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Le samedi 23 mars 2019, le parti politique de Bello Bouba Maigari a organisé un meeting, qui a été suivi par une opération d’inscription sur les listes électorales.

 

Profitant du meeting de clôture des activités du 1er trimestre de l’année 2019 et de la cérémonie d’installation des responsables de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undp), les cadres de la formation politique de Bello Bouba Maigari ont tenu à mobiliser leurs militants et les préparer pour les échéances électorales à venir à savoir les législatives, les municipales et les régionales.

Notons que la cérémonie se déroulait au carrefour Aoudi dans le 2ème arrondissement de Ngaoundéré. « C’est ici que l’Undp est né. C’est ici et aujourd’hui que les prochaines victoires de l’Undp se préparent. Vous êtes tous là et nous irons encore plus loin », a déclaré Idrissou Abana, le président de la section Undp. Ce dernier a ajouté que la victoire passera par une mobilisation totale et surtout l’inscription de tous les militants et les sympathisants de l’Undp sur les listes électorales.

Dans sa posture de présidente du mouvement des femmes de l’Undp, Eliane Zéné Ondo a appelé la gente féminine à jouer son rôle dans l’éclosion du parti. « Nous interpellons encore une fois nos sœurs, nos camarades de s’inscrire massivement sur les listes électorales pour que l’Adamaoua et le Cameroun sachent que l’ouragan Undp est déjà là. Je voudrais dire aux femmes de l’Adamaoua que leur enthousiasme est le début de la victoire finale qui consacrera l’Undp comme l’unique force politique de l’Adamaoua », a-t-elle déclaré. Plus loin, elle a ajouté «j’invite toutes les femmes de l’Undp dans la ville de Ngaoundéré à s’inscrire et aller voter. Au sein de l’Undp, nous dépassons les 30% de représentativité des femmes dans toutes les listes du parti aux élections. Mes sœurs, sortons de nos saré (maisons) et allons voter le moment venu ».

Cette cérémonie de mobilisation de ses troupes s’est déroulée en présence des membres d’élections cameroon (Elecam), les ténors du parti, les Maires de Martap et celui de Ngaoundéré 2ème. « Nous irons aux élections avec nos listes et nos candidats. Nous voulons juste vous rappeler d’être prêts parce que le corps électoral peut être convoqué à tout moment. Constitué déjà vos dossiers », a lancé Paul Mbafor à ses camarades de parti. Pour ce dernier, le pouvoir de l’Undp « vient de Dieu. Pour aller à Etoudi nous passons par Ngaoundéré. Notre victoire est déjà là. Il faut juste confirmer cette victoire dans les urnes avec nos candidats ».

 

Liliane N.   

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Ce dimanche 24 mars a été l’occasion pour les fils et filles de Diang de réitérer leur attachement leur attachement au Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) ainsi qu’à son président national. Ils ont célébré avec faste et ferveur le 34e anniversaire du parti au pouvoir à la salle de la COOPLALOD.

 

Ivres de joie, les militants et militantes de la section RDPC Lom et Djerem Ouest 2 sont sortis en masse pour communier ensemble l’avènement de la naissance du parti de Paul Biya. ” 34 ans après, Diang peut se bomber le torse au regard des avancées palpables sur tous les plans”, se réjouissent-ils.

Pêle mêle, l’Hon Tak Bienvenu par ailleurs président de ladite circonscription politique cite le démarrage imminent du deuxième lot des travaux de bitumage de l’axe routier numéro 1 Nanga – Eboko - Bouam ; l’augmentation de la carte scolaire, la santé pour tous et la promotion des fils et filles de Diang à d’importants postes de responsabilités.

Selon le chef politique local, « tous ces projets et bien d’autres vont permettre le décollage définitif du développement de l’arrondissement qui a toujours fait preuve de loyalisme et fidélité au président national du RDPC et Chef de l’État, S.E. Paul Biya. »

Pour d’autres cadres du parti, Paul Biya est un homme providentiel. « Notre grand champion de tous les temps est un génie politique. Pour nous conforter dans cette logique, il a confié à  un digne fils de Diang,  un important  poste de souveraineté politique. Depuis le 4 janvier 2019, François Bolvile Wakata, occupe la prestigieuse fonction de ministre délégué à la présidence, chargé des Relations avec les Assemblées. Il y a lieu de s’enorgueilli de remercier le président de la République pour cette haute marque de confiance », a indiqué Zachari Ngba par ailleurs président du conseil d’administration de la Société de Développement du Cacao(SODECAO).

