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Innocent D.H.

Innocent D.H.

Intervenu ce 12 avril, ce rejet arrive quelques temps seulement après que les Etats-Unis aient menacé de sanctions sans précédent Fatou Bensouda et toute autre personne « directement responsable » d'une éventuelle enquête «contre des militaires américains». Il apparaît clairement que la CPI n’est forte qu’avec les faibles dont les pays africains en particulier.

 

A l’annonce de cette décision des juges de la Cour pénale internationale (CPI) refusant d'autoriser l'ouverture d'une enquête pour des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre présumés en Afghanistan, Donald Trump a aussitôt salué une « grande victoire ».

Ceci étant, ce même vendredi, Fatou Bensouda n’a pas exclu de faire recours. Toute chose qui s’apparente ici à un subterfuge pour ne pas perdre la face.

Rappelons que c’est en novembre 2017 que la procureure avait demandé aux juges l'autorisation d'ouvrir une enquête sur des crimes de guerre présumés commis dans le cadre du conflit afghan, notamment par l'armée américaine. Son bureau avait entamé un examen préliminaire sur la situation en Afghanistan en 2006.

Dans un communiqué de cette juridiction qui apparait dès lors comme ne s’en prenant qu’a des « pays faibles » et africains en particulier, il est déclaré : « Les juges ont décidé qu'une enquête sur la situation en Afghanistan à ce stade ne servirait pas les intérêts de la justice ».

Sur la base des informations fournies aux juges par le bureau de la procureure, ces derniers ont admis qu’il existait « une base raisonnable permettant de considérer que des crimes relevant de la compétence de la CPI auraient été commis en Afghanistan ». Cependant, « la situation actuelle en Afghanistan est telle qu'elle rend extrêmement difficile la réussite d'une enquête et de poursuites ». Le « temps écoulé » depuis 2006 et le « manque de coopération » des autorités compétentes avec la procureure ont aussi été évoqués pour expliquer leur décision.

Il apparait pour de nombreux observateurs, que cette décision des juges est en rapport avec les mesures punitives prises ou envisagées par les Etats-Unis.

La CPI, fondée en 2002 pour juger des pires atrocités commises dans le monde, n’a jusqu'ici brillé que par son acharnement contre certains pays africains et leurs dirigeants. Sans exclure d’autres « pays faibles ». Ces derniers mois, elle a peiné à démontrer son efficacité. La libération du Président Laurent Gbagbo après des années de séquestration en est une parfaite illustration.

Benoit XVI, le premier pape en six siècles à démissionner a imputé selon Reuters, le scandale des abus sexuels de l’Église catholique aux effets de la révolution sexuelle des années 1960, aux cliques homosexuelles dans les séminaires et à ce qu’il a appelé un effondrement général de la morale.

 

Suite à cette sortie de Benoit XVI effectuée par le biais d’un essai nous apprend Reuters, Les critiques ont accusé l’ex-Pape d’essayer de détourner les responsabilités de l’Eglise.

Dans ledit essai toujours selon Reuters, il a dit que le système juridique de l’Église avait parfois été trop protecteur à l’égard des religieux accusés, citant ce qu’il appelait des garanties judiciaires qui étaient « étendues à un tel point que les condamnations étaient difficilement possibles ».

L’homme qui en 2013  devenait le premier pape en six siècles à démissionner, a soutenu que la révolution sexuelle avait conduit certains à croire que la pédophilie et la pornographie étaient acceptables. Il a aussi dit qu’une culture ouvertement gay dans certains séminaires catholiques signifiait qu’ils n’avaient pas réussi à former correctement les prêtres.

« On pourrait dire qu’en 20 ans, de 1960 à 1980, les normes en matière de sexualité se sont complètement effondrées et qu’une nouvelle normalité est apparue, qui a maintenant fait l’objet de laborieuses tentatives de perturbation », écrit Benoît XVI.

Benoît XVI était à la tête du bureau doctrinal du Vatican lorsque la première vague de cas d’abus a été exposée à Boston en 2002. Plus tard, en tant que pape, il a pris des mesures contre certains pédophiles qui avaient été bloqués sous le règne de son prédécesseur, Jean Paul II.

