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Selon nos confrères de (20 Minutes) Donald Trump annonce la distribution de 150 millions de ces tests aux Etats-Unis, et l’OMS espère pouvoir en distribuer 120 millions aux pays les plus pauvres.

 

Alors que la pandémie a fait plus d’un million de morts dans le monde, de nombreux experts en santé publique militent depuis des mois pour l’utilisation de tests dits antigéniques, peu coûteux, comparables aux tests de grossesse et dont le résultat s’obtient en quinze minutes, contre plusieurs jours pour un test classique.

Des tests moins précis, mais plus pratiques

S’ils sont généralement moins précis, ces tests rapides peuvent amplement suffire, en particulier pendant un pic de contagiosité, au moment où il est crucial d’isoler les cas positifs. Ils permettraient ainsi de multiplier le volume de tests afin de mieux détecter la propagation du coronavirus.   

En pleine campagne pour sa réélection, Donald Trump a annoncé lundi que 150 millions de ces tests rapides seront distribués aux Etats – Unis, dont 50 millions « serviront à protéger les communautés les plus vulnérables ». Les enseignants, les maisons de retraite et les universités historiquement noires ou amérindiennes seront prioritaires, a-t-il promis.

Ces tests sont fabriqués par le laboratoire Abbott, qui a reçu une autorisation de commercialisation en urgence fin août et qui est pour l’instant le seul à les proposer aux Etats-Unis.

Développer le dépistage dans les pays les plus pauvres 

Lors d’une conférence de presse, Tedros Adhanom Ghebreyesus - directeur général de l’OMS, a tenu ces propos : « Nous avons un accord, nous avons un début de financement et maintenant nous avons besoin du montant total pour pouvoir acheter ces tests… ».

D’un coût unitaire de 5 dollars, avec un prix qui devrait baisser à mesure que la production augmente, il faudrait cependant 600 millions de dollars à l’organisation onusienne pour financer sa promesse, alors que le Fonds mondial a d’ores et en a d’ores et déjà promis 50 millions.

Une question centrale pour les pays les plus pauvres : selon l’OMS, là où les pays riches réalisent en moyenne 292 tests par 100.000 habitants, les pays à revenu faible et intermédiaire n’en font que 61 et les pays à faible revenu, seulement 14.

L’Europe se referme face à la recrudescence des contaminations

Ces annonces interviennent alors que la pandémie continue de progresser un peu partout dans le monde, en particulier en Europe où le virus circule toujours à un rythme élevé.

Derniers pays en date concernés, la République Tchèque et la Slovaquie ont annoncé lundi leur intention de déclarer l’état d’urgence pour faire face à la forte recrudescence de cas de contaminations. 

« La situation est extrêmement grave, et je pense que nous devons adopter des décisions très radicales et très audacieuses », a déclaré le chef du gouvernement slovaque, Igor Matovic, à l’issue d’une réunion d’une cellule de crise dans son pays.

A l’ouest du continent, la France et l’Espagne  multiplient les restrictions pour tenter de ralentir cette nouvelle vague de contaminations. Madrid a instauré de nouvelles zones de restrictions, tandis qu’Aix-en-Provence et Marseille, dans le sud de la France, ont vu leurs bars et restaurants fermer leurs portes dimanche soir.

Même ambiance de l’autre côté de l’Atlantique. Alors que New York, déjà durement touchée durant le printemps, voit le nombre de contaminations repartir à la hausse, au Canada, Montréal et Québec passent en « alerte » rouge pour 28 jours avec la fermeture de plusieurs secteurs de l’économie durant la période.

L’Amérique latine rouvre

A l’inverse, en Amérique latine, durement touchée par le Covid – 19, les restrictions se lèvent peu à peu : les vols internationaux vont reprendre en Colombie et au Pérou, et la quasi-totalité des 7 millions d’habitants de Santiago du Chili ont retrouvé lundi leur liberté de circulation après des mois de confinement.

