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L’information qui plonge les populations dans la désolation est contenue dans un communiqué publié par Eneo à Garoua dimanche 26 septembre 2021. Le document intitulé Service électrique tendu dans le Réseau interconnecté Nord (RIN), annonce que le système électrique dans ce réseau accuse à nouveau un fort déficit hydrologique.  

 

« Le niveau des apports en eau observé sur la retenue du barrage de LAGDO depuis le début des crues 2021 est particulièrement bas, traduisant une hydraulicité historiquement faible sur le bassin, pire que celle enregistrée l’année dernière. La légère embellie observée au courant du mois d’août 2021 s’est malheureusement très vite estompée », constate l’entreprise, concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun.

Un état des lieux, qui n’est pas sans effets néfastes sur la production de l’énergie électrique dans le septentrion à en croire le communiqué d’Eneo. « Cette situation limite la production de la centrale de LAGDO. Le déficit qui en découle est aggravé par des difficultés dans l’approvisionnement en combustibles des centrales thermiques du Réseau Interconnecté Nord. Cette unique alternative actuelle nécessite des besoins importants et réguliers en trésorerie en constante croissance, en plus des complexités logistiques », communique cette société.  

Selon Eneo, cette tension de trésorerie à laquelle fait face le secteur de l’électricité, dans cette partie du triangle national, est imputable aux impayés accumulés de certaines grandes entreprises publiques, ainsi qu’au non-paiement du milliard hebdomadaire de l’Etat habituellement destiné à couvrir les charges de ces dépenses courantes.

« Si les centrales thermiques de Djamboutou, Ngaoundéré et Maroua sont ravitaillées régulièrement en combustibles, les délestages seront atténués dans une certaine mesure, compte tenu de la faible demande du secteur en ce moment », postule néanmoins Energy of Cameroon (Eneo).  

L’entreprise dit, espérer une évolution positive de la situation, « et en accélérant les projets d’urgence thermique/solaire de Guider et Maroua, Eneo est contrainte d’opérer des rationnements dès ce dimanche 26 septembre 2021 », informe-t-elle.

Les délestages ont certes connu une embellie depuis quelques mois dans le septentrion, cependant, leur retour plonge les populations dans le désarroi.  Elles qui voient ainsi leurs activités tourner une fois encore au ralenti, surtout pour ceux des opérateurs économiques qui ont absolument besoin de l’électricité en quantité considérable pour pouvoir fonctionner.

Innocent D H

Published in Entreprises

Très remonté contre la situation qui prévaut actuellement dans cette partie de l’Extrême Nord du Cameroun, l’honorable Cabral Libii - président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale a publié sur les réseaux sociaux, un extrait de son prochain ouvrage intitulé: “ Le Fédéralisme Communautaire”

 

Sa lecture de la situation

“ Dans le septentrion spécifiquement, il y’a eu une double vague de colonisation dont il faut démêler les irrédentismes dans le travail d’intégration nationale. 

Il y’a d’abord eu une “colonisation” africaine menée par l’Imam Peul, Ousman Dan Fodio, fondateur de l’empire Sokoto entre 1804 et 1810. Empire qui aura historiquement été le deuxième plus grand Etat musulman au monde jusqu’à la conquête européenne à partir de 1897(…).

Ensuite, il y’a eu la colonisation européenne menée par les allemands d’abord, puis par les français à partir de 1916 (...). L’issue des deux colonisations n’a pas été la même.

Dans le premier cas ( empire Sokoto), les peuples venus d’autres contrées se sont définitivement installés, dans le second cas, les colons sont physiquement répartis.

Les Peuls Arabes et Haoussa sont donc des descendants dans le Septentrion, de l’Empire Sokoto.     

Dans ce cas précis, le travail d’intégration nationale doit avoir pour finalité de construire le vivre - ensemble pour l’avènement d’une famille définitive et intégrée, née d’un mélange d’ “immigration conquête” et d’autochtonie; 

Car à la différence de la domination impérialiste et occidentale qui a pris fin en entraînant le départ physique de l’étranger, même si elle a laissé des “traces” culturelles qui ont pu déboucher sur la crise du Nord - Ouest et du Sud -Ouest, les Islamo - Peuls se sont quant à eux sédentarisés et définitivement établis depuis des siècles.

