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Le Gouvernement camerounais projette l’imposition d’un droit de timbre sur la publicité y compris les distributions gratuites dans le cadre de la promotion commerciale, et sur tout autre support matériel ou immatériel. C’est dans le cadre de la préparation de la loi de finances de l’Etat du Cameroun pour l’exercice 2021.

 

Dans le projet de loi de finances 2021 qui sera soumis aux parlementaires au cours de la session budgétaire de novembre 2020, figure parmi les projections, un droit de timbre qui sera perçu au taux de 3% du coût de la publicité pour chaque support, qu’il soit imprimé localement ou importé, à l’exclusion de la publicité par véhicule automobile. S’agissant de la publicité sur les tabacs et les boissons alcoolisées, y compris sous la forme de distributions gratuites, le droit de timbre sera perçu au taux de 15%.

Le projet de texte gouvernemental indique tout de même que le droit de timbre sur les distributions gratuites lors de la promotion commerciale devra être déclaré et reversé auprès des centres des impôts de rattachement des entreprises, au plus tard le 15 du mois suivant celui au cours duquel les distributions ont été faites, note-on.

Les investissements publicitaires se chiffrent à environ 25 milliards FCFA par an, selon les informations fournies par le Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam). Une véritable niche de ressources pour l'administration fiscale camerounaise.

Il faut dire que le projet de loi de finances 2021 que va présenter le Gouvernement au Parlement lors de la session de novembre, pourrait également durcir la réglementation contre les marketers insolvables qui trichent parfois avec la Taxe spéciale sur les produits pétroliers (Tspp). En effet, concernant le non-acquittement de ladite taxe par les marketers dans les délais légaux, le projet de texte prévoit « leur suspension immédiate des enlèvements des produits pétroliers auprès des sociétés en charge de la gestion des dépôts pétroliers ou de raffinage, et transmission des informations aux services fiscaux pour constatation de la dette fiscale vis-à-vis du redevable réel ».

 

Innocent D H

 

 

C’est dans le cadre d’une descente de lutte contre les activités illégales effectuée par les autorités administratives dans la capitale économique. Selon les informations que rapporte le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, il a été découvert dans cette usine des tubes en métal, une scie électrique, du matériel de forge et un dispositif en énergie électrique notamment.

 

D’après Cameroon Tribune, deux suspects ont été interpellés. L’un des deux hommes est présenté comme un soudeur. C’est lui qui aurait dénoncé son complice présumé après son interpellation. La découverte de cette fabrique illégale d’armes artisanales a été rendue possible grâce à un renseignement reçu en amont, apprend-on de cette source.

A titre de rappel, récemment les éléments de la compagnie de gendarmerie du Moungo avaient découvert une usine de fabrication d’armes à feu artisanales à Nkongsamba, le chef-lieu de ce département du Littoral.

Plusieurs armes en cours de fabrication avaient alors été saisies et le propriétaire des lieux, un repris de justice, appréhendé. A en croire, les premiers éléments de l'enquête, il fournissait régulièrement des armes à feu à des clients dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, en proie à la crise anglophone depuis fin octobre 2016.

Notons que ce nouveau démantèlement intervient dans un contexte marqué par la recrudescence des attaques armées contre des écoles par des groupes armés dans ces deux régions du Cameroun.

Après le massacre de Kumba le samedi, 24 octobre dernier où des élèves ont été froidement assassinés par des hommes sans foi ni loi, une autre école à Limbe dans le Sud-Ouest vient d’être attaquée ce 04 novembre 2020 par des hommes armés non identifiés. De sources locales, ces personnes armées ont battu et déshabillé les enseignants et les élèves.

 

Innocent D H

 

 

Ce mercredi 4 novembre 2020, des individus non identifiés ont attaqué le Kulu Memorial College, à Mile IV à Limbé. Selon les sources sur place, des personnes armées ont battu et déshabillé les enseignants et les élèves. Un geste qui ne laisse indifférent le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn). 

