Abel Elimbi Lobe l’ancien Conseiller municipal de Douala 5e remarque que Maurice Kamto ne pouvant pas battre le parti du Renouveau, veut seulement se servir de la rue pour accéder au pouvoir.
Même Abel Elimbi Lobe l’ancien militant du Social democratic front (Sdf) n’est pas pour l’appel à un Plan de résistance nationale que Maurice Kamto brandit pour menacer le régime, au cas où le corps électoral est convoqué. De passage à la chaîne de télévision LTM, il ne s’est pas fait prié pour user de son habituel franc-parler pour lancer une pique au président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc).
«Maurice Kamto est incapable de mobiliser sur le terrain et de battre le Rdpc au pouvoir, mais compte sur une insurrection pour diriger le Cameroun. Le destin du Cameroun est au-dessus des intérêts des villages… nous opposerons le patriotisme », a-t-il déclaré le mercredi 26 août 2020 sur cette télévision privée.
La réaction d’Abel Elimbi Lobe épouse celle du Pr Shanda Tonme qui a aussi indiqué que le destin du Cameroun doit être mis au-dessus des intérêts individuels et communautaires. «Face aux appels à la violence et à l’intolérance, nous opposerons le patriotisme tout court, et nous prêcherons sans relâche le dialogue et la Réconciliation. Le destin du Cameroun est au-dessus des ambitions personnelles et des intérêts des villages, et notre sécurité collective ne saurait être bradée, hypothéquée, ni soumise au chantage des individus ou des villages», peut-on lire dans la tribune qu’il a sortie en réaction des déclarations de Maurice Kamto.
L’Honorable Jean Michel Nintcheu du Sdf a plutôt pour sa part indiqué qu’il était favorable à l’idée d’insurrection de Maurice Kamto.
Liliane N.
Cyrille Sam Mbaka le vice-président de l’Union démocratique du Cameroun pense que les partis politiques de l’opposition doivent se retrouver pour analyser et apporter quelque chose au code alternatif, qui a été sorti au niveau de l’opposition, la société civile et les syndicats.
L’homme politique Cyrille Sam Mbaka n’est pas pour la non-organisation des élections régionales comme Maurice Kamto. Cependant, il pense qu’il est important que l’opposition se réunisse pour parler du code alternatif qui a déjà été sorti. Il faut préciser que le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) a posé la réforme du Code électoral comme l’une des conditions préalable avant l’organisation de toute élection au Cameroun.
« Le processus électoral au Cameroun est vissé et cadenassé, et nous pensons qu'un travail a été fait au niveau de l'opposition, la société civile et les syndicats pour sortir un code électoral alternatif. Ça date depuis des années. Nous n'avons pas réussi à le mettre sur la table de l'Assemblée nationale. Je crois que la première chose qu'il faut faire c'est que l'opposition se retrouve pour analyser et apporter quelque chose à ce code alternatif, s'il est nécessaire, parce que plusieurs partis politiques se sont créés après que nous ayons fait ce travail. Donc c'est important de réactualiser cela », déclare le vice-président de l’Union démocratique du Cameroun (Udc) dans une réaction publiée dans le quotidien Le Jour édition parue en kiosque ce 27 août 2020.
En parlant précisément des élections régionales annoncées par le Président de la République, Cyrille Sam Mbaka a indiqué qu’elles ne correspondent pas à l'idée qu’ils se faisaient de la démocratie et des mécanismes de fonctionnement des territoires décentralisés. Pour lui, il y a des aménagements à faire sur le Code de la décentralisation.
« En ce qui concerne la région, aujourd'hui, je peux vous garantir que c'est source de conflits et de problèmes, dualisme, bicéphalisme et autres. Est-ce qu'on a déjà amené les fonctionnaires à comprendre qu'il y a des élus locaux qui doivent désormais impulser le développement ? Tant que nous n'avons pas atteint ce stade, nous irons aux élections, mais ça ne va pas changer grand-chose. Donc il faudrait revoir tout ça. Il y a beaucoup de réformes à apporter. C'est notre point de vue », déclare le vice-président de l’Udc.
Liliane N.
Benoît Olivier Essomba, l’un des porte-paroles du groupement des partis politiques du G20 affirme qu’ils condamnent avec la dernière énergie, la démarche de Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun.
