Cette disposition concerne les montants allant jusqu’à vingt mille francs et elle sera limitée à trois transferts par jour et par compte.
Le communiqué
La décision prise par le juge ce Jeudi a surpris plus d’un. Il a décidé de l’annulation de scrutin à la suite de la requête du candidat malheureux Youssouf Issa Balarabé, lui aussi militant du RDPC
Dans son recours, ce dernier avait inscrit trois motifs : Ingérence de l’autorité administrative dans le processus électoral, corruption et non-respect des consignes de vote données par la hiérarchie du parti au pouvoir.
Dans sa réquisition, le Procureur de la République a démontré que les motifs avancés par le requérant ne sont pas convaincants. Il a déclaré que sur la base des documents officiels, l’élection s’est déroulée dans les règles de l’art, qu’il n’y a aucune preuve de corruption et que les instructions du parti ne sont pas au-dessus de la loi.
Après une courte suspension de l’audience, le juge est revenu pour rendre son verdict qui a surpris presque toute l’assistance. « Dans cette affaire, il y a trop de pression et de trafic d’influence qui viennent de Yaoundé » a confié aux Hommes des médias, une source au sein du Tribunal administratif de Maroua.
Le Mairie Hamadou Hamidou pourrait faire appel auprès de la chambre administrative de la Cour suprême ou alors accepter se représenter à un nouveau scrutin qui sera organisé dans un délai de 60 jours.
Président : Cavaye Yeguié Djibril (RDPC)
Premier vice – président : Hilarion Etong (RDPC)
Vice – présidents
Baoro Théophile (RDPC)
Monjowa Lifaka Emilia (RDPC)
Kombo Gberi (RDPC)
Datouo Theodore (RDPC)
Abba Alim (UNDP)
Questeurs
Kamssouloum Abba Kabir (RDPC)
Bekono Ebah Pauline epse Ndoumou (RDPC)
Njigum Musa Mbutoh (RDPC)
Joshua Osih (SDF)
Secrétaires
Silikam née Manamourou Isabelle (RDPC)
Djomgue Paul Eric (RDPC)
Nkodo Dang Roger (RDPC)
Toukam Angela Tela (RDPC)
Nanga Mefany Berhe epse Owono (RDPC)
Saya Kaigama (RDPC)
Lawson Tabot Bakia (RDPC)
Atangana Aligui Celine epse Mendoua (RDPC)
Ali Salihou (RDPC)
Dooh Collins Albert Kouoh (RDPC)
Libii Li Ngue Cabral (PCRN)
Toumanou Ndam Njoya (UDC)
Les 13 mesures du gouvernement camerounais. Elles ont été édictées ce Mardi, par le Premier ministre, chef du gouvernement qui dans son discours est revenu sur un certain nombre d’éléments ayant conduit à adopter cette nouvelle position.
« En décembre 2019, une épidémie de coronavirus (COVID-19) a été déclarée dans la Province de Wuhan en République populaire de Chine.
Au fil du temps, elle s’est progressivement propagée en Asie, en Europe et en Afrique, entraînant le décès ou la mise en quarantaine de plusieurs personnes.
Il y a quelques jours, l’Organisation Mondiale de la Santé a fait savoir que le coronavirus est passé du stade d’épidémie à celui de pandémie, avec plus de 170 000 personnes déjà contaminées dans 146 pays et environ 6500 décédés.
Le Cameroun, au même titre que de nombreux Etats dans le monde, n’est pas épargné par cette pandémie. Dès les premières heures de son apparition, le Gouvernement a mis en œuvre un plan de prévention et de riposte visant à endiguer la propagation de cette épidémie.
A ce jour, 10 cas de personnes affectées par ce virus ont été détectés dans notre pays et sont pris en charge par les services spécialisés.
Il convient de préciser cependant que jusqu’à présent, aucun foyer local de cette épidémie n’a été enregistré au Cameroun et les cas de malades jusque-là identifiés sont tous issus de personnes ayant récemment séjourné à l’étranger, ou ayant été en contact avec ces dernières.
Par conséquent, Sur Très Hautes instructions du Chef de l’Etat, Son Excellence Paul BIYA, une concertation interministérielle s’est tenue ce mardi, 17 mars 2020, à l’effet de faire le point de la situation et d’identifier les actions appropriées à mettre en œuvre.
