esclavage. Un esclavage qu’elles sont obligées de vivre au delà même des frontières camerounaises, lorsqu’elles vont chercher ailleurs le bien être qui leur est interdit dans leur pays.

Elles veulent qu’une loi soit votée et qui va instaurer un quota au sénat, à l’assemblée nationale, au sein de l’administration publique…

Ce sont ces doléances et bien d’autres que les femmes camerounaises, posent sur la table des postulants à la magistrature suprême.

Nicole Ricci Minyem

Le ministre des sports Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt sera présent à la réunion de la Confédération de Football Africaine (C.A.F.) en Egypte concernant la CAN 2019.  

Sharm Cheikh, une ville balnéaire en Egypte abrite ce jeudi 27 septembre 2018, une réunion du Comité exécutif de la Confédération africaine de football.

Sur les sujets à l’ordre du jour, celui relatif à l’organisation ou non de la phase finale de la CAN 2019 au Cameroun va tenir en haleine les footeux et le gouvernement camerounais. Le suspense est entretenu par les doutes régulières d’Ahmad, le président de la CAF, sur la capacité du Cameroun à organiser la prochaine Coupe d’Afrique des Nations de football.

Au terme de la réunion du Comite exécutif, les sages de l’instance continentale du football décideront sur l’avenir de la 31e édition de phase finale de la CAN. «Il y aura une prise de décision ou il y aura un ultimatum Ce que je peux vous dire, c’est que ce n’est pas la CAF qui retire la CAN à un pays ou à un autre. C’est le pays qui n’est pas prêt et qui se désiste. La CAF met tout simplement un cahier des charges” avait déclaré récemment, le Président de la CAF dans un entretien accordé à nos confrères de RFI.

Le gouvernement camerounais qui tient absolument à organiser la prochaine CAN, multiplie des actions de lobbying pour convaincre les dirigeants de la CAF de sa capacité à être « prêt le jour dit ». C’est dans cette logique que le ministre des sports Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt a tenu à se rendre sur place en Egypte pour sauver la CAN 2019 au Cameroun.

« Le ministre n’a pas été invité ni à la réunion du Comité exécutif, ni aux travaux de l’Assemblée générale de la CAF prévue le 30 septembre 2018. Mais, il a tenu à y être pour négocier dans les coulisses le maintien de la CAN 2019 au Cameroun » confie une source au Ministère des sports et de l’éducation physique.

Si le Comité exécutif se prononce pas le maintien de la prochaine CAN au Cameroun, la CAF enverra au début du mois de novembre 2018, une 4e mission d’inspection des infrastructures en cours de construction ou de réhabilitation pour la phase finale de la CAN 2019.

Pour l’heure, ce sont les Slovaques qui dominent le grand Prix cycliste Chantal Biya 2018 au Cameroun. Après Filip Taragel, son coéquipier Juraj Bellan a remporté jeudi l’étape 2 de l’événement, courue entre Yaoundé et Nanga Eboko (152 km).

Bellan (Dukla Banska) devance le Néerlandais Smith Floraian. Il fait également coup double puisqu’il endosse à l’issue de cette étape le maillot jaune du leader au classement général.

C’est également lui qui prend le maillot blanc de meilleur jeune. Tandis que le Rwandais, Jean Bosco Nsenguimana est meilleur grimpeur à l’issue de cette journée.

Ce vendredi place à la 4è étape de Yaoundé à Ebolowa (151 km).

 

La Cour d’appel du Centre a donné raison à l’établissement de micro finance dans l’affaire qui l’oppose depuis deux ans à la compagnie de téléphonie mobile, MTN Cameroon.

Le verdict est connu. Expression Union a gagné le procès en appel, dans l’affaire qui l’oppose depuis des années à MTN Cameroon. « Statuant publiquement, contradictoirement à l’égard des parties, en chambre civile de référé, en appel, en collégialité et à l’unanimité. En la forme : reçoit l’appel.
Au fond : se déclare compétent. Déclare l’action de la Société Express Union recevable. Confirme l’ordonnance entreprise. Condamne l’appelante aux dépens ». Extrait du plumitif de l’audience de référés de la Cour d’appel du Centre tel que rédigé dans son arrêt N° 454/REF 20 juillet 2018.
La société MTN avait dès lors 30 jours pour se pourvoir en cassation. Sans doute pour un ultime recours, après la première requête de défense à l’exécution provisoire interjetée au niveau de cette juridiction contre la décision du Tribunal de Première Instance (TPI) de Yaoundé-Centre administratif qui a été rejetée comme « non fondée au cours de l’audience du 2 mars 2018 ».

Rappel des faits

Le 7 juin 2016, MTN Cameroon suspend le menu *050#, notamment son option « 1 transfert », bloquant par conséquent l’accès à son réseau aux clients d’Express Union Mobile Money. A la suite d’une plainte auprès de l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART), MTN Cameroon a été enjoint par le régulateur en date du 18 octobre 2016 à rétablir l’option « 1 transfert » du code USSD *050#. Sauf que l’exécution cette injonction ne s’est pas faite dans l’immédiat.
Express Union a alors dû se tourner ver la justice. Vidant son délibéré le 24 janvier 2017, au terme d’une audience de référés d’heure à heure, le Tribunal de Première Instance de YaoundéCentre administratif a ordonné le rétablissement dans son entièreté du portail USSD *050# sous astreinte de 500 000 francs CFA par jour de retard. Un verdict pris au sérieux par MTN Cameroon.
Enfin, jusqu’au 31 mai 2017 lorsque la multinationale suspendait à nouveau le menu du code Ussd *050#. Pour le cas Orange Cameroun tout comme MTN, le conflit est non seulement au niveau de l’ART mais aussi au niveau de la Commission Nationale de la Concurrence qui ont déjà été notifiés des griefs de la société Express Union.
En effet, le 21 juin 2017, elle a augmenté de plus de 600 % le coût d’accès au portail USSD *050#, passant de 20 francs CFA a à 153 F CFA. Or, « les frais d’accès à ce portail ont toujours été de 20 francs CFA depuis 2014, correspondant au coût d’un SMS, dit-on à Express Union. Cette augmentation démesurée des frais par l’opérateur Orange Cameroun a pour but de favoriser l’essor de son service au détriment du service Express Union Mobile Money, d’empêcher le développement des services de transfert d’argent et de paiement par Express Union Mobile Money et de décourager sa clientèle avec ce coût prohibitif ».

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01