Ce lundi, 28 décembre 2020, Me Akere Muna a émis des suggestions dans l’optique de l’éradication des tragédies sur la voie publique au Cameroun. Des solutions que l’ancien candidat à la présidentielle de 2018 propose quelques temps seulement après à cet autre accident de trop sur nos routes.
Sur son compte Twitter, l’avocat international indique : « Chaque fin d'année, c’est la même histoire. Désormais, faisons les choses différemment. Tous ces agents de la sécurité routière devraient penser davantage à l'état des conducteurs et des véhicules et moins aux cadeaux qu'ils peuvent soutirer pour la nouvelle année. Les conducteurs de bus interurbains devraient avoir 1 nombre max d'heures de conduite et un minimum d'années d'expérience pour être qualifiés et subir un alcootest avant démarrer chaque voyage. Un système électronique peut être utilisé pour assurer l'application de ces mesures de base ».
La réaction de Me Akere Muna est consécutive à l’hécatombe que le Cameroun a enregistrée sur l’axe lourd Yaoundé-Bafoussam dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 décembre 2020. En effet, un bus de transport provenant de Koutaba pour Yaoundé est entré en collision avec un camion en sens contraire à Ndikinimeki.
A en croire les informations officielles rendues disponibles par le Ministre camerounais en charge des Transports (Mintransports), 35 personnes ont laissé leurs vies sur le carreaux et 18 se sont blessées ; un bilan susceptible de s’alourdir au vu du choc profond qu’ont subi les victimes qui ont aussitôt été conduits à l’hôpital pour une prise en charge immédiate.
Innocent D H
Faure Gnassimbe le Président togolais a reçu en audience Me Akéré Muna l’ancien bâtonnier de l’Ordre des avocats du Cameroun.
C’est hier 31 août 2020, qu’Akéré Muna s’est entretenu dans le cadre d’une audience avec Faure Gnassimbe le Président du Togo. Sur son compte Twitter, l’ancien vice-président de Transparency International a révélé l’objet de ses échanges avec le Chef d’Etat togolais. Il a été question de lutte contre la corruption. L’ancien bâtonnier n’a pas caché son admiration face à l’engouement de Faure Gnassimbe de mettre fin à la corruption dans son pays.
«Audience chaleureuse avec S.E. FEGnassingbe du Togo. Très impressionné par son insistance à lutter contre la #corruption et à promouvoir la Bonne Gouvernance. Il a également évoqué sa détermination à faire en sorte que la corruption ne rende inefficace la lutte contre COVID19», peut-on lire dans son tweet.
L’entretien d’Akéré Muna et de Faure Gnassimbe a été traité par de nombreux journaux togolais. Forum de la Semaine un quotidien de ce togolais dans sa parution de ce 1er septembre 2020 a écrit «si Faure Gnassingbé a exploré la lutte contre la corruption sur tous les plans avec l’avocat, il a insisté également sur sa détermination à faire en sorte "qu’elle ne rende pas inefficace la lutte contre la pandémie de covid19"».
Me Akéré Muna pourrait donc bien mettre son expertise en matière de lutte contre la corruption au service du Togo. Il faut préciser qu’il le fait même déjà dans le cadre du Programme des Nations Unies pour le Développement.
Liliane N.
L’homme politique camerounais et ancien candidat à la présidentielle de 2018 a eu un de plus ce mardi, 18 août 2020. Saisissant le prétexte de la célébration de son anniversaire, Me Akere Muna a posté ce message sur les réseaux sociaux.
Ce 18 août 2020, Me Akere Muna a soufflé sur sa 68ème bougie. Occasion pour l’avocat international et homme politique de demander un cadeau spécial à travers un message posté sur la toile. C’est à juste à ce titre qu’il a écrit pour souhaiter, « un pays dans lequel le pouvoir est moins arrogant et dans lequel ceux qui voient les choses différemment tolèrent les opinions des autres ».