Au terme de cette rencontre, le Président de la République a instruit les mesures suivantes :
A compter du mercredi 18 mars 2020 et jusqu’à nouvel ordre :
1. Les frontières terrestres, aériennes et maritimes du Cameroun seront fermées : tous les vols passagers en provenance de l’étranger sont suspendus, à l’exception des vols cargos et des navires transportant les produits de consommation courante ainsi que les biens et matériels essentiels, dont les temps d’escale seront limités et encadrés ; les camerounais désireux de retourner dans leur pays devront prendre l’attache de nos différentes représentations diplomatiques ;
2. La délivrance des visas d’entrée au Cameroun aux différents aéroports est suspendue ;
3. Tous les établissements publics et privés de formation relevant des différents ordres d’enseignement, de la maternelle au supérieur, y compris les centres de formation professionnelle et les grandes écoles seront fermés ;
4. Les rassemblements de plus de cinquante (50) personnes sont interdits sur toute l’étendue du territoire national ;
5. Les compétitions scolaires et universitaires sont reportées, à l’instar des jeux FENASSCO et des jeux universitaires ;
6. Les débits de boissons, les restaurants et les lieux de loisirs seront systématiquement fermés à partir de 18 heures, sous le contrôle des autorités administratives ;
7. Un système de régulation des flux des consommateurs sera instauré dans les marchés et les centres commerciaux ;
8. Les déplacements urbains et interurbains ne devront s’effectuer qu’en cas d’extrême nécessité ;
9. Les conducteurs de bus, de taxis et de mototaxis sont invités à éviter des surcharges dans les transports publics : les forces de maintien de l’ordre y veilleront particulièrement ;
10. Les formations sanitaires privées, les hôtels et autres lieux d’hébergement, les véhicules ainsi que les équipements spécifiques nécessaires à la mise en œuvre du plan de riposte contre la pandémie du COVID-19 au Cameroun pourront être réquisitionnées en tant que de besoin, à la diligence des autorités compétentes ;
11. Les administrations publiques devront privilégier les moyens de communications électroniques et les outils numériques pour les réunions susceptibles de regrouper plus de dix (10) personnes ;
12. Les missions à l’étranger des membres du Gouvernement et des agents du secteur public et parapublic sont suspendues ;
13. Les populations sont invitées à observer strictement les mesures d’hygiène recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé, à savoir notamment se laver régulièrement les mains au savon, éviter des contacts rapprochés tels que se serrer les mains ou s'embrasser.
Il s’agit des mesures certes difficiles mais nécessaires pour garantir la protection de tous et de chacun et limiter la propagation de cette pandémie.
En cas de nécessité, les populations sont invitées à appeler le numéro vert 1510 mis en place pour la mobilisation des équipes de secours.
Le Gouvernement invite les populations à ne pas céder à la panique, mais à faire preuve de discipline, de solidarité et de sens des responsabilités, au moment où le monde entier traverse des moments difficiles ».
Après la publication d’un article relayant la réaction de Michel Biem Tong à la suite de la publication des montants débloqués pour la prise en charge du prisonnier Yves Michel Fotso, l’activiste a voulu préciser sa position réelle à l’égard de l’Etat du Cameroun.
Voici le texte intégral de correction dit par Michel Biem Tong en guise de rectificatif :
« S'il y a une chose que je ne serai jamais c'est louangeur du régime Biya. Je n'ai jamais félicité Biya d'avoir débloqué de l'argent pour l'hospitalisation du prisonnier politique Yves Michel Fotso au Maroc car il ne s'agit pas de son argent mais celui du contribuable. J'ai jugé normal que le l'État du Cameroun puisse prendre en charge les soins d'YMF car il est victime de détention arbitraire et les près 90 millions de FCFA en question ne sont que le 1/10e de l'indemnisation que l'État doit lui verser du fait de cette détention arbitraire. Voilà le sens de ma publication sur cette affaire »
Michel Biem Tong se réjouit de la prise en charge de Yves Michel Fotso par Paul BIYA
Il se dégage de cette mise au point du journaliste en exil, une constance. Quand il dit « J'ai jugé normal que le l'État du Cameroun puisse prendre en charge les soins d'YMF ». Et c’est bien ce que notre rédaction avait saisi de sa sortie. Seulement, loin d’être un acte de magnanimité, il s’agit d’une responsabilité que l’Etat commence à régler. Ce qui peut être assimilé selon Michel Biem Tong à « 1/10e de l’indemnisation que l’Etat doit lui verser du fait de cette détention arbitraire » dont est victime l’homme d’affaire camerounais. Un discours qui ne s’éloigne aucunement du fond de cet article qui reconnaissait également que cette prise en charge est par ailleurs de la responsabilité de l’Etat qui a accordé l’évacuation sanitaire.
