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La FIFA et la CAF rappellent au Cameroun que selon la sentence du Tribunal arbitral du Sport du 15 janvier 2021, il revient à l’équipe de Seidou Mbombo Njoya de finaliser dans les meilleurs délais le processus d’adoption des statuts et des textes réglementaires de la FECAFOOT dans le respect des statuts 2012.

 

La Fédération internationale de football association (FIFA) et la Confédération africaine de football (CAF) viennent d’éviter un jeu de ping pong entre le ministère des Sports et de l’Education physique (Minsep) et l’équipe de Mbombo Njoya assurant l’intérim à la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) depuis janvier dernier. Le Minsep par la voix de son chef Narcisse Mouelle Kombi a demandé à la FECAFOOT de sursoir à la tenue de l‘Assemblée générale extraordinaire prévue ce mardi 13 juillet 2021. Pour justifier sa demande, le membre du gouvernement a évoqué une «incertitude juridique».

Pourtant l‘Assemblée générale extraordinaire de ce jour revêt une importance capitale pour l’avenir de la FECAFOOT. Les points inscrits à l'ordre du jour lors de cette Assemblée sont l'adoption des nouveaux statuts, du code électoral, du code d'éthique, du code disciplinaire et de plusieurs autres statuts portant réglementation de la FECAFOOT. Cette démarche doit déboucher sur l'élection d'un nouvel exécutif à la tête de l’instance faîtière du football camerounais.

Grâce à l’intervention de la FIFA et de la CAF, l’Assemblée qui était déjà interdite aura finalement lieu ce mardi. La FIFA et la CAF ont même désigné leurs représentants à cette rencontre qui y prendront part par visio-conférence. Et dans la correspondance adressée à la FECAFOOT, elles lui rappellent qu’il est de son ressort de finaliser dans les meilleurs délais le processus d’adoption des statuts et des textes réglementaires de la Fédération.

Retrouvez ci-dessous la correspondance de la FIFA et de la CAF

Liliane N.

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La Fifa reproche à Constant Omari d’avoir violé son code d’éthique.

Constant Omari l’ancien président par intérim de la Confédération africaine de football (CAF) est interdit de toute activité en rapport avec le football, pour une durée d’un an. C’est une sanction qui lui est infligée par la FIFA de Gianni Infantino. On reproche au congolais d’avoir enfreint le code d’éthique de la FIFA. Il est dit qu’il a perçu des avantages de Lagardère pendant les négociations entre la société de médias française et la CAF. Il aurait reçu environ 66 000 euros, que l’instance faîtière du football mondiale lui a demandé de payer comme amende.

Aujourd’hui, on comprend mieux la décision de Constant Omari, qui a récemment quitté son poste de président de la fédération de football de la RD Congo. Selon notre source, l’ancien président de la CAF a conclu un accord avec la Fifa.

«Une enquête formelle contre M. Omari a été ouverte le 7 janvier 2021…[Elle] concernait certains avantages acceptés et reçus de Lagardere Sports, en relation avec les négociations qu’il a menées pour un accord entre la Caf et Lagardere Sports en relation avec la commercialisation de certains droits télévisuels concédés sous licence à la société LCS et au recouvrement de la dette impayée de cette dernière », fait savoir le communiqué de la FIFA.

Il convient de rappeler que c’est pour des faits similaires, que le malgache Ahmad Ahmad l’ancien président de la CAF prédécesseur de a lui aussi été suspendu de toute activité en rapport avec le football pour une période de 5 années. La décision a été prise le 23 novembre 2020 par la FIFA. La Commission éthique de la FIFA qui a pris cette décision, l’a trouvé coupable d’avoir enfreint divers codes d’éthique, notamment les articles 15 (Devoir de loyauté), 20 (Acceptation et distribution de cadeaux ou autres avantages) et 25 (Abus de pouvoir) de l’édition 2020 du Code d’éthique de la FIFA, ainsi que l’article 28 (Détournement de fonds) de son édition 2018.

Ahmad Ahmad avait saisi le Tribunal arbitral du sport qui a choisi de ramener sa sanction à 2 ans.

Liliane N.  

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Cependant, le Tribunal arbitral du sport reconnaît que Ahmad Ahmad l’ancien président de la Confédération africaine de football a enfreint les règles en matière de « distribution de cadeaux et détournement de fonds ».