Les scandales d’abus en Irlande, au Chili, en Australie, en France, aux États-Unis, en Pologne, en Allemagne et ailleurs ont forcé l’Église à verser des milliards de dollars en dommages et intérêts aux victimes et aux paroisses proches. De nombreux cas remontent à des décennies avant les années 1960.

L’essai du Pape ferait aussi mention de ces cas de prêtres prédateurs qui au lieu d’être excommuniés ou incarcérés, étaient déplacés d’une paroisse à l’autre. Les évêques couvrant leurs abus pour ne saper l’autorité de l’Eglise.

L’essai de Benoit XVI dont l’authenticité a été confirmée par un fonctionnaire du Vatican et qui est intitulé « L’Église et le scandale des abus sexuels » est paru dans Klerusblatt, une revue mensuelle de l’Eglise en Bavière, sa région natale en Allemagne.

L’impulsion pour sa rédaction aurait été un sommet des évêques âgés que François, son successeur comme pape, a tenu en février dernier pour discuter de la crise.

« Parmi les libertés pour lesquelles la Révolution de 1968 cherchait à lutter, il y avait cette liberté sexuelle totale, une liberté qui ne concédait plus aucune norme », a écrit Benoît XVI, selon une traduction anglaise publiée par plusieurs sites catholiques.

Selon lui, la diffusion de l’éducation sexuelle explicite pour les jeunes écoliers et la nudité dans les publicités ont contribué à un assouplissement des règles morales et à une « absence du divin ».

C’est vers le réseau social Twitter que ce sont tournés certains théologiens pour critiquer Benoît XVI, qui avait juré de rester « caché du reste du monde » lorsqu'il a démissionné en 2013 mais qui est toujours considéré comme un défenseur de la vraie foi par les conservateurs qui n’ont pas accepté François.

« C’est une lettre embarrassante », a déclaré Brian Flanagan, professeur de théologie à l’Université Marymount en Virginie. L’idée que la maltraitance ecclésiale des enfants est le résultat des années 1960, d’un prétendu effondrement de la théologie morale et de la ”conciliarité” (l’Église après le Concile Vatican II de 1962-65) est une mauvaise explication embarrassante pour la maltraitance systémique des enfants et sa dissimulation.

Julie Rubio, professeur à l’école de théologie de l’Université Santa Clara, a qualifié le raisonnement de Benoît XVI de « profondément erroné ». « La volonté de blâmer une culture permissive et une théologie progressiste pour un problème qui est interne et structurel est stupéfiante », a-t-il dit.

 

La Pape Benoit XVI a aussi été défendu dans sa posture. « C’est la voix d’un père. Benoît XVI nous a écrit au sujet de la question que nous nous posons », a écrit le chroniqueur Chad Pecknold dans le Catholic Herald. Benoît XVI a écrit qu’après le Concile Vatican II, il y a eu une « rupture profonde » des méthodes traditionnelles de formation sacerdotale qui a coïncidé avec une dissolution de la conception chrétienne de la morale.

« Dans divers séminaires, des clans homosexuels ont été créés, qui ont agi plus ou moins ouvertement et ont changé de manière significative le climat dans les séminaires », a-t-il écrit, ajoutant que la situation s’était améliorée.

 

Source: Reuters, le 11 avril 2019

Ces arbitres composent le trio retenu par la Confédération africaine de football (Caf) pour la CAN 2019 qui se déroulera en Egypte au mois de juin prochain.

 

Jusqu’ici, selon les informations en notre possession, l’utilisation de la VAR lors de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations n’a pas encore fait l’objet d’une décision officielle de la part de la Caf. Cependant, tout porte à croire que cet instrument sera effectivement utilisé en juin prochain en Egypte.

En effet, afin de se familiariser avec cette nouvelle technologie voir conforter leurs connaissances de son utilisation, une trentaine d’arbitres dont trois camerounais ont participé du 26 au 31 mars dernier en Afrique du Sud, à un stage de formation "exclusivement" axé sur l’utilisation de la Video Assistant Referee (VAR). Ils étaient exactement 12 arbitres centraux et 20 arbitres assistants.

