Dans une récente sortie sur sa page Facebook, le maire adjoint de la commune d’arrondissement de Douala 5 apporte son soutien aux personnes politiques actuellement en détention au Cameroun. Pour Joseph Espoir Biyong, il est inconcevable qu’en 2020, un homme soit arrêté au Cameroun pour son opinion.
« Aucun Camerounais ne devrait être emprisonné pour des raisons politiques. Réconcilions-nous pour arrêter cette hémorragie. Ne sacrifions pas la jeunesse. J’aime le Cameroun ! », lance Joseph Espoir Biyong. Dans le fond, l’homme politique condamne notamment l’arrestation de certains militants du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Mrc). En effet, dans une récente sortie, il demandait aux opposants camerounais de parler d’une même voix.
En rappel, le 25 décembre 2020 l’adjoint au maire de Douala 5 avait publié : « C’est quoi la différence entre réconciliation et renaissance ? Bref moi j’aime Paul Biya, j’aime Kamto, j’aime Ni John Fru Ndi, j’aime Bello Bouba Maigari et j’aime franchement Cabral Libii. Que Dieu bénisse chacun d’eux et que Dieu bénisse le Cameroun. Joseph Espoir Biyong pour une renaissance dans la réconciliation ».
« Joseph Espoir Biyong tu es mon bon petit. Je sais qu’en ce moment précis tu as des petits problèmes. J’ai même appris que Cabral Libii t’a sanctionné et tout, tu n’as même plus le droit de parler, tu n’as même plus le droit de respirer, les gens écrivent n’importe quoi sur toi. Tu vois, tu subis des agressions. Je veux que tu saches quelques choses mon cher Joseph Espoir Biyong, c’est le sort d’un homme droit dans un environnement de dictature », avait pour sa part indiqué l’artiste Valsero pour saluer le courage de Joseph Espoir Biyong. C’était dans une vidéo le 23 décembre 2020 qui était devenue virale sur la toile.
Innocent D H
C’est la substance d’un décret signé ce mercredi, 30 décembre 2020 par le Chef de l’Etat et dont copie vient de parvenir à notre rédaction. Pour l’essentiel un constat se dégage, Paul Biya harmonise l’âge de départ à la retraite à 60 pour les fonctionnaires des catégories A et B et à 55 ans pour ceux des catégories C et D.
Du décret signé ce mercredi par le Président de la République, l’on apprend : « J’ai signé ce jour un décret portant harmonisation de l’âge de départ à la retraite dans la fonction publique. 60 ans pour les agents des catégories A et B ; 55 ans pour les catégories C et D », a posté Paul Biya sur son compte Facebook.
Cet acte présidentiel au-delà d’une coïncidence de calendrier est perçu comme un cadeau des fêtes de fin d’ânée offert par le père de la Nation aux fonctionnaires de son pays. Et puisque que cette décision était souhaitée depuis plusieurs années par ceux qui en bénéficient aujourd’hui. En un mot Paul Biya est sorti de son silence pour leur dire « je vous ai compris et j’agis ».
Le Premier ministre, Chef du Gouvernement Joseph Dion Ngute a quant à lui signé ce mercredi, un décret portant harmonisation de l’âge de départ à la retraite des agents de l’Etat relevant du Code de travail. Selon le texte, l’âge de départ à la retraite des agents de l’Etat relevant du code de travail à compter du 1er janvier 2021, harmonisé à (60) ans pour le personnel des catégories « 8 » à « 12 » et à (55) ans pour le personnel des catégories « 1 » et « 7 ».
Piqûre de rappel, Paul Biya avait déjà procédé au relèvement de l’âge de départ à la retraite des fonctionnaires du corps de la santé publique et celui du personnel médical qui ont désormais une période d’exercice de fonction plus longue. Conformément au décret, présidentiel du 03 juillet dernier, l’on apprenait que : l’âge de départ à la retraite des fonctionnaires de la santé publique est désormais de 60 ans pour les personnels des catégories A et B. Cet âge est de 55 ans pour les personnels des catégories C et D. Une mesure étendue au personnel des corps de la santé publique qui bénéficient à la date d’entrée en vigueur de ce décret d’une prolongation formelle d’activité valide. S’agissant du personnel médical et paramédical relevant du Code du Travail, l’admission à la retraite se fera ainsi qu’il suit : 60 ans pour le personnel des catégories 8 à 12 ; 55 ans pour le personnel des catégories 1 à 7.