Paul BIYA ordonne la prise en charge de Yves Michel Fotso à plus de 89 millions de FCFA
Michel Biem Tong tient à rappeler qu’il n’est et ne sera jamais un louangeur du régime BIYA. De ce point de vue il n’a jamais félicité Paul BIYA pour cet acte. Ce d’autant plus que ce n’est pas son argent mais celui du contribuable camerounais. Mais il ne demeure pas moins que l’activiste félicite cette réaction du gouvernement qui comme nous le disions également dans le précédent article, est de la responsabilité de celui-ci.
Par ailleurs, nous estimons que l’Etat débourse une somme trop importante pour prendre en charge un camerounais. Il est urgent de mettre en œuvre des mécanismes qui permettraient qu’on puisse prendre en charge surplace les malades du rang de Yves Michel FOTSO.
Stéphane NZESSEU
Un montant de près de 90.000.000 FCFA va être débloqué dans les heures à venir pour épurer les engagements financiers liés à la prise en charge de Yves Michel Fotso au Maroc. une décision qui créé la polémique.
La nouvelle suscite d’intense débat dans les rédactions et dans les chaumières. L’affaire est suffisamment surprenante et illustre malheureusement la façon dont les fonds publics sont utilisés dans notre pays. Sur très haute instruction du Président de la République ordonne le décaissement de près de 90.000.000 de nos francs. Et pour quoi ? pour payer la prise en charge d’un milliardaire camerounais. Une somme d’argent qui visiblement n’est qu’une partie dans une série de montants dont le chiffre global sera certainement faramineux, astrologique.
C’est un acte légal et légitime
Mais ce que plusieurs camerounais ne savent pas, c’est que c’est une procédure qui fait partie intégrante du processus de l’évacuation sanitaire. En effet, lorsque l’Etat prend sur lui de vous évacuer, elle s’assure de votre prise en charge sanitaire jusqu’à votre retour. C’est une situation qui entre en droite ligne avec le principe ou l’obligation de l’Etat à soigner ses populations.
Le coût exorbitant des évacuations sanitaire est ce qui oblige parfois l’administration à limiter le nombre de camerounais qui en bénéficie. C’est la raison qui pousse l’administration à resserrer les conditions pour jouir de ce privilège. Seulement, il est difficile de comprendre pourquoi l’Etat ne peut pas mettre en place des mécanismes qui permettent à ceux qui ont les moyens financiers suffisant pour leur prise en charge de la faire. Cette mesure permettra de ménager les caisses de l’Etat. Débourser près de 50.000.000 FCFA tous les trois mois pour prendre en charge Yves Michel FOTSO, c’est une dépense à reconsidérer quand on sait qu’il peut dégager plus que cette somme de ses poches.
Le contenu du document signé par Ferdinand Ngoh Ngoh dit précisément ceci :
« Sur très haute instruction de monsieur le Président de la République.
J’ai l’honneur de vous demander de bien vouloir mettre à la disposition de l’Attaché de Défense près l’Ambassade du Cameroun à Rabat la somme de FCFA 89.917.374 (quatre-vingt-neuf millions neuf cent dix-sept mille trois cent soixante-quatorze francs CFA) au titre de l’objet susmentionné, répartie ainsi qu’il suit :
- Apurement de la dotation initiale : 17.879.914 FCFA (cf. ma lettre n° 531/CF/SG/PR du 28 novembre 2019) :
- Règlement du reliquat des frais d’hospitalisation :31.352.841 FCFA ;
- Provision pour couvrir les soins médicaux du patient sur une nouvelle période de trois mois : 40.684.619 FCFA »
Opération épervier : Yves Michel Fotso évacué au Maroc pour des raisons sanitaires
Stéphane NZESSEU
Après un temps d’observation, le patron de la rédaction du Quotidien LE JOUR a tenu à faire une mise au point. Un rappel de ce qu’est la profession de journaliste.
« Au cours du point de presse qu’il a donné le 09 mars dernier, le ministre de l’Administration territoriale a accusé le quotidien Le Jour d’être à la solde des ONG ; de relayer des « rapports erronés contre les forces de défense et de sécurité diffusés par les ONG aux ordres ».