Les partis politiques de l’opposition du G20 n’approuvent pas la démarche de Maurice Kamto, qui a récemment menacé de lancer un nouveau Plan de résistance nationale, et d’appeler au départ de Paul Biya, si les élections régionales sont organisées. S’exprimant sur cette menace-là sur les antennes de la radio Royal Fm émettant à Yaoundé, Benoît Olivier Essomba, l’un des porte-paroles du groupement des partis politiques du G20 a déclaré «je voudrais rappeler à Maurice Kamto que les Camerounais ne sont plus dupes. Aucun Camerounais ne peut descendre dans la rue. Aucun Camerounais sérieux ne pourrait suivre une invitation de ce genre venant du Professeur Kamto».
Maurice Kamto dans sa dernière sortie qui suscite de nombreux commentaires, a indiqué qu’il y a deux conditions à remplir avant l’organisation d’une quelconque élection au Cameroun. Ces conditions sont la résolution de la crise anglophone par un cessez-le-feu et l’ouverture d’un vrai dialogue inclusif. L’autre condition est la réforme consensuelle du système électoral. Benoît Olivier Essomba s’étonne de cette posture du président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), qui a pris part à l’élection présidentielle de 2018, dans le même contexte. Pour lui, le leader du Mrc passe pour un égoïste.
«A la dernière présidentielle, Maurice Kamto et son parti ont candidaté, parce qu’il était personnellement impliqué. Alors que la crise dans les régions anglophones battait son plein», a déclaré Benoît Olivier Essomba.
Il convient de noter que le groupement des partis politiques du G20 a vu le jour à la veille du scrutin présidentiel de 2018. Il avait apporté son soutien à la candidature du Président Paul Biya. Il est composé entre autres de l’Upc faction Robert Bapooh Lipot, l’AMEC, le MEC, le MERCI, l’UBC, l’UCD, le FPLP, le PADDEC du ministre Jean De Dieu Momo.
Liliane N.
La réaction du Président de l’Union pour la fraternité et la prospérité (Ufp) est contenue dans les colonnes du journal Le Jour en kiosque ce jeudi, 27 août 2020. Olivier Bilé estime que les élections régionales peuvent se tenir sans problème majeur dans le contexte actuel au Cameroun.
« En toute franchise, les élections régionales dont vous faites mention sont sans enjeu pour notre système politique, étant donné que leur mode de scrutin entérinera le contrôle, en hyper obésité, que nous savons profondément vicié du Rdpc sur notre paysage politique », réagit Olivier Bilé à l’appel au boycott des élections régionales, lancé il y a quelques jours par Maurice Kamto, le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Mrc).
Le Président de l’Ufp pense que les régionales peuvent se tenir compte tenu du fait que ce scrutin ne se fait guère au suffrage universel et rien ne garantit qu’elles permettront d’apaiser la crise en cours dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun.
Olivier Bilé fait néanmoins observer qu’en l’état actuel des choses, la réforme du Code électorale est une urgence. L’homme politique soutient, « cela dit après le cycle électoral, il va se relever indispensable de procéder au réforme de fond préconisées lors de la conférence post-électorale de l’Ufp de mars 2020 ». Le parti informait en effet, qu’il est urgent de reformer profondément le code électoral, mais surtout l’ensemble du système politique camerounais. Le président de l’Ufp affirmait lors de cette conférence, « au premier rang desdites reformes, le démantèlement consensuel de la survivance scandaleuse du monolithisme, qu’est le parti Etat qu’est au cœur de toutes les aberrations et dysfonctionnements : démocratiques constatés ».
Cette conférence était également une tribune pour Olivier Bilé d’indiquer, qu’il sera indispensable de confier la formulation et la mise en œuvre de ces reformes à un gouvernement de transition mettant ensemble les enfants et les meilleures intelligences du Cameroun sous le règne du Président Paul Biya. Pour le politique camerounais, il s’agit des actions qui vont éviter au Cameroun, d’autres crises pouvant déboucher à une guerre civile dans l’avenir.
Innocent D H
Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité sociale rappelle à Maurice Kamto le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, que l’action politique en République s’exerce dans les instances prévues à cet effet.