Innocent D H
Joseph Dion Ngute a procédé ce mardi, 29 décembre 2020 à l’inauguration du nouveau siège de cet établissement public administratif situé au quartier Lac à Yaoundé.
En procédant à la coupure du rubant inaugural, le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute était accompagné entre autres des personnalités : Luc Messsi Atangana, Maire de la Ville de Yaoundé ; Joseph Tedou, Directeur général de l’Institut national de la Statistique (INS) ; Emmanuel Nganou Ndjoumessi, Ministre des Travaux publics (Mintp) et PCA de l’INS ; Alamine Ousmane Mey, Ministre de l’Economie de la Planification et de l’Aménagement du Territoire (Minepat), tutelle de l’INS.
Selon la présentation faite par le DG de l’institution dont le nouvel édifice inauguré surplombe le Lac municipal, l’on retient que le joyau architectural de sept niveaux s’inscrit dans le cadre du programme politique des « grandes réalisations » du Chef de l’Etat Paul Biya.
Le nouveau siège de l’INS est bâti sur une superficie totale de 3980 mètres carrés au quartier Lac. La construction de l’immeuble a coûté 12 milliards de FCFA selon le Directeur Joseph Tedou. Avant, les bureaux de cet établissement public administratif créé par décret présidentiel du 20 avril 2001, étaient situés dans un modeste bâtiment face à l’immeuble rose, au cœur de la capitale.
Rappelons que le 17 décembre dernier, le Premier ministre avait eu à inaugurer le Douala Grand Mall. Un gigantesque centre commercial et de loisirs de 50 milliards de FCFA.
Innocent D H
La division des analyses et politiques économiques de la Direction générale de l’Economie et de la Programmation des investissements publics du ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), vient de rendre public le « Bulletin des exportations des matières premières » pour le compte du premier semestre 2020.
La lecture de ce document permet d’observer globalement une baisse des exportations liées à la survenue de la pandémie du Coronavirus : « Au Cameroun, les exportations en valeur ont enregistré au cours du premier semestre 2020 une baisse de l’ordre de 21,4% par rapport à la même période en 2019. Cette évolution a davantage été plus prononcée au niveau de l’exportation des produits bruts (-25,9% pour les hydrocarbures et -18,2% pour les autres produits bruts) que des produits transformés (-4,1%). Ainsi, la part des produits transformés sur les exportations totales hors hydrocarbures s’est améliorée sur la période pour s’établir à 39,8% contre 36,1% au premier semestre 2019 ». Les catégories comprenant les produits miniers et énergétiques, ainsi que ceux agricoles, sont les groupes de produits sur lesquels se base l’étude du document.
Pour ce qui est des produits miniers et énergétiques l’on y trouve l’aluminium, le pétrole brut et le gaz. Le pétrole brut, sur le plan mondial a subi un ralentissement de son activité économique avec la survenue de la Covid-19. Une situation qui a entrainé dans la foulée, la chute des cours du pétrole passant de 61 à 20 dollars le baril. Les exportations y ont également pris un gros coup au plan local. Pour le compte du 1er semestre 2020, le Cameroun a exporté 1,854 millions de tonnes de pétrole pour 330,017 milliards de FCFA, contre 1,862 millions de tonnes en 2019 à raison de 493,579 milliards. « En ce qui concerne, les exportations de ce produit, il a enregistré un recul de 0,4% en volume et de 33,1% en valeur. La baisse des cours du pétrole explique en grande partie la forte diminution des recettes d’exportation », note le bulletin. La production ici a enregistré une hausse en volume de 9,8% en glissement annuel au premier semestre 2020, marquée par la montée en régime de nouveaux forages notamment dans le bloc de Bolongo dans le bassin du Rio Del Rey (RDR) dont la mise en exploitation est effective depuis le 3ème trimestre 2019.