Ce stage de formation s’est déroulé dans le cadre de la préparation de la prochaine fête du football africain. Le trio arbitral camerounais ayant participé à cette formation à Johannesburg était composé d’Alioum Sidi comme arbitre central,  Evarist Menkouande et Elvis Noupue comme assistants.

C’est le lieu de rappeler que même si ça sera la première fois que la VAR sera utilisée en phase finale de coupe d’Afrique, ce ne sera pas une grande première pour la CAF qui a eu recours à cette innovation lors des finales de la Ligue des champions et la Coupe de la CAF. Plus encore, cette technologie a été testée lors du Championnat d’Afrique des nations l’an dernier, au Maroc. S’agissant de l’Egypte, cet instrument est utilisé dans son championnat depuis le début de la saison sportive en cours.

En marge de cette formation, Pierre Alain Mounguengui, le président de la Fédération gabonaise de football, a été désigné président de la Task Force mise sur pied à cet effet. Il sera chargé de la sélection et de la préparation des arbitres de la CAN 2019.

L’utilisation de la VAR lors de la CAN prochaine a de nombreux aficionados. Au rang de ceux-ci, de nombreux sélectionneurs des pays qualifiés à l’instar du Belge Paul Put, qui dirige la sélection de Guinée. « La CAN est l’une des plus grosses compétitions de football au monde, il faut utiliser la VAR », a-t-il affirmé ce mercredi sur le site de la Confédération africaine de football.

Il en est ainsi selon ladite étude citée par sputnicknews qui cite l’American Psychological Association parce que les musulmans ont un sentiment d'unité plus développé que chez les chrétiens, les bouddhistes et les yogis. Selon l’étude, les athées semblent être les moins satisfaits.

 

Cette étude a été réalisée à l'Université de Mannheim, en Allemagne. Elle avance que le sentiment d'unité présagerait du contentement général. Sur les 67 562 sondés par religion, les musulmans ont dit ressentir le plus grand sentiment d'unité.

Selon notre source d’information, Certains psychologues présentent l'unité comme un trait de la personnalité qui distingue les personnes recherchant et établissant davantage de liens avec autrui, avec l'environnement et avec leur notion de puissance supérieure ou de Dieu. Tous ces concepts semblent corrélés à une plus grande satisfaction de vivre, ce qui est lié à de meilleurs résultats en matière de santé physique et mentale.

Les chercheurs allemands ont interrogé plus de 67.000 personnes adultes de différentes nationalités concernant leurs affiliations religieuses et leur ont posé des questions conçues pour évaluer dans quelle mesure elles se sentaient engagées et épanouies.

Selon le document, les musulmans sont les plus susceptibles de croire qu'ils sont liés à quelque chose de plus grand qu'eux-mêmes. Suivent les chrétiens qui ne se considèrent ni comme catholiques ni comme protestants, les bouddhistes et les hindous.

Les athées se sentent les moins connectés les uns aux autres ou à une puissance supérieure, selon l'étude. Or, un modèle mathématique conçu par les chercheurs a confirmé l'existence d'un lien étroit entre le sentiment d'unité et la satisfaction de vivre.

Ils sont plus de deux cent à séjourner à Londji près de Kribi depuis le 9 avril dernier. Le module de formation pour lequel ils y sont se rapporte à la prise de contrôle d’un territoire occupé à partir des eaux.

L’exercice auquel sont soumis les 216 élèves officiers de l’Emia se nomme dans le jargon militaire un « assaut amphibie ». Il a débuté par une traversée nocturne de la mer, de Limbe à Kribi. Il se tient en trois étapes pour autant de site et ne sont concernés par la manœuvre que les forces terrestres et maritimes.

La manœuvre baptisée alligator consiste selon le lieutenant-colonel Richard Bayang Dikom représentant du Commandant de l’EMIA à cette occasion, « en une opération menée à partir de la mer mettant en œuvre les forces terrestres, les forces maritimes et éventuellement les forces aériennes ayant pour objectifs le débarquement sur une côte adverse qui peut être tenue ou non par l’ennemi. »  

Dans la même veine, le Capitaine de vaisseaux Divine Kome Kome superviseur de l’exercice ajoute pour sa part, « ce que nous faisons c’est un assaut amphibie une opération qui consiste à embarquer les gens dans un pont, à transiter par mer et aller sur une plage hostile permissible ou non permissible ».

