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Selon des sources bien informées, la pose de la première pierre du futur immeuble de l’Assemblée nationale aura lieu le jeudi 12 décembre 2019. Sur le site à Ngoa-Ekélé, le Chef de l’Etat Paul Biya est annoncé, il sera accompagné de son épouse Chantal Biya, ainsi que de Wang Sifa, l’ambassadeur de Chine au Cameroun. 

 

Selon le bihebdomadaire Défis actuels, la troisième session parlementaire qui se tient depuis le 12 novembre 2019, pourrait être plus décontractée que d’habitude. La présence éventuelle du Président de la République Paul Biya pour la cérémonie de pose de la première pierre sur le site retenu pour la construction du futur immeuble de l’Assemblée nationale à Ngaoa-Ekélé, alimente depuis quelques instants les débats. 

Selon les informations reçues, le Chef de l’Etat sera accompagné de la première dame Chantal Biya. Assistera également à cette cérémonie, Wang Sifa, l’ambassadeur de Chine au Cameroun. Le nouvel immeuble du parlement dont le coût est évalué à 54,5 milliards de FCFA, est un don sans contrepartie de la République populaire de Chine au Cameroun. Ce qui justifie donc la présence annoncée du diplomate chinois à cet évènement. L’empire du milieu compte également apporter son expertise dans la réalisation des travaux de construction du joyau architectural sur une superficie de 37 500 mètres carrés. Ces travaux sont prévus durer 42 mois. 

Cette superficie va abriter un bâtiment de 14 étages, 400 places, une salle de fête de 1000 places, une caserne de pompiers et une station d’épuration des eaux, entre autres.

 

Innocent D H

 

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Franclin François Etapa, le nouveau préfet du département du Ndé dans la région de l’Ouest du Cameroun promet un châtiment exemplaire à tous ceux qui oseront empêcher les électeurs d’aller accomplir en toute quiétude leur devoir civique dans l’Arrondissement de Bassamba le 09 février 2020. L’autorité administrative vient d’effectuer dans cette unité, une tournée de prise de contact.

 

La menace de boycott du double scrutin du 09 février prochain pesait depuis quelques temps dans l’arrondissement de Bassamba. Une situation qui ne pouvait guère laisser les autorités administratives indifférentes. Le nouveau préfet du département du Ndé, Franclin François Etapa vient de faire une sortie musclée pour mettre en garde quiconque osera empêcher les électeurs d’accomplir leur devoir civique qu’est le vote. « Il y a certains responsables politiques qui demande que les gens ne partent pas voter le 09 février. Si quelqu'un décide de ne pas aller voter, c’est son droit. Mais empêcher quelqu’un d’y aller, c’est le crime », martèle le préfet. 

Pour Franclin François Etapa, cette menace de boycott des élections dans l’arrondissement de Bassamba, serait prônée par certains hommes politiques dans cette unité administrative. « Quiconque dans le département du Ndé et dans l’arrondissement de Bassamba surpris entrain d’interdir quelqu’un d’aller voter, nous allons transporter cette personne ». 

Dans cette partie du pays, le porte-parole du MRC, par ailleurs fils de l’arrondissement de Bassamba a saisi pour sa part le prétexte des questions /réponses pour dénoncer avec sa dernière énergie, les maux qui minent la localité. « Nous n’avons pas l’eau, l’électricité etc. », déplore ce fervent militant du parti de Maurice Kamto. 

La tournée de prise de contact du nouveau préfet du Ndé lui a également permis d’inviter les populations de Bassamba à la culture des notions de développement, de cohésion sociale. « J’ai appelé les populations à se regrouper comme un seul homme derrière les institutions de la République et bien évidemment dans la paix, la concorde nationale et dans la cohésion sociale », mentionne Franclin François Etapa.

