La 6e édition de la conférence BCW (Bâtiment et travaux de génie civil) et Infrastructures se tiendra à Addis Abeba, en Ethiopie, les 10 et 11 octobre 2019. La conférence vise à étudier la manière dont développer des partenariats publics et privés, promouvoir le développement des infrastructures d’une manière plus dynamique et plus adaptée, et positionner l’Afrique comme destination de choix pour les investisseurs, en soulignant diverses options d’investissement.
La réalisation de l’aspiration des Etats africains en termes de croissance, de développement et de transformation dépend de la mise en œuvre effective de politiques novatrices garantissant leur intégration continentale et mondiale.
Environ 300 représentants venus de toute l’Afrique assisteront à la conférence BCW et Infrastructures.
Les organisateurs de cette conférence annuelle sur l’Infrastructure et les travaux publics, avec, à leur tête, Kaizene International, une société basée à Londres et à Abidjan, visent le renforcement des capacités par des formations et des tutorats, ainsi que la responsabilité sociale d’entreprise.
“Les femmes africaines ont besoin de devenir plus représentatives dans la plupart des secteurs, dont celui des infrastructures. Elles doivent s’impliquer davantage dans la prise de décisions et la planification de projets et programmes liés aux infrastructures,” a déclaré Lynda Aphing-Kouassi, fondatrice de Kaizene, afro-optimiste et réaliste, reconnue pour sa passion à l’égard de la contribution des femmes et des jeunes à la croissance et au développement du continent africain. Elle a identifié les domaines ci-dessous comme constituant sa sphère d’influence.
La 6e édition de la conférence BCW et Infrastructures vise à souligner les points suivants :
Selon la Banque de développement africaine, le sous-développement industriel du continent est principalement dû à une absence d’infrastructures. Pour que l’Afrique soit en mesure de faire face aux défis de la globalisation, elle nécessite l’augmentation des investissements en faveur de ses infrastructures afin d’atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies.
Kaizene International est une société basée à Londres et à Abidjan qui organise une conférence annuelle dédiée aux infrastructures et aux travaux publics, le renforcement des capacités par des formations et des tutorats, ainsi que la responsabilité sociale d’entreprise.
Kaizene se définit telle un catalyseur permettant aux sociétés publiques et privées d’améliorer leurs services au client et leur approche de la qualité.
Afin d’y parvenir, Kaizene propose des modules et diverses sessions de formation. Elaborés par des professionnels expérimentés, ceux-ci prennent en compte l’image de la société, sa vision et ses objectifs afin de répondre aux besoins de chaque entreprise.
Kaizene peut concevoir des programmes de formation personnalisés ou intervenir dans le cadre de missions d’encadrement spécifiques, et élaborer des missions de responsabilité sociale d’entreprise.
A en croire le Comité d’organisation des Jeux universitaires 2019, qui a à sa tête Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest, tout est fin prêt pour la compétition qui va commencer samedi prochain. Le 30 avril dernier, ledit Comité a inspecté les différents sites retenus pour cette compétition. « Nous avions l’avantage que quasiment toutes les infrastructures ayant accueilli les derniers Jeux universitaires ici à Dschang sont là. Le travail essentiel a consisté jusqu’à présent à améliorer les aires de jeu, les tribunes et les vestiaires », a indiqué Thomas Tatietse Tamo le président de la Commission des infrastructures sportives, dans les colonnes du quotidien gouvernemental Cameroon tribune paru ce jour.
Les sites de Bandjoun, Foumban et de Dschang d’après le Comité sont à même d’accueillir toutes les délégations attendues et la compétition elle-même. « Ce qui reste à faire sera bouclé dans les prochaines 48 heures, bien avant l’arrivée des premières délégations », a déclaré le gouverneur. Lors de la réunion d’évaluation qui a eu lieu mardi dernier, les 19 Commissions mises en place ont fait le point des préparatifs. Les réflexions ont été axées sur des solutions urgentes et collégiales qui peuvent être adoptées pour répondre à des difficultés observées. Ces solutions sont par exemple l’acquisition des groupes électrogènes pour faire face aux possibles délestages. L’acquisition de deux citernes d’eau.
En ce qui concerne les soucis de restauration, de loisirs autres désagréments auxquels font parfois face les participants à cette compétition annuelle, il a été dit que le village de Jeux est paré pour affronter chacune de ces situations désagréables. Le volet sécuritaire loin d’être moins important a été aussi au menu des échanges à la réunion d’évaluation des préparatifs. « Les stratégies ont été déployées en partenariat avec les Forces de maintien de l’ordre et les collaborateurs. Nous invitons toutefois, la population et la communauté universitaire à participer activement, individuellement et collectivement au maintien de l’ordre », a déclaré le gouverneur de la région de l’Ouest.