Il serait inconséquent à la fois de nier la préexistence de peuples autochtones et d’opposer aux islamo - peuls qu’ils “ ne sont pas chez eux”, car où iraient -ils?

La “domination” d’antan en elle - même a, à certains égards, généré chez les autochtones originels, des habitudes religieuses, vestimentaires et sociales définitives.

Les Moundang à Kaélé dans le Mayo - Kani sont musulmans en partie, ainsi que les Massa à Yagoua; signes d’intégration et d’acceptation mutuelles. 

C’est surtout la passivité que l’Etat affiche ( quand il n’entretient pas...) devant les dérives marginales ou politiques qui tendent à manipuler des séquences blessantes d’un passé très lointain, qui compromet l’intégration.  

De même, les velléités de condescendance tendant à perpétuer une domination passéiste et à raviver de douloureuses frustrations doivent être contenues.

Dans la même veine, il faut mettre fin aux confusions parfois entretenues entre la religion et la tradition. Dans le Département du Mayo - Louti dans la Région du Nord, les profondes frustrations qui couvent dans les cœurs des peuples originels Guidar, Daba ou Mambay, ne peuvent être apaisées que si la question de l'ordre traditionnel ancien est réglée.

Il y’a donc des injustices à réparer et des déséquilibres à corriger. Comme aux Etats - Unis d’Amérique, la puissance se trouve dans la consolidation des lignes de convergence concertées.

Et la preuve de ce que la Nouvelle région communautaire se situe bien au-delà de l’ethnie, nous est également donnée par le Septentrion où la langue véhiculaire “ Fulfulde" relativise l’aspect linguistique.  

Dans l’hypothèse de “fusion” des départements du Mayo - Kani et du Mayo - Danay par exemple, on aurait une nouvelle région majoritairement peuplée de Toupouri certes.

Mais l’existence des Moundang, des Guiziga, des Massa et des Mousgoum donne un relief non pas ethnique, mais plutôt communautaire. 

Car, au-delà du sédiment ethnique, il existe de nombreux points de convergence dans la culture, dans les coutumes, dans les habitudes, etc.

Il en est de même pour le Diamaré où les Mofou et Guiziga majoritaires, fusionnent avec d’autres peuplements, ou encore le Mayo - Tsanaga où les Mafa plus nombreux vivent en parfaite symbiose avec les Peuls, les Hina ou les Kapsiki.

On peut également mentionner le Logone et Chari où les Kotoko autochtones originels vivent avec les Arabes Choas, les Mouyang, de Ouldeme, de Kanuri et d’autres peuplements encore. La partie Septentrionale du Cameroun offre le défèrement de la vie en communauté”.  

 

N.R.M

 

Published in Tribune Libre

L’annonce est faite par le ministre Gaston Eloundou Essomba dans un communiqué officiel rendu public ce mardi, 23 mars 2021. Il s’agit d’une mission d’évaluation de la situation de la fourniture de l’énergie électrique sur le Réseau interconnecté nord qui intervient sur haute instruction du Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute.

 

 Cette mission d’évaluation qu’effectue le ministre de l’Eau et de l’Energie dans le septentrion à compter de ce 24 mars 2021 à en croire le communiqué, fait suite à la persistance des délestages dans cette partie du pays, et ce en dépit de l’opération de transfert de 20 MW supplémentaires vers le septentrion, décidé en décembre 2020 par le gouvernement, dans l’optique d’atténuer le déficit en énergie électrique, gros calvaire pour les populations.

Indiquons selon les experts que la persistance des délestages dans les régions septentrionales, n’est guère surprenante, si l’on s’en tient au coût de l’opération. En effet, l’on apprend que, les consommations de carburants pour la fourniture effective de ces 20 MW supplémentaires devraient coûter environ 2,2 milliards de FCFA chaque mois.

Une dépense asphyxiante qui laisse donc présager des interruptions régulières dans la fourniture du service. A ce coût exorbitant à injecter dans la consommation du carburant s’ajoute, l’hydrologie de cette partie du Cameroun qui a conduit à un quasi-assèchement du barrage de Lagdo, infrastructure majeure à partir de laquelle est alimentée le septentrion.