 

Innocent D H

 

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Depuis Vendredi dernier, Paul Marie Biloa Effa n’est plus le chef de 3ème degré dans l’arrondissement de Yaoundé 2ème. C’est par un Arrêté signé du ministre de l’Administration Territoriale qu’il a été démis de son titre.

Instigation et Incitation à l’insurrection - Insubordination caractérisée à l’endroit des autorités administratives - Participation active à une manifestation publique interdite sont les motifs relevés par Paul Atanga Nji, pour justifier cette position.

Cette décision du ministre de l’Administration Territoriale cadre t –elle avec la loi et les textes en vigueur au Cameroun ? C’est entre autres réponses que nous aurons au cours de cet entretien que nous a accordé un Chef Traditionnel.  

 

-         Merci Majesté pour votre disponibilité. En quelques mots, pouvez – vous vous présenter ?

Je suis Majesté Motassi Hiol Séraphin Albert, Chef du village de Logbadjeck dans la Sanaga Maritime  

-         Ce Vendredi, le ministre de l’Administration Territoriale a relevé de ses fonctions, sa majesté Paul Marie Biloa Effa, chef de 3ème degré dans l’arrondissement de Yaoundé 2ème. Qu’est ce que cette décision suscite en vous comme sentiment ?

De prime abord, il me revient de vous dire que ce n’est pas mon rôle de commenter les décisions d’un ministre mais, je peux apporter mon éclairage à la lumière de ma modeste connaissance des textes régissant la chefferie traditionnelle et, c’est en cela que j’ai accepté cet échange…     Ceci dit, cet acte est un acte normal, au vu de l’article 30 alinéas 3 du décret N°77/245du 15 Juillet 1977 portant organisation des chefferies traditionnelles et comme chef, m’interpelle juste par rapport au respect des textes.

-         Lorsqu’il est établi qu’un chef reste chef jusqu’à sa mort, quelle est la portée que peut avoir une telle décision ?

Les textes encadrent cette fonction qui de fait, est à vie mais demande un respect de la loi. La portée d’une telle décision est simplement la remise à plat et le lancement d’un nouveau processus.

-         Est – on dès lors en droit de penser que le droit positif prime en tout temps sur le droit coutumier ?

Bien sûr que le droit positif prend le dessus. Les articles 19 et 20 du décret cité  ci-dessus sont édifiants quand au rôle du chef qui est un auxiliaire de l’administration appelé à tout faire dans le respect des directives des autorités administratives.

-         Majesté, pensez – vous que la décision du ministre de l’Administration Territoriale a un quelconque rapport avec l’appartenance politique de sa Majesté Paul Marie Biloa Effa ?

La première interrogation est de savoir si les textes sont respectés dans cette décision. Je ne saurais donc lire dans les intentions de monsieur le ministre. Je dirai simplement que lorsqu’on fait le choix d’être un acteur politique, il faut être prudent par rapport à certaines obligations.

-         Paul Marie Biloa Effa peut – il contester cette décision ? Et si oui, quels sont les moyens de droit dont il dispose pour le faire ?

Le Cameroun est un état donc, s’il estime que cette décision est arbitraire ou alors c’est un abus d’autorité, il va saisir la juridiction compétente qui, si je ne me trompe pas, est le tribunal administratif.

-         Qu’est ce qui peut expliquer le silence des autres chefs traditionnels face à ce que certains assimilent à une décision scandaleuse ?

Je ne peux expliquer le silence des autres de manière objective car en fait, si je dois me lever, je vais d’abord me demander s’il y’a eu violation des textes. De l’autre côté, et c’est une opinion personnelle, c’est peut – être pour certains le fait des divergences politique dans l’esprit militant.

-         Pensez – vous Majesté que la sortie de Paul Atanga Nji peut contribuer à l’apaisement du climat socio – politique ?

La question d’apaisement politique pour ce cas interroge la position de sa communauté. A ce moment, vous conviendrez avec moi qu’il est difficile de se prononcer car n’étant pas membre de cette communauté ou n’ayant pas mené un sondage.