A titre de rappel, les Jeux universitaires vont s’achever le 11 mai 2019.
Liliane N.
La session ordinaire du conseil municipal consacré au vote du budget pour le compte de l'exercice 2019 conformément à la loi N° 2004/018 du 22 juillet 2004 fixant les règles applicables aux communes sous la présidence du Maire Alain Wilfrid Menganas, en présence du préfet du département du Lom et Djerem Yves Bertrand Awounfac Alienou. Après les civilités d'usagers et la vérification du quorum le maire de la commune dans son discours de circonstance a décliné l'aperçu du budget de l'exercice 2019 qui se chiffre à la somme de six cent quatre-vingt sept millions six cent quarante mille (687.640.000 ) francs CFA.
De fil en aiguille, il évoquera dans un bref bilan les réalisations faites au cours de l'année 2018, notamment la construction des aires de séchage, l'ouverture des pistes agricoles, la construction des puits et forages, des blocs de latrines, des hangars pour marchés périodiques, voire la réhabilitation de la radio communautaire de Bouam... Au regard de tout ceci, l'autorité administrative du département a félicité l'exécutif municipal pour l'organisation matérielle du conseil et a profité pour exhorter le chef de l'exécutif communal à mobiliser des fonds propres pour pouvoir juguler la question des arriérés de salaires des agents communaux, en réalisant des projets à partir des ressources locales.
Parfait Olinga Bingonga a été copté comme président de la commission des finances par l'organe délibérant afin de présider les travaux de la commission unique mise sur pied pour l'examen du projet de budget et de ses pièces annexes. L'homme va s'articuler sur les réajustements de certaines lignes budgétaires et sur la formulation de quelques doléances.
Au terme des réajustements, le budget a été enfin voté par acclamation par l'ensemble du conseil municipal à la somme de sept cent vingt-six millions six cent quarante mille francs CFA. Les délibérations votées sont notamment: « la délibération autorisant le maire à demander un concours financier au Feicom pour la réhabilitation du réseau électrique Diang-Belepanga ; la délibération portant adoption du plan d'investissement annuel ; la délibération accordant des avantages à quelques responsables de la commune ; la délibération autorisant le maire à emprunter en temps opportun de l'argent à la banque Atlantique uniquement pour le règlement des salaires du personnel communal et enfin la délibération accordant les indemnités et autres avantages aux maires, à leurs adjoints et aux conseillers municipaux de la commune de Diang ».
Bossis Ebo'o, à Diang
Dans sa analyse accordée à l'Agence Cameroun Presse, le président de la commission nationale des droits de l'homme, homme politique et élite de la Lekié affirme :
« Jusqu'à quand les Africains comprendront que leurs avenirs ne dépend pas des autres, et de leurs humeurs, mais plutôt de la décision que prendra chaque Africain, responsable politique ou non de se délivrer du joug colonialiste qui empêche les uns et les autres d'avoir une liberté de penser, d'entreprendre et d'agir sans avoir besoin de la bénédiction des occidentaux et américains. Pour prendre l'exemple de notre pays, il suffit de passer en revue des programmes académiques pour comprendre la gravité des dégâts palpable de l'impérialisme occidentale Au Cameroun.il est donc normal de voir des débats télévisés organises autour de la résolution adoptée par des parlementaires européens ,qui portait sur la situation politique du Cameroun et par ailleurs, observer que ,durant ces scènes télévisées digne des films esclavagistes, nos hommes de médias ont manqué une autre occasion d'éduquer le peuple sur le regard prévaricateurs que les européens ont toujours posé sur l'Afrique ».
Un continent qui prône le respect des droits de l'homme ne peut pas avoir des programmes de gouvernance spécifique pour lutter contre la migration des êtres humains dont ils disent protéger les droits. Sauf qu'en Afrique, nous nous plaisons toujours d'accueillir ceux qui viennent d ailleurs.
Ce qu'il faut savoir avant tout est qu'un parlementaire européen est tout aussi élu par son peuple, tout comme nous avons nos députés et sénateurs ici, qui sont le produit si l'on peut le dire ainsi de la volonté du peuple camerounais. Bien qu'il s'agisse de l'Europe, tout comme nous avons aussi un parlement Africain, qui a encore manqué une occasion de monter au créneau pour démontrer que l'Afrique n'attend plus la correction du maître et que nous tenons dorénavant notre destin entre les mains de Nkodo Dang et ses amis sont restés muets comme des carpes.