D’où l’adhésion plus que jamais solennelle des filles et fils de Diang derrière les idéaux que prônent le Chef de l’État. Pour renouveler le pacte d’amour et de confiance vis-à-vis de leur grand champion de tous les temps, c’est par une motion de soutien et de déférence que le meeting de Diang s’est achevé. Rendez-vous a été donné pour le 27 avril prochain, à l’occasion du retour officiel de l’enfant prodige de Diang au village, le ministre François Bolvine Wakata.

Mais en attendant, les inscriptions sur les listes électorales biométriques d’Elecam se poursuivent intensément dans la Section RDPC Lom et Djerem Ouest 2 dans le but de plébisciter les listes du parti flambeau lors des prochaines échéances électorales en vues. « Le RDPC  à Diang, doit régner sans partage plus que par le passé », a laissé entendre Hubert Ndé Sambone, élite politique et directeur général de l’Agence nationale des investigations financière (ANIF).

Source : actucameroun.com

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Dans le cadre de la 6e édition de la Semaine de la Jeunesse qui s’est tenue du 2 au 9 février 2019, il a accordé une interview à notre confrère Le Jour.

 

Denis Emilien Atangana le président du Front des démocrates camerounais, fait partie des hommes politiques qui militent pour la révision de la loi électorale au Cameroun. Il pense déjà que l’âge électoral doit être ramené à 18 ans. A la question qui lui a été posée par le journal, qui est celle de savoir qui a intérêt à ce que les jeunes ne votent pas au Cameroun à partir de 18 ans, il a déclaré ce qui suit dans les colonnes de notre confrère.

«Il faut ramener cet âge à 18 ans pour donner la possibilité aux jeunes de 18 ans pénalement responsables de voter le Député et le Président de la République qui sont à l’origine de l’initiative, de la législation et de la promulgation des lois. Si on peut travailler à la fonction publique à 18 ans, cela signifie qu’on est assez mature pour non seulement choisir les gouvernants mais aussi se faire élire comme Député ou Conseiller municipal. Le Fdc propose que l’âge de vote soit ramené de 20 ans à 18 ans. Aussi que l’âge de pouvoir être candidat aux municipales et législatives de 23 ans à 18 ans».  

A la question de savoir ce que le Fdc entend faire pour bouger les choses et parvenir à ramener l’âge électoral à 18 ans, Denis Emilien Atangana indique qu’actuellement, son parti est rendu à la phase du plaidoyer qu’il mène auprès des pouvoirs publics pour la réforme du Code électoral. « Nous invitons les forces progressistes à se mettre ensemble pour la réforme du Code électoral », ajoute-t-il.

Il faut dire qu’Elections cameroon (Elecam), l’organe en charge de l’organisation des élections au Cameroun se dit ouvert à cette question des modifications sur le Code électoral. Elecam a également proposé que l’âge de la majorité électorale passe de 20 à 18 ans. Faisant une première évaluation le mardi 12 février 2019 à l’Hôtel Mont Febé de Yaoundé, un mois et demi après le lancement des inscriptions sur les listes électorales, la direction générale des élections a regretté «le peu d’engouement des citoyens à s’inscrire sur les listes électorales», avant d’indiquer qu’il est nécessaire de «revoir l’âge électoral au Cameroun». Selon Elecam, cela aurait l’avantage de permettre l’inscription sur les listes électorales d’un grand nombre de citoyens.

Liliane N.

 

 

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Dans cette perspective, Elections Cameroon (Elecam), l’organe en charge des élections au Cameroun, propose que l’âge de la majorité électorale passe de 20 à 18 ans.

 

La direction générale des élections du Cameroun (Elecam) a donné un avis favorable pour que des modifications soient apportées au Code électoral du pays. Faisant une première évaluation le mardi 12 février 2019 à l’Hôtel Mont Febé de Yaoundé, un mois et demi après le lancement des inscriptions sur les listes électorales, la direction générale des élections (DGE) a notamment regretté « le peu d’engouement des citoyens à s’inscrire sur les listes électorales », avant d’indiquer qu’il est nécessaire de « revoir l’âge électoral au Cameroun ».