 

Après cette autre attaque de trop perpétrée par des hommes armés non identifiés contre une école à Limbé, dans le Sud-Ouest Cameroun, Cabral Libii décrit les faits qu’il condamne avec la dernière énergie. Sur sa page Facebook, le président du Pcrn écrit : « Une vidéo virale circule en ce moment et montre des terroristes se livrant à des actes de brutalité et d’humiliation des jeunes élèves dans un établissement scolaire de la partie anglophone du pays. Hier encore on rapportait le cas d’enseignants kidnappés par une horde de bandits à Kumbo ».

L’homme politique poursuit par ailleurs, « L’objectif est manifestement de perturber la reprise des cours après 04 longues années blanches dans cette partie du pays. Je condamne avec la plus grande fermeté ces actes ignobles qu’aucune personne de bonne foi ne pourrait inscrire dans le cadre des revendications sécessionnistes pacifiques ».

Cabral Libii garantit tout son soutien aux élèves, aux enseignants et parents qui vivent l’enfer du terrorisme dans cette partie du Cameroun en crise. « Je réitère ma proposition au Président de la République d’apporter une réponse sécuritaire à la hauteur de la menace actuelle. La situation n’est manifestement pas maîtrisée. Un état d’urgence devrait être rapidement décrété pendant que le règlement politique de la crise se poursuit », souhaite le candidat arrivé troisième à la présidentielle de 2018.

Innocent D H

 

 

Kidnappés ce Mercredi par des criminels, alors qu’ils se rendaient à l’école, ils ont été sauvés grâce à une action conjointe menée par les Forces de Maintien de l’Ordre et la population

 

Un happy end

C’est du moins l’avis de ces parents et proches qui, après ce rapt, ne savaient plus à quel saint se vouer, quand on sait que certaines localités dans la Région du Nord Ouest restent réfractaires à toute invitation au cessez le feu.

Et, au cours des dernières années, le Département du Bovo a trsitement fait parler de lui, car présenté comme fief des ambazoniens, qui se sont illustrés par des assassinats et autres crimes barbares.

Conduits à l’hôpital avant d’être remis à leurs familles respectives, les enfants qui sortent de loin, gardent un regard hagard, craintif, certainement à cause du traumatisme subi.

« C’est ensemble qu’on est fort »

Message passé ce Mercredi, lorsque la communion des efforts a permis de mettre en déroute ces êtres lâches, qui se croient forts parce qu’ils perpétuent des actes terroristes contre de petits enfants.

La libération de ces innocents vient prouver, s’il en était encore besoin qu’il est possible de lutter efficacement contre ces individus sans foi, ni loi, qui ont fait du crime leur gagne pain quotidien.

Grâce à cet acte, les Habitants de cette localité ont démontré qu’ils peuvent venir à bout de tous ceux qui les ont tenus en captivité morale et physique pendant longtemps, s’opposer à eux et retrouver leur dignité bafouée.

Ils ont compris qu’en faisant entièrement confiance aux éléments des Forces de Maintien de l’Ordre, ils contribuent à créer un climat d’apaisement, de sérénité, de quiétude… Toute chose qui va leur permettre de renouer avec leurs activités et changer l’histoire de cette Région que certains s’attèlent à présenter comme un repaire de brigands.

Copier le bon exemple

Il n’est évidement pas facile, pour aucun parent, de dénoncer son enfant, surtout lorsque ce dernier devient même un danger pour ses proches, à cause des crimes qu’il commet et des drogues qu’ils consomment.

Mais, parfois, l’amour d’un géniteur pour celui à qui il a donné la vie le met face à des situations qui lui imposent de faire un choix difficile, de consentir à un sacrifice qu’il ne peut éviter.

Et, après le drame de Kumba le 24 Octobre dernier, c’est cet appel que les Camerounais, dans leur grande majorité, (en dehors des promoteurs de cette crise sécuritaire) lancent à leurs concitoyens du Nord et du Sud Ouest : Il faut dénoncer.

Cela pourrait permettre, à ceux qui, par exemple sont en possession des armes par contrainte, de regagner les structures mises en place par le Gouvernement, afin de faciliter leur insertion.

Le sang des Camerounais a trop coulé et rien, absolument rien, ne peut justifier une telle saignée. Il est donc temps de se mettre ensembles pour dire NON à cette barbarie.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Les bâtiments flambants neufs ont été réceptionnés ce Mardi par Alexis Lambert Dogoua Keman - Secrétaire Général de la Mairie de Bertoua 1er

 

Construits sur financement du ministère de la Décentralisation et du Développement (Minddvel), il s'agit notamment, de deux blocs de deux salles de classes, des bureaux pour l’administration de cet établissement scolaire et de six toilettes.