Saisi par le malgache Ahmad Ahmad après sa suspension par la FIFA à la tête de la Confédération africaine de football (CAF), le Tribunal arbitral du sport (TAS) a choisi de ramener à 2 ans, la sanction prononcée par l’instance faîtière du football mondial. Récapitulatif donc, au lieu de 5 années, le malgache se tiendra de toute activité sportive durant deux ans. Aussi, dans la décision rendue ce lundi 8 mars 2021, le TAS a indiqué que le désormais ancien président de la CAF, a enfreint les règles en matière de « distribution de cadeaux et détournement de fonds ». Aussi, il doit payer une amende de de 50 000 francs suisses, soit un peu plus de 53 000 dollars.

A titre de rappel, c’est le 23 novembre 2020 que la FIFA a suspendu pour 5 années le malgache Ahmad Ahmad. La Commission éthique de la FIFA qui a pris cette décision, l’a trouvé coupable d’avoir enfreint divers codes d’éthique, notamment les articles 15 (Devoir de loyauté), 20 (Acceptation et distribution de cadeaux ou autres avantages) et 25 (Abus de pouvoir) de l’édition 2020 du Code d’éthique de la FIFA, ainsi que l’article 28 (Détournement de fonds) de son édition 2018.

Ahmad Ahmad avait pour sa part, choisi de déposer son dossier de candidature pour briguer un deuxième mandat à la tête de la CAF, pensant qu’avec l’action intentée au niveau du TAS, il aura gain de cause.

Liliane N.   

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mercredi, 17 février 2021 12:36

Crise à la Fecafoot : le TAS interpelle la FIFA

Le Tribunal arbitral du sport appelle la FIFA à statuer sur le véritable représentant de la Fédération Camerounaise de Football.

 

Le Tribunal arbitral du sport (TAS) souhaite savoir qui de Seidou Mbombo Njoya ou d’Albert Mbida est le représentant légitime de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT). Il convient de préciser que la FIFA de Gianni Infantino avait décidé de maintenir Seidou Mbombo Njoya et son équipe à la tête de la FECAFOOT jusqu’aux prochaines élections de la Fédération. Il se trouve qu’en date du 15 janvier 2021 soit un jour avant le début du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), le TAS a rendu une décision qui annule l’élection de Seidou à la tête de la CAF.

Alors que la FIFA a choisi de maintenir Seidou Mbombo Njoya, lors d’une assemblée générale extraordinaire tenue par visioconférence le 02 février 2021, les anciens membres se revendiquant de l’assemblée de 2012 ont porté le Pr Albert Mbida, à la tête d’un comité exécutif transitoire de la FECAFOOT.

Le TAS a donc besoin d’y voir clair. Il a de ce fait adressé une correspondance à Fatma Samoura la Secrétaire générale de la FIFA ce mardi 16 février 2021. Surtout qu’il y a un appel déposé le 17 novembre 2020 par la Ligue de Football Professionnel du Cameroun (LFPC) contre la Fédération Camerounaise de Football et deux conseils, chacun ayant reçu mandat de la faction qui l’a engagé, se sont prévalus du droit de défendre la FECAFOOT dans cette affaire.

« Au nom de l’arbitre unique (…), au vu de cette situation confuse, et des positions contradictoires des représentants de l’intimée, j’invite la FIFA, d’ici au 26 février 2021, à apporter au Greffe du TAS toute précision quant à la situation au sein de la FECAFOOT et de ses représentants élus compte tenu de l’assemblée générale extraordinaire qui s’est tenue le 2 février 2021 », peut-on lire dans la correspondance adressée à Delphine Deschenaux-Rochat, conseillère auprès du TAS, à la Secrétaire générale de la FIFA.

Fecafoot : Seize membres dont Seidou Mbombo Njoya ont été provisoirement suspendus par le Comité Exécutif

 

Liliane N.

 

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La décision d’octroyer une place de plus au continent africain à la Coupe du monde féminine a été prise par le bureau du conseil de la Fédération internationale de football.

A partir de l’édition 2023 de la Coupe du monde féminine, le continent africain aura droit à quatre représentants directs en phase finale de cette compétition. C’est ce que vient de décider le bureau du conseil de la Fédération internationale de football (FIFA). Sur son site officiel, la FIFA précise que cette décision a été motivée  par le fait que l’édition 2019 de la Coupe du monde féminine a connu un succès. L’Afrique en particulier passe de 3 à 4 représentants. Et de façon générale, le nombre total d’équipes qui était à 24 passe à 32. Il est question par-là, d’encourager le développement du football féminin.  

«La FIFA a depuis, travaillé en étroite collaboration avec les confédérations sur la répartition des places pour l’édition 2023», précise l’instance faîtière du football mondial.