Dans cette perspective, Elecam propose que l’âge de la majorité électorale passe de 20 à 18 ans. Selon Elecam, cela aurait l’avantage de permettre l’inscription sur les listes électorales d’un grand nombre de citoyens.

En effet, de nombreux analystes politiques estiment qu’il serait manifestement inéquitable, irrationnel et absurde de limiter le droit de vote à une seule catégorie de citoyens et à l’âge de 20 ans. Si les jeunes et les partis politiques se mobilisent de plus en plus sur le thème de l'abaissement de l’âge électoral, c'est parce que c'est « leur avenir qui est en jeu et ils ont l'impression qu'on joue avec leur avenir, qu'on ne prend pas du tout au sérieux les risques qui pèsent sur eux », précise un analyste politique.

Ce qui laisse penser que les jeunes qui constituent la majorité n’ont pas la capacité d'assumer leurs responsabilités car exclus du jeu politique à 18 ans. Ils pensent qu'à l'âge de 18 ans, le citoyen peut assumer toutes ses responsabilités y compris celle de voter si la loi lui en donne la possibilité.

Revenant sur le rapport de la Présidentielle 2018, il présente de nombreux points positifs : L’acheminement des Kits électoraux à temps, le respect de la loi électorale concernant les électeurs, la transparence tout au long du scrutin, l’équité dans le traitement des partis en compétition, le respect de la loi en matière de dépouillement public des voix, le déroulement du scrutin dans la sérénité.

Cependant, l’instance en charge de l’organisation des élections a relevé certaines imperfections liées aux erreurs de bureaux de vote, d’absence de noms sur les listes électorales pour certains citoyens pourtant inscrits à l’avance et qui n’ont pas pu remplir leur droit. Il reste dans ce sens, à relever les défis de la numérisation intégrale du fichier électoral. L’objectif étant d’organiser une élection crédible, dans un climat apaisé.

Les acteurs du processus électoral se disent néanmoins satisfaits des avancées du processus électoral au Cameroun et sont déterminés à mettre en œuvre les recommandations  contenues dans le rapport afin de contribuer davantage à la tenue plus conventionnelle des élections au Cameroun.

Otric N.

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Le Directeur général adjoint d’Elections cameroon face aux membres du Conseil constitutionnel, a indiqué qu’aucun reproche fait à l’institution, qui organise les élections au Cameroun est valable.

Elections cameroon (Elecam) ayant été indexé par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) de Maurice Kamto, Abdoulkarimou s’est exprimé le 17 octobre 2018, pour expliquer premièrement, le processus des opérations conduites par l’institution. Une institution à qui les avocats du candidat Maurice Kamto ont reproché d’avoir participé aux cas de fraude et d’irrégularités observés durant le processus électoral. Une accusation entièrement rejetée par le Directeur général adjoint (Dga) d’Elecam. Il se veut ferme. Elecam a bien fait son travail et ne peut être tenu pour responsable pour quelconque cas de fraudes, s’il y en a  eu.

«Le processus électoral se poursuit. Je l’ai dit dans la plaidoirie orale. C’est un processus qui dure au moins quatre mois. Il va de la convocation du corps électoral jusqu’à la prestation de serment. La procédure devant le Conseil constitutionnel est écrite et essentiellement gratuite et contradictoire. Cette contradiction s’est faite dans les mémoires. Le Conseil statue uniquement sur les opérations électorales. On demande l'annulation partielle de l’élection mais on ne peut pas annuler la campagne. On peut estimer que les affiches étaient trop grandes et on annule la campagne. Cela n’aura pas de sens. Tout se passe dans les bureaux de vote. Ils doivent rester dans le cadre de la loi, ils n’ont pas de choix. Le candidat Maurice Kamto a brandi les preuves selon lui. Ce n’est que dans les bureaux de vote qu’il peut avoir la fraude. Elecam a fait son travail normalement», a-t-il expliqué mardi dernier.

