D’après différentes sources internes, le Ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures (Minrex), Felix Mbayu constate dans une note de service que « de nombreux personnels et leurs responsables hiérarchiques directs sont absents ou arrivent en retard à leur poste de travail ».
Face au retard et à l'absentéisme devenus inquiétants dans ce département ministériel, le Ministre délégué auprès du Minrex rappelle les horaires réglementaires d’une journée de travail. Il fait observer aux concernés que durant cette période, seuls les personnels bénéficiant d’une autorisation formelle de leur hiérarchie ou en mission officielle sont temporairement dispensés de cette obligation. Ce qui amène Felix Mbayu à marteler, « En conséquence, je rappelle à l’ordre ceux des personnels et responsables qui ne sont pas en règle de s’y conformer rapidement, faute de quoi les sanctions disciplinaires seront prises à leur encontre ».
Pour un cadre au Minrex ayant requis l'anonymat, il importe aujourd’hui, avant d’agiter des menaces de sanctions, d’effectuer au préalable un recensement du personnel. Il propose aussi qu'une étude profonde sur les motivations de ces absences répétées soit menée.
Des actions qui permettront de réaliser que « des centaines de personnels sont établis hors du pays tout en continuant de bénéficier de l’intégralité de leurs droits » ou que la diplomatie dispose du plus faible effectif de la fonction publique mais dont l’encadrement n’est pas géré de manière efficiente, suggère le cadre.
Innocent D H
C’est ce qui ressort de la célébration les 1er et 2 juillet 2021 de la semaine internationale des archives, que le ministère des Relations extérieures (Minrex) a placée sous le thème : « Renforcer les archives diplomatiques du Cameroun pour une meilleure gouvernance ». Le plan de numérisation qui est déjà en chantier, viendra à la suite des actions menées jusqu’ici.
Le Cameroun veut de se doter d’un plan de numérisation de ses archives diplomatiques, qui intègre les documents personnels des diplomates et hommes d’État, ainsi que les archives sur les États étrangers et autres organisations internationales.
Le Minrex a saisi l'occasion de la semaine des archives pour animer des échanges sur la valorisation des archives diplomatiques du pays. Ce qui a permis d’offrir une formation aux différentes responsables en charge de la gestion des documents et spécifiquement de ceux diplomatiques. Ces derniers ont été édifiés, entre autres, sur l’histoire du Conseil international des archives ou la gestion quotidienne des archives diplomatiques.
Selon les témoignages d'un responsable du Ministère des Relations extérieures, dans ce département ministériel : « les archives occupent une place indéniable, parce que pour prendre les meilleures décisions, on se sert d’elles en tant que mémoire collective ».
Parmi des actions menées jusqu’ici au Minrex, il y a notamment l’extension et l’équipement du bâtiment abritant les archives diplomatiques ou la numérisation des dossiers du personnel, qui s’inscrivent dans le processus de modernisation de leur gestion, apprend-on.
Innocent D H
Sous l’égide du Ministère des Relations extérieures (Minrex), une caravane de sensibilisation contre la circulation des armes illicites séjourne à Bertoua, la capitale régionale de l’Est depuis le 23 décembre dernier. C’est dans le cadre du mois d’amnistie en Afrique sur la remise volontaire des armes lancé en octobre sur le thème : « Faire taire les armes : un engagement au bénéfice des générations futures sur le continent africain ».
A en croire les autorités locales, la région de l’Est Cameroun est propice à la circulation des armes (armes de fabrication artisanale, armes de chasse et de guerre) en raison surtout de la situation sécuritaire troublée qui persiste depuis de nombreuses années en République centrafricaine. Ce pays voisin est en effet le théâtre de l’activité de multiples bandes armées qui sont actives le long de la frontière commune. C’est sans doute ce qui justifie le déploiement de cette caravane de sensibilisation dans cette partie du pays.
« Nous avons de nombreux parcs à l’Est qui connaissent l’assaut des braconniers. Beaucoup de ces armes qui ont été introduites dans les pays voisins sont de plus en plus utilisées dans les braquages, les enlèvements et les prises d’otages avec demande de rançon », explique le secrétaire général des Services du Gouverneur de l’Est Théophile Nguia Beina.
