Par voie de correspondance, le Pr Shanda Tonme a félicité Joseph Dion Ngute pour l‘organisation de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations.
Pour le Pr Shanda Tonme président du Mouvement populaire pour le dialogue et la Réconciliation, le Cameroun n’a que perdu une bataille lors de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) qui s’est déroulé sur son sol. Cependant, il a remporté la guerre de l’organisation. L’homme politique note qu’en dépit du fait que les Lions indomptables n’ont pas pu monter au podium, le peuple camerounais est fier. Il se veut très confiant et serein quant à l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2022.
Retrouvez ci-dessous la correspondance adressée au Premier Ministre
Félicitations
Excellence Monsieur le Premier Ministre,
Le Cameroun a perdu la bataille du classement en terminant quatrième, mais le Cameroun a gagné la guerre de l’organisation en recevant les félicitations et la reconnaissance de l’ensemble des partenaires et acteurs du football africain et mondial.
Le peuple tout entier exprime un sentiment légitime de fierté, et nul n’a plus de doute, ici comme ailleurs, quant à l’expertise avec laquelle, nous réussirons de façon encore plus éclatante, l’organisation de la très prochaine CAN en 2022 après cette CHAN de 2021.Alors que l’on craignait de nombreuses défaillances, nous avons assisté joyeusement, à une parfaite coordination entre les différents départements ministériels. Il en est de même, de la mise en mouvement ordonnée et concordante, de certains démembrements publics et parapublics spécialisés. A tout cela, il faut ajouter pour saluer, une autre démonstration de nos forces de défense et de sécurité, permanemment et très adroitement mobilisées.
Aussi, au moment où les dernières délégations quittent notre pays, Le Mouvement populaire pour le dialogue et la Réconciliation (MPDR), se fait un devoir citoyen et surtout honnête, de vous adresser par ma voix, ses sincères, vibrantes et très patriotiques félicitations./.
Martin Camus Mimb le journaliste de sport et promoteur de Radio Sport Infos pense qu’après son organisation au Cameroun, le Championnat d’Afrique des Nations aura désormais une autre considération.
Martin Camus Mimb félicite le Cameroun pour l’organisation de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), qui s’est tenu du 16 janvier 2021 au 7 février. Le journaliste de sport comme de nombreux experts en matière de football pense qu’après le passage du CHAN dans notre pays, il aura désormais une autre considération. Etant donné que le Cameroun a su élevé le niveau. La 6ème édition de ce tournoi réservé aux joueurs locaux passe pour être celle qui a été la plus suivie.
«Reconnaissons que le Cameroun a élevé le niveau, par la qualité des infrastructures et la mobilisation de la population. Bravo le Cameroun, je crois que désormais cette compétition aura une autre considération auprès des partenaires de la Caf (Confédération africaine de football NDLR)», a déclaré Martin Camus Mimb.
Il faut rappeler qu’au premier tour du CHAN, Hervé Penot reporter à L’Equipe faisait déjà remarquer qu’il y avait plus de personnes mobilisées que lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui s’est tenue en Egypte en 2019.
«Le Cameroun qualifié pour les quarts. Important pour le tournoi. Et quelle passion des supporters : il y a plus de monde dans les stades qu’en Egypte en 2019...Ce sera dans 1 ans la CAN la plus populaire de l’histoire. Sortie de Japoma, stade neuf de Douala», avait tweeté Hervé Penot le 24 janvier 2021.
Le Cameroun a donc remporté son pari. Et comme l’a déclaré Ahmad Ahmad revenu à la tête de la CAF par une décision du Tribunal arbitral du sport, le pays de Samuel Eto’o a démontré sa capacité à pouvoir organiser les compétitions internationales, avec des infrastructures dignes de ce nom.
Liliane N.
Adèle Mballa éditorialiste de la CRTV note que le Cameroun a gagné le pari de l’organisation de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations.