Quant au gaz proprement-dit, à l’échelle mondiale, les cours du gaz ont enregistré au premier semestre 2020, une baisse de 32,4% en glissement annuel. La production du Cameroun au courant de cette période a connu une baisse de 1,1% en glissement annuel, pour ce qui est du Gaz Naturel Liquéfié (GNL) et en hausse de 4,3% en ce qui concerne le Gaz de pétrole liquéfié (GPL). Pour des exportations de GNL en hausse de 3,7%, soit 621 400 tonnes exportées pour 131,595 milliards de Fcfa, contre 599 500t pour 129,411 milliards en 2019.
Innocent D H
Le pays vient par cette occasion d’accélérer le processus de mise en place des organes de fonctionnement des régions. Les commissions de passation des marchés passées ont été créées le 21 décembre dernier par un arrêté du Ministre délégué à la présidence de la République chargé des Marchés publics (Minmap), Ibrahim Talba Malla.
Les commissions internes de passation des marchés créées sont placées sous l’autorité d’un président, nommé par le ministre chargé des Marchés publics. Dans ces organes, on retrouve aussi un représentant de la région désigné par le président du Conseil régional (ou le président du Conseil exécutif régional), un représentant du Minmap, un représentant de la tutelle, un représentant du ministère des Finances (Minfi), et un secrétaire désigné par le président du Conseil régional. Comme le prévoit la loi, elle est notamment chargée de superviser toutes les procédures de passation de marchés à exécuter par la région.
Dans le sillage du fonctionnement effectif des régions, le Minfi, Louis Paul Motaze a récemment signé l’arrêté portant création de postes comptables auprès de ces Collectivités territoriales décentralisées. Les « recettes régionales », dénomination attribuée à ces postes « détiennent l’exclusivité des opérations financières de la région », au sens de l’article 437 de la loi portant Code général des Collectivités territoriales décentralisées. Placés sous l’autorité du receveur régional, ces postes effectuent le « recouvrement des recettes et le paiement des dépenses locales ». Le receveur régional est nommé au sein du personnel des services civils et financiers de l’Etat, par arrêté conjoint du ministre chargé des Collectivités territoriales et du Minfi.
Le code sus-évoqué institue par ailleurs, un poste de contrôleur financier auprès de l’ordonnateur principal de la région, à savoir le président du Conseil régional et le président du conseil exécutif régional. Ce responsable nommé par le ministre des Finances, d’après l’article 436, est « chargé des contrôles des opérations budgétaires, dans les conditions définies par le président de la République ».
Innocent D H
L’autorisation a été faite à la société d’Etat en charge de la gestion de la plus importante plateforme portuaire du Cameroun à l’issue de son récent Conseil d’administration. En effet, le Port autonome de Douala (PAD) a été autorisé de créer une régie dédiée au service de remorquage des navires. L’activité de remorquage a officiellement généré un chiffre d’affaires annuel moyen de 3,6 milliards de FCFA au port de Douala au cours des 5 dernières années, apprend-on.
La gestion nationalisée du remorquage par le PAD consiste à tracter un navire à l’entrée ou à la sortie du port, à l’aide d’un ou de plusieurs remorqueurs, lorsque le navire en question ne peut pas réaliser tout seul ses opérations d’accostage ou quitter les quais. De sources bien introduites, à travers cette nouvelle régie, le port de Douala se prépare ainsi à reprendre à son propre compte, la gestion d’une activité concédée depuis plusieurs années à des entreprises étrangères. La nouvelle régie voit d’ailleurs le jour à l’issue d’un appel d’offres international lancé en juin 2020, et finalement déclaré infructueux le 18 décembre courant, au terme de négociations n’ayant pas connu un aboutissement heureux avec Boluda France.
Cette filiale du conglomérat espagnol Boluda Corporación Marítima a jugé trop contraignantes les conditions mises en place par le PAD pour l’attribution du contrat de concession du service de remorquage au port de Douala (pratique des prix compétitifs, géographie du capital de la société à mettre en place, investissements, etc.). Les négociations, apprend-on, ont principalement achoppé sur les investissements exigés par le PAD dans le cadre du contrat de concession.