Pour revenir sur le fond des déclarations faites par le parlement européen.
Au sujet de la réélection de Paul Biya : il est important que nos compatriotes comprennent que c'est toujours cette Union européenne qui a accompagné Elecam dans ce processus électoral, si tant est que le président de la République actuelle, à savoir Paul Biya n'avait pas été réélu dans les règles de l'art démocratique, pourquoi ne se sont ils pas manifestes comme ils ont pu le faire promptement au sujet du Congo où Martin Fayulu clamait aussi d'avoir été victime du hold-up électoral ?
Pourtant Maurice Kamto à tôt fait de s'autoproclamer président élu juste un jour après le scrutin et même s'il n'a pas pu démontrer cela avec des preuves, le même parlement aurait donc pu faire voter donc une résolution comme cela s'est passé avec la réélection de Nicolas Maduro au Venezuela où ils ont essayé de mettre la pression sans succès jusqu'à reconnaître son opposant comme légitime...
Ce n'est donc pas 6 mois après la prestation de serment du président proclamé par la cour constitutionnelle que les européens se lèveront comme s'ils étaient endormis pour venir contester la fiabilité du processus.
En tant que qui le font-ils déjà ?
Et parlant des questions de fraudes électorales; qui ne se souvient pas qu'en 2012, en France le Parti socialiste accusait l'UMP d'avoir fait voter les morts, qu’un clash entre François Fillon et jean François Copé sur le bourrage et le même hold-up avait fait le tour du monde entier.
En Belgique, le siège de cette institution qui veut donner des leçons de démocratie : il y'a eu des irrégularités à Neufchâteau impliquant Dimitri Fourny.
Qu'en Espagne PODEMOS et le PS avaient été accusés de fraude avec une vidéo à l'appui.
Les exemples sont légions, ainsi pour dire que certes il y'a eu des irrégularités durant ce scrutin, mais l'Europe est mal placée pour nous donner des leçons dans ce sens.
Les européens et les Américains sont décidés en découdre avec Paul Biya, parce que chacun veut contrôler la transition politique et maîtriser le marché juteux Camerounais et pire encore il se trouve que le Golf de Guinée est convoité tant par l'Europe que cette Amérique.
Concernant la position du gouvernement Camerounais, j'approuve d'une part cette réplique, mais seulement notre pays doit se prémunir sur le plan sécuritaire surtout lorsqu'on sait que dans sciage du président, beaucoup ne sont plus en odeur sainte et n'attendent qu'une faille pour s'emparer du pouvoir.
Les fidèles du président de la République doivent donc s'assurer que ceux qui forment le clergé des sécurocrates du pays et surtout autour du président ne laisse filtrer aucun corps étranger susceptible de venir déstabiliser nos institutions de l'intérieur.
Ceci passe également par l apaisement de la situation politique en ce moment et surtout la recherche des solutions pacifiques au nord et au sud ouest du Cameroun.
Le Cameroun a beaucoup de fronts de guerres ouvertes qui fragilisent notre développement et surtout donnent un sacré coup à la cohésion sociale qui pourrait être le véritable danger de notre pays dans les jours à venir.
Le gouvernement devrait donc s'atteler à œuvrer d'avantage pour réunir les enfants de cette patrie et faire la paix d'abord en interne et aller faire front commun face aux prédateurs qui guettent le moindre faux geste.
Il est clair que nous aurons toujours des judas parmi nous, il faudra donc les laisser se suicider sans pour autant qu'ils aient la moindre occasion de se greffer sur quoi que ce soit.
Le Cameroun est secoué depuis bientôt trois ans par un conflit interne opposant les forces de maintien de l’ordre à des combattants sécessionnistes. Depuis quelques temps, les puissances occidentales, les Organisations non gouvernementales internationales, des organisations humanitaires, entre autres, n’ont cessé de publier des rapports et opinions dans lesquelles elles condamnent plus ou moins explicitement le gouvernement camerounais et les forces de sécurité.
Le Conseil norvégien pour les réfugiés (CNR) est une organisation qui s’évertue à soutenir les personnes les plus vulnérables parmi les populations déplacées contre leur gré et de répondre à leurs besoins élémentaires. Ce jeudi 25 avril 2015, cette organisation humanitaire a publié sur son site un article dans lequel elle déplore les exactions commises par les séparatistes ainsi que leurs conséquences. Au premier rang de celles-ci, les besois humanitaires, causés principalement par les déplacements des populations fuyant l’insécurité plutôt grandissante avec le temps.