Akere Muna a également profité de la circonstance pour inviter les Camerounais à s’unir pour des causes communes et nobles. « Je souhaite une coalition de conscience pour un véritable dialogue, ne serait-ce que comme l’héritage de nombreuses âmes disparues », a-t-il ajouté.
A titre de rappel, précisons que l’homme de droit, ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 au Cameroun avait spécialement fait parler de lui. En effet, il s’était rétracté à la dernière minute pour soutenir la candidature du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) dont le Président est Maurice Kamto, arrivé deuxième à l’issue dudit scrutin.
Indiquons également que Me Akere Muna s’est toujours montré concerné par la crise sociopolitique que traverse les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun depuis bientôt quatre années. Il a d’ailleurs mainte fois appelé au dialogue pour un retour rapide de la paix dans cette partie du pays.
C’est sous la bannière du Front populaire pour le Développement (FPD), parti politique basé dans le grand nord du Cameroun que Akere Muna s’était présenté à la dernière présidentielle après une consultation électorale tenue au sein du parti. La candidature de l’avocat international était soutenue par le mouvement « Now ».
Innocent D H
Me Félix Agbor Balla le fondateur du Centre des Droits de l’Homme et de la Démocratie en Afrique condamne l’assassinat d’une jeune fille survenue à Muyuka dans la région du Sud-Ouest et dont la vidéo du meurtre est en circulation en ce moment sur la toile.
Pour Me Félix Agbor Balla, les séparatistes ne peuvent pas affirmer qu’ils combattent pour libérer les populations des deux régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, puis les ôter la vie au nom de cette idéologie. Le fondateur du Centre des Droits de l’Homme et de la Démocratie en Afrique condamne le meurtre récent d’une jeune fille par les Ambazoniens dans la ville de Myuka située au Sud-Ouest du Cameroun. «Tuer nos populations au nom de leur libération est malheureux. Nous ne pouvons pas tuer les mêmes populations que nous prétendons vouloir libérer du joug de la dictature», déplore l’avocat défenseur des Droits de l’homme.
Tout comme Me Félix Agbor Balla, Me Akere Muna ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 condamne le meurtre de la civile de Muyuka. Il affirme dans un tweet son incapacité à rester indifférent lors du visionnage de la vidéo qui présente la manière avec laquelle, la femme a été tuée. «Incapable de finir de regarder une vidéo absolument horrible. Un incident qui aurait eu lieu à Muyuka, dans la région sud-ouest du CMR. Mains attachées dans le dos, une dame est tuée à coups de machette. Quelle qu'en soit la cause, c'est un acte barbare et inhumain. Inacceptable!», a écrit Me Akere Muna.
La vague d’indignation face à cet autre meurtre se poursuit. Sur Twitter, Christopher Formunyoh au vu de ce qui continue de se produire comme violence dans les régions anglophones, appelle à des efforts concertés et collectifs. «L'horreur, la cruauté et l'inhumanité totale s'abattent sur notre peuple et notre terre. À ce rythme, le peuple ou la terre seront-ils jamais nettoyés? Des efforts concertés et collectifs doivent être déployés pour mettre fin à cette guerre insensée, avec ses meurtres et ses atrocités. Insupportable!», a-t-il tweeté (Tweet traduit par google traduction).
Ilaria Allegrozzi chercheur de l'Organisation non gouvernementale Human Rigths Watch révèle dans son tweet, que cette jeune fille a été tuée parce que les séparatistes la soupçonnaient d’être de connivence avec l’armée. Ilaria condamne cette violence portée sur les populations. «Cameroun: vérification d'une vidéo horrible diffusée hier sur les médias sociaux montrant une femme à Muyuka, dans le sud-ouest, torturée par de présumés séparatistes qui lui ont tranché la gorge l'accusant d'avoir informé l'armée. Une violence indicible. Des sources affirment qu'hier, les séparatistes ont également décapité un homme à #Ndop, dans le nord-ouest», a-t-elle tweeté (Tweet traduit par Google traduction).
Liliane N.