Bâtis à Zangoua – l’un des quartiers de la ville, ces nouvelles infrastructures font place à celles qui, jadis, étaient logées dans la même enceinte que le Groupe scolaire de Mokolo 2, lieu dit deux poteaux.

Une proximité qui n’a pas toujours été facile, surtout pour les apprenants francophones à cause de l’insuffisance des salles de classe. Cette séparation a permis au staff administratif, au corps enseignant et même aux élèves de pousser un grand ouf de soulagement car, ils ont fait leurs adieux aux bousculades et autres désagréments causés par un voisinage pas toujours accommodant.

Les parents, présents lors de la cérémonie de rétrocession, se sont eux aussi sentis « soulagés et rassurés de savoir que leurs enfants vont acquérir le savoir dans de bonnes conditions, loin de la promiscuité qui a toujours le quotidien… ».

De nombreux discours ont émaillé cette cérémonie qui s’est voulue sobre, à cause de l’assassinat récent des élèves de Kumba et, à cet effet, l’on a d’ailleurs observé une minute de silence, pour le repos de leurs âmes, et souhaiter un prompt rétablissement à ceux qui sont encore internés dans les hôpitaux.

Le Secrétaire Général a en outre saisi cette occasion, afin de demander au chef d'établissement de « Veiller à la maintenance et surtout de travailler avec les populations riveraines, afin de garantir la pérennité des locaux. Ceci en attendant que d'autres dispositions soient prises pour le bien être des apprenants… ».

A ces derniers, Alexis Lambert Dogoua Keman a recommandé l’assiduité à l’école, le respect ainsi que la mise en pratique des leçons de civisme… ».

Une action qui doit faire tâche d’huile, puisque la construction de ces salles de classe, du bloc administratif et des toilettes est le résultat des efforts conjoints entre les populations, les élites, avec l’appui du ministère de tutelle.

Il est urgent de changer ces images qui circulent sur les réseaux sociaux, montrant notamment des enfants assis par dizaine sur la terre battue, sous des abris de fortune, menaçant de leur tomber dessus au moindre coup de vent, et qu’ils sont toujours obligés d’abandonner lorsqu’il pleut fortement.

Après la construction de ces locaux, d'autres infrastructures sont à venir. Un forage pour l'approvisionnement en eau, une barrière pour sécuriser l'établissement qui est actuellement en périphérie, afin d'éviter tout vandalisme.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Elles ont été émises ce Lundi, lors de la descente inopinée de Pauline Nalova Lyonga dans certains établissements scolaires de Yaoundé.

 

La problématique a été posée par les Hommes des médias, en faisant référence aux apprenants qui vivent dans des coins les plus reculés du Cameroun, qui font face au déficit des services les plus élémentaires dont l’accès facile à l’instruction.

Des élèves qui sont tout aussi intelligents, voire plus que ceux qui vivent dans les grandes métropoles et qui ont à leur disposition, des enseignants qui n’éprouvent aucune difficulté à dispenser les cours en suivant un programme bien établi.

Il a en outre été fait mention de ces enseignants qui, bien qu’affectés à l’arrière pays, refusent de s’y rendre, prétextant que les mesures d’accompagnement nécessaire à leur intégration dans les zones d’affectation ne sont pas toujours disponibles.

Et pourtant, dans ces villages et autres campagnes, il y a des enfants qui préparent par exemple des examens, mais aussi des concours qui vont leur donner accès à de grandes écoles après l’obtention de leur Baccalauréat.

Des préoccupations prises en compte par le membre du Gouvernement et ses collaborateurs, qui ont rappelé qu’ : Il y a une grande différence entre le « distance éducation et le E Learning ». Le deuxième n’est qu’un des éléments du premier.

De manière plus précise, le « Distance Education intègre le fait qu’on peut mettre à la disposition de l’apprenant, notamment ceux qui se trouvent dans les zones reculées, des outils pédagogiques qu’on va par exemple multiplier à travers les impressions » ;

Ou encore « Utiliser des Cd room dans lesquels est gravé le matériel pédagogique, pour les mettre à la disposition des apprenants dans les zones reculées ; on peut utiliser les clés USB, dans lesquelles sont enregistrés les matériaux pédagogiques qui seront mis à la disposition des apprenants… ».