La crise anglophone a débuté avec des manifestations pacifiques à la fin de 2016, mais elle s'est transformée en un conflit violent entre l'armée et les groupes armés non étatiques du gouvernement.
« Plus d'un demi-million de personnes ont fui leur domicile, selon des chiffres fournis par l'ONU. Des centaines de villages ont été incendiés, près d'un million d'enfants ne sont pas scolarisés et des dizaines de milliers d'autres se cachent dans les buissons sans aucun soutien. Le silence international entourant les atrocités est aussi choquant que les histoires inédites sont déchirantes », indique l’article. Le CNR ajoute également que certains parmi ces déplacés internes, femmes et enfants pour la plupart, affirment être « abandonnés par l’ONU et les organisations et puissances internationales.
Alors que les populations elles-mêmes décrient déjà l’absence d’une aide extérieure, les organisations telles qu’Amensty International, et Human Rights watch restent muettes. Elles qui se revendiquent protectrices des droits de l’Homme n’ont cessé depuis quelques mois de montrer leur penchant pour ces rebelles qui sèment la terreur dans plusieurs régions du pays. Le dernier événement en date, l’assassinat d’un jeune gendarme dans l’arrondissement de Muyuka ce 24 avril. Les images du corps décapité et répandu à divers endroits de la ville de ce soldat ont fait le tour de la toile mais bien sûr, à l’exception des comptes de ces organismes qui savent être réactives et spontanées lorsqu’il s’agit de promouvoir les actions des terroristes ambazoniens. Manipulées par les sponsors externes, elles s’appliquent plus à critiquer la gestion de la crise par le gouvernement camerounais qu’à faire ce pourquoi elles disent exister.
« Le CNRC tend la main aux parties en conflit afin de mieux protéger les civils et de permettre aux organisations humanitaires d'accéder pleinement et en toute sécurité aux personnes dans le besoin ». Le CNR évoque également des solutions : « Nous devons intensifier la réponse humanitaire […] Mais surtout, nous avons un besoin urgent d'un engagement diplomatique international plus fort pour aider à résoudre le conflit. Cela pourrait commencer par un accord entre les parties sur la manière dont les écoles peuvent rouvrir, de manière à ce qu'une génération d'enfants ne soit plus privée d'éducation ».
Après 2003, le Cameroun jouera pour la deuxième fois, la finale de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) U17. Les Camerounais affronteront cette fois-ci, la Guinée lors de l’ultime match de la 13e édition de ce tournoi qu’abrite la Tanzanie depuis le 14 avril dernier.
Les Lions U17 se sont qualifiés ce mercredi 24 avril 2019 en demi-finale, dans un duel très enlevé face à l’Angola. Même avec un effectif réduit, avec l’expulsion du défenseur central, le capitaine Fabrice Ndzie Mezama à la 47e min du jeu, les hommes de Thomas Libih n’ont pas plié face à la solide équipe angolaise, en quête de sa première qualification pour la finale. Les deux équipes ont achevé le temps réglementaire sur un score nul et vierge. C’est finalement à l’épreuve des tirs au but que les Lions U17 ont brisé le rêve des Palancas Negras U17, en réussissant quatre tirs contre trois pour leur adversaire. Une qualification historique pour l’équipe camerounaise, 13 ans après avoir remporté son premier titre du tournoi.
Les Lions U17 seront opposés à la Guinée, son premier adversaire du tournoi à la phase de poule, en finale le dimanche 28 avril prochain. Les Guinéens ont éliminé, toujours à la séance des tirs au but, le Nigeria (0-0, 10-9 Tab). Les Nigérians et les Angolais se battront pour la troisième place.
Il faut noter que les quatre demi-finalistes de cette Can U17, notamment le Cameroun, la Guinée, l’Angola et le Nigeria représenteront l’Afrique à la 19e édition de la Coupe du Monde U17, qui se déroulera au Brésil, du 5 au 27 Novembre 2019.