-         Merci Majesté d’avoir répondu à nos questions.

Merci à vous pour l’honneur que vous me faites.

 

 

Entretien mené par Nicole Ricci Minyem 

 

Published in Société

Les révélations faites par le Ministre camerounais de l’Eau et de l’Energie, Gaston Eloundou Essomba à l’occasion de son passage à l’Assemblée nationale pour la défense de l’enveloppe budgétaire de son département ministériel pour l’exercice 2020, sont claires. Il en ressort que sur les 835 stations-services en activité au Cameroun, 35% sont installées dans les zones rurales. 

 

De ces données statistiques, l’on découvre qu’en ce qui concerne les produits pétroliers finis, l’activité au Cameroun a permis d’employer 5.650 personnes. C’est ce que révèle également le Ministre de l’Eau et de l’Energie Gaston Eloundou Essomba lors de son passage à l’Assemblée nationale devant les députés de la Nation à la faveur de la traditionnelle question orale aux membres du Gouvernement pour cette session budgétaire. Selon lui, en matière des produits pétroliers, les zones rurales camerounaises sont plutôt bien loties.

Ces zones le sont mieux par rapport à leur accès à l’énergie électrique notamment. Près de 22% seulement des localités situées en zones rurales ont la chance d’être connectées au réseau électrique. Le taux d’accès à l’électrification dans cette partie du pays atteint à peine les 20% à l’échelle nationale. Ces données sont celles publiées par l’Agence d’électrification rurale. 

 

Innocent D H

 

Published in Entreprises

Selon nos sources, l’armée a réussi à libéré 19 des 35 personnes kidnappées par la secte terroriste Boko Haram.

 

La secte terroriste Boko Haram a encore attaqué à l’Extrême-Nord du Cameroun. Dans la nuit du jeudi 5 décembre 2019, elle a attaqué le village de Mbreche logé dans le canton de Limani par Mora, dans le département du Mayo-Sava. Résultat de cette autre attaque, 35 habitants de ce village ont été kidnappés. Ayant été mis au courant de cette attaque, l’armée a engagé des recherches. Celles-ci ont permis de retrouver 19 otages. Il en reste 16 parmi lesquels neuf filles et sept garçons.

Alors qu’on pensait que l'Armée et la Force mixte multinationale déployées sur le terrain ont fini avec Boko Haram, depuis quelques mois, on note que la secte n’est pas à bout de force. Elle ne fait que multiplier des attaques à l’Extrême-Nord. Dans la nuit du 02 au 03 décembre 2019, les éléments de la secte ont pénétré le village Zangola non loin de Kolofata. En 24 heures, ils ont causé d’énormes dégâts. De leur attaque, il y a eu trois personnes tuées et une blessée. Ils ont également pillé des maisons et emporté une quantité importante des denrées alimentaires et des effets vestimentaires des villageois. Les populations impuissantes n’ont pu rien faire.

Au mois d’octobre 2019, la secte a réussi l’exploit d’attaquer en une seule nuit six villages. Les membres de Boko Haram ont emporté de part et d’autres de ces villages d’importants stocks de denrées alimentaires. A Banki par exemple, ils ont volé 20 moutons, 01 bicyclette. Et au passage ils ont défoncé une boutique. A Blabline, ils ont emporté des couches, des habits. Ils ont vidé les greniers. Lorsqu'ils s’en allaient, le village ne possédait même plus un seul mouton ou chèvre. 

 

Liliane N.

 

Published in Défense
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Elections Cameroon vient de publier un communiqué pour attirer l’attention des responsables politiques et des candidats des prochaines législatives et municipales.