D’après la nouvelle répartition des places directes (29 sur 32), six places reviendront à la confédération asiatique de football (AFC), quatre pour la Confédération Africaine de Football (CAF), autant pour la zone CONCACAF, trois  pour la Confédération sud-américaine de football (CONMEBOL), une pour la Confédération du football d’Océanie (OFC) et 11 places directes pour l’UEFA.

La FIFA indique que pour 2023, l’Australie et la Nouvelle-Zélande en tant que pays hôtes, sont automatiquement qualifiées et leur place est directement déduite du quota attribué à leur confédération respective, à savoir l’AFC et l’OFC.

A titre de rappel, lors de l’édition 2019 qui s’est déroulée en France, le continent africain était représenté par trois pays, notamment l’Afrique du Sud, le Cameroun et le Nigeria. Les Camerounaises et les Nigérianes ont atteint les 8èmes de finale, alors que les Sud-Africaines ont été éliminées dès la phase de poules.

Liliane N.

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Selon certains analystes sportifs, la Confédération africaine de football sous le règne du compatriote Issa Hayatou semblait trouver de la cohérence avec l’esprit d’un panafricanisme qui s’intègre parfaitement dans les aspirations politiques des Etats africains.

L’interruption du mandat du malgache Ahmad Ahmad à la tête de la Confédération africaine de football (CAF), conduit aujourd’hui à une certaine comparaison avec le passage d’Issa Hayatou à la direction de l’instance faîtière du foot africain. Il y a comme une sorte de regret d’Issa Hayatou. Yannick Ndegue le manager de l’agence de marketing sportif 6Sports Marketing & Advertising dans une interview accordée à JournalduCameroun, note qu’avec notre compatriote, la CAF semblait trouver de la cohérence avec l’esprit d’un panafricanisme qui s’intègre parfaitement dans les aspirations politiques des Etats africains et donc, de l’Union Africaine.

«Indépendamment d’un quelconque chauvinisme Camerounais, on peut exprimer des regrets s’agissant du départ de Issa Hayatou à la CAF. Cela peut s’expliquer à plusieurs niveaux. D’abord sur un plan émotionnel, du fait de sa longévité, on a appris à s’habituer à ses méthodes. Son management assez long nous a donné l’impression d’une certaine homogénéité du football africain. S’agissant de la gestion de la CAF  en tant qu’institution en charge de la promotion du sport, précisément  du football, on avait l’impression sous Issa Hayatou que la CAF avait une opinion et un point vue à faire valoir sur l’échiquier du football mondial. Cela s’est par exemple reflété par l’augmentation du nombre de pays africains participant à la phase finale de la Coupe du monde, le positionnement  de la CAN parmi les compétitions à rayonnement international, la gestion des droits TV et marketing de la CAN…», a-t-il déclaré.

Yannick Ndegue observe qu’avec Issa Hayatou, la CAF en tant qu’institution panafricaine avait de très bonnes relations avec les Etats.

«Hayatou a réussi à faire de la CAF un acteur de la géostratégie et de la  CAN un outil au service de l’influence et du rayonnement diplomatique de l’Afrique en général, et des Etats en particulier. Tout cela fait qu’on regrette un peu son départ au regard de l’actualité qui es celle de la CAF d’aujourd’hui, avec des scandales à répétition. Sous Ahmad Ahmad on a eu l’impression que l’Afrique  a perdu une partie de sa souveraineté. On se souvient de la désignation du secrétaire générale de la FIFA pour administrer la CAF, cela n’avait jamais été vu dans le monde. C’était est la preuve évidente que la CAF a perdu sa souveraineté», ajoute Yannick Ndegue.

A titre de rappel, la Commission éthique de la FIFA a décidé la semaine dernière de suspendre pour une durée de 5 années Ahmad Ahmad. Entre autres motifs avancés, on retrouve une accusation de détournement de fonds. Le désormais ex-président de la CAF par le biais de son équipe a indiqué qu’il va saisir le Tribunal arbitral du sport pour contester cette décision de la FIFA.

Liliane N.

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Ahmad Ahmad le désormais ex-président de la Confédération africaine de football indique qu’il y a eu des irrégularités dans la procédure ayant abouti à sa suspension.

Comme nous le disions dans l’une de nos publications, Ahmad Ahmad avait la possibilité de faire recours au tribunal Arbitral du Sport (TAS), pour l’annulation de la décision prise par la Commission éthique de la FIFA, qui l’a suspendu pour une durée de 5 années. Il a décidé de le faire. Et son équipe a rendu public un communiqué de presse parvenu à notre rédaction.