Même chose en Australie, avec la fin de deux mois de couvre-feu nocturne à Melbourne à la faveur d’une baisse marquée du nombre de nouvelles contaminations.

La pandémie a fait au moins 1.002.036 morts dans le monde depuis fin décembre, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles ce lundi. Les Etats-Unis sont le pays le plus touché tant en nombre de morts (205.024) que de cas enregistrés (7.147.070), devant le Brésil (142.058 morts).

 

N.R.M

 
 
 

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale pense qu’il est bien de faire comprendre au peuple qu’on convie à descendre dans la rue, qu’il pourra être tenu pour responsable en cas de débordement.

Serge Espoir Matomba pense qu’il y a un travail préalable à faire en direction du peuple qu’on appelle à descendre dans la rue. Ce travail c’est de le mettre au parfum du fait qu’il pourrait être tenu pour responsable en cas de débordement. Le premier Secrétaire du Peuple Uni pour la Rénovation sociale (Purs) n’est pas contre la tenue des manifestations. D’ailleurs dans son post, il reconnait leur légitimité. Il est tout simplement contre le fanatisme et le fait de garder le peuple ignorant sur ce qu’il risque en cas de débordements.

«Manifester est légitime. Mais, se fanatiser et commettre des débordements est répréhensible par la loi. Le rappeler au peuple avant de le convier dans la rue est tout aussi légitime et participe de son émancipation», a écrit Serge Espoir Matomba sur son compte Twitter.

Grégoire Owona

Ce message de Serge Espoir Matomba se rapproche de celui de Grégoire Owona le Secrétaire général adjoint du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), qui avait tenté de dissuader les compatriotes à descendre dans la rue le 22 septembre dernier, comme le demandait Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc). Le Sga du Comité central du Rdpc s’était questionné sur ceux qui porteraient la charge de réparer les dégâts qui pourraient être commis lors des manifestations.

«Nous avons vu ailleurs, des marches dites pacifiques s’achever dans des débordements violents. Lorsque les manifestants ont tout brulé, lorsque les manifestants ont tout cassé, qui va payer, qui va réparer, qui va assumer ?»,  avait déclaré le Ministre Grégoire Owona.

Liliane N.

L’Institut Françoise Mbango ouvre ses portes pour cette année académique 2020 / 2021. Un institut supérieur entièrement consacré à l’éducation physique.

 

L’Institut Supérieur d’Education Physique Françoise Mbango (ISEP – FM) a reçu son agrément du ministère de l’enseignement supérieur. L’Institut qui ouvre ses portes à Yaoundé offrira des formations en Science et Technique des Activités Physiques et Sportives (STAPS). Cette formation se décline dans les filières telles que Education physique et sportive, entrainement sportif, mais aussi dans les domaines du management sportif avec des filières telles administration du sport et évènementiel sportif. Des filières qui sont des entrées en matière et qui sont appelées à se développer au cours des prochaines années académiques.

 

Des formations qui donnent droit à des diplômes homologués par le ministère de l’enseignement supérieur du Cameroun. Comme quoi, le candidat qui termine ses études au sein de l’Institut Françoise Mbango obtient les mêmes diplômes que ceux des étudiants sortis de l’INJS. Les filières en rapport avec l’éducation physique et sportive donnent lieu à un CAPEPS (Certificat d’aptitude au professorat d’éducation physique et sportive. Ceci au terme de trois (03) ans d’études. Mais une formation plus courte dans cette filière peut également aboutir au diplôme de Maîtres principaux d’éducation physique et sportive (02 ans d’études).

A côté, les formations dans le domaine du management sportif donne droit aux BTS ou au HND dans les différents aspects du management en question.

 

Les débouchées de telles formations sont nombreuses. Les étudiants de l’Institut Françoise Mbango peut devenir enseignant d’éducation physique et sportive, hauts cadres des administrations en charge du sport ou en relation avec le sport, entraîneurs de clubs de différentes disciplines sportives (football, handball, basketball etc), gestionnaires des centres sportifs ou même directeur de stades et d’infrastructures sportives de haut niveau, préparateurs physiques des sportifs de haut niveau, professeurs adjoints d’EPS, maître principaux d’EPS, chef de projet, directeur de ressources humaines, responsable administratif et bien d’autres encore.