Cette mission d’évaluation va certainement permettre cette fois-ci au ministre de l’Eau et de l’Energie de poser avec beaucoup d’attention le diagnostic sur les mesures qui s’imposent pour mettre fin à ces délestages à répétition dans le nord Cameroun. Une situation qui a d’ailleurs déjà causé d’énormes dommages aux ménages et opérateurs économiques qui broient du noir dans l’exercice de leurs activités quotidiennes.

Innocent D H

Published in Institutionnel

Voici d’autres bons points des éléments de la douane camerounaise déterminée à réduire le phénomène de la contrebande à sa plus simple expression. Il s’agit ainsi d’une grosse prise effectuée dans la localité de Magada, région de l’Extrême-Nord. C’est dans le cadre de l’opération « Halte au Commerce illicite » (Halcomi) qui s’intensifie sur le terrain surtout en cette veille des fêtes de fin d’année.

 

Le contrôle de la qualité des produits en circulation sur le territoire national doit rester de mise. Et la douane camerounaise l’a bien compris pour assurer la protection du tissu économique du pays. Déployée dans le cadre l’opération Halcomi à Magada dans la région de l’Extrême-Nord, elle vient de mettre la main sur 100 ballots de pagnes et 2500 litres de carburants de la contrebande.

En cette veille des fêtes de fin d’année, ce ne sont pas les seuls points à mettre à l’actif des éléments de la douane dans la lutte contre le commerce illicite et la fraude douanière dans le septentrion. Une cargaison de 160 sacs de sucre de contrebande a été saisie à Tcheboa, localité située dans la région du Nord. Selon certaines indiscrétions, ces produits proviendraient du Nigéria, pays frontalier aux deux régions septentrionales (Nord et Extrême-Nord) avec lequel se déroule une intense activité de contrebande.

L’opération Halcomi a été mise en place pour sécuriser l’espace commercial camerounais. Indiquons que pour la seule année 2020, elle a permis d’effectuer des saisies de marchandises pour plus de 10 milliards de FCFA, selon le Premier ministre, Joseph Dion Nguté. De sources officielles révèlent également que la contrebande et le commerce illicite font perdre à l’économie nationale environ 200 milliards de FCFA chaque année.

Innocent D H

Published in Finances

C’est le bilan de quatre Bataillons d’intervention rapide qui ont été déployés dans les régions de l’Adamaoua, du Nord, de l’Extrême-Nord et même de l’Est.

C’est un bilan relayé par Journalducameroun, dans l’une de ses publications de ce vendredi 27 novembre 2020. Il y a eu 4 Bataillons d’intervention rapide (BIR) qui ont été envoyés dans trois régions septentrionales en proie au phénomène des prises d’otage. Un Bataillon a été aussi envoyé à l’Est du pays. Tous ces Bataillons avaient la mission de lutter contre le phénomène des preneurs d’otages et le grand banditisme. De leur lutte, il ressort que 46 otages ont recouvré la liberté. Et 130 têtes de bétail ont été récupérées durant ces deux dernières années, rapporte Journalducameroun qui dit tenir ces données du bilan rendu public à ce mois de novembre des BIR.

En plus des personnes libérées et des bétails, les BIR déployés dans le septentrion et à l’Est ont également récupéré sur la même période, 36 armes de guerre et 228 munitions. Ils ont en outre interpellé 13 suspects et tué 15 présumés malfrats dans des combats. Dans l’optique de sécuriser davantage la frontière entre le Cameroun et la République Centrafrique, des incursions des groupes armés basés en RCA, le BIR a inauguré ce mois de novembre trois nouveaux postes opérationnels dans l’Adamaoua, notamment à Gbatoua-Godolé, Nyamba et Ngaoui.

Liliane N.

 

Published in Défense

Il s’agit d’une mesure en vue de permettre dans les prochaines semaines, d’installer des capacités supplémentaires dans les villes de Garoua et de Ngaoundéré. Selon le Ministre de l’Eau et de l’Energie (Minee), Gaston Eloundou Essomba, les trois régions septentrionales du Cameroun sont confrontées depuis quelques semaines à des rationnements de l’énergie électrique du fait d’un déséquilibre entre l’offre et la demande.  

 

Au terme de la saison des pluies qui s’est achevée au mois de septembre 2020 dans la Région du Nord et dans le bassin hydrographique de la Bénoué, il a été constaté un niveau de remplissage anormalement bas du barrage hydroélectrique de Lagdo situé dans le bassin du fleuve Bénoué, région du Nord, explique le Ministre Gaston Eloundou Essomba.