C’est sa deuxième réaction qui porte sur la double menace de Maurice Kamto. En tout début de cette semaine, le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) a menacé de lancer une grande campagne de résistance nationale et d’appeler au départ du Président de la République, si des élections fussent-elles régionales, sont organisées au Cameroun. Grégoire Owona dans sa toute première réaction, indiquait à l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 que le pouvoir parcimonieusement construit, ne s’obtient pas dans la rue mais par la voix des urnes. Aujourd’hui, le Secrétaire général adjoint du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) affirme qu’il ne comprend même plus Maurice Kamto, dans sa façon de parler du Cameroun mais aussi de voir son futur.
«Je suis surpris et indigné en même temps. Surpris par la facilité avec laquelle Maurice Kamto, intellectuel accompli peut parler du Cameroun et de son devenir. Je l'ai dit il y’a quelques jours sur les réseaux sociaux, l'action politique en République s'exerce dans les instances prévues à cet effet. On ne peut pas s'autoproclamer leader de l'opposition dans un pays et se muer ex nihilo en chef rebelle menaçant ouvertement de déstabiliser les institutions, et partant le Cameroun. Il est temps que ces provocations cessent et qu’ensemble nous continuons à bâtir notre pays. Toute chose qui est une oeuvre continuelle, sans fin, au-delà des régimes et mandats politiques», déclare Grégoire Owona dans une interview accordée au quotidien Le Jour édition du 27 août 2020.
Kamto sous pression
Le Secrétaire général adjoint du Comité central du Rassemblement démocratique pense que les agissements de Maurice Kamto sont dus à la pression que lui font les cadres et les militants du Mrc. Et cette pression provient du fait de l’erreur qu’il a commise, en boycottant les élections municipales et législatives qui se sont déroulées le 9 février 2020.
«Le MRC a refusé d’aller aux élections locales et se retrouve aujourd’hui sans élus et par conséquent sans électeurs pour certaines élections. Il est évident que le leader de cette formation fait face à une pression des cadres et militants de son parti qui auraient pu être aujourd’hui des députés ou conseillers municipaux mais ne le sont pas à cause de ce choix visiblement égoïste et qui était un gros mensonge politique. On se souvient que certains ont publiquement exprimé cette frustration», déclare Grégoire Owona.
Liliane N.
Un fake news circule depuis quelques heures sur les réseaux sociaux, attribuant à ce corps, le message suivant publié sur la page « Cameroun Nouveau » Equinoxe Tv (Rien que la vérité).
« Suite à la dernière sortie de Mr Maurice Kamto !! Le Bir – Bataillon d’Intervention Rapide du Cameroun exhorte tous les autres corps d’armée de tourner le dos pour un avenir meilleur de nos enfants
Ne regardons pas de quelle région est né l’homme du changement ; mais rassurons nous juste s’il est vraiment l’homme de la solution
Si les maliens ont réussi, pourquoi pas nous aussi ?
Maurice Kamto, nous sommes désormais avec vous ».
Un ramassis de mensonge
Et, le fake inscrit en lettres rouges par la cellule de communication du ministère de la Défense sur cette publication ne laisse planer aucun doute.
A travers cette réaction, la voix la plus autorisée et seule habilité à s’exprimer au nom du Bataillon d’Intervention Rapide rappelle que cette unité d’élites est républicaine, respectueuse des Institutions du pays.
Cette réplique démontre, si besoin en était encore, que les éléments engagés au sein du Bir ne sauraient prendre une quelconque position, allant dans le sens de ceux qui prônent l’insurrection, le refus de toute légalité et l’entourloupe.
Une permanente volonté de nuire à tous
Les adeptes de la création et de la propagation des fake news, après avoir pris conscience que le procès en sorcellerie, intenté à Françis Nganou – champion du MMA suite à son passage dans un camp d’entraînement du Bir n’a pas prospéré, se sont empressés de puiser dans la crise institutionnelle que traverse le Mali, ainsi que sur la dernière sortie du leader du Mrc, pour s’adonner à cette activité qu’ils affectionnent particulièrement, espérant jeter l’opprobre sur un corps d’élites qui, au quotidien et depuis sa création, a clairement défini sa feuille de route.
Bataillon d’Intervention Rapide : Une armée au service de la Nation
Proches des populations, notamment dans les régions en proie à une crise sécuritaire, les Camerounais, engagés au sein du Bir ont toujours assuré la protection de toutes les victimes, sans tenir compte de leur chapelle politique.