 

C’est une belle opportunité de formation qu’offre la double championne olympique Françoise Mbango à ses compatriotes. Il faut reconnaître que jusqu’ici, c’est l’Institut National de la Jeunesse et des Sports qui avait l’exclusivité de la formation dans les domaines de l’éducation physique sur le territoire camerounais. Un monopole qui n’a pas permis à des milliers de jeunes de s’offrir une formation professionnelle dans les domaines du sport. Or quand on sait ce que devient l’économie du sport dans le monde entier, et quand on considère le nombre de jeunes camerounais qui chaque jour vivent des c=activités sportives, cette école de formation, cet Institut est la bienvenue.

 

Stéphane NZESSEU

Telle est la quintessence du message que l’Armée Camerounaise adresse à tous les élèves qui vont prendre le chemin de l’école le 05 Octobre prochain.

 

Dans son éditorial radiophonique le week-end dernier, le chef de la division de la communication Cyrille Serge Atonfack Guemo a rappelé que la pose des jalons de son futur qu’elle souhaite radieux n’est pas uniquement partagée par les jeunes résidents dans les régions dites francophones.

C’est le vœu de ces enfants qui pendant quelque temps, ont été  convertis au nihilisme par des porteurs illusoires de félicité.

« Ils entendent eux aussi se saisir de la rentrée scolaire qui pointe à l’horizon, comme une occasion inespérée de se réconcilier avec la vie ; car en dépit des parjures contre l’Etat, malgré les exactions contre les populations, tout reste possible à quiconque voudra comprendre qu’il n’est pas de meilleur guide vers la prospérité, que le sillage de l’encre noire sur une page blanche… 

Conscients aussi du fait que l’encre noire, est de loin plus émancipatrice que le sang des prédateurs suicidaires intoxiqués à la haine, abrutis aux stupéfiants et au tramol ».

Il est plus que temps de rejeter tous ces mots d’ordre proscrivant la fréquentation de l’école 

Faisant un bref historique de l’avènement de ce type de communication, lancé en 2014 par boko haram et repris en 2017 par les ambazoniens, et qui prospère sur les réseaux sociaux, le responsable de la communication de la Grande Muette, dans le but de mieux asseoir son assertion et démontrer l’importance de l’acquisition du savoir, argue que « Dans les tortueux arcanes d’une logique de monopolisation de l’universel sapien, dont ils ne mesurent que trop bien la prééminence de l’incontestatibilité du pouvoir,  d’étranges libérateurs prétendument éclairés, en majorité confortablement établis à l’étranger, investissent dans la paupérisation des populations et l’ensauvagement de la jeunesse…

Au détour des slogans prêts à consommer, qu’ils dispensent d’avoir à consommer, autrement dit, d’avoir à s’assumer en droits,  devoirs et libertés, ils  œuvrent à désorienter, voire à désespérer le plus grand nombre, dans le but de tranquillement faire main basse sur nos ressources…

L’appel à la mise à mort de l’école, l’incitation à la destruction des biens et infrastructures publiques et privées, la promotion des ostracismes sténo – typiques, culturels, confessionnels, géographiques, linguistiques ou idéologiques, sont des éléments du projet de société que ces bonimenteurs veulent imposer à tous ;

En lieu et place de projets de société, d’absurdes composantes d’un vaste dessein criminel, ouvrant la porte à la commission des pires atrocités. L’obstruction du désir de connaissance de ces atrocités là ».

