Thousands of homes in Cameroon’s economic capital, Douala flooded Wednesday September 1 after torrential rains that left several neighbourhoods in water hit the town the whole day.
Every year in mid-August, inhabitants of Cameroon’s economic capital Douala wake up to disturbing floods following heavy rains. Household appliances out of order, furniture soaked into water, circulation perturbed to name but these are some of the realities those in the affected neighbourhoods live with.
A similar incident happened Wednesday September 1. A flood too many according to 30-year-old Daniella (not her real name), an inhabitant of the Grand Hangar neighbourhood in Bonaberi, located on the western side of the harbour across the Wouri River from the larger port of Douala.
“I am tired of this whole situation. I got to this neighbourhood two years ago and each year in August, we always suffer from flooding. Take for example it rained the whole day here and when I got home, water had engulfed all my belongings. It wasn’t a surprise to me but it hurts though to be in this situation…” Daniella told Agence Cameroun Presse.
The Grand Hangar neighbourhood in Bonaberi is one of the areas that remained knee-deep flooded yesterday, after several hours of downpour in Douala.
Another inhabitant in this neighbourhood who witnessed the flooding from home confided in Agence Cameroun Presse. "We were lucky enough to be home when it all started. As soon as the thunder rumbled, my children and I quickly raised the beds and other household furniture that could get bad. After that, we left the house with some items we could carry along before the water could rise. This is what we have been doing most of the time…Emelda Tabi, 35-year-old told Agence Cameroun Presse. “Though we have been into this, I must say the strength to do this all the time is gradually failing me.” She added.
When asked why the family persist in living in an area that is always flooded after heavy rains, the 35-year-old mentioned lack of space and insufficient means to pay and live in a decent neighbourhood.
Each year, over 100,000 new city dwellers move into the megalopolis and the gap between supply and demand for available land keeps growing.
In the meantime, Douala is prone to flooding with nearly 250 km of rivers and heavy rainfall averaging 4,000 mm per year. It is located at the mouth of the Wouri River, on a low coastal plateau, bordering the Atlantic Ocean and influenced by the tides.
Last year in August, inhabitants of the economic capital witnessed one of the most devastating floods the city has seen in recent years. It left the ground floors of hundreds of homes under water, and cut off main roads, causing massive traffic jams as the downpour overwhelmed the drainage system.
According to the Intergovernmental Panel on Climate Change, (IPCC), floods will displace an average of 2.7 million people in Africa and flood-related costs could increase tenfold by 2050, to $60 billion a year, in the 136 largest coastal cities.
Ariane Foguem
Selon une note d’information de la cellule de communication de la Direction générale des Douanes (DGD), les éléments de la brigade mobile de douane de Bonabéri, dans la ville de Douala, ont mis la main sur une cargaison de 800 téléphones portables et autres batteries. A en croire les responsables de la DGD, ces terminaux en provenance du Nigeria étaient dissimulés dans les bagages d’un car de transport de personnes.
Voici une autre prouesse de la douane camerounaise décidée à tordre le coup au phénomène de la contrebande dont l'ampleur est réelle. C'est ainsi que cette cargaison de téléphones et d'accessoires viennent destinée au commerce illicite de tomber dans la nasse des fonctionnaires de l'administration douanière à Douala.
La dernière saisie de portable remonte au mois de mars 2021, où la brigade mobile des douanes de Limbe, dans la région du Sud-Ouest, avait déjà procédé à la saisie, au poste de contrôle de Mu-deka, d’une cargaison de plus de 2600 téléphones portables de contrebande.
Le Gouvernement camerounais avait annoncé 2020, l’entrée en vigueur, d’un système de collecte numérique des droits de douane sur les téléphones portables et les tablettes. Ce système imposait aux opérateurs de mobile en activité dans le pays, à se connecter à une plateforme numérique conçue par la société Arintech, afin de permettre le prélèvement des droits de douane sur les téléphones portables, en le défalquant sur le crédit de communication du propriétaire du terminal. Très controversée et querellée, le gouvernement a dû surseoir à sa réforme.
Innocent D H
Le drame s’est produit dans la nuit de dimanche à lundi dernier au quartier Ngwélè par Bonabéri dans l’arrondissement de Douala 4e dans la région du Littoral au Cameroun. La pirogue dans laquelle avaient embarqué 7 pêcheurs dans le fleuve Wouri a chaviré. L’unique survivant de ce groupe, a pu nager jusqu'à la rive avant d’alerter les riverains.
Les recherches engagées dans la journée de lundi 16 avril 2019, depuis le constat de la disparition, avaient permis de retrouver trois dépouilles des six personnes portées disparues. C’est finalement ce mardi 16 avril 2019 au cours d’une autre fouille par des piroguiers volontaires que les trois autres dépouilles ont été retrouvées. « Nous sommes partis en mission de reconnaissance. Nous avons pu repérer le lieu du drame et lundi dernier nous sommes sortis avec nos moyens de bord. Nous avons pu retrouver trois corps. Ce mardi avec l’aide de Dieu et les familles des victimes, nous avons pu retrouver les trois dernières dépouilles », a confié un piroguier volontaire chez nos confrères de Canal 2 International.
Après les formalités administratives, les corps déjà en état de décomposition avancée ont été remis aux familles pour une inhumation immédiate. « Quand on veut réprimer une activité de ce genre à Douala, les gens vont dire qu’ils sont en train de se débrouiller, qu’ils n’ont pas d’autres alternatives, ni possibilités, pour pouvoir entretenir leur famille, et donc, ils prennent des risques de ce genre. L’accident s’est produit dans la nuit », déplore le sous-préfet de Douala 4e, Jean marc Ekoa Mbarga sur la même chaîne. Selon certains riverains, cet incident aurait pu être évité si le voyage se déroulait en journée.
Marie MGUE