Adèle Mballa a choisi de consacrer son éditorial du 8 février 2021, au Cameroun qui vient d’organiser la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN). Pour l’éditorialiste en service à la CRTV, le Cameroun a gagné un pari dont certains le pensaient incapable de le remporter. N’en déplaise donc à ceux qu’elle qualifie d’«adeptes de l’autoflagellation», le Cameroun a bel et bien gagné sur tous les fronts, pour ce qui est de l’organisation du CHAN 2020.
«On ne le dira jamais assez effectivement, le pari de ce CHAN-là n’était pas du tout gagné d’avance. Le pari des demi-finales pour une équipe improbable, improvisée. Le pari de l’organisation la plus excellente en six éditions de ce championnat d’Afrique des nations. Le pari de la sécurité, aucun mort à signaler en trois semaines de la compétition», cite Adèle Mballa.
La figure du 20h30 de la CRTV a aussi remarqué que les menaces des séparatistes qui ne voulaient pas de matches du CHAN au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, ont été vaines. Adèle Mballa observe que même après la compétition, Douala, Limbe et le Cameroun continuent de respirer.
«Les prophètes de l’apocalypse annoncés à Limbe dans le Sud-Ouest, ravalent ce matin leur prophétie, la queue bien plus basse que celle des Lions A’. Ils rasent les murs dans un silence éloquent qui salue la bravoure de nos Forces de défense et de sécurité. Les épitres de Sodome et Gomorrhe, envoyés jusqu’au Caire, au siège de la CAF, ont simplement contribué à révéler la noirceur de l’âme de ces velléitaires qui persistent à se faire peur et à tenter de ternir le blason éclatant d’un pays admiré de tous», affirme Adèle Mballa.
Aussi l’éditorialiste et présentatrice vedette du 20h30 de la CRTV, observe avec fierté qu’il n’y a eu aucune perte en vie humaine du fait de la pandémie du Coronavirus.
«Les exégètes et les pseudo-spécialistes continueront donc de pérorer sur ce qu’ils voudront sur les plateaux de télévision à longueur de journée, livrant leur propre nation à la vindicte des ennemis tapis dans l’ombre. Mais leur flot de bavassement est noyé maintenant sous le concert des éloges, des appréciations et remerciements qui pleuvent de tous les participants étrangers à ce CHAN… Une leçon de maturité exceptionnelle qui porte une seule signature: la force de l’expérience de son Chef», conclut-elle.
Liliane N.
L’information est contenue dans une note d’information du Directeur général des douanes (DGD). Fongod Edwin Nuvaga annonce la saisie de 150 000 masques de protection de contrebande le 05 février 2021 à Yaoundé, la capitale politique du Cameroun.
Des précisions faites par Quentin Achille Dima, chef de cellule de la surveillance douanière à Direction générale des douanes, « Dès que les conditions et le circuit d’importation n’ont pas été respectés, qu’on ne connait pas le pays d’origine ni le fabricant des produits, forcément il y a des doutes sur la qualité de ces masques. On s’interroge sur leur capacité à ne pas laisser filtrer les particules, à protéger. Et comme les masques relèvent du domaine sanitaire, ils ont été mis à la disposition de la délégation du ministère de la Santé publique ».
Cette prouesse de la Douane camerounaise s’inscrit dans le cadre de l’opération « Stop2 » de l’Organisation mondiale des douanes (OMD) visant la sécurisation des envois transfrontaliers, la distribution des vaccins, médicaments, fournitures et équipements médicaux (masques de protection, médicaments, gels hydro-alcooliques) dédiés à la lutte contre la Covid-19.
En rappel, le DGD, Fongod Edwin Nuvaga, prescrivait à tous les chefs d’unités et responsables des opérations Halcomi III (nom de code d’une opération de lutte contre la contrebande et les produits contrefaits) une alerte maximale « en vue d’une participation honorable du Cameroun » à cette initiative de l’OMD. C’était ans un message daté du 19 janvier 2021.
Des actions que la douane camerounaise inscrit dans la continuité afin de poursuivre avec brio son combat sans relâche contre la contrebande et le commerce illicite. Toute chose devant permettre de garantir la protection du tissu économique national du pays contre d’éventuelles attaques sous quelques formes que ce soit.