Ce passage de Kribi de nos futurs officiers est la deuxième étape d’une série de manœuvre et d’exercices de simulation dans le cadre d’un débarquement amphibie. Leur séjour se refermera avec des opérations d’infiltration et de reconnaissance sur plusieurs kilomètres sur terre.

Pour rappel, depuis sa création en 1959 et son l’inauguration en 1961, l’Ecole militaire interarmées (EMIA) du Cameroun, est à près de 95% d’officiers camerounais formés sans oublier de nombreux autres de pays amis du Cameroun.

Dirigé dès sa création par des officiers français, c’est en 1986 que les officiers camerounais ont pris le relais. Les premiers officiers formés dans cette prestigieuse école militaire étaient uniquement des hommes. C’est 20 ans après sa création que l’Emia ouvre ses portes aux femmes.

Actuellement dirigé par le Colonel Oscar Mbarga Onana, l’Emia, comme dans le cas présent, continue d’assurer avec grand professionnalisme la formation initiale des élèves officiers, le perfectionnement des officiers ainsi que leur spécialisation.

Le triomphe de la dernière cuvée de cette école, baptisée « Unité et diversité » a eu lieu le 18 janvier dernier. Il a vu 174 nouveaux officiers qui certainement étaient passés par la même étape rejoindre officiellement les rangs de la vaillante armée camerounaise.

Ils seraient environ 10 000 à avoir besoin d'une aide urgente après leur déplacement par l’armée nigériane qui prépare une offensive contre les terroristes de Boko Haram.

 

Les Nations unies ont appelé jeudi le gouvernement nigérian a apporté une aide urgente à 10.000 personnes évacuées par l'armée, en amont d'une offensive contre les terroristes de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria.

"Le coordinateur des Nations unies pour les questions humanitaires, Edward Kallon, appelle le gouvernement du Nigeria à apporter une assistance humanitaire et à protéger près de 10.000 femmes, hommes et enfants qui ont été relogés de force à Maiduguri", la capitale de l'Etat du Borno, peut-on lire dans un communiqué.

Ces déplacés qui, selon les témoins contactés par l'AFP, ont été forcés mardi par les soldats de monter dans des camions sans aucun avertissement préalable, arrivent de la ville de Jakana, à 40 kilomètres de Maiduguri.

La capitale de l'Etat du Borno abrite déjà près d'un million de déplacés dans des conditions sanitaires désastreuses.

"Selon l'armée, les civils ont été relogés - dans le camp de déplacés de Bakassi - pour des raisons de sécurité, en amont d'une opération militaire dans la zone", souligne le communiqué de l'ONU.

"Ils n'ont pas eu le temps de ramasser leurs affaires", a déclaré M. Kallon. "Certains n'avaient même pas de chaussures aux pieds", regrette-t-il, rappelant aux autorités nigérianes qu'elles sont soumises aux lois internationales de protection des civils.

La branche de Boko Haram affiliée au groupe de l'Etat islamiste en Afrique de l'ouest, ISWAP, a attaqué Jakana a de nombreuses reprises.

La ville se situe sur l'axe entre la forêt de Beni Sheikh et leur campement de Buni Yadi, dans l'Etat voisin de Yobe.

La semaine dernière, les terroristes ont affirmé avoir mené une attaque sur la base militaire de Jakana, infligeant de lourdes pertes parmi les soldats, des informations démenties par des sources sécuritaires et locales contactées par l'AFP.

L'ISWAP est sous la pression d'opérations de l'armée nigériane et de ses soutiens militaires du Tchad et du Cameroun, déployés en masse dans la région du lac Tchad depuis les dernières élections de février.

Le conflit lancé par Boko Haram en 2009 a fait plus de 27.000 morts et 1,8 de personnes sont toujours déplacées dans le nord-est, où sévit une grave crise humanitaire.