Marie MGUE
C’est le Cameroun qui représentera la sous-région Afrique Centrale au tournoi de Handball féminin des prochains Jeux africains prévus du 23 août au 03 septembre 2019 au Maroc. Les Lionnes Indomptables de Handball ont décroché leur ticket de qualification ce mercredi 24 avril 2019 au terme d’un tirage au sort qui a défavorisé les handballeuses de la République Démocratique du Congo. Les handballeuses camerounaises conduites par Serges Guebogo, se sont inclinées au match retour ce mercredi à Kinshasa contre la Rdc, après la victoire (25-22) décroché mardi dernier au match aller. Un résultat qui a contraint les deux équipes a procédé par tirage au sort pour déterminer le représentant de cette zone 4 aux Jeux.
En effet, seules deux équipes, sur les quatre attendues, ont participé à ces Éliminatoires de la zone Afrique Centrale. Les sélections Gabonaise et Congolaise ont annulé leur participation au tant chez les Dames que chez les Hommes. La sélection nationale masculine de handball affrontera ce mercredi soir leur homologue congolais dans le cadre du match aller. Le match retour aura lieu demain jeudi. Au terme des deux matches en aller et retour, seul le meilleur au nombre des buts cumulés obtiendra son ticket de qualification pour représenter la zone 4 aux prochains jeux africains. En cas de victoire, les Lions indomptables pourront rattraper l’édition précédente, où ils avaient brillé par leur absence.
Par contre, c’est l’occasion pour les handballeuses de remporter le trophée perdu en finale de la dernière édition des Jeux africains qui s’est déroulée au Congo Brazzaville en 2015. Les Lionnes Indomptables, vice-championnes d’Afrique en titre, s’étaient inclinées en finale face la sélection angolaise de handball.
Marie MGUE
Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.
Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.
Il s’agit donc d’une visite importante que va effectuer la mission du Fonds monétaire international (Fmi) au Cameroun dès ce jour, du 23 avril 2019. Il est à noter que ladite visite s’inscrit en fait dans le cadre de la 4ème revue du programme économique et financier appuyé par la Facilité élargie de crédit (Fec).
D’après nos sources le programme de cette mission prévoit des rencontres avec les membres du gouvernement, des acteurs des milieux d’affaire et ceux de la société civile. Au terme des échanges les experts du Fmi seront appelés à établir un rapport portant sur l’état de l’économie du Cameroun. Ledit rapport sera présenté au Conseil d’administration de l’institution de Bretton Woods au mois de juin 2019.
Notre confrère Le Jour qui relaie aussi l’information relative à la visite de la mission du Fmi rappelle que « sous programme triennal (2017-2019) Fec depuis fin juin 2017, le Cameroun est appelé à introduire des réformes socio-économiques multiformes allant notamment dans le sens d’une plus grande discipline budgétaire et de la viabilité de la dette publique aujourd’hui estimée à 34% du Produit intérieur brut (Pib) ».
A titre de rappel, la 3e revue du Fmi au Cameroun a eu lieu du 5 au 12 novembre 2018. Elle a été conduite par Corinne Delechat. Le programme de celle-ci était quasi le même que celui annoncé pour la mission attendue dès ce jour. Les experts du Fmi avaient bien évidemment eu des échanges avec les autorités camerounaises sur des sujets divers tels que les objectifs de la mission, l’évolution récente et les perspectives de l’économie camerounaise, le point sur les performances de la Fec, les implications sur l’exécution du budget 2018, la préparation de celui de 2019. Il y a également eu le plan d’endettement du Cameroun questionné et la restructuration des banques en difficulté.
Au terme de cette revue, le département Communication du Fmi par un communiqué de presse, avait révélé qu’entre autres, pour ce qui est du Fec que, « la performance du Cameroun dans le cadre de son programme appuyé par la FEC est globalement satisfaisante. La plupart des objectifs à fin juin 2018 ont été atteints et les réformes structurelles ont progressé, avec l'achèvement des réformes clés du secteur financier qui avaient été retardées ».
Le même communiqué qui reste disponible sur son site web indiquait par ailleurs que « les autorités restent attachées à l’effort concerté visant à reconstituer les marges de manœuvre budgétaires et extérieurs de la CEMAC. À cette fin, il sera important de s’attaquer à l’insuffisance des recettes et de maîtriser les dépenses d’investissement pour atteindre l’objectif de déficit fixé pour 2018. Il sera essentiel de mettre en œuvre de manière résolue le budget 2019, y compris les mesures visant à mobiliser des recettes non pétrolières en éliminant progressivement les exemptions et en rationalisant d’avantage les dépenses, pour atténuer les risques liés à la situation sécuritaire difficile, à la volatilité croissante des prix des matières premières et à d’autres chocs sur la croissance ».
Liliane N.