Et pourtant, poursuit-il,  

« La multipolarité ambiante se veut propice à l’éclosion et à la dissémination des savoirs et savoirs faires scientifiques. Il semble dès lors bien curieux que les idéologies régressives se fassent subitement jour, dans les pays en quête de connaissance ; des pays qui, à l’instar du Cameroun s’approche à grand pas de l’autonomie cognitive, fonctionnelle et entrepreneuriale…

Dans un monde où l’expression de la capacité cognitive est le déterminant fondamental du degré de respectabilité, quelle nation acceptera – t – elle jamais, ou jugera seulement  tolérable, de faire de son peuple, un point noir dans la galaxie de la lumineuse connaissance ? Quelle nation acceptera de son pays, une zone de silence dans le conseil des puissances communicantes »?

La réponse est évidente : Assurément pas la Nation Camerounaise.  

Le Cameroun compte sur l’éducation de ses enfants, pour prendre une part active, dans la marche du monde et ce, dans tous les domaines. Et, des mesures seront prises afin d’assurer à la jeunesse de ce pays, fer de lance de cette Nation,  l’instruction mais aussi l’éducation dont elle a besoin, pour atteindre ces objectifs.

 

Nicole Ricci Minyem  

 

Le reporter du site d’information en ligne Afrik Inform avait été pris le jour des marches du 22 septembre dans les rues de Douala. Après une semaine d’incarcération, il retrouve la liberté.

 

 

Aristide Bounah, le promoteur de la plate-forme Afrik inform peut enfin dormir tranquille.  Il partage sa joie avec le reste de la presse « l'équipe d'Afrik Inform est heureuse de vous annoncer ce jour la mise en liberté sous caution de son journaliste Éric Ewanè. » Le responsable du journal rappelle à l’opinion publique nationale et internationale les circonstances de l’arrestation de son journaliste. « Il a été interpellé au cours de la matinée du 22 septembre et gardé à vue auprès des services de la Division Régionale de la Police Judiciaire du littoral alors qu'il couvrait pour le compte de son média les marches initiées par le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun et certaines organisations politiques alliés à cette cause. »

 

C’est l’occasion de remercier quelques acteurs des médias et de la société civile qui ont contribué à la libération de ce jeune journaliste camerounais. « Tout en remerciant les corporations de journalistes, les acteurs de la société civile et les milliers de followers de notre Média en ligne qui se sont mobilisés à cet effet, le promoteur d'Afrik Inform tient à rappeler le caractère républicain de son entreprise de presse dont le seul but est d'informer en temps réel les Africains et camerounais en particulier sur divers faits d'actualité. Sans parti pris, nous travaillons au quotidien à informer nos populations.

Notre reconnaissance à l'endroit d'Aristide Ekambi, président régional du SNJC pour le littoral, Angela Quintal du comité mondial de défense des journalistes, Arnaud Froger de Reporters sans frontières, à toute l'équipe de Radio Balafon conduite par Cyrille Bojiko, aux lanceurs d'alerte Boris Bertolt et David Eboutou ainsi qu'à tous les médias ligne qui nous ont soutenu pendant cette épreuve difficile. Merci une fois de plus à tous et à chacun. Recevez à travers ces quelques mots l'expression de notre profonde gratitude. »

 

Eric Ewanè a retrouvé sa famille ce mardi soir. Cette famille qu’il avait laissée pour aller faire son travail comme d’habitude. Et simplement pour avoir fait son travail, relayer l’information, il a été interpellé et incarcéré durant une semaine. Plus de peur que de mal. Vivement que les autres hommes de médias encore incarcérés soient libérés.

 

Stéphane NZESSEU

Le groupe de travail est composé des représentants de la Fédération camerounaise de football, de la Ligue de Football Professionnel du Cameroun, du Comité national olympique et sportif et du Comité local d’organisation du prochain championnat d’Afrique des nations.

Le Ministère des Sports et de l’Education physique (Minsep) dirigé par Narcisse Mouelle Kombi, a décidé d’intervenir dans l’affaire qui oppose la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) à la Ligue de Football Professionnel du Cameroun (Lfpc). En réalité on ne devrait plus parler d’affaire étant donné que le Tribunal arbitral du sport (Tas) le 18 septembre 2020 a sorti son verdict qui donne gain de cause à la Lfpc dont le président est le Général Pierre Semengue. Et le verdict du Tas réhabilite la Lfpc dans ses fonctions qui avait été suspendue par la Fécafoot.