C’est dans cette logique qu’ils accompagnent sur le terrain, tous les acteurs politiques, soucieux du bien être de leurs concitoyens, surtout en cette période de crise sanitaire…
Leurs faits d’armes sont innombrables et, c’est dans ce contexte qu’on ne saurait associer le Bataillon d’Intervention Rapide à tous ces oiseaux de mauvais augure qui, de l’extérieur comme à l’intérieur du triangle national, ne poursuivent qu’un seul objectif : Détruire par tous les moyens, l’esprit d’apaisement qui règne au Cameroun.
Nicole Ricci Minyem
Le Pr Shanda Tonme président du Mouvement populaire pour le dialogue et la réconciliation laisse entendre, qu’aucune tentative d’appel au soulèvement populaire, ne peut réussir au Cameroun.
Les réactions des hommes politiques ne cessent de tomber après la double menace d’appel à un nouveau plan de résistance nationale et de départ de Paul Biya proférée par Maurice Kamto, qu’il entend mettre à exécution, dans le cas où le corps électoral arrivait à être convoqué pour la tenue des élections régionales. Si cette sortie du leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) a laissé entrevoir un appel à insurrection, le Pr Shanda Tonme tout comme Grégoire Owona et le Pr Jacques Fame Ndongo précise, qu’un tel projet ne saurait prospérer. Dans la sortie épistolaire qu’il a faite, le président du Mouvement populaire pour le dialogue et la réconciliation (Mpdr) affirme que le destin de notre pays surpasse toute ambition d’individus et tout intérêt communautaire.
«Face aux appels à la violence et à l’intolérance, nous opposerons le patriotisme tout court, et nous prêcherons sans relâche le dialogue et la Réconciliation. Le destin du Cameroun est au-dessus des ambitions personnelles et des intérêts des villages, et notre sécurité collective ne saurait être bradée, hypothéquée, ni soumise au chantage des individus ou des villages», peut-on lire dans la tribune du président du Mpdr.
Le Pr Shanda Tonme indique que son parti politique ne compte pas se laisser entraîner à ce type de plan proposé par Maurice Kamto. Pour lui, il s’agit d’une dérive, d’une provocation qui met à mal la paix. Pour ce qui est du changement, l’homme politique pense que ce n’est qu’à travers le dialogue que cela sera possible.
Dialogue
«Le Mpdr ne variera jamais et ne cédera à aucune provocation ni dérive, parce que nous n’entendons pas faire droit aux erreurs de jugements conscients ou inconscients de certains compatriotes. Des quatre coins du pays, c’est la paix et seulement la paix que veulent et souhaitent tous et chacun. Des quatre coins du pays, c’est du dialogue, par le dialogue et seulement avec le dialogue, que la réconciliation, la paix et le progrès sont souhaités, envisagés et encouragés. C’est une ambition sans limites ni exclusion, ni discrimination ni marginalisation. Quoi qu’il advienne donc, notre main restera tendue et notre profession de foi restera la même. Ceux qui rêvent d’un Cameroun en feu, seront brûlés par leurs propres feux, et le Cameroun restera, avancera et pansera ses plaies pacifiquement», a écrit le Pr Shanda Tonme.
Guerre civile
S’attaquant de façon implicite au leader du Mrc Maurice Kamto, le Pr Shanda Tonme déclare que son parti politique le Mpdr ne compte pas resté inactif face à ceux qui sont assoiffés de guerre. «C’est dans l’esprit et les rêves des pyromanes que les feux brûleront, et non dans le corps et les entrailles du Cameroun. A ceux qui construisent des châteaux de sang et de guerres civiles, le MPDR opposera les réalités dures et intraitables d’un pays qui croit en ses filles et fils, et en leur capacité à se ranger dans la voie du dialogue et de la Réconciliation», a-t-il conclu.
Liliane N.
Quatre raisons sont évoquées par Jim Noah – Analyste politique :
Le clanisme du Professeur Maurice Kamto
Le fameux propos « Je suis Bamiléké né à Bafoussam en 1954 et fier de l'être » au Conseil Constitutionnel n'a pas cessé de hanter 25000 000 de camerounais.
C'est le premier homme politique, Candidat à une élection présidentielle à tribaliser le discours politique au Cameroun. C'est le seul candidat qui part ses propos de campagne à la dernière élection présidentielle a laissé croire qu'il est soutenu par son ethnie.