Dans ledit communiqué de presse, on retrouve des éléments qui seront avancés par le malgache Ahmad Ahmad devant le TAS, pour avoir gain de cause. L’équipe du désormais ancien président de la Confédération africaine de football (CAF) évoque par exemple, le fait que la FIFA ait fait appel au cabinet d’audit PWC pour investiguer l’instance faîtière du football africain, alors que celui-ci travaillait toujours pour la CAF. Ce qui a donné lieu à un conflit d’intérêt et un problème de manque d’impartialité.

«De plus des rumeurs permanentes concernant une possible implication de la FIFA dans le travail de la Commission d’éthique ont constamment résonné dans la presse européenne et africaine. Des fuites d’information relatives à la procédure en cours – pourtant censée être strictement confidentielle – et systématiquement défavorables au président Ahmad, ont été rendues publiques par voie de presse, empêchant de fait, la tenue d’un travail d’enquête serein. Même l‘audition du président Ahmad auquel a été notamment refusé le droit de présenter une partie de ses témoins, lors d’une audience menée au pas de charge, ne s’est pas tenue selon les standards habituels», peut-on lire dans le communiqué de presse rédigé par l’équipe d’Ahmad Ahmad.

Pour ces irrégularités sus rapportées, Ahmad Ahmad va saisir le TAS, parce que trouvant aussi choquante et incompréhensible sa suspension décidée par la FIFA. Le recours au TAS sera également assorti «d’une demande d’effet suspensif, afin de ne pas aggraver le préjudice subi par le président Ahmad, et lui permettre de mener une campagne en vue de sa réélection à la présidence de la CAF», précise son équipe.

Liliane N.    

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Jeune Afrique affirme qu’Ahmad Ahmad savait qu’il allait être suspendu.

 

Jeune Afrique le journal de Bechir Ben Yahmed a parlé de l’actualité autour d’Ahmad Ahmad : sa suspension à la tête de la Confédération africaine de football (CAF), prononcée par le Comité d’éthique de la FIFA. Le journal dit savoir qu’Ahmad savait déjà qu’il allait être suspendu et c’est ce qui justifierait le fait que jusqu’ici, il n’ait fait aucune sortie.

« Pour Ahmad Ahmad, cette sanction est tout sauf une surprise. Selon nos informations, le patron de la Confédération africaine de football avait été informé dès le mois d’octobre du fait que le rapport interne de la Fifa ne lui était pas favorable. Il a alors su qu’il ne pourrait pas prétendre à sa réélection, en mars 2021, d’autant que Gianni Infantino lui cherchait déjà un successeur. Les deux hommes sont en délicatesse depuis l’arrestation d’Ahmad Ahmad en juin 2019, lors d’un congrès de la Fifa organisé en marge de la Coupe du monde féminine », a écrit Jeune Afrique.

Le journal de Bechir Ben Yahmed affirme même que l’arrivée de Fatma Samoura pour un audit de la CAF n’était pas le fruit du hasard. Il s’agissait d’une manœuvre de Gianni Infantino pour remplacer le malgache Ahmad Ahmad à la tête de la CAF. Cependant, « le mandat de cette dernière a été abrégé au bout de six mois, en raison de la dégradation des relations entre Infantino et Ahmad », peut-on lire dans le magazine.

Jeune Afrique ajoute « Samoura, qui manquait de soutien dans le monde du football, n’aurait de toute façon pas obtenu celui du président sénégalais Macky Sall, qui appuie son compatriote Augustin Senghor. Infantino a alors jeté son dévolu sur le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, qui est immédiatement entré en campagne », ont poursuivi nos confrères.

Pour essayer donc de contrecarrer les plans du président de la FIFA, Jeune Afrique affirme qu’Ahmad Ahmad a voulu placer la candidature de Samuel Eto’o Fils, sachant que la sienne n’aboutirait pas en raison de la suspension qui arrivait.

 

Liliane N.

 

   

 

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La Commission d’éthique de la Fifa inflige aussi au malgache Ahmad Ahmad une amende de 185 000 euros, l'équivalent de 200.000 francs suisses.