Innocent D H
Il s’agit des deux Etats (Cameroun, Gabon), principaux animateurs du marché primaire qui sont éligibles à ce marché secondaire spécial de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac). L’information est fournie par la « lettre de recherche de la Beac » qui indique également que le cas du Congo est actuellement en examen.
« La lettre de recherche de la Beac » souligne que seul le « Trésor public gabonais a procédé, courant novembre 2020, à trois (3) émissions d’OTA (obligations du Trésor assimilables) d’un montant global de 72,5 milliards de FCFA, pour lesquelles la Beac a effectué des opérations de rachat à hauteur de 20,74 milliards de FCFA, montant équivalent à la partie non souscrite par les SVT (spécialistes en valeur du Trésor) ». L’opération de rachat des titres publics de la Beac vise à procurer jusqu’à 600 milliards de FCFA de financements aux États, à raison de 100 milliards de FCFA par pays.
Plus concrètement, cette offre de financement est proposée par la banque centrale des pays de la sous-région Afrique centrale pour les soutenir face aux conséquences économiques de la pandémie du coronavirus. Cependant, selon certains observateurs cette mesure ne fait pas encore courir grand monde à cause d’un processus jugé complexe. Ainsi, pour être éligibles, certains critères doivent être remplis par les Etats.
Critères d’éligibilité
L’Etat demandeur préalablement émettre des OTA d’une maturité inférieure ou égale à 10 ans, avoir enregistré un taux de couverture de la demande d’au moins 50% au terme de l’opération, n’avoir pas rejeté plus de 5% des offres reçues des spécialistes en valeurs du Trésor (SVT), puis justifier de la participation à l’opération d’au moins trois SVT, apprend-on.
Au cas où le montant du financement recherché n’est pas atteint par tout État de la Cemac déclaré éligible à cette facilité et remplissant les conditions ci-dessus, celui-ci peut alors solliciter la banque centrale pour déclencher son mécanisme de rachat des titres, afin de compléter l’enveloppe. La Beac se tourne alors vers les SVT ayant participé à l’opération, pour leur proposer de racheter immédiatement leurs titres à un taux d’intérêt négocié, s’ils souscrivent à la même opération à hauteur du montant restant, mais cette fois-ci au taux d’intérêt moyen pondéré obtenu au terme de l’opération initiale, informent des sources crédibles.
Au regard du processus sus évoqué, un habitué du marché tranche : « Au lieu de ce procédé assez compliqué, il aurait été plus simple de racheter les titres détenus par les SVT à des taux incitatifs, afin de leur permettre d’avoir de la liquidité et pouvoir ainsi souscrire aux différents appels de fonds des États. Mais, on comprend bien que pareil procédé n’aurait toujours pas permis à certains États réputés risqués d’obtenir tout le temps la cagnotte recherchée sur le marché. C’est la raison pour laquelle certains vont jusqu’à penser qu’il s’agit d’un mécanisme mis en place surtout pour certains États, qui ont souvent du mal à lever les fonds sollicités sur le marché monétaire (RCA, Tchad et dans une certaine mesure la Guinée équatoriale, NDLR) ».
Innocent D H
Le malgache Ahmad Ahmad président de la Confédération Africaine de Football appelle à la préservation des infrastructures sportives construites et réhabilitées pour le Championnat d’Afrique des Nations 2020 et la Coupe d’Afrique des Nations 2022.
Arrivé au Cameroun vendredi dernier pour prendre part à la finale du Championnat d’Afrique des Nations, Ahmad Ahmad dont la présidence à la tête de la Confédération Africaine de Football (CAF) connaît des turbulences, a lui aussi salué et félicité le Cameroun pour la qualité de l’organisation du tournoi qui a pris fin hier 7 février 2021. Tout aussi impressionné par le Stade Japoma, le malgache a toutefois sollicité la préservation de ces infrastructures sportives.
«Les stades ici ont de quoi émerveiller. Les Camerounais doivent être fiers car si vous regardez Japoma, ce n’est pas différent des meilleurs stades internationaux. Il va falloir préserver ces précieux acquis. Le Cameroun a été un hôte formidable», a déclaré Ahmad Ahmad qui reste le président de la CAF grâce à une décision du Tribunal arbitral du sport.