La rédaction du quotidien Le Jour tient à faire la mise au point suivante :
1- Nous sommes un journal. Nous rapportons les faits ; c'est-à-dire ce qui existe réellement, indépendamment de notre volonté. Un fait est donc aussi bien un accident, un marché, une guerre, une victoire des Lions, un rapport, qu’un point de presse d’un ministre de l’Administration territoriale. De ce point de vue, occulter un fait parce qu’il est déplaisant ne change rien à sa « nature » de fait. Le taire dans la rédaction du Jour n’empêche qu’il soit rapporté par ces médias étrangers vers qui nos gouvernants courent sans arrêt. Pour ce qui est du choix des sujets au Jour, il obéit à des lois en vigueur dans la profession. Dans le traitement des sujets retenus, nous nous attachons à : faire savoir, faire voir, faire parler, faire comprendre. Et quand il s’agit d’un sujet polémique, nous donnons la parole aux différentes parties. Notre objectif étant de donner au public une information équilibrée pour qu’il se fasse sa propre opinion sur le sujet évoqué.
2- La crise au Nord-ouest et au Sud-ouest n’est pas dans les médias : elle est sur le terrain. C’est donc avec des informations de terrain exactes et vérifiables par des tiers, organisées et publiées selon une stratégie pensée, qu’on peut faire mentir les « rapports erronés » d’une ONG, et non avec des coups de menton. Surtout lorsque, par le passé, on a eu à se dédire sur « un incident » survenu au Mali, à l’Extrême-Nord du Cameroun.
3- Quant à la vénalité dont nous accuse Monsieur le Ministre, nous disons que nous ne publions pas plus aujourd’hui des « rapports erronés » des ONG contre de l’argent, que nous ne l’avons fait hier. Mais nous nous souvenons d’avoir refusé, peu avant la dernière élection présidentielle, de publier, contre beaucoup d’argent, les résultats d’un sondage bidon. Et ce n’était guère quelque ONG conspirationniste qui nous avait sollicités.
4- Avec un certain ministre, le Cameroun n’a effectivement pas besoin d’une Radio mille collines pour s’embraser.
Résumons-nous : les accusations que porte M. Atanga Nji contre le Jour sont grotesques. Nous aurions pu les traiter par le mépris. Mais, comme François Mitterrand, notre mépris se mérite. »
Accusations d’Atanga NJI : La sortie musclée de Séverin Tchounkeu
Ce processus est appelé « dégagement gazeux », selon les résultats d’une étude scientifique de l’Université de Yale, publiée dans la revue Science Advances
Ils peuvent infiltrer les pièces bien ventilées en se déposant sur les vêtements, la peau et les cheveux des individus puis ils s’évaporent lentement dans le temps.
Les résidus de fumée, nommés « fumée tertiaire », peuvent occasionner du « tabagisme ultra-passif ». En plaçant un dispositif de prélèvement high – tech dans les conduits d’évacuation d’air d’un cinéma en Allemagne où il est interdit de fumer depuis quinze ans, les scientifiques ont établi que la « fumée tertiaire » exposait les spectateurs à un « tabagisme ultra-passif » équivalent à entre une et 10 cigarettes, selon les substances. Sur quatre jours, les niveaux de 35 produits chimiques liés au tabac ont augmenté lorsque des spectateurs entraient dans le cinéma. Cela inclut des composés chimiques pouvant provoquer le cancer, comme le benzène et le formaldéhyde.
Des effets intenses
Les effets étaient particulièrement intenses lors de la projection de films pour adultes, comme « Resident Evil ». Selon les auteurs de l’étude, cela pourrait être lié au fait que ces films attirent un public plus âgé, ayant plus de chances d’avoir été exposé à de la fumée de tabac.
« Nos travaux établissent qu’il y a un dépôt substantiel de composants de 'fumée tertiaire' par des personnes au sein d’un vrai environnement intérieur non-fumeur », a déclaré Drew Gentner. Il a reconnu que déterminer le niveau précis de risques sanitaires pour les individus était au-delà du champ de l’étude actuelle et pouvait dépendre d’une variété de facteurs, notamment la fréquence de l’exposition aux produits chimiques et la proximité des personnes de la source d’émission de ces polluants.
Le tabagisme passif classique, lié à la fumée dite « secondaire », a été étudié depuis des décennies. Il augmente les risques de problèmes cardiaques et de cancer des poumons, bien que le niveau de risques exact ait été contesté par des études récentes.
Le tabac
Il s’agit d’un produit psychotrope manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes de tabac commun. L'usage du tabac s'est largement répandu dans le monde entier à la suite de la découverte de l'Amérique. Sa commercialisation est souvent un monopole d'État et soumise à des taxes qui varient fortement selon les pays.