Rappelons qu’en mai 2018, le ministre de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, déplorait : « la prolifération et la circulation illicite des armes à feu de tous calibres et de leurs munitions ont, depuis quelque temps, atteint des proportions préoccupantes et représentent une réelle menace à l'ordre public ». Sur les 27 000 armes en circulation au Cameroun, le Minat admet que le gouvernement n’a délivré que 3800 autorisations.
« Un accent particulier doit être mis sur le partage de l’information, le partage d’expertise et les campagnes nationales de sensibilisation », explique le Minrex, Lejeune Mbella Mbella en guise de proposition de solution pour réduire la circulation illicite d’armes légères et de petits calibres.
Innocent D H
La position du Chef de l’Etat camerounais Paul Biya a été dévoilé par le Ministre des Relations Extérieures (Minrex), Lejeune Mbella Mbella lors des travaux dudit sommet tenu le 26 décembre dernier par visioconférence.
« Le Président Biya suit avec une attention particulière le contexte qui prévaut en RCA. Et à ce sujet, le Président Biya exprime toute son appréciation pour la convocation des présentes assises. Le Cameroun condamne avec la plus grande fermeté toute tentative, sous quelque forme qu’elle soit, de déstabilisation des institutions républicaines en RCA auxquelles il apporte sa solidarité, son soutien pour la préservation de l’intégrité territoriale et de la paix dans ce pays frère », a déclaré Lejeune Mbella Mbella.
C’est depuis des semaines que dure déjà la crise en République centrafricaine (RCA). Selon les observateurs avisés, cette crise est alimentée par une faction de rebelles attachée à l’ancien président François Bozizé. Trois gendarmes camerounais ont même déjà été enlevés par une autre faction de rebelles. De sources dignes de foi rapportent que cette faction appartient au Général centrafricain Abbas Sidiki, le chef de la milice dite des « 3R » (Retour, Réclamation et Réhabilitation) en RCA. Pour libérer les gendarmes, elle demande une rançon.
L’on apprend de certaines confidences, « Les rebelles centrafricains demandent une rançon de 15 millions FCFA par gendarme avant de les libérer. Selon les revendications des ravisseurs, si cette somme est payée, les gendarmes seront libérés mais sans leurs armes ni leur véhicule ».
Innocent D H
Lejeune Mbella Mbella, lors de son tête à tête avec la représentante d’Angela Merkell ce Mercredi, n’a pas manqué de faire part de l’indignation du gouvernement Camerounais, après l’invasion de sa représentation diplomatique à Berlin par une horde d’individus sans foi ni lois.
Le ministre des Relations Extérieures a déploré et fustigé devant la diplomate allemande, les défaillances sécuritaires de ce pays qui a pourtant la responsabilité et l’obligation de protéger les représentations diplomatiques sur son sol, selon les conventions internationales.
Le Minrex n’a pas manqué de passer ce message : « Le gouvernement camerounais sollicite le renforcement de la sécurisation de son ambassade en Allemagne. Après les incidents menés par des « Camerounais » mal intentionnés le 04 mai 2020 à Berlin ».
La chargée d’affaires de l’ambassade d’Allemagne au Cameroun a reconnu les défaillances des services de sécurité de son état. Tout en regrettant la survenue de cet incident, elle a promis de transmettre les préoccupations de l’Etat du Cameroun au gouvernement.
Elle a toutefois rassuré le ministre des Relations Extérieures qu’après avoir pris acte de l'indignation du gouvernement camerounais, les mesures sont d’ores et déjà prises et le dispositif sécuritaire à la représentation diplomatique camerounaise à Berlin a été renforcé.