Et compte tenu de cette situation, les villes de Garoua, de Lagdo et d’autres localités, ont connu des apports en eau en 2020, extrêmement faibles. Le barrage de Lagdo a eu un taux de remplissage de 48 % au cours de la saison des pluies 2020, alors que le taux de remplissage était de 105 % en 2019, apprend-on en outre. L’évaluation de la ressource en eau du barrage hydroélectrique de Lagdo au 15 novembre dernier, révèle que le volume d’eau disponible est de 2 milliards de m3. Alors qu’en novembre 2019, le barrage disposait de 4 milliards de m3 d’eau. Globalement, c’est un déficit de 2 milliards de m3 d’eau qui est enregistré.  

Demande énergétique

Quant à la demande en énergie électrique dans la partie septentrionale camerounaise, de sources officielles, l’évaluent à 65 MW, alors qu’actuellement avec le déficit sus évoqué (2 milliards de m³), le barrage de Lagdo d’une puissance installée de 72 MW, ne peut pas produire plus de 25 MW.

C’est dans sans doute dans le souci républicain de résorber cette crise énergétique exceptionnelle que le gouvernement a autorisé le démantèlement d’une partie de la centrale thermique d’Ahala (20 MW) à Yaoundé à l’effet de renforcer l’offre de production dans les régions de l’Adamaoua, du Nord et de l’Extrême-Nord. Le Ministère de l'Eau et de l'Energie informe par ailleurs que le processus de transfert de cette capacité de 20 MW de la ville de Yaoundé a d’ores et déjà débuté. Il devra permettre dans les prochaines semaines d’installer 12 MW supplémentaires dans la ville de Garoua et 8 MW dans la ville de Ngaoundéré. Il est ainsi question, de doter les régions septentrionales d’outils de production devant assurer un équilibre entre l’offre et la demande en électricité.  

Innocent D H

Published in Institutionnel

Pascal Kowé et son adjoint ont été installés à leur poste ce mardi, 24 novembre 2020 à Garoua par le Gouverneur de la région du Nord, Jean Abate Edi’i en présence de plusieurs responsables du Ministère de l’Economie de la Planification et de l’Aménagement du Territoire (Minepat). Recommandation faite à cette nouvelle équipe par l’autorité administrative, travailler avec efficacité pour mieux encadrer les producteurs dans la maturation des projets de création des agropoles dans les régions septentrionales.

 

Dans les régions septentrionales du Cameroun à savoir : l’Adamaoua, le Nord et l’Extrême-Nord, accueille 08 agropoles mises en place pour près de 06 milliards de francs CFA injectés dans les filières telles que le maïs, le soja, l’embouche bovine, la pêche ont eu des résultats probants. Il s’agit notamment, de l’accroissement des rendements, développer la transformation et la commercialisation de ces produits agropastoraux, mais aussi la réduction significative du déficit de production et limitation par ricochet des importations de certaines denrées alimentaires.

Des objectifs que les acteurs au niveau régional entendent atteindre en assurant l’accompagnement des producteurs dans la maturation des projets. « Cette unité va améliorer la qualité des documents qui nous parviennent. Sensibiliser davantage la population pour dire qu’il y a un levier, une main tendue du gouvernement pour dire nous accompagnons les éleveurs et les agriculteurs », fait savoir Adrien Ngo'o Bitomo, coordonnateur national du Programme agropole.

Installés dans leur poste, le nouveau coordonnateur de l’unité inter régionale (Adamaoua, Nord et Extrême-Nord) et son adjoint comptent immédiatement œuvrer pour des bons résultats sur le terrain. « Redynamiser les agropoles qui existent déjà sur le terrain, créer des nouvelles agropoles dans le septentrion pour que le programme puisse avoir des effets au niveau du septentrion », s’engage Pascal Kowé ainsi que son adjoint.   

Occasion idoine pour le Gouverneur de la région du Nord, Jean Abate Edi’i d’exhorter le coordonnateur inter régional et son équipe à la disponibilité pour développer des agropoles performantes capables de créer des emplois surtout en faveur des jeunes.

 

Innocent D H

Published in Agro-Industrie






Sunday, 05 June 2022 11:01