L’on apprend que le Port autonome de Douala exigeait l’achat de trois remorqueurs neufs, dont deux à commander trois mois après l’entrée en vigueur du contrat et à mettre en service dès la 2e année de la concession, puis la mise en service d’un 3e remorqueur neuf à la 8e année de la concession. Cependant, Boluda France lui, a montré de bonnes dispositions à n’acheter que des remorqueurs d’occasion. Ces investissements pourraient finalement être réalisés par le PAD lui-même dans le cadre de la nouvelle régie.
Indiquons que cette régie consacre la nationalisation des activités majeures au port de Douala, qui est jusqu’ici la principale porte d’entrée des marchandises dans le pays.
Innocent D H
Ce lundi, 28 décembre 2020, Me Akere Muna a émis des suggestions dans l’optique de l’éradication des tragédies sur la voie publique au Cameroun. Des solutions que l’ancien candidat à la présidentielle de 2018 propose quelques temps seulement après à cet autre accident de trop sur nos routes.
Sur son compte Twitter, l’avocat international indique : « Chaque fin d'année, c’est la même histoire. Désormais, faisons les choses différemment. Tous ces agents de la sécurité routière devraient penser davantage à l'état des conducteurs et des véhicules et moins aux cadeaux qu'ils peuvent soutirer pour la nouvelle année. Les conducteurs de bus interurbains devraient avoir 1 nombre max d'heures de conduite et un minimum d'années d'expérience pour être qualifiés et subir un alcootest avant démarrer chaque voyage. Un système électronique peut être utilisé pour assurer l'application de ces mesures de base ».
La réaction de Me Akere Muna est consécutive à l’hécatombe que le Cameroun a enregistrée sur l’axe lourd Yaoundé-Bafoussam dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 décembre 2020. En effet, un bus de transport provenant de Koutaba pour Yaoundé est entré en collision avec un camion en sens contraire à Ndikinimeki.
A en croire les informations officielles rendues disponibles par le Ministre camerounais en charge des Transports (Mintransports), 35 personnes ont laissé leurs vies sur le carreaux et 18 se sont blessées ; un bilan susceptible de s’alourdir au vu du choc profond qu’ont subi les victimes qui ont aussitôt été conduits à l’hôpital pour une prise en charge immédiate.
Innocent D H
La position du Chef de l’Etat camerounais Paul Biya a été dévoilé par le Ministre des Relations Extérieures (Minrex), Lejeune Mbella Mbella lors des travaux dudit sommet tenu le 26 décembre dernier par visioconférence.
« Le Président Biya suit avec une attention particulière le contexte qui prévaut en RCA. Et à ce sujet, le Président Biya exprime toute son appréciation pour la convocation des présentes assises. Le Cameroun condamne avec la plus grande fermeté toute tentative, sous quelque forme qu’elle soit, de déstabilisation des institutions républicaines en RCA auxquelles il apporte sa solidarité, son soutien pour la préservation de l’intégrité territoriale et de la paix dans ce pays frère », a déclaré Lejeune Mbella Mbella.
C’est depuis des semaines que dure déjà la crise en République centrafricaine (RCA). Selon les observateurs avisés, cette crise est alimentée par une faction de rebelles attachée à l’ancien président François Bozizé. Trois gendarmes camerounais ont même déjà été enlevés par une autre faction de rebelles. De sources dignes de foi rapportent que cette faction appartient au Général centrafricain Abbas Sidiki, le chef de la milice dite des « 3R » (Retour, Réclamation et Réhabilitation) en RCA. Pour libérer les gendarmes, elle demande une rançon.
L’on apprend de certaines confidences, « Les rebelles centrafricains demandent une rançon de 15 millions FCFA par gendarme avant de les libérer. Selon les revendications des ravisseurs, si cette somme est payée, les gendarmes seront libérés mais sans leurs armes ni leur véhicule ».