La décision du Tas jusqu’ici semble ne pas être appliquée par la Fecafoot. Lors de son assemblée générale qui a eu lieu le 25 septembre dernier, a certes réhabilité la Lfpc, cependant en y mettant d’autres points qui enlisent le conflit. Ces points sont par exemple, que la Fécafoot affirme qu’elle accorde une dérogation de huit mois au président de la Lfpc le Général Pierre Semengue pour qu’il achève son mandat. Au motif que son âge (85 ans) a dépassé les 75 ans requis pour être président de la LFPC, suivant le nouveau règlement que la Fécafoot a arrêté en 2019. En déphasage avec celui de la FIFA auquel sont soumis toutes les Fédérations, qui interdit toute exclusion dans le football pour des raisons d’âge, de sexe, de religion ou de race.  

Narcisse Mouelle Kombi le Ministre des Sports et de l’Education physique a donc décidé de mettre sur pied un groupe de travail qui va se charger d’appliquer la sentence du Tas. Ce groupe de travail sera piloté par Joseph Yerima le Secrétaire général du Minsep. Pour le membre du gouvernement, le principal enjeu ici est de sauver le Chan. Raison pour laquelle il prescrit le lancement rapide du championnat en vue de préparer les footballeurs pour  cette compétition qui se jouera  à domicile entre janvier et février 2021.

Liliane N.

Ce mardi soir aura lieu, le premier débat télévisé entre le Président étasunien et son challenger dans le sillage de la présidentielle du 03 novembre prochain. Un duel en mondovision qui intervient après plusieurs mois d’invectives dans les chaumières.

 

Des dizaines de millions d’américains vont suivre avec intérêt ce premier débat entre le Président républicain âgé de 74 ans et l’ancien vice-président démocrate de 77 ans. Donald Trump et Joe Biden vont ainsi se retrouver sur scène pour un duel télévisé de 90 minutes. Tout se fera sous l’œil du journaliste de Fox News, Chris Wallace, figure respectée dans les deux camps, apprend-on de l’AFP.

Pour des observateurs avertis, plusieurs sujets seront au menu de ce débat : la gestion de la crise sanitaire de Covid-19, la Cour suprême, l’économie, les questions raciales, les bilans des deux candidats, mais surtout « l’intégrité du scrutin ».

 Les enjeux de cet affrontement sont clairs pour les deux candidats à la Maison blanche.  Donald Trump espère certainement ce soir, un faux pas de son adversaire qui bénéficie des faveurs des sondages depuis de longues semaines. Pas donc besoin de lire sur une boule de cristal, Trump redoute de devenir le premier président à ne pas être réélu depuis plus d’un quart de siècle (défaite de Georges H. W Bush face à Bill Clinton en 1992).

Toutefois, il serait mieux de s’interdire d’une prise de position hâtive, car c’est une fois que le président sortant actuel s’est présenté en 2016, et a créé la plus grande surprise de l’histoire politique du temps moderne.

De son côté, Joe Biden, entré en politique il y a un demi-siècle, l’ancien sénateur puis vice-président démocrate compte beaucoup sur sa troisième tentative d’accession à la Maison Blanche. L’on se rappelle, le challenger de Donald Trump en 2020 s’était présenté aux primaires démocrates en 1988 et 2008.

Innocent D H

 

Réunis à la cour d’honneur de la Garde Présidentielle, quatre cent soixante six (466) enfants, dont la grande majorité est orpheline de père, venus de cent vingt et une (121) familles, ont reçu des fournitures scolaires il y a quelques jours.

 

Des cartables, des crayons ordinaires, des stylos à bille, des cahiers tout formats, des calculatrices, des règles graduées, des ardoises, bref tout le matériel didactique dont ils peuvent avoir besoin. Les bénéficiaires sont inscrits à la maternelle, au primaire, au secondaire et au supérieur.