Des approches qui n’ont pas intégré le fait que dans certaines localités, il y a un manque criard d’énergie électrique.

L’autre sujet évoqué pendant la visite ministérielle est la problématique de la Mi – temps

Pour le membre du Gouvernement, « une sensibilisation doit être faite auprès des parents et des apprenants, pour leur rappeler que le système de Mi – temps a été adopté afin de régler le problème de distanciation en cette période crise sanitaire. Ils ont l’obligation de profiter de leur présence à la maison, selon le programme défini dans leurs établissements scolaires respectifs afin, non pas de s’adonner aux activités commerciales, mais d’apprendre et réviser leurs leçons ».

Le troisième point de cette visite était pour Pauline Nalova Lyonga, l’occasion de se rassurer que les cours ont bel et bien repris Mais aussi que les mesures barrières édictées par le Gouvernement en cette période de crise sanitaire sont respectées…

Notamment avec le port des masques chez les apprenants et leurs enseignants, la disponibilité des gels hydro alcooliques, l’état des toilettes utilisées par les élèves…

Le membre du Gouvernement a en outre testé la qualité des cantines installées dans certains Lycées et Collèges, de même que la qualité de la nourriture servie aux enfants.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Makon Ma Makon le chef de terre de l’arrondissement de Ndelelé a rendu l’âme ce 4 novembre 2020, alors qu’il était à Yaoundé pour des soins.

 

Makon Ma Makon le Sous-préfet de Ndelelé n’est plus de ce monde. Il est mort dans la matinée de ce mercredi des suites de maladie. Selon des sources à Ndélélé, l’autorité administrative a passé une bonne période dans la maladie.

«Le Chef de Terre est décédé alors qu'on le transportait au niveau du Bac de Kentzou dans le chef-lieu de la Kadey (Batouri, NDLR). La raison du détour est connue, une buse sur la N°10 bis rend la circulation impossible», rapporte la station radio BRI sur sa page Facebook. Le média dit tenir cette information d’un collaborateur du défunt Sous-préfet.

Makon Ma Makon était âgé de 34 ans. Il était de la Promotion Cinquantenaire de l’Ecole normale d’administration et de magistrature. Il avait été nommé à la tête de l’arrondissement de Ndélélé en juin 2020 par décret présidentiel. Il convient de préciser qu’il décède au moment où, le Cameroun pleure un autre de fils mort le 26 octobre dernier. Il s’agit de Jean Luc Angoumou Emane, Sous-préfet de l’arrondissement de Lembe-Yezoum, dans le département de la Haute-Sanaga.

 

Liliane N.

 

 

L’encours de la dette du secteur public camerounais évaluée au 30 novembre 2020 est de 10 164 milliards de FCFA, soit une hausse de 5,7% pour un glissement annuel qui représente 45,8% du Produit intérieur Brut (BIP). Des informations fournies par la Caisse autonome d’Amortissement (CAA), structure de gestion de l’ensemble des fonds d’emprunts publics de l’Etat et des remboursements.

 

Cette dette du Cameroun à la fin du mois de septembre 2020 reste encore largement en déçà de la norme communautaire en zone Cemac (70%). Pour de nombreuses sources, ce rythme d’endettement du pays reste préoccupant. Le Fonds monétaire international (FMI) dans l’analyse de viabilité de la dette du Cameroun réalisée au terme de la 5ème revue du PEF en novembre 2019 indique que la dette du pays demeure « soutenable avec un risque de surendettement élevé ».

Cette augmentation pourrait exercer un poids important sur son profil et par ricochet ramener à la baisse la note souveraine du Cameroun, estime l’Agence de notation financière américaine Moody’s.

Selon la CAA, plusieurs facteurs peuvent principalement expliquer l’évolution de cet encours de la dette camerounaise. Il s’agit entre autres, des décaissements effectués dans le cadre de la réalisation des projets, les tirages sur les appuis budgétaires obtenus dans le cadre du Programme économique et financier (PEF) en cours avec le FMI ; l’accroissement des émissions de titres publics pour résoudre les problèmes de trésorerie de l’Etat, de prise en compte des nouvelles conventions de dettes croisées.