 

Source : Slate Afrique.

Une convention de partenariat lie désormais les deux structures. Les frais afférents à ces soins sont pris en charge à 50% par la CNPS.

 

Ladite convention a été signée ce mardi dans la petite localité d’Oback qui est située à une vingtaine de kilomètres de Yaoundé, dans le département de la Lékié, région du Centre. Le document y relatif a été paraphé respectivement par Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame, Directeur général de la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) et le Pr. Daniel Etya’alé, Directeur général de l’hôpital ophtalmologique de référence Magrabi ICO Cameroon Eye Institute (Micei) autrement appelé l’hôpital des yeux.

Cette convention, nous apprend Cameroon Tribune se décline dans quatre champs de collaboration. Le premier concerne la prise en charge par la Cnps à hauteur de 50% des soins oculaires de tous les pensionnés qui viendront se faire consulter à Micei.

L’autre volet de la collaboration est la prise en charge des personnes dites « indigentes ». Il s’agit des Camerounais qui n’ont pas les moyens de venir se faire soigner à Micei. Une enveloppe annuelle de 20 millions de francs CFA sera remise à l’hôpital ophtalmologique de référence d’Oback pour permettre à ces personnes nécessiteuses de recouvrer la vue ou de ne pas la perdre.

Une enveloppe qui selon Cameroon Tribune verra son montant croître d’années en années. Le quotidien se référant à une promesse du DG de la Cnps. La raison évoquée pour justifier cet état de fait est que la Cnps dispose de formations sanitaires administrant les mêmes soins oculaires. Une façon de permettre à « l’hôpital des yeux » d’Oback de valablement suppléer la Cnps dans son devoir de prise en charge de ces patients.

Le troisième volet quant à lui se penche sur la collaboration technique en matière de formation, de recyclage des personnels aux techniques modernes. Micei serait très avancée en la matière et possèderait une technologie de pointe.

Le quatrième volet va s’attarder sur l’extension progressive des unités des soins ophtalmologiques de Micei dans les autres régions du pays. Les régions septentrionales, où sévissent un grand nombre de maladies oculaires comme l’a signifié Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame, sont pressenties pour accueillir les toutes prochaines délocalisations de Micei. « C’est une journée spéciale dans la courte vie (deux ans seulement) de notre institution. Parce que c’est la première fois qu’une structure nationale de grande envergure comme la Cnps signe une convention de partenariat et d’assistance couvrant les domaines aussi variés, mais tous liés entre eux », a déclaré  le Pr. Daniel Etya’alé. Pour le DG de la Cnps, l’institution dont il a la charge est un organisme social dont la vocation est la mise en œuvre de la politique du gouvernement en la matière.  

Il faut dire que la signature de cette convention intervient juste quelques jours après la décision du Conseil d’administration de la Cnps  de prendre en charge 50% des frais médicaux des pensionnés dans les formations sanitaires du pays. C’est allé vite pour le moins qu’on puisse dire. 

 

Source : Cameroon Tribune

L’équipe d’inspection du Conseil international du sport militaire, conduite par le colonel Abdulraheem Belo a visité Yaoundé ces 09 et 10 avril 2019 dans l’optique d’évaluer le niveau de préparation du Cameroun.

 

Ladite délégation, conduite par le colonel nigérian Abdulraheem Belo a été reçue pour la première fois en audience le 09 avril 2019 par Joseph Béti Assomo nous apprend Cameroon Tribune. Tout en souhaitant la bienvenue à cette mission d’inspection, le ministre délégué à la présidence de la République en charge de la défense a déclaré à ses hôtes que le Cameroun était profondément engagé et prenait les mesures nécessaires pour que cette 12ème édition du tournoi militaire de football féminin soit organisée en toute sécurité et en conformité avec les normes internationales y afférentes.

Il a noté que la sécurité, les complexes sportifs, les hôtels et les infrastructures nécessaires sont en place pour que la compétition se déroule de la meilleure des manières. En vue d’assurer davantage le succès de cet événement a-t-il rajouté, le Ministère de la défense a mis en place une plateforme de coordination structurée avec les ministères et d’autres structures concernées par l’organisation de cette grande messe du football.