Ils ont reçu cet accompagnement national au cours d’une cérémonie riche en sons et en couleur, mais au cours de laquelle l’émotion transparaissait plus que tout autre sentiment ; un cocktail de douleur, de mélancolie et joie.

Cet élan de cœur est une symphonie d’actes posés par des mécènes civils et bien évidement des hommes en tenue. Tous ont voulu passer le message de la promotion des valeurs humaines  un geste à pérenniser par ceux qui reçoivent des dons de la Nation, depuis de nombreuses années aujourd’hui.

Du moins, c’est le vœu émis par le colonel Raymond Jean Charles Beko’o Abondo - Commandant de la GP : « Que les bénéficiaires d’aujourd’hui se souviennent demain, lorsqu’ils seront dans la vie active et en fassent autant. Qu’ils perpétuent cette action solidaire, eux et même leurs parents…Car la flamme allumée pour eux, ne doit pas s’éteindre. C’est un vibrant hommage rendu à nos camarades tombés sur le champ de bataille…».  

C’est dans la même logique que s’est inscrite Aude Michelle Kanwe -   Représentante du Centre des œuvres sociales de la Garde Présidentielle et, les deux responsables ont invité les pupilles de la Nation à « faire bon usage des aides reçues… ».

Ils ont en outre été invités à redoubler d’ardeur au travail afin que les résultats obtenus soient un catalyseur auprès des donateurs qui se sont engagés à promouvoir et récompenser les efforts ; Au-delà de cet aspect, il est question pour les pupilles de la Nation, de saluer la mémoire de leurs parents qui ont consenti le sacrifice suprême, celui du don de leur vie, afin de préserver l’intégrité du Cameroun. Pays qu’ils ont servi avec honneur et fierté.

Colonel Raymond Jean Charles Beko’o Abondo - Commandant de la GP : « Si vous êtes ici, c’est parce vos papas ont été avec nous. Ils ont été nos amis, nos camarades. Notre devoir est de poursuivre l’œuvre qu’ils ont commencée…Ne les oubliez pas ! »

 

Nicole Ricci Minyem

 

Amnesty International vient de publier un rapport qui accuse la France de mettre en arrestation des manifestants parmi les gilets jaunes. Or à écouter les activistes du MRC on croirait que le Cameroun est le seul pays qui arrête des manifestants.

 

Le rapport est paru ce mardi 29 septembre 2020 sous le titre « arrêté-e-s pour avoir manifesté ». L’ONG dénonce la répression disproportionnée des manifestants, Gilets jaunes et autres mouvements sociaux de 2018 à 2020. C’est un document de soixante et une pages qui met en lumière, exemples à l’appui, les violences policières et les arrestations arbitraires de manifestants pacifiques au cours des manifestations sociales, en France, entre 2018 et 2020. Intitulé : « Arrêté-e-s pour avoir manifesté- La loi comme arme de répression des manifestant-e-s pacifiques en France », le rapport constate que le gouvernement a adopté des mesures inappropriées et liberticides.

On peut lire dans le rapport, « entre le 17novembre 2018 et le 12 juillet 2019, la police et le ministère public ont placé en garde à vue 11.203 personnes qui avaient participé aux manifestations des Gilets jaunes, souligne le rapport. Le ministère public a engagé des poursuites contre 5241 personnes, dont 3.204 ont été déclarées coupables, y compris pour des actes de violence (dégradations volontaires, par exemple) mais aussi pour des actes non-violents. »

 

Les forces de l’ordre et les autorités judiciaires françaises ont instrumentalisé le droit pénal et se sont appuyées sur des lois très générales pour arrêter et poursuivre des milliers de manifestant(e)s qui ont été pris(e)s dans l’étau du système judiciaire sans avoir commis aucun acte violent ajoute le rapport.