Didier Drogba
Il n’a pas fait le déplacement pour le Cameroun cependant, l’ivoirien Didier Drogba a suivi de bout en bout le déroulement du tournoi. Il convient de rappeler que la 6ème édition du CHAN a été organisée dans un contexte marqué par la pandémie du Coronavirus. Initialement prévu du 4 au 25 avril 2020, le CHAN qui est en fait, un tournoi réservé aux joueurs africains qui évoluent sur le continent, a été reporté du 16 janvier au 7 février à cause de cette pandémie.
«Bravo au Cameroun et à la CAF pour l’organisation du CHAN. Félicitations à l’équipe malienne pour le parcours honorable et au brillant vainqueur le Maroc», a donc tweeté Didier Drogba.
Pr Owona Nguini
Le Pr Mathias Eric Owona Nguini relève entre autres qu’en termes d’organisation, le Cameroun a été à la hauteur.
«Le Cameroun a réussi son organisation (qualité de l’accueil touristique; qualité de l’infrastructure de couverture médiatique ; qualité des infrastructures sportives ; qualité de l’ordonnancement protocolaire; qualité du dispositif sécuritaire). En effet, le Cameroun a montré de quoi il était capable lorsqu’il décidait de sortir de sa torpeur réputée et de son indiscipline avérée. Le paradoxe camerounais est que ce pays si souvent critiqué pour ses problèmes d’organisation, dispose pourtant d’une logistique administrative exercée et d’un savoir-faire technocratique avéré qui peuvent lui permettre lorsque ses responsables y souscrivent, conduire une organisation largement conforme aux standards internationaux en la matière. Ainsi, les cérémonies d’ouverture et de clôture ont été du grand art, mettant en relief l’expertise relevée de ce pays en matière de scénographie», a-t-il écrit.
Liliane N.
C’est le principal message de la déléguée régionale des enseignements secondaires du Nord ce vendredi, 05 février 2021 à Pitoa. Hadidjatou Sadjo a présidé la cérémonie de clôture de la 16ème édition de la semaine nationale du bilinguisme. Occasion pour la communauté éducative de présenter et venter les multiples opportunités qu’offre la maîtrise des deux langues officielles du Cameroun.
Danse multiculturelle à n’en point finir dans la cour du lycée bilingue de Pitoa. Sur scène, prestent des élèves du lycée classique de cet arrondissement en symphonie avec leurs camarades des autres établissements des enseignements secondaires de la ville. Le temps de la clôture de la semaine nationale du bilinguisme qui offre l’opportunité à la communauté éducative de la région du Nord de magnifier le vivre ensemble camerounais à travers les deux langues officielles. « Je suis heureuse que mon établissement soit l’épicentre de la clôture de la semaine nationale du bilinguisme par Mme le délégué régional. Je demande à mes élèves d’appliquer les conseils que la haute hiérarchie vient de communiquer, c’est-à-dire être aptes dans toutes les deux langues, le français et l’anglais », conseille Amina Youssoufa, proviseur du lycée bilingue de Pitoa.
La semaine nationale du bilinguisme dans le Nord qui a connu d’intenses activités dans les établissements scolaires s’achève sur une note de satisfaction mais surtout un appel à l’endroit de la communauté éducative dans son ensemble à savoir, continuer de promouvoir l’usage du français et de l’anglais comme outil de communication par excellence au service de l’unité nationale et de l’émergence. « Les activités ont été bien menées dans le strict respect des mesures barrières contre le coronavirus. Nos élèves ont eu à pratiquer nos deux langues officielles, c’est-à-dire le français et l’anglais. Je voudrais les encourager à la pratique des deux langues, le bilinguisme étant une ouverture sur le monde », martèle Hadidjatou Sadjo, déléguée régionale des enseignements secondaires du Nord.
La lecture du discours du ministre des enseignements secondaires à l’occasion de la 19ème édition de la journée nationale du bilinguisme, a permis à l’assistance de s’imprégner davantage des multiples opportunités des deux langues officielles du Cameroun notamment sur le plan de l’insertion socio-professionnelle.