Le tabac génère une forte dépendance et sa consommation est responsable de près de 6 millions de décès par an dans le monde dont 600 000 sont des non-fumeurs exposés à la fumée (tabagisme passif). De nombreuses maladies sont liées au tabagisme (maladies cardiovasculaires et cancers, entre autres).
N.R.M
Posté par Hamiss Omar Khan, Président de l'OCDH.
Région de l’Adamaoua
Région du Centre
ETONG HILARION (HAUTE SANAGA) – RDPC
ABOMO FAMA MARGUERITE CELESTINE (HAUTE SANAGA) – RDPC
NDONGO ESSOMBA JEAN BERNARD (LEKIE EST) – RDPC
NDONGO ETEME EDGARD (LEKIE EST) – RDPC
NGABA ZOGO SALOME (LEKIE EST) – RDPC
KOA SONGO (LEKIE OUEST) – RDPC
TASSI EVELYNE CHANTAL DENISE EPSE AYISSI (LEKIE OUEST) – RDPC
SAYA KAIGAMA (MBAM ET KIM) – RDPC
NNOLO MARIE SUZANNE EPSE ONOBIONO (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MANDIO WILLIAM PETER (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MPON FRANCOIS XAVIER (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MELINGUI ROGER (MEFOU ET AFAMBA) – RDPC
KOA MFEGUE LAURENTINE EPSE MBEDE (MEFOU ET AFAMBA) – RDPC
ESSOMBA BENGONO ENGELBERT ALAIN (MEFOU ET AKONO) – RDPC
EMAH ETOUNDI VINCENT DE PAUL (MFOUNDI) – RDPC
DJOMGOUE PAUL ERIC (MFOUNDI) – RDPC
ESSONO FRANCIS LIN MATHIEU (MFOUNDI) – RDPC
ESSAMA NKOUDOU CHRISTOPHER (MFOUNDI) - RDPC
NANGA EPSE MENANA MARTHE (MFOUNDI) – RDPC
NDZIE FRANK ERIC (MFOUNDI) – RDPC
YEBGA JUDITH SAMA EPSE MOUOKUIO (MFOUNDI) – RDPC
LIBII LI NGUE NGUE CABRAL (NYONG ET KELLE) – PCRN
NGO ISSI ROLANDE ADELE (NYONG ET KELLE) – PCRN
NDJIP BIENVENU (NYONG ET KELLE) – PCRN
NKODO DANG ROGER (NYONG ET MFOUMOU) – RDPC
MBALLA NGOBO EPSE NFOUDA CATHERINE (NYONG ET MFOUMOU) – RDPC
MEKONGO HELENE EPSE ATANGANA (NYONG ET SO’O) – RDPC
MBARGA ASSEMBE LUC ROGER (NYONG ET SO’O) – RDPC
Région de l’Est
PRINCE MIKODY ANGE GILBERT (BOUMBA ET NGOKO) – RDPC
DJABOU MARIE SOLANGE (BOUMBA ET NGOKO) – RDPC
NANGA MEFANT BERTHE EPSE OWONO (HAUT – NYONG) – RDPC
MBEDE PIERRE PETRUS (HAUT – NYONG) – RDPC
AGBWAH NTIBA ERIC (HAUT – NYONG) – RDPC
MAN JACQUELINE CHRISTIANE EPSE SIMBE (KADEY) – RDPC
DIMBELE BOUI (KADEY) – RDPC
TEKOURA PAUL BLAISE (KADEY) – RDPC
KOMBO GBERI (LOM ET DJEREM) – RDPC
TAK BIENVENU (LOM ET DJEREM) – RDPC
NGBANGBAYE ANTOINETTE EPSE NARKE (LOM ET DJEREM) – RDPC
Région de l’Extrême Nord
SALAMANA AMADOU ALI II (DIAMARE CENTRE) – FSNC
DAMDAM MARIE (DIAMARE CENTRE) – RDPC
HAMADOU SALI (DIAMARE NORD) – RDPC
ZONDOL HERSSESSE (DIAMARE OUEST) – RDPC
SAMBO GALDIMA (DIAMARE SUD) – RDPC
MANAMOUROU EPSE SILIKAM (MAYO DANAY EST) – RDPC
NIKINA PIERRE (MAYO DANAY EST) – RDPC
MOUSSOUS LISSISSOU (MAYO DANAY EST) – RDPC
BARA JULIEN (MAYO DANAY NORD) – RDPC