 

Dans l’après-midi du jeudi 5 décembre 2019, le Dr Erik Essousse a rendu public un communiqué dans lequel il fait part à l’opinion nationale, des arnaques qui se construisent autour des élections législatives et municipales de 2020. «Le Directeur général des élections a l’honneur d’informer le public, que des individus manifestement mal intentionnés, demandent de l’argent aux responsables politiques et aux candidats, pour faire valider leurs dossiers de candidature à Elections Cameroon, en vue de participer au double scrutin législatif et municipal du 09 février 2020», peut-on lire dans le communiqué d’Elections cameroon (Elecam) signé par le Dr Erik Essousse.  

En mettant en garde les candidats et toute autre personne, le Dr Erik Essousse demande de dénoncer les auteurs de ces arnaques. « Le Directeur général des élections rappelle qu’Elections Cameroon n’est ni de près ni de loin associé à cette démarche malveillante, et demande à toutes personnes approchées dans ce sens, de dénoncer ces arnaqueurs auprès des autorités compétentes », peut-on lire dans le communiqué d’Elecam.

A titre de rappel, le délai de dépôt des dossiers de candidature pour les élections législatives et municipales était fixé au 25 novembre 2019. Rendu à ce jour, lesdits dépôts ont été transférés au Conseil constitutionnel pour examen. Avant la date du 25 novembre susmentionnée, les partis politiques étaient occupés par le choix de leurs représentants à ces élections. La phase des investitures a été assez mouvementée. Le choix des candidats n’a toujours pas réjoui les militants et les dirigeants des partis politiques.

Il y a des formations comme l’Union des populations du Cameroun qui ont déposé deux listes et attend de connaître quel sera leur sort.

 

Liliane N.  

 

Published in Parti politiques

Après avoir rendu public il y a dix jours, sa décision de ne pas participer aux élections du 09 février 2020, le MRC vient de passer à une autre étape dans sa dynamique de boycott. Il s’agit de la démarche dite d’explication de la décision à ses bases dans les régions. 

 

Maurice Kamto, le président du MRC vient d’envoyer dans les dix régions que compte le Cameroun, des missions d’explication de sa politique de boycott. Les différentes délégations chargées d’exécuter cette mission sont composées des membres du directoire du MRC. 

Objectif principal recherché à travers ce déploiement, porter la bonne information aux militants de cette formation politique qui se trouvent à la base (dans les régions). Il faut préciser que la décision d’envoi des missions d’explication a été prise le 29 novembre dernier. 

Dans la note interne du MRC, il est clairement indiqué que ces délégations ont pour devoir, « expliquer aux membres des bureaux des fédérations régionales, départementales, et communales la décision prise par le MRC de boycotter les prochaines législatives et municipales ». Le communiqué ajoute par ailleurs que chaque délégation du Directoire est appelée à l’élaboration de son agenda de travail, et le président du parti Maurice Kamto doit en être informé. 

Un délai de 07 jours est accordé aux différentes délégations pour mener leurs missions. Toutefois, des exceptions concernent particulièrement les régions de l’Adamaoua, du Nord et l’Extrême-Nord. 14 jours sont impartis pour les missions à mener par ces délégations. 

A la tête de ces missions, l’on retrouve des noms connus. Joseph Marie Biloa Effa, conseiller spécial de Maurice Kamto, conduit la délégation du Centre. Emmanuel Simh pilote la mission dans la région de l’Est. Dans les régions du Nord-Ouest et du Littoral, les délégations sont placées respectivement sous la responsabilité de Christopher Ndong et d’Albert Dzongang. 

Parmi les arguments soutenus par Maurice Kamto pour légitimer le boycott des prochaines élections locales par son parti, il y a selon lui l’impossibilité de tenir des élections pendant que les deux régions anglophones du pays sont en proie à un conflit sécessionniste. Il ajoute également l’exigence de modification du code électoral, comme préalable de participation du MRC à toute élection. 

 

Innocent D H

 

Published in Parti politiques
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Dans une interview accordée à ABK Radio, le docteur en droit international et consultant analyse que le Mouvement pour la renaissance du Cameroun a fait un pari décidant de boycotter les législatives et municipales prochaines.  