Des « incursions » récurrentes de certains individus à l’ambassade du Cameroun en Allemagne
En Mars 2008, ils sont nombreux qui, dans un mouvement plus ou moins important, avaient convergé vers cette représentation diplomatique afin, disent – ils d’ « Exprimer leur indignation face aux massacres commis dans leur pays par les forces de l'ordre contre les populations civiles mais aussi, pour dire non à toute modification de l'article 6.2 de la Constitution…Ils avaient répondu à l'appel lancé par l'organisation DNK (Demokratisches Netzwerk Kameroun). Ce jour là, les manifestants avaient marché de la gare centrale de Bonn-Bad-Godesberg jusqu'à l'Ambassade du Cameroun située à environ 900 mètres de distance.
Dix ans plus tard, sous l’appellation de brigarde anti sardinards, ils sont entrés de nuit à l’ambassade, détruisant tout sur leur passage, faisant leurs besoins au vu et au su de tous, parce qu’ils voulaient voir l’un des candidats de la dernière élection présidentielle prendre la tête du pays.
La dernière incursion est celle de ces individus aux mines patibulaires qui exigeaient que leur soit remis le corps du Chef de l’Etat Camerounais.
Les excuses et les promesses ont certainement toute leur importance en diplomatie mais, de l’avis de nombreux Camerounais, « cela commence à bien faire, d’autant plus que si les rôles étaient inversés, la situation serait autre… ».
Nicole Ricci Minyem
Depuis la publication des résultats de l‘enquête du Massacre des civils de Ngarbuh, les réactions mitigées ne cessent de pleuvoir. Dans ce flot de réactions, il y a aussi celles qui révèlent la position des Etats-Unis. Par le biais d’une sortie publiée sur le compte Twitter de la représentation diplomatique de ce pays partenaire du nôtre, on apprend que les américains se réjouissent des résultats de cette enquête prescrite par le chef de l'Etat.
“Nous nous réjouissons de la démarche de transparence à propos de l'attaque du 14 février à Ngarbuh, avec la publication du rapport d'enquête. Nous accueillons la décision de demander des comptes aux personnes soupçonnées d’avoir mené cette action et d’avoir tenté de la dissimuler”, peut-on lire dans le tweet de l’Ambassade américaine au Cameroun.
A titre de rappel, les tueries de Ngarbuh ont eu lieu dans la nuit du 13 au 14 février 2020. Il faut savoir que Ngarbuh, est un village de l’arrondissement de Ndu, dans le département du Donga Mantung, région du Nord Ouest. Si après ces tueries, le gouvernement avait indiqué que cinq personnes avaient perdu la vie, aujourd’hui les résultats de l’enquête de Ngarbuh parlent plutôt de 13 civils.
On se rappelle même que LeJeune Mbella Mbella le Ministre des Relations extérieures (Minrex) prenant part à la 43ème session ordinaire du Conseil des Droits de l’homme, qui se déroule à Genève, est revenu sur cette guerre de chiffres. En précisant que 5 civils ont perdu la vie à la nuit suscitée, il avait alors déclaré : « Certains organes ont, sans la moindre investigation fait allégation du massacre de 22 personnes, y compris des femmes, et de 14 enfants perpétré par les forces de défense et de sécurité ».
Liliane N.
Dans une correspondance parue ce jeudi, 12 mars 2020 et dont notre rédaction en a eu copie, le Ministre camerounais des Relations extérieurs (Minrex) instruit aux chefs des représentations diplomatiques, consulaires et aux hauts commissariats du Cameroun à l’étranger cette mesure pour contenir l’importation du Coronavirus.
En effet, dans ledit document (message fax), Lejeune Mbella Mbella, ministre des Relations extérieurs demande aux chefs des ambassades, consulats et hauts commissariats du Cameroun sur les territoires étrangers, « de bien vouloir inclure dorénavant la présentation du résultat test au Covid-19 effectué par institution agréée comme pièce à fournir pour toute délivrance de visa d’entrée au Cameroun », relève-t-on. Cette mesure du Minrex intervient en prélude au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2020 qui se tient du 04 au 05 avril sur le territoire national et tenant ainsi compte de l’épidémie du Coronavirus.
A ces patrons des représentations diplomatiques, consulaires et hauts commissariat du Cameroun à l’extérieur, le membre du Gouvernement signale l’urgence de l’application de cette mesure et leur instruit de vouloir bien « s’assurer de l’authenticité desdits résultats » et les engage également à « prendre des dispositions utiles pour la protection du personnel de leur mission ».