 

Il ajoute : « En 2019, les tribunaux ont déclaré 20.280 personnes coupables d’outrage à l’encontre de personnes dépositaires de l’autorité publique, y compris dans des contextes de manifestation. Des personnes ont également fait l’objet d’arrestations et de poursuites pour avoir organisé des manifestations pacifiques, au motif qu’elles n’avaient pas respecté l’obligation de déclaration préalable, ce qui, selon le droit international relatif aux droits humains et les normes en la matière, ne doit pas constituer une infraction. »

Bref, « les autorités ont instrumentalisé des lois pénales dans le but déclaré d’en finir avec la violence. Elles ont ainsi déployé tout un arsenal de dispositions législatives pouvant être utilisées à tout moment pour restreindre indûment le droit à la liberté de réunion pacifique ». À la lumière de ce qui précède, Amnesty demande au Parlement français de revoir les dispositions concernant le droit à la liberté de réunion pacifique pour les mettre en conformité avec le droit international et les normes en la matière.

 

Il est vrai que le parallèle ne peut pas être fait de manière absolue avec les derniers évènements au Cameroun. Puisque les contextes et les raisons pour lesquelles certains citoyens se sont retrouvés dans la rue n’avaient rien de si pacifique. Il faut se le rappeler, ils avaient l’intention de destituer le Chef de l’Etat par la rue. Ils étaient en pleine violation des lois camerounaises. De toute évidence, les activistes du MRC et des autres mouvements de la société civile peuvent se rendre compte du professionnalisme des forces de défense du Cameroun.

 

 

Stéphane NZESSEU

Il est disponible depuis quelques heures. Le clip du titre « Minga wama », une belle découverte de la femme camerounaise.

 

Le virtuose de la guitare nous offre un nouveau régal musical. Il pince à nouveau les cordes de sa guitare pour célébrer la femme noire, mais davantage à l’amour de sa vie. Un cantique à l douceur et à la candeur de ces belles dames qui savent nous donner un nouveau souffle par l’éclat de leur beauté et de leur sourire. « Minga wama » qui veut dire mon épouse, fait partie de ces chansons que les amoureux et tous ceux qui s’aiment pourront exploiter pour rafraîchir leurs moments de tendresse. Une chanson qui rappellera aux mariés les beaux jours qui ont donné naissance à l’idylle qu’ils vivent. C’est également un encouragement au mariage.

 

Germain Essomba fait dans un mélange de sonorités du patrimoine national Camerounais, pour lui le 237 est une Mosaïque de rythme et sonorités et chacun peut s'y retrouver, l'album est sorti depuis quelque mois, et nous avons observé un Grand déploiement médiatique et communicationnel de cet immense artiste Musicien à la suite de la sortie de son nouvel album intitulé « L'Exploitation » dans les réseaux sociaux, plusieurs articles dans la presse écrite, les radios, télévisions, et particulièrement dans l'émission à succès de la Crtv « Cameroun feeling ». Le Clip de la chanson « Né pour aimer » passe presqu'en boucle à la Crtv, video qui prône l'amour dans plusieurs langues usuelles au Cameroun. Le clip « Mingã wāma » est très riche dans l’agencement des images. De belles couleurs. Tout a été fait pour que regarder cette vidéo ne soit pas agressif pour les yeux. Les séquences de chaque pièce montée sont en soi une expression de tendresse et d’amour. Du pur régal. Une belle balade visuelle. Un travail accompli sous la supervision du réalisateur Théophile TakwaSuh.

Devant une telle prouesse, nous vous invitons à déguster cette belle prestation sans modération.

 

Seulement, on ajoutera qu’il aurait été plus évocateur si le réalisateur de ce vidéogramme ne choisissait pas de mettre en vedette une femme au teint visiblement décapé. Le fait de présenter régulièrement des femmes qui ont une peau décapée alors que l’on parle de femmes africaine et que l’on s’adresse au monde en prenant soin de présenter la culture locale, il y a comme déphasage dans le discours visuel. Manifestement Germain Essomba veut magnifier la culture camerounaise si l’on s’en tient au choix de la langue qui domine son chant. Il aurait été bien d’aller jusqu’au bout de cette logique.

 

Stéphane NZESSEU

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Sunday, 05 June 2022 11:01