Le colonel Abdulraheem Belo a pour sa part fait savoir que le but de sa visite au Cameroun était de vérifier le niveau de préparation du Cameroun et de s'assurer que la compétition sera organisée avec succès. « Nous allons nous concentrer sur l'hébergement des athlètes, les terrains de jeu, la logistique et la sécurité, y compris la santé », a-t-il déclaré.

Suite à cette audience, la mission d’inspection du Conseil international du sport militaire s’est rendue dans différents établissements sanitaires dont l’hôpital militaire de Yaoundé. Elle a également visité le stade militaire et les principaux stades de la capitale.

Tout en notant que le Conseil international du sport militaire a pour tradition d'inspecter les sites avant le début de la manifestation, Abdulraheem Belo s'est dit jusque là satisfait des infrastructures visitées.

Le colonel nigérian s'est vu par ailleurs présenter les différents fourgons médicaux, ambulances et autres équipements médicaux mobiles disponibles. Abdulraheem Belo a visité mercredi les hôtels destinés à accueillir les athlètes. Là encore, il a fait part de son satisfécit.

Il est à noter que sa visite s’est faite dans la seule ville Yaoundé. C’est la seule qui accueillera la compétition dont le coup d’envoi est prévu pour le mois de juin 2020. Par rapport à l’organisation de la CAN 2021, quel formidable galop d’essai sera cette compétition pour la ville de Yaoundé notamment.

De l’avis d’une anthropologue et généticienne occidentale, à l’origine, nous étions tous noirs. En soit cela n’est pas une découverte récente mais cela mérite d’être répété.

 

« On vient tous d'Afrique et on était tous noirs », a déclaré l'anthropologue et généticienne Évelyne Heyer lors de l'exposition sur la peau qui s’est tenue au mois de mars dernier au Musée de l'Homme à Paris nous apprend BBC Afrique.

L’événement baptisé « Dans ma Peau » fut l'occasion d'informer les participants sur cet organe qui est le plus grand du corps humain.

Le directeur scientifique de la maison L'Oréal, Jacques Leclaire, a rappelé à cette occasion selon notre source que « l'apparition d'une peau plus claire et d'une peau blanche est arrivée au cours des migrations des populations ». L'un des faits qui aurait marqué l’assistance lors de cette exposition aura été cette vérité crûment dit qu’à l’origine, toute l’humanité avait la même couleur de peau.

Évelyne Heyer, anthropologue et généticienne, expliquait alors : « Nos ancêtres étaient tous noirs. Et c'est seulement qu'on colonise des endroits un peu plus au Nord de la planète qu'il y a une pression de sélection pour une couleur de peau plus blanche, mais ça prend beaucoup de temps ».

La scientifique aurait expliqué qu'il y a seulement 10 000 ou 12 000 ans en Europe, ils étaient noirs et donc que l’apparition de la peau blanche là-bas n’est qu’assez récente.  

 

La peau : Un organe  mal connu et complexe

Lors de cette exposition, la complexité de la peau avait été exposée nous indique BBC Afrique. Toute chose ayant révélé aux nombreux visiteurs leur méconnaissance de cet organe. En effet apprend-t-on, grâce à une présentation immersive et ludique, les visiteurs ont découvert que la peau, en fonction des individus mesure entre de 1,5 et 2 m2. Plus lourd que le cerveau, son poids oscille entre 3 kg et 5 kg chez un adulte.

Ils ont découvert par la même occasion, les progrès médicaux sur la reconstruction de la peau humaine depuis les années 1970. Son utilisation pour des greffes de grands brûlés a été exposée et sa bio-impression en 3D expliquée. Ladite impression en 3D donne selon BBC, des espoirs de fabriquer un jour la structure de la peau et même des cheveux.

Tenons pour acquis dès à présent que la mélanine a pour principale fonction de protéger la peau contre les rayons nocifs du soleil. Que l’éclaircissement progressif de la peau, donc la diminution du taux de mélanine est survenu lors suite à la colonisation par les humains des régions moins ensoleillées du globe. Une sorte d’ajustement du système à de nouvelles réalités. Ceci étant, il ne peut être que déplorable d’enregistrer en ce 21ème siècle des actes racistes.