TABOULI CELESTIN (MAYO DANAY SUD) – RDPC
HAMAN TCHIOUTO (MAYO KANI NORD) – RDPC
MAGOUO SALOME (MAYO KANI NORD) – RDPC
SARAOU BERNADETTE (MAYO KANI NORD) – RDPC
GUISWE BADOMA (MAYO KANI SUD) – MDR
DAGUE AÏCHA BLANCHE JACQUELINE (MAYO KANI SUD) – MDR
CAVAYE YEGUIE DJIBRIL (MAYO SAVA) – RDPC
ADAMA EPSE DJIBRINE (MAYO SAVA) – RDPC
YACOUBA YAYA (MAYO SAVA) – RDPC
SALOMON DOUVOGO (MAYO SAVA) – RDPC
GONONDO JEAN (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
KWARMBA SOLANGE (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
TCHENDE MAHAMA (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
OUSMANOU DAWAÏ (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
DJIBRILLA KAOU (MAYO TSANAGA SUD) – RDPC
MOUMINI OUMAROU (MAYO TSANAGA EST) – UNDP
KAMSOULOUM ABBA KABIR (LOGONE ET CHARI) – RDPC
MARGAZA ALAOU ABEL MAGGI (LOGONE ET CHARI) – RDPC
MARIAM GONI (LOGONE ET CHARI) – RDPC
ALI ADJIT (LOGONE ET CHARI) – RDPC
Région du Littoral
MBAPTE JEAN-BAPTISTE (MOUNGO-SUD) –RDPC
DISSAKE MARGUERITE EPSE EKOKA (MOUNGO-SUD) – RDPC
DJEUMENI BENILDE (MOUNGO-SUD) – SDF
SIME PIERRE (MOUNGO-NORD) – RDPC
EYOUM MINONO EPSE EPOUBE LYDIENNE (MOUNGO-NORD) – RDPC
NGANTCHA LOUIS HENRI (MOUNGO-NORD) –RDPC
MOTH SAMUEL DIEUDONNE (NKAM) – RDPC
BIBA FRANCOIS PROSTIN (SANAGA MARITIME) – PCRN
MOUTYMBOH ROSETTE JULIENNE EP, AYAYI (SANAGA MARITIME) – RDPC
NGO YETNA MARINETTE EPSE MBELEG (SANAGA MARITIME) – RDPC
DOOH COLLINS ALBERT (WOURI CENTRE) – RDPC
SOPPO TOUTE MARLYSE (WOURI CENTRE) – RDPC
JOSHUA NAMBANGUI OSIH (WOURI CENTRE) – SDF
NGAHANE (WOURI EST) –RDPC
NDONGO MOUTOME ELISE EPSE POKOSSY DOUMBE (WOURI EST) – RDPC
NINTCHEU JEAN MICHEL (WOURI EST) – SDF
NOURANE MOLUH HASSANA (WOURI EST) – PCRN
FANDJA GABRIEL (WOURI OUEST) – RDPC
PONGOH EMMANUEL (WOURI SUD) – RDPC
Région du Nord
ALIYOUM FADIL (BENOUE – EST) – RDPC
OUSMANOU AMAN SA' ALY (BENOUE – EST) – FSNC
ALI MAMOUDOU (BENOUE – OUEST) – RDPC
OUMOUL KOULTCHOUMI EPSE AHIDJO MOHAMADOU (BENOUE – OUEST) – UNDP
BITHBINI ROSALINE (FARO) – RDPC)
HAROUNA ABDOULAYE (MAYO – LOUTI) – RDPC
NAFISSATOU ALIM (MAYO – LOUTI) – RDPC
BOUBAKARI DJIDDA (MAYO – LOUTI) – FSNC
DOUVAOUISSA AISSA HAMADI (MAYO – LOUTI) – UNDP
FADIMATOU SAMBO (MAYO – REY) – RDPC
BELLO LIMANE (MAYO – REY) – RDPC
BOUBA MOUSSA (MAYO – REY) – RDPC
Région du Nord-Ouest
NJONG EVARISTUS NDIM (BOYO) – SDF
WAINANCHI NENGTOH HONOURINE (BOYO) – SDF
ADAMU EDWARD LAMBE (DONGA – MANTUNG EST) – RDPC
NGALA GERARD NDOMBANG (DONGA-MANTUNG CENTRE) – RDPC
MBONGYOR NAOMI NGANDO (DONGA-MANTUNG CENTRE) – RDPC
ABE MKHEAL NDRA (DONGA-MANTUNG OUEST) – RDPC
NJINGUM MUSA MBUTOH (NGOKETUNJIA-NORD) – RDPC
BANMI EMMANUEL DINGHA (NGOKETUNJIA-SUD) – RDPC