 

Richard Makon voit en la logique MRC de boycotter les élections, une forme de cohérence. Le juriste internationaliste remarque que le parti de Maurice Kamto a opté pour la contestation depuis la tenue de la présidentielle de 2018. Dans l’entreprise que mène décidément cette formation politique, il analyse le pari de celle-ci pour faire écrouler le régime est visible.  

« Le MRC est aujourd’hui obligé de rester dans sa cohérence et de ne pas dévier de sa trajectoire politique, il est entré dans une logique, il est entré dans une logique de contestation depuis la dernière élection présidentielle. En décidant de ne pas aller aux prochaines élections, le MRC a franchi un cap supplémentaire et il a fait le calcul que l’ordre du gouvernement s’écroulera avant la prochaine élection », renchérit Richard Makon. 

Depuis que le MRC a annoncé qu’il ne participera pas aux élections locales, il faut indiquer que côté Gouvernement, la date du double scrutin prochain reste inchangé, il est toujours prévu pour le 09 février 2020. 

 

Innocent D H 

Published in Tribune Libre
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Cette somme d’un peu plus de 40 milliards de FCFA représente en fait le reliquat du Contrat de désendettement, développement.

 

C’est en sa qualité de partenaire du Cameroun que la France a pris part hier 5 décembre 2019, à l’Immeuble étoile, à la rencontre initiée par Joseph Dion Ngute le Premier Ministre. Ladite rencontre avait comme objet la reconstruction des régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (Noso). Dion Ngute le Chef du gouvernement a fait un point sur la situation qui prévaut au Noso depuis le début de la crise baptisée crise anglophone. Il a indiqué que le gouvernement en mis en place un certain nombre de mesures pour répondre aux besoins causés par les débordements de la crise. Parmi lesdites mesures, il a cité le Plan d'assistance humanitaire d'urgence.

Ayant bien suivi le point fait par le Premier Ministre, la France a affirmé être disposé à accompagner le Cameroun. Son accompagnement se veut financier. Philippe Larrieu, le Chargé d'Affaires de l’Ambassade de France au Cameroun a indiqué que la somme de 62 millions d’euros peut être mise à contribution pour la reconstruction des régions anglophones.

« Sur ce qui peut être attendu de la France, je l'ai dit devant le Premier ministre, ce à la suite de ce qui avait été dit par le Ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian lors de sa visite au Cameroun, il y a sur le reliquat du Contrat de désendettement, développement, une somme de 62 millions d'euros (soit un peu plus de 40 milliards de F, Ndlr), et il appartient au gouvernement camerounais qui est co-gestionnaire de ce Contrat, de demander l'attribution de cette somme pour la reconstruction du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. J’ajoute qu'indépendamment de ce Contrat, il y a d'autres instruments que nous sommes en train de lister et qui sont à mesure d'apporter un appui à la reconstruction de ces deux régions, pour l'amélioration des conditions de vie des populations », a déclaré face à la presse Philippe Larrieu.

Il faut préciser qu’il n’y avait pas que la France à la rencontre suscitée. Il y a eu une quinzaine de membres du corps diplomatique et d'organisations internationales conduites par S.E Paul Patrick Biffot le Doyen du corps diplomatique, par ailleurs Ambassadeur du Gabon au Cameroun.

 

Liliane N.

 

Published in Diplomatie
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La décision a été prise ce Vendredi par le ministre de l’Administration Territoriale, Paul Atanga Nji.

 

Les motifs relevés dans le document sont entre autres : Instigation et Incitation à l’insurrection - Insubordination caractérisée à l’endroit des autorités administratives - Participation active à une manifestation publique interdite.

Jusqu’à la décision ministérielle, l’homme qui milite au sein du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun occupait les fonctions de de chef de 3ème degré dans l’arrondissement de Yaoundé 2ème.

Published in Institutionnel






Sunday, 05 June 2022 11:01