 

Source : BBC Afrique

Pour la deuxième fois en l’espace de deux mois, des documents au caractère confidentiel avéré de la présidence de la République se retrouvent publiés sur la toile. De l’avis de certaines sources, ces divulgations de documents sensibles participent d’une manœuvre de déstabilisation. Des auditions seraient en cours croit savoir camer.be.

 

Fin février, le plan de vol du président de la République, avec force précisions techniques, est divulgué dans les réseaux sociaux. Mal en prend à ceux qui, pour des desseins ne faisant plus de doute aujourd'hui, ont savamment orchestré la fuite. Paul Biya n’effectuera pas ce voyage en Suisse. Mais les ennemis de l’intérieur ne désarment pas. Dès samedi 6 avril au soir, c’est le message-fax signé deux jours plus tôt par le chef du protocole d’Etat du cabinet civil de la présidence de la République qui se retrouve sur la Toile.

Dans ce message dont l’urgence est signalée, Simon Pierre Bikélé demande, en vue d’un séjour du chef de l’Etat en Suisse, à l’ambassadeur du Cameroun d’obtenir auprès des autorités helvétiques des autorisations nécessaires pour certains éléments de la sécurité rapprochée de Paul Biya. Le message donne des détails sur le nombre d’éléments, les armes en leur possession, leurs dates et lieux de naissance, leurs numéros de passeports, leurs types et numéros d’armes et le nombre de munitions de chacun.

Bien que la manœuvre ait déjà été mise à nu et abondamment relayée par la presse, ses auteurs ne se découragent pas. Ils publient dans les réseaux sociaux des photos de certains membres de la garde rapprochée du chef de l’Etat, ainsi que celles de leur progéniture. Face à cette autre manœuvre de déstabilisation, le voyage présidentiel prévu dès le 07 avril est reporté sine die. « Jamais des informations aussi sensibles ne se sont retrouvées sur la place publique. En dévoilant l’identité de ceux qui tiennent en main la sécurité du président de la République, il est fort possible qu’on soit en train d’adresser subtilement un message à des gens se préparant ou nourrissant le projet d’attenter à sa vie », souffle une source sécuritaire.

Une autre source bien informée abonde dans le même sens, en soutenant qu’il ne s’agit pas d’une simple fuite de documents au caractère sensible avéré. En effet, le 28 mars 2018, le Premier ministre d’alors tirait la sonnette d’alarme. Dans une circulaire adressée notamment à tout le gouvernement et aux chefs de missions diplomatiques, Philemon Yang déplorait « la diffusion récurrente, notamment sur les ‘’réseaux sociaux’’ ou autres moyens de communication de masse, de documents présentant un caractère sensible et souvent revêtus de la mention "Confidentiel", "Secret" ou "Très secret". Il en est également de la diffusion des informations relatives aux opérations menées dans le domaine de la sécurité et de la défense ».

D'ailleurs, pour convaincre que les fuites sur les voyages présidentiels vont au-delà du constat de l’ex-chef du gouvernement, différentes sources sont formelles que certains responsables du palais de l’Unité ont été auditionnés et on aurait procédé à des interpellations. Les enquêtes visent essentiellement la direction de la Sécurité présidentielle (DSP), l’état-major particulier du président de la République et le protocole d’Etat. « Dans le cas du plan de vol, le protocole d’Etat et le ministère des Relations extérieures sont concernés au premier chef. S’agissant de la divulgation de la liste des membres de la sécurité rapprochée du chef de l’Etat, les suspects se recrutent au sein de la DSP, de l’état-major particulier et du protocole d’Etat », croit savoir une source visiblement bien au fait du dossier. Pour elle, « ce qui se passe depuis quelque temps dans l’entourage immédiat du chef de l’Etat montre bien que les gens s’inscrivent dans la logique d’une fin de règne, et ne cachent même plus leur volonté de précipiter son départ ».

 

Source : Camer.be







Sunday, 05 June 2022 11:01