Région de l’Ouest
118 - MANFOUO DAVID (BAMBOUTOS) – RDPC
119 - WA MATHURIN MARTIAL (BAMBOUTOS) – RDPC
120 - GHIMBOP JOSEPHINE (BAMBOUTOS) – RDPC
121 - TANEFO JEAN MARIE (BAMBOUTOS) – RDPC
122 - JUIMO MONTHE SIEWE CLAUDE (HAUT NKAM) – RDPC
123 - KWEMO PIERRE (HAUT NKAM) – UMS
124 - NGUENKAM EPSE TCHOUAGA MARIE-LOUISE (HAUT NKAM) – UMS
125 - DATOUO THEODORE (HAUTS PLATEAUX) – RDPC
126 - NGOKO MAMBE MARIE LOUISE (HAUTS PLATEAUX) – RDPC
127 - KOUINCHE ALBERT (KOUNG-KHI) –RDPC
128 - KAM COLETTE EPSE SOHAING (KOUNG-KHI) – RDPC
129 - MBAKAM CHOUGA GUILLAUME (MENOUA) – RDPC
130 - NDONGHO CLEMENT (MENOUA) – RDPC
131 - KENFACK SONNA NGUEGUIM ANASTASIE (MENOUA) – RDPC
132 - EMABOT BRIGITTE (MENOUA) – RDPC
133 - TIKOBAU PIERRE MARIE (MENOUA) – RDPC
134 - TOUKAM ANGELE TELA (MIFI) – RDPC
135 - TSINGANG FLOBERT (MIFI) – RDPC
136 - FEUTHEU JEAN-CLAUDE (NDE) – RDPC
137 - TCHAGNA JAQUELINE REVE ANGELINE (NDE) – RDPC
138 - HERMINE PATRICIA TOMAINO EPSE NDAM NJOYA (NOUN CENTRE) – UDC
139 – NDAM (NOUN CENTRE) – UDC
140 - YOUMO NKOUPIT ADAMOU (NOUN CENTRE) – UDC
141 - MBOUANGOUERE RAINATOU EPSE MONGWAT (NOUN CENTRE) – UDC
142 - NGNEGUE SIMON (NOUN NORD) - RDPC
Région du Sud
143 - MVONDO ASSAM BONAVENTURE (DJA ET LOBO) – RDPC
144 - BEKONO EBAH EPSE NDOUMOU (DJA ET LOBO) – RDPC
145 - MBE ASSAE MENDOMO ALEXANDRE, THEODORE (DJA ET LOBO) – RDPC
146 - EVINA OVAMBE BERNADETTE EPSE ABOUI (DJA ET LOBO) – RDPC
147 - BINDOUA MATHURIN GERMAIN (DJA ET LOBO) – RDPC
148 - ATANGANA ALIGUI CELINE EPSE MENDOUA (MVILA) – RDPC
149 - ZAM JEAN-JACQUES NOEL (MVILA) – RDPC
150 -MBEYO'O JOSUE (MVILA) – RDPC
151 -BILOA TSILLA NZITHA MARIE ISABELLE (OCEAN) – RDPC
152 - BENAE SERGE GABRIEL (OCEAN) – RDPC
153 - MENGUE MEZUI GERMAIN DURAND (VALLEE DU NTEM) – RDPC
Région du Sud-Ouest
154 - DONALD MALOMBA ESEMBE (BUEA CENTRE URBAIN) – RDPC
155 - TOMBI IKOME GLADYS (FAKO EST) – RDPC
156 - FINDI STANLEY MOKONDO (FAKO EST) – RDPC
157 - MONDJOWA LIFAKA EMILIA (FAKO OUEST) – RDPC
158 - FONGUE FONGOUK JULIUS (KUPE MANENGOUBA) – RDPC
159 - CECILIA DIONE EPSE NJUMBE (KUPE MANENGOUBA) – RDPC
160 - EBANGHA EPOUSE AGBORNTUI JOHANNA (MANYU) – RDPC
161 - TEKU TANYI TEKU (MANYU) – RDPC
162 - AKA MARTIN TYOGA (MANYU) – RDPC
163 - LAWSON TABOT BAKIA (KUMBA CENTRE URBAIN) – RDPC
164 - EKOLLE PETERS (MEME OUEST) – RDPC
165 - MARY MUYALY EPOUSE MEBOKA (NDIAN) – RDPC
166 - NJUME PETER AMBANG (NDIAN) – RDPC
167 - NGALLE DANIEL ETONGO (NDIAN) - RDPC
Dans un communiqué rendu public ce mercredi Appollinaire Legrand Oko, Secrétaire National chargé de la Santé et de la Protection Sociale au sein de cette formation politique donne les raisons qui les amènent à émettre ces doutes.