Indiquons qu’en terme de répartition, le portefeuille de la dette du Cameroun est constitué à fin septembre 2020 de 99,6% de dette directe de l’Administration centrale, dont environ 13% d’appuis budgétaires et 0,4% de dette validée par l’Etat central. Cette dette de l’administration centrale se compose 71,9% sur le plan extérieur et celle intérieure est de 28,1%, dont 8% reste à payer depuis plus de trois mois.

 

Innocent D H  

 

Selon nos sources, les Forces de sécurité ont lancé une chasse à l‘homme pour libérer les enseignants kidnappés.

La population qui vit dans la ville de Kumbo dans la région du Nord-Ouest, demande que les enseignants du Presbyterian School enlevés hier 03 novembre 2020, soient remis en liberté. Nos sources parlent au moins de 11 enseignants pris alors qu’ils se trouvaient sur le campus de l’école par des hommes armés, qui les ont menacés.

Le Révérend Samuel Fonki modérateur de l’Eglise presbytérienne du Cameroun a sorti un communiqué pour confirmer ce kidnapping. Il a indiqué que parmi les victimes, il y a aussi le personnel de la direction de l’école.

A en croire les habitants de Kumbo, la Presbyterian School fait partie des rares écoles du département de Bui, qui continuent de fonctionner en dépit des violences dues à la crise. Et il se trouve que  l’administration de cette école a été menacée à plusieurs reprises par des garçons qui s'identifient comme des combattants séparatistes. Pour l’heure, on a appris que les Forces de sécurité de Kumbo auraient lancé une chasse aux hommes pour récupérer les ravisseurs.

L’attaque de la Presbyterian School survient après celle de l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academic. Celle-ci s’est produite le samedi 24 octobre 2020. Les hommes armés qui ont fait irruption dans cet établissement scolaire ont ôté la vie à 7 enfants qui seront inhumés demain jeudi 5 novembre 2020.

Liliane N.

Selon nos source, l’ancien capitaine de la sélection nationale des Lions indomptables du football Samuel Eto’o est à Dakar, pour une opération de promotion d’une société évoluant dans l’industrie du transport aérien.

Si on s’en tient aux informations reçues de nos sources, Samuel Eto’o est actuellement à Dakar la capitale sénégalaise pour des affaires. Le confrère Afrik.com parle d’une affaire en relation avec la promotion d’une société évoluant dans l’industrie du transport aérien. L’ancien capitaine des Lions indomptables est l’ambassadeur de ladite société.

« La Holding Bag’O basée à Dakar et qui est une start-up évoluant dans l’industrie du transport aérien organise une conférence de presse de lancement de ses activités, ce mercredi, avec son ambassadeur Samuel Eto’o », rapporte un communiqué dont parle le confrère Afrik. Com. Dans ledit communiqué, il est précisé que la Holding Bag O est une « plateforme qui a fait de l’optimisation des revenus des compagnies aériennes un défi ».

Le programme du Pichichi en marge de cet évènement qui l’a conduit à Dakar, prévoit une visite aux autorités sénégalaises. On se rappelle encore qu’il y a moins d’1 mois où le Maréchal Idriss Deby Itno Président du Tchad a nommé Samuel Eto’o Fils Ambassadeur itinérant de son pays. Il y était dans ce pays voisin où il a été reçu en audience par le Président Deby le 15 octobre 2020. Ils avaient alors parlé du développement du football tchadien. Eto’o avait même exploré des pistes de partenariat avec la Fondation Grand Cœur de la Première Dame tchadienne et sa Fondation.

Pour parler en bref de ces performances, Samuel Eto’o est le meilleur buteur de l’histoire de la Coupe d’Afrique des nations avec 18 réalisations ; soit quatre de plus que l’Ivoirien Laurent Pokou (14) qui détenait ce record. L’ancien attaquant des Lions Indomptables, est double champion d’Afrique 2000 et 2002. Eto’o a été vainqueur de la Ligue des champions avec le FC Barcelone (2009) et l’Inter Milan (2010). Il est le Conseiller du président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad.

Liliane N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01