Il a salit le nom du noble peuple de travailleurs Bamilékés pour de fins politique. Ce peuple qui ne vit que de son labeur, et dont la présence dans le monde des affaires au Cameroun n'est plus à démontrer. Ils sont dans d'autres partis politiques. Que cela soit dans le parti au Pouvoir ou dans l'opposition.
Plusieurs des compatriotes de cette sphère géographique ont considéré que Ce professeur le faisait pour ternir l'image du peuple Bamiléké et l'isoler de leurs autres frères Camerounais. Il a réussi l'exploit d'exacerber le Tribalisme au Cameroun.
Partout où est arrivé papa Kamto, il a passé le temps à ne brandir que son appartenance à son ethnie comme ci cette dernière n'était pas camerounaise. Ce qui est grave en politique et dangereux pour la cohésion sociale.
Personne ne saurait expliquer pourquoi il a délicatement passé l'info selon laquelle son électorat ne vient que de l'Ouest quand nous savons que chez lui à Baham, il a été battu à plate couture au profit du candidat du Rdpc.
Les Camerounais ont retenu que Papa Kamto ne peut être Président de tous Les camerounais. Il a fait savoir au Camerounais qu'il aurait été le président de son ethnie. Voila pourquoi le peuple ne peut se sentir concerné lorsqu'il appelle à la révolution même pas ceux qu'il prétend le suivre par affinités tribales. Personne ne sortira pour lui. Son parti politique s'est mis le Cameroun entier à dos.
Maurice Kamto et ses propos contre nos Forces de Défense et de Sécurité
Maurice Kamto fait Allusion au Mali en toute subtilité. Il voudrait si cela lui était possible je ne sais par quelle Alchimie transposer Les événements du Mali au Cameroun. Ce qui lui est totalement impossible considérant qu’au Mali, c'est l'armée qui a orchestré le coup d'Etat.
Culminé au premier point, L'armée ne pourra le soutenir dans sa théâtralisation de la révolution politique. C'était très gauche et irresponsable de sa part de dire clairement ce qu'il pense de Notre armée qu'il n'a fait que taxer de ce qui suit :
- Irresponsable - Sanguinaire
Et que ses militants appellent prosaïquement et injustement « La Milice Bulu - l'armée tribale » lorsque nous savons tous Les efforts consentis par nos vaillants Guerriers.
Qui fera donc le push répondant à l'Appel de Maurice Kamto ? Il compte sur quelle armée après l'avoir copieusement calomnié Publiquement ses militants et lui?
Il est seul dans son film. Notre armée me saurait donc trahir le peuple pacifique à cause Kamto qui l'insulte sans cesse même si ce dernier était sérieux.
Kamto Maurice : l’agent du pionnage dans le microcosme politique Camerounais
Nous ne cesserons de dire aux Camerounais que ce monsieur n'est pas opposant. Si oui, il est opposant de l'opposition. Plusieurs camerounais même de son parti ne croient plus en lui. Célestin Njamen n'est pas seul. Il représente une tendance au sein de cette formation politique. Plusieurs ont découvert qu'il roule pour l'intérêt du pouvoir.
En Science politique, le but d'un parti politique est de prendre le pouvoir et à le conserver. Voila pourquoi lorsque le juriste dira qu'un Président est illégitime parce que la législation électorale n'est transparente au Le Politiste te parlera du jeu politique. Prendre ou conserver le pouvoir entre dans le jeu politique.
Sauf que la démarche de ce professeur n'a rien à voir avec l'attitude de quelqu'un qui veut prendre le pouvoir. Il ne se rapproche pas du rôle d'un parti politique. Suivez sa démarche.
Le 26 janvier 2019, il organise une Marche avec 150 autres personnes au Cameroun. Ils sont interpellés et mis sous détention provisoire.
Dans l'un de ses articles sur la toile, ce politicien déclare et je cite : « Je ne sortirai pas de prison laissant un seul de ceux qui y sont pour la mêmes raisons que moi » fin de citation .
Il est sorti quelques jours plus tard, laissant plus d'une centaine en prison (ils sont libérés chaque jour par clémence) et pire encore, son premier vice président Mamadou Mota.
Kamto était bon opposant en prison et Les autres qui y sont restés, de Mauvais opposants. Ce Monsieur vrai opposant croupit sous Les gilles la prison aujourd'hui avec d'autres pour Les mêmes faits. Son rôle était de trainer avec lui en prison Les vrais opposants et Les y laisser.