De mémoire de reporter, le vendredi dernier, le ministre camerounais de la Santé publique (Minsanté), Dr. Manaouda Malachie avait par communiqué distinct procédé à la confirmation de deux cas de Coronavirus sur le territoire national. Isolés et pris en charge à l’hôpital central de Yaoundé, le Minsanté annonçait récemment que les deux malades présentent un état de santé stable.
Il faut dire qu’en France, le Président Emmanuel Macron s’est adressé à ses compatriotes. Le Chef de l’Etat a annoncé ce jeudi dans une allocution télévisée, la fermeture des crèches et des établissements scolaires à partir de lundi prochain pour « ralentir la propagation du Coronavirus ».
Cette correspondance du ministre Mbella Mbella permettra à coup sûr de désormais mieux contrôler le carnet de santé de ceux et celles qui vont chercher à partir de l’étranger à fouler le sol camerounais en prélude au CHAN, tant il est clair que le Coronavirus ne cesse de faire des victimes à travers le monde.
Innocent D H
Selon le Ministre, utiliser les populations civiles comme des boucliers est une pratique faite par les groupes armés.
Lejeune Mbella Mbella le Ministre des Relations Extérieures (Minrex) prend part à la 43ème session ordinaire du Conseil des Droits de l’homme, qui se déroule à Genève. Il a été convié à prendre la parole. Et tout naturellement le discours du Minrex s’est porté entre autres sur la crise baptisée crise anglophone et la tuerie des civils à Ngarbuh, qui continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive que ce soit à l’intérieur du Cameroun qu’à l’extérieur.
Lejeune Mbella Mbella face au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies lundi dernier, a indiqué que le Cameroun est véritablement lancé dans un processus constant pour ce qui est de la crise anglophone. Il a ajouté que le pays a apporté des réponses structurelles, institutionnelles et réglementaires à la crise qui touche les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Massacre de Ngarbuh : Le ministre de la Défense décrit ce qui s'est réellement passé
Sur la tuerie des civils à Ngarbuh qui s’est produit le 14 février 2020, le Minrex est revenu sur les chiffres qui se veulent différents selon qu’on est du régime ou pas. Car si la presse parle d’une vingtaine de personnes tuées, le gouvernement fait mention de cinq personnes. Le Minrex a indiqué qu’il y a eu comme bilan : une femme et quatre enfants décédés en raison d’un incendie provoqué par des échanges de tirs entre les forces de l’ordre et des groupes rebelles. « Certains organes ont, sans la moindre investigation fait allégation du massacre de 22 personnes, y compris des femmes, et de 14 enfants perpétré par les forces de défense et de sécurité », a déclaré Lejeune Mbella Mbella.
Toujours sur la tribune de la 43ème session ordinaire du Conseil des Droits de l’homme des Nations unies, Le Ministre Mbella Mbella a porté un doigt accusateur contre les groupes armés, qui ont tendance à se servir des populations civiles comme boucliers humains. Et cela est fait contre la volonté et au mépris des droits et de la vie de ces populations.
Il a précisé qu’en dépit de cela, les Forces de défense et de sécurité demeurent et demeureront toujours résolument engagées et épargneront, autant que faire se peut, toute vie humaine dans la conduite professionnelle de leurs missions.
Liliane N.
Conjointement organisé par le gouvernement et l’Unicef, un séminaire y relatif se tient depuis hier au ministère des Relations extérieures à Yaoundé.
A cause de l’instabilité sociopolitique due à divers conflits, certaines régions du pays sont en proie aux crises sécuritaires. Cette situation compromet de ce fait l’accès à une éducation qualitative aux enfants vivant dans ces zones. Or, l’éducation est un droit fondamental inaliénable. Il faut dès lors prendre des mesures d’urgence. C’est la raison d’être du séminaire sur l’« Education en situation d’urgence » ouvert hier et qui s’achève demain, au ministère des Relations extérieures (Minrex) à Yaoundé.
