Il s’agit d’une campagne spéciale initiée par la Direction générale de Finexs voyage, après le décès du gendarme Armel Liem Pime, dans son agence de Douala.
Du 3 août 2020 au 3 septembre 2020, les membres de l’armée, les policiers et les militaires qui iront à la compagnie de transport interurbain Finexs, paieront des tarifs qui ont été revus à la baisse. Après avoir présenté leur Carte nationale d’identité et leur carte professionnelle, ils seront admis à ne payer que 1500 au lieu de 3000 FCFA pour un voyage en classe économique. Et pour voyager en classe Vip, ils vont payer 3000 au lieu de 6000 FCFA.
Visiblement, Finexs voyage veut apaiser et calmer les esprits, après l’agression du gendarme Armel Liem Pime qui s’est soldée par la mort de celui-ci. Le 30 juillet dernier, l’administration de la compagnie a organisé un service œcuménique au cours duquel Mr Felix Etoundi a condamné l’agression qui a fini par ôter la vie au soldat, qui revenait d’une mission à Buéa dans la région du Sud-Ouest, et mis son collègue qui a été conduit dans un hôpital de la place, dans un état critique. M Felix Etoundi avait aussi demandé à tous d’apporter leur soutien à sa compagnie dans ces moments difficiles et délicats.
A titre de rappel, le gendarme Armel Liem Pime a été battu à mort par un groupe de badauds parce qu’il n’a pas pu payer la somme de 100 FCFA, après avoir utilisé les toilettes publiques de l’agence de Douala de Finexs voyage. Selon des sources, le défunt a juste manqué de petite monnaie.
Liliane N.
Les scellées qui ont été apposées à l’agence de voyage de Douala de Finexs ont été toutes enlevées hier dimanche 2 août 2020.
L’agence de Douala de Finexs voyage a repris son fonctionnement des jours normaux. Les scellés qui y avaient été apposés ont été enlevés hier dimanche par la police. L’évènement s’est passé dans le calme loin des feux de projecteurs. Il convient de rappeler que cette agence avait été scellée le 23 juillet 2020, après la mort du gendarme Armel LIEM PIME décédé dans ses locaux.
On se souvient que pour des besoins d’enquête, ladite agence a été momentanément scellée. Le gendarme Armel Liem Pime y a été tabassé à mort pour une histoire d’une somme de 100 FCFA, qu’il devait payer pour avoir utilisé les toilettes publiques de cette compagnie de voyage de transport interurbain. Cependant par manque de petite monnaie, il n’a pas pu le faire. Et c’est alors qu’il a été roué de coups par des badauds. Le 30 juillet dernier, au cours du service œcuménique Mr Felix Etoundi a condamné les actes ayant ôté la vie au soldat qui revenait d’une mission à Buéa dans la région du Sud-Ouest. Il a aussi demandé à tous d’apporter leur soutien à sa compagnie dans ces moments de compassion.
Après ce tragique évènement qui s’est soldé par la mort du gendarme, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena le Ministre des Transports a sorti un communiqué dans lequel, il a rappelé la gratuité des toilettes publiques. Le membre du gouvernement a rappelé que selon les dispositions de la loi sur la gestion des toilettes publiques dans les agences de voyage de transport interurbain, et d’après l’arrêté N°039 qui fixe les mesures générales d’hygiène et de sécurité sur les lieux de travail ainsi que le cahier de charges portant sur la régulation de l’activité de transport interurbain de voyageurs, il n’est donné aucun droit aux agences de voyage interurbain de rendre payantes les toilettes publiques. Les toilettes sont gratuites pour la clientèle et le personnel de la société.
Liliane N.
Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena rappelle que les agences de voyage de transport interurbain n’ont aucun droit de mettre en place des toilettes publiques payantes.
En date du mercredi 29 juillet 2020, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena le Ministre des Transports (Mintransport) a sorti un communiqué radio-presse, dans lequel il rappelle les dispositions de la loi quant à la gestion des toilettes publiques dans les agences de voyage de transport interurbain. En se basant donc sur l’arrêté N°039 qui fixe les mesures générales d’hygiène et de sécurité sur les lieux de travail ainsi que le cahier de charges portant sur la régulation de l’activité de transport interurbain de voyageurs, le Mintransport souligne qu’il n’est donné aucun droit aux agences de rendre payantes les toilettes publiques. Les toilettes sont gratuites pour la clientèle et le personnel de la société.
Plus encore, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena précise dans son communiqué qu’«en tout état de cause, rien n’habilite les gestionnaires de terminaux à mettre en place des toilettes publiques payantes au sein des agences de voyages interurbains, prérogatives qui du reste est de la compétences des Collectivités territoriales décentralisées (Ctd Ndlr)». De ce fait, le ministre appelle au respect de la règlementation en vigueur.
Les faits
Il convient de rappeler que ce communique du Ministre des Transports fait suite à l’agression d’un gendarme en civil à l’agence de Douala de Finexs voyage. Une vidéo postée sur les réseaux sociaux montre le gendarme en question tabassé par des badauds. Les faits se sont produits le 22 juillet 2020. Le gendarme qui a été battu à mort manquait de petite monnaie pour régler les frais d’usage des toilettes de Finexs. Ces frais au passage s’élevant à la somme de 100FCFA. Un autre gendarme qui l’accompagne lui aussi battu, a été interné dans une formation sanitaire de la ville.
La position du Ministre des Transports
Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena tout en informant l’opinion de ce qu’il y a eu agression sur un élément des Forces de défense et de sécurité, dit attendre les résultats de l’enquête en cours, qui doit en fait, établir avec précision «les causes de ce malheureux drame».
Liliane N.
Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.
Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.