Innocent D H
Après Yaoundé dimanche dernier, « Tara », la mascotte du Championnat des Nations de football (CHAN) Total 2021 fera escale mardi 29 décembre à Douala (région du Littoral). Elle terminera son périple le lendemain, mercredi 30 décembre, à Limbe-Buea (Sud-Ouest).
Lors de la cérémonie de lancement de cette tournée au Palais polyvalent des sports de Yaoundé (Paposy), le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep), Narcisse Moelle Kombi a déclaré : « La “Mascotte tour” vise à rapprocher l’évènement du grand public. Elle constitue une activité importante du volet évènementiel et communicationnel du CHAN dont la visibilité doit être de plus en plus accentuée, dont l’effectivité et l’imminence de la tenue doivent s’installer fermement dans l’imaginaire du public camerounais ».
Selon le Minsep, par ailleurs président du Comité d’organisation local du CHAN (Cocan), par cette présentation, il est question d’inciter le public à venir au stade le moment venu. « Ce public doit être en communion d’esprit et de cœur, dans l’enthousiasme patriotique, dans la liesse et l’allégresse avec l’ensemble des participants venus d’Afrique et des quatre coins du monde pour la célébration des talents sportifs camerounais », affirme Narcisse Mouelle Kombi.
S’agissant de ces caractéristiques, « Tara » en référence à une appellation fraternelle et amicale entre Camerounais, la mascotte du CHAN est un lion vêtu aux couleurs de l’équipe nationale de football (maillot vert, short rouge et bas jaune). Il porte le dossard 237 (indicatif téléphonique du Cameroun à l’international) et est muni d’une cape. La première version dévoilée le 14 décembre 2019 par le Cocan avait suscité l’ire et les railleries du public, ce qui avait conduit à sa modification. La seconde version, validée par la Confédération africaine de football (Caf), a davantage séduit le public.
Innocent D H
Selon les informations contenues dans un communiqué de la commune de Njombe-Pendja, le maire Paul Eric Kingue vient d’offrir 500 000 francs CFA aux victimes de l’accident mortel survenu le 27 décembre dernier sur l’axe Bafoussam-Yaoundé. Outre son élan de générosité, l’ancien directeur de campagne de Maurice Kamto à la présidentielle de 2018 adresse sa compassion aux victimes de ce drame.
De sources bien introduites, l’actuel maire de la commune de Njombe-Penja dans le département du Moungo, région de Littoral Cameroun fait un don aux victimes du malheureux incident. « Paul Eric Kingue apporte une enveloppe symbolique de 500 000 francs CFA aux victimes de Ndikinimeki suite au tragique accident de la circulation survenu le dimanche 27 décembre 2020 sur l’axe Yaoundé-Bafoussam notamment au niveau de Ndikinimeki. Monsieur Paul Eric Kingue, maire de la commune de Njombe-Penja et l’ensemble du conseil communal adressent aux familles des disparus les plus sincères condoléances et souhaitent un meilleur rétablissement aux personnes blessées. A titre symbolique, la commune de Njombe-Penja apporte aux familles attristées une symbolique enveloppe de 500.000 FCFA et invite les maires à la solidarité face à ce drame qui touche de nombreuses familles en cette veille de la nouvelle année. C’est avec une profonde tristesse que nous nous associons à la douleur des familles et apportons notre soutien », peut-on lire dans le communiqué rendu public par la Commune Njombe-Penja.
Indiquons que d’autres hommes politiques de l’opposition camerounaise ont également exprimé leur compassion à la suite de ce drame. Il s’agit notamment du Pr Maurice Kamto, président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Mrc). « C’est avec douleur et consternation que j’ai appris le décès de plus d’une trentaine de personnes dans un tragique accident de la circulation survenu vers Ndikinimeki, dans la Région du Centre », a-t-il écrit. « Je joins à ma douleur, celle de nombreux autres camerounais pour exprimer notre profonde compassion aux familles si durement frappées à la veille de la célébration de la fête du Nouvel An », ajoute le candidat sorti deuxième à la présidentielle de 2018.
Innocent D H