Conjointement organisé par le gouvernement et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), cet atelier a pour objectif de sensibiliser sur la préservation et la promotion de l’éducation dans les zones en conflit. Car, « même en temps de crise et lorsque les communautés ont tout perdu, l’éducation demeure la première priorité pour les familles », a déclaré le représentant de l’Unesco, Bruno Djoumesse.
Ainsi, indique Cameroon Tribune, les participants, recrutés parmi les responsables des administrations centrales et des services déconcentrés de la chaîne de l’éducation camerounaise, ont été édifiés sur la nécessité à assurer une éducation continue de qualité aux enfants vivant en zones de conflit. En effet, « l’instabilité et la pauvreté y font souvent le lit du chômage ou l’oisiveté, les jeunes de ces milieux restent vulnérables à la violence et à l’extrémisme. Les régions de l’extrême-Nord, du Nord-Ouest et du Sud-Ouest en sont des preuves palpables », a-t-il conclu.
« C’est donc dans cette perspective que le secrétaire général du Minrex, Laurent Tchandeu, a demandé aux séminaristes de plaider auprès de leurs administrations afin que ce message fasse tâche d’huile », commente le journal à capitaux publics.
Des mesures sont déjà prises par le ministère de l’Education de base et celui des Enseignements secondaires pour réintégrer les enfants déplacés dans le système éducatif classique. L’Unicef accompagne ce processus en aidant à « la réfection des salles classes, à la formation et au renforcement des capacités des enseignants et autres animateurs ; surtout en ce qui concerne le volet psychosocial pour la réduction des risques auxquels ces enfants sont exposés », a affirmé Jack Boyer, représentant de l’Unicef.
Ce séminaire vient à point nommé, d’autant plus que près de 4 500 établissements ont fermé leurs portes depuis le début de la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, d’après des chiffres rendus publics par la branche locale de l’Unicef. Le gouvernement camerounais indique que 27 attaques ont été perpétrées contre le système éducatif dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-ouest entre janvier et août 2019. Dix-neuf enseignants et 58 étudiants ont également été kidnappés au cours de cette période. Des chiffres qui illustrent le drame, et font de l’éducation l’un des secteurs les plus touchés par la crise.
N.O
Stormark Kare le Directeur général adjoint du Ministère des Affaires étrangères du Royaume de Norvège a sollicité une audience au Ministère des Relations extérieures.
Stormark Kare a été reçu en fin de semaine dernière par Lejeune Mbella Mbella le Ministre des Relations extérieures (Minrex). Leurs échanges ont tourné au tour de ce qu’il y a lieu de faire pour renforcer, solidifier les relations existantes entre le Cameroun et la Norvège. De façon plus précise, Le Jeune Mbella Mbella et Stormark Kare se sont appesantis entre autres sur les voies et moyens pour densifier la coopération économique, le travail d’ensemble au sein des institutions multinationales.
Le Directeur général adjoint du Ministère des Affaires étrangères de la Norvège et le Minrex ont aussi parlé des questions d’intérêt général. Parmi lesdites questions, on peut citer les problématiques de l’égalité des sexes. Stormark Kare a indiqué le rôle important que la femme joue dans le processus de développement soutenable. A la suite de son hôte, Lejeune Mbella Mbella a tenu à souligner qu’au Cameroun, les femmes sont considérées. Et les pouvoirs publics camerounais implémentent des politiques publiques qui promeuvent l’égalité des genres. Celles-ci permettent à la femme d’avoir les mêmes chances que les hommes.
L’autre question d’intérêt général qui a meublé les échanges entre les deux personnalités est la lutte contre les dérèglements climatiques causés par la destruction de la couche d’ozone. En ce qui concerne le changement climatique, Stormark Kare a relevé les effets pervers du réchauffement de la planète dans la partie du globe qui abrite son pays. « Dans le Nord, on sent très fortement les effets du changement climatique », a-t-il déclaré. Pour minimiser ces dégâts, il faut préserver l’environnement et sauver les écosystèmes qui peuvent encore l’être. Aussi, Stormark Kare a confié que son pays souhaite contribuer à sauver les forêts tropicales dans le bassin du Congo.
Liliane N.