Pour le Mouvement pour le renaissance du Cameroun (Mrc), les dispositions qui ont été prises par les autorités notamment le Ministère de la Santé, ne sont pas rassurantes, pour ce qui est de la lutte, la prévention et de la prise en charge des personnes pouvant contracter l’épidémie du Coronavirus.
C’est la substance du communiqué que signe le Dr Appollinaire Legrand Oko, Secrétaire National en Charge de la santé et de la protection sociale au Directoire du Mrc. Dans ledit communiqué, ce responsable du parti politique de Maurice Kamto donne les raisons pour lesquelles, le Mrc juge insuffisantes les mesures mises en place par le Dr Malachie Manaouada et le Ministère de la Santé qu’il dirige depuis le dernier remaniement ministériel.
Les manquements dénoncés par le Mrc
« Le manque de formation du personnel hospitalier à la gestion des cas de Covid-19 ; l’absence d’un programme national de Prévention et Contrôle des Infections ; le manque de formation du personnel de santé sur la Prévention et Contrôle des Infections ; l’absence d’un Centre de Traitement conforme; l’absence d’un stock de médicament pour la prise en charge symptomatique des cas », peut-on lire dans ledit communiqué.
Tout en exigeant que les manquements qu’il observe soient corrigés au plus vite, le Mrc affirme que le gouvernement manque de volonté pour protéger la vie des camerounais.
« Malgré les limites technologiques de notre système de santé, elles-mêmes liées à l’absence d’une politique sanitaire globale du pays, rien ne peut justifier l’absence de formation du personnel hospitalier à la gestion des cas de Covid-19 et l’absence de médicament pour la prise en charge symptomatique des malades d’une épidémie qui a déjà fait plus de 3.000 morts en moins de 3 mois », écrit le Dr Appollinaire Legrand Oko.
Les mesures querellées par le Mrc
A titre de rappel, il faut indiquer que depuis la survenue de l’épidémie du Coronavirus en Chine, le Ministère de la Santé a rendu public un certain nombre de mesures prises pour faire face à cette maladie.
On peut entre autres citer au niveau des portes d’entrées c’est-à-dire des aéroports, les contrôles au thermomètre laser effectués, la mise sur pied d’un système de prise de paramètres rapides des passagers, qui est suivi du remplissage d'un formulaire, qui donne des informations complémentaires sur l’état de santé de celui-ci.
Dans le cas où un passager venait à présenter des signes de maladie, il est ipso facto placer dans une salle affrétée pour la mise en quarantaine. Et il sera suivi par un médecin puis transporté dans une formation sanitaire.
Le Ministère de la Santé a mis en place le numéro 1510, pour tout informer les autorités, sur tout cas qui peut paraître suspect ou douteux. Le Dr Malachie Manaouda a prescrit aux populations le respect des règles d’hygiène parmi lesquels, se laver régulièrement les mains. Le Ministre a indiqué qu’un dispositif a également été mis en place au niveau des frontières.
A côté de ce qui est suscité, le Cameroun bénéficie de l’aide des Etats-Unis. Ce pays partenaire du nôtre envoie des kits et réactifs au Centre pasteur de Yaoundé par le biais de leur Centre pour le contrôle et la prévention des maladies. Cette aide vise à augmenter la capacité de diagnostic du Centre pasteur.
Réaction du Dr Malachie Manaouada
Ayant eu vent des dénonciations qui sont faites au sujet des mesures prises par le gouvernement, le Ministre de la Santé s’est offusqué du fait que certains camerounais peinent à voir les efforts fournis pour faire face à l’épidémie du coronavirus. «C'est extraordinaire! Au lieu que les camerounais soient fiers des efforts déployés par leur pays dans le cadre de la préparation contre cette épidémie, ils sont les premiers à dénigrer ce qui est fait, alors que certains pays en sont admiratifs. Nous ferons notre part de travail», a-t-il écrit le 2 mars 2020 sur son compte Twitter.
https://twitter.com/DrManaouda/status/1234535378348134400
Liliane N.