Il sort de Prison et tient sa première conférence de presse dans son QG sis au quartier et tient Les propos qui suivent « On nous demande Pourquoi nous n'irons pas à l'élection couplée du 9 février 2020. Pourtant, on n’a pas encore modifié le code électoral, pourtant nos camarades sont en prison, pourtant la crise Anglophone n'est pas résolue.
« Je dis que nous irons aux élections afin d'entrer dans Les institutions et changer Les choses de l'intérieur car la politique de la chaise vide n'a jamais été bénéfique » fin de citation.
Quelques jours après ces propos et précisément à la veille de la date finale de dépôts des candidatures, sachant que Les candidats de son parti n'auront plus moyen de constituer d'autres listes, pour se faire investir par d'autres partis, Maurice Kamto déclare que son parti n'ira plus aux élections et appelle au boycott et ce sans consulter le bureau national de son parti .
Quelle perte pour ceux qui espéraient briguer des mandats électifs !!! C'est ça un homme qui veut être président ?
Certaines personnes bien informées disent qu'il aurait pris pour lui et certains de ses cadres des milliards de FCFA, pour fragiliser l'opposition ; sachant que si Le Mrc, Pcrn, Sdf, Undp allaient à cette élection, l'opposition aurait eu au moins la moitié des sièges à L'Assemblée.
Il aurait pris de l'argent pour empêcher à certains de ses candidats de combattre le Rdpc. Ce dernier ne sera pas à blâmer politiquement. Il est dans le jeu politique et le rôle d'un parti politique.
Il a fait de son parti politique une ONG et Les ONG n'ont pas d'ambition politique. Vous pouvez voir qu'il fait déjà dans le social.
Tout le boucan que fait ce papa est une escroquerie. Son rôle c'est de garder captifs Les vrais opposants du Mrc en Leur refusant la possibilité changer Les choses par Des moyens efficaces.
Analyse mathématiques des échecs de ses appels
Maurice Kamto a réussi l'exploit de créer une psychose au sein de sa formation politique que Les gars ont peur de marcher. Même ceux qui sont en France (6000km du Cameroun) préfèrent aller à 8000 km de la France au USA c'est à dire 13000km pour marcher contre Yaoundé. C'est du sérieux ça?
Aussi, ayant déçu ses alliés politiques, le nombre de ceux qu'il tromperait à faire du désordre est considérablement réduit. Voici la petite analyse.
14% moins les 9% de ses alliés fait 5%. La différence entre ses fidèles et ceux qui ont quitté son bateau est égale à 3%. Alors 3% de 25000000 = 75,000 camerounais - 40 000 poltrons. Il restera seulement 35000, 34300 ayant regagné la raison, il ne reste que700 mrcistes contre 24999300 de camerounais. Les Marches ne peuvent pas marcher.
N.R.M
Le Pr Jacques Fame ndongo Secrétaire national à la Communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais persiste avec sa politique fiction, qui n’amuse que la galerie.
Après Grégoire Owona, Secrétaire général adjoint du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), c’est le Pr Jacques Fame Ndongo, Secrétaire national à la Communication du parti au pouvoir, qui a répondu au Pr Maurice Kamto.
Le Ministre d’Etat Ministre de l’Enseignement supérieur, a réagi à la menace d’appel au départ de Paul Biya brandie par le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), si les élections régionales arrivaient à être organisées dans ce contexte où les régions anglophones du pays restent en proie à une crise sociopolitique qui empêche le bon déroulement du vote de ce côté-là.
L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 demande que deux conditions soient réunies avant la tenue de toute élection. Il s’agit de la résolution de la crise anglophone par un cessez-le-feu et l’ouverture d’un vrai dialogue inclusif. L’autre condition est la réforme consensuelle du système électoral.
Pour le Pr Jacques Fame Ndongo, Mauric Kamto en menaçant de lancer un nouveau Plan de résistance nationale et de lancer un appel au départ du Chef de l’Etat, montre tout simplement qu’il souffre de la schizophrénie.
Appel à l’insurrection : Maurice Kamto reconnaît la légitimité de Paul Biya et tombe le masque sur ses véritables intentions
Retrouvez ci-dessous la réponse de Jacques Fame Ndongo à Maurice Kamto
- Devinette : « mon parti n’a ni conseiller municipal, ni député, ni sénateur. J’ai la tête dans la lune et les pieds dans la caverne des illusions ».