 

La sentence vient de tomber. La Commission d’éthique de la Fifa a décidé de suspendre Ahmad Ahmad pour une période de 5 années. Le motif de cette suspension est détournement de fonds. Le malgache a été trouvé coupable d’avoir enfreint divers codes d’éthique. Il est dit qu’il a enfreint les articles 15 (Devoir de loyauté), 20 (Acceptation et distribution de cadeaux ou autres avantages) et 25 (Abus de pouvoir) de l’édition 2020 du Code d’éthique de la FIFA, ainsi que l’article 28 (Détournement de fonds) de son édition 2018.

L’enquête de la commission d’éthique de la Fifa a « porté sur diverses questions liées à la gouvernance de la Confédération Africaine de football (CAF), dont l’organisation et le financement d’un pèlerinage à La Mecque, ses accointances avec l’entreprise d’équipement sportif Tactical Steel et d’autres activités », selon la Fifa. On apprend que les griefs de l’instance seront détaillés dans la décision intégrale, qui va être publiée dans les soixante jours sur le site de la Fifa.

Ahmad Ahmad est donc appelé à se tenir loin de toute activité relative au football. Et il faut noter que sa suspension prend effet aujourd’hui et est sur le plan (administrative, sportive et autre) aux niveaux national et international. Il faut déjà rappeler que le président de la Confédération africaine de football (CAF) avait été placé en garde à vue pour des soupçons de corruption en juin 2019 à Paris.

Toutefois, il convient de préciser que le malgache Ahmad Ahmad peut faire faire appel de cette suspension auprès du Tribunal arbitral du sport. Sinon pour l’instant, le dirigeant malgache de 60 ans, qui est à la tête de l’instance faîtière du football africain depuis mars 2017 est mal parti avec le deuxième mandat qu’il voulait briguer.

 

Liliane N.

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Dans une interview accordée à nos confrères du site lionindomptable.com, le président de la Commission ad hoc chargé de l’organisation et du suivi des championnats professionnels analyse la dernière correspondance de la Fédération internationale de football association (Fifa) au sujet du conflit opposant la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) à la Ligue de football professionnelle du Cameroun (Lfpc).

 

« C’est évident que la Fifa fasse allusion au championnat qui a été lancé par la Lfpc le 1er novembre. La Fecafoot n’a pas lancé de championnat. On ne peut donc pas reprendre ce qui n’a pas été lancé. Quand la Fifa parle de reprise, cela signifie que ce qui a été fait est considéré comme valable. Maintenant, lorsque la Fifa dit à la Fecafoot de faire organiser le championnat sous l’égide de la Fédération, c’est dans l’ordre normal des choses. Le football est pratiqué sous l’égide la Fecafoot. Toutes les compétitions d’ailleurs. Sous l’égide veut dire sous le parrainage. Cela ne veut pas dire organiser, mais plutôt superviser », répond Abdouraman Hamadou en guise de commentaire sur la lettre de la Fifa.

Que peut faire la Lfpc ?

Quant au Lfpc, le Président Abdouraman analyse qu’elle « prendra ses responsabilités pour la reprise du championnat, à la date du samedi 21 novembre tel qu’annoncé dans un communiqué. Le président de la Lfpc a déjà pris les dispositions nécessaires pour demander au président de la Fecafoot de désigner les arbitres, de mettre à la disposition des clubs les licences. Pour la Lfpc, le français de la Fifa est assez clair. Organiser une cérémonie sous l’égide du ministre des Sports et de l’éducation physique, ne veut pas dire que c’est le Minsep qui organise. Cela veut dire qu’il parraine, contrôle, et non qu’il organise. Sur ce plan là, personne ne prendra la Fecafoot au sérieux quand elle essaye de galvauder, de travestir le contenu de la lettre de la Fifa ».

La ligue est-elle dissoute ?

Sur la question de savoir si la Ligue est dissoute ou non ? Pour Abdouraman Hamadou, il est clair que la Fifa ne considère pas la dissolution de la Lfpc. Selon lui, si celle-ci était dissoute, l’instance faitière du football mondial ne parlerait pas d’elle comme structure viable et existante. « La Fifa considère que le match d’ouverture qui s’est déroulé le 1er novembre 2020 au Stade omnisport Ahmadou Ahidjo, organisé par la Ligue de football professionnel est valable. Malgré les critiques de la fédération sur les arbitres internationaux qui ont officié ce match et les reproches d’absences de licences. La Fifa considère que ce qui a été fait le 1er novembre est valable. Que c’est possible de jouer avec des arbitres internationaux et de jouer avec les bordereaux. Parce que dans le football professionnel ce ne sont pas les licences qui priment », observe le président de la Commission ad hoc chargé de l’organisation et du suivi des championnats professionnels.

 

Innocent D H

 

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01