Elecam a aussi été accusé d’avoir obligé Akere Muna à être candidat à cette élection présidentielle, alors que celui-ci s’était retiré de la course, en se ralliant au MRC. Pour les avocats de Maurice Kamto, s’il est vrai qu’il est un droit pour tout citoyen de se porter candidat à l’élection présidentielle, il est aussi vrai qu’Elecam en maintenant ses bulletins dans les bureaux de vote l’a contraint de demeurer dans la course pour Etoudi.  Abdoulkarimou en réponse à cette accusation, a indiqué que tout le matériel de vote a été déposé dans les bureaux de vote deux semaines avant la tenue du scrutin du 7 octobre 2018. Aussi il a indiqué que si Elecam n’avait pas apporté ces bulletins dans les bureaux de vote, il y aurait toujours eu des reproches. Pour le Dga d’Elecam, l’institution qu’il dirige avec Erik Essousse ne travaille pas pour un candidat mais pour l’électeur. Il a en outre indiqué qu’en dépit du fait qu’Akere Muna s’est retiré de la course pour se mettre aux côtés de Maurice Kamto, il y a eu des électeurs convaincus qu’il était le meilleur choix et qui ont tenu à le voter.

Toutefois le verdict du Conseil constitutionnel est connu depuis hier. La requête d’invalidation partielle du scrutin du 7 octobre dernier a été rejetée. La haute juridiction a jugé que les griefs présentés par le MRC n’ont pas été suffisamment justifiés.

Liliane N.

 

 

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Le Secrétaire général adjoint du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC, parti au pouvoir) apprécie le scrutin tel que vécu sur l’ensemble du territoire national.

Pour lui, l’engouement des jeunes, leur enthousiasmes et leur fraicheur des candidats tout comme la liberté de parole sont les éléments qui l’on le plus marqué. «Cet engouement des jeunes m’a séduit particulièrement parce qu’il m’a fait espérer qu’ils vont d’avantage s’engager pour leur pays».

Mais au-delà, affirme-t-il dans les colonnes d’un journal de la place, «le comportement responsable des uns et des autres qui dès le début du processus ont su accepter les règles lorsqu’elles s’imposaient. Je pense ici aux candidats recalés qui se sont soumis à la loi».

Au soir du 7 octobre 2018, jour du scrutin en vue de l’élection du nouveau président de la République, Grégoire Owona s’est dit «fier». «Puisqu’après une campagne haletante, manifestation d’une démocratie moderne sous Paul Biya, on a eu droit à un jour de vote très couru, du moins attractif, sans incident digne d’intérêt», affirme-t-il.

Et de poursuivre: «on a vu beaucoup d’électeurs fiers de montrer sur les réseaux sociaux et dans les reportages télévisés leur participation enjouée à ce scrutin présidentiel. Ils affichaient chacun son pouce avec l’encre indélébile. A cette fierté d’être camerounais aujourd’hui s’est ajouté un sentiment de sérénité, au regard du déroulement de la journée de vote.

Grégoire Owona reconnait qu’il y a peut-être eu des incompréhensions par endroits mais visiblement «Elecam a pu rattraper et nous pouvons féliciter cet organe et tous les acteurs du processus, car il n’a pas manqué de matériel électoral dans les bureaux de vote». Le Secrétaire général adjoint du Comité central du RDPC se dit satisfait et fier d’appartenir au Cameroun de Paul Biya.

Grégoire Owona est un politicien camerounais. Il est ministre du Travail et de la Sécurité Sociale depuis le mois de décembre 2011. Auparavant, il a servi en tant que ministre délégué à la Présidence pour les Relations avec les Assemblées de 1997 à 2011, et il est Secrétaire Général Adjoint du Comité Central du RDPC depuis 1992.

Originaire de Ngomezap dans la Province du Centre, Grégoire Owona a d'abord été élu comme conseiller municipal à Douala en 1987. Il a ensuite été élu à l'Assemblée Nationale en 1988 comme candidat du RDPC dans la Province du Littoral, et il a siégé à l'Assemblée Nationale de 1988 à 1992; comme Rapporteur Général de l'Assemblée Nationale, en Commission des Finances.

En tant que Président de la Commission Technique chargée de rédiger une nouvelle constitution, Grégoire Owona a été considéré comme l'architecte du projet. Le 12 juin 1993, il a annoncé que le deuxième projet a été complété. Il a également été Vice-Président du Comité National des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales dans les années 1990.

Grégoire Owona a été nommé en tant que ministre délégué à la Présidence pour les Relations avec les Assemblées le 7 décembre 1997. Il est resté au Comité National des Droits de l'Homme et des Libertés après sa nomination, et certains dans l'opposition ont souligné en cela une preuve de partialité de la Commission.

Otric N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01