- « Depuis l’élection présidentielle de 2018, je rêve de déloger le Président Paul BIYA d’Etoudi en demandant au peuple de se soulever contre le président démocratiquement élu ».
- Le peuple ne daigne guère se mettre en rébellion, car il sait que je suis un vendeur d’illusions, un fantasmeur et un illuminé qui pond, sempiternellement, de gros mensonges, comme Falstaff, le célèbre héros de Shakespeare, dans Henri IV ».
- Hier, j’ai encore durci le ton… du gros mensonge en subordonnant l’organisation des élections régionales à la révision du code électoral. Je sais que mes incantations resteront vaines et stériles. Mais, je m’obstine dans mon volumineux manuel de politique fiction, afin d’amuser la galerie.
- Mon credo : « JE DELIRE, DONC JE SUIS ».
- « Qui suis-je ? »
- Réponse : Maurice Kamto.
- Comment les psychologues appellent-ils ce genre de pathologie ?
- Réponse : la schizophrénie.
Liliane N.
Le spécialiste en question d’économie Dieudonné Essomba se dit favorable à l’idée d’insurrection de Maurice Kamto parce que de son point de vue, le régime actuel n’a plus rien à proposer.
Dieudonné Essomba fait partie des personnes qui ont réagi à la récente sortie de Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc). Le spécialiste en question d’économie, bien connu pour être opposé à Maurice Kamto, vient de surprendre plus d’un avec sa réaction à la menace d’appel à un nouveau plan de résistance nationale et au départ de Paul Biya, au cas où les élections régionales arriveraient à être organisées.
L’invité fidèle du programme Club d’élites de Vision 4 indique être favorable à « l’insurrection » de Maurice Kamto. Les raisons de ce soutien sont entre autres qu’il note que le régime actuel est dépassé et ne parvient plus à proposer de nouvelles idées au Cameroun. Il affirme que le plan insurrectionnel du leader du Mrc se présente comme une sorte d’aubaine pour finir avec le système.
Retrouvez ci-dessous la tribune de Dieudonné Essomba
Le système de Biya est trop immobile, trop sclérosé, et il n’offre plus la moindre perspective pour le Cameroun. On a beau regarder avec aménité et tolérance, il faut bien convenir qu’il n’a plus rien à apporter à notre pays.
Un système borné, autiste à souhait, totalement obsolète, plombé dans le passé, radicalement incapable de vivre dans la réalité actuelle et qui ne fait que multiplier des crises qu’il est incapable de résoudre. Avec son insurrection, Kamto nous offre une occasion en or pour en finir avec ce système maudit.
Certes, Kamto n’est pas meilleur. Il est même pire, puisqu’il véhicule une idéologie suprématiste, particulièrement dangereuse, marquée d’une part, par ses prétentions criminelles à s’approprier les terres des autres Communautés à travers sa « réforme agraire », au motif que ces terres appartiendraient à l’Etat qui va donc librement en disposer en les distribuant aux gens qui peuvent les valoriser !
Et tout le monde sait bien qui il fait allusion !
D’autre part, à confisquer l‘Etat en supprimant l’équilibre régional, qui selon lui, promouvrait les cancres alors que ce sont les meilleurs de la République qui devraient être recrutés… Et tout le monde sait très bien de quelle Communauté, selon lui et sa Meute, viennent qui est les meilleurs au Cameroun !
Bref une idéologie particulièrement répugnante qui nous conduirait tout droit au Syndrome IBO !
Néanmoins, le bien peut quelquefois venir involontairement du diable ! Si ce Kamto pouvait nous mettre le feu sur le système obsolète de Biya, nous en profiterions pour liquider sa sinistre comédie appelée « Etat unitaire », ses « unités nationales » et sa décentralisation bureaucratique pour imposer un modèle fédéral, où chaque segment communautaire disposera de son Etat, le tout chapeauté par un Etat fédéral.
L’argent du budget qui appartient à la Nation serait désormais divisé en 2, moitié pour l’Etat fédéral, et moitié pour les Etats Régionaux ! Cela signifie que pour nous, l’insurrection de Kamto n’est pas une perspective, mais une belle occasion pour en finir avec ce système maudit !
Liliane N.