Innocent D H
Kananathan Veluppillai, envoyé spécial de Gotabaya Rajapaksa, le président de la République démocratique socialiste du Sri Lanka a été reçu hier 3 janvier 2021 au Palais de l’Unité par le Chef de l’Etat.
Au Palais de l’Unité, Paul Biya le Chef de l’Etat a accordé hier une audience à Kananathan Veluppillai, envoyé spécial de Gotabaya Rajapaksa, le président de la République démocratique socialiste du Sri Lanka. Si le service de presse du Palais a indiqué que l’émissaire du président du Sri Lanka est venu pour parler du renforcement de la coopération bilatérale entre le Cameroun et son pays, celui-ci au terme de son entretien avec le Président Paul Biya a été plus précis sur l’objet de sa venue chez nous. Il a indiqué qu’il a présenté au Chef de l’Etat une offre de coopération dans les secteurs énergétique et agricole.
Paul Biya le Chef de l’Etat a lui-même publié cette rencontre avec Kananathan Veluppillai sur son compte Twitter.
«La diversification énergétique et le développement agricole étaient au menu de mon entretien ce jour (Hier 3 janvier 2021 NDLR) avec le Haut-Commissaire Veluppillai Kananathan, envoyé spécial du Président Gotabaya Rajapaksa de la République Démocratique Socialiste du Sri Lanka», a tweeté le Chef de l’Etat.
Kananathan Veluppillai pour sa part a ajouté qu’il pourrait bientôt avoir des investissements du Sri Lanka son pays à travers le développement des projets de production et de commercialisation de l’énergie solaire, pour ce qui est du secteur énergétique.
S’agissant du secteur agricole, le pays de Gotabaya Rajapaksa s’intéresse à « la production nationale massive » des cultures destinées à l’exportation. Kananathan Veluppillai l’hôte du Chef de l’Etat n’a pas donné des détails sur les projets d’investissement de ce secteur. Toutefois ce qu’on sait c’est que le Sri Lanka a développé un savoir-faire agricole dans la culture du riz et du thé (4e producteur mondial) et oléagineux primaires.
Liliane N.
Le projet est porté par un particulier, maitre Serge Ngassa chocolatier d’origine camerounaise établi en France.
Le projet de la construction d’une nouvelle usine de production de chocolat au Cameroun intéresse bien Luc Magloire Mbarga Atangana, le Ministre du Commerce. Porté par maitre Serge Ngassa, il a été présenté au membre du gouvernement.
«Nous avons pour objectif de développer notre marque CocoaValley au Cameroun. De permettre aux Camerounais de déguster un produit qui sort de nos terroirs avec des notes gustatives qui sont uniques et une qualité de travail qui répond aux chartes de nos terroirs. Nous attendons un soutien du gouvernement qui puisse nous permettre de nous installer durablement, notre objectif est aussi de former la jeune génération, de créer des emplois. Le Ministre nous a rassuré qu’ils ont favorablement accueilli cette initiative et que le gouvernement s’engage à soutenir CocoaValley au Cameroun», a déclaré maitre Serge Ngassa.
Le Ministre du Commerce trouve que le projet de construction d’une usine de production de chocolat au Cameroun épouse la vision du pays de transformer structurellement son économie.
«Nous sommes heureux que notre compatriote s’inscrive dans cette logique-là. Il transformait jusque-là la fève camerounaise à l’étranger, la valorise et verse une partie de la plus-value aux producteurs locaux. Le prix versé aux producteurs camerounais est 1640 FCFA le kilogramme. Mais à partir de juin 2021, le projet de Serge Ngassa fera que la rémunération passe à 2000 FCFA, et plus tard à 3000 FCFA le kilogramme. C’est cela la substance d’intérêt de ce projet», s’est réjoui Luc Magloire Mbarga Atangana.
Pour brièvement parler de maître Serge Ngassa, il faut dire qu’il est établi en Haute-Savoie en France. Il est le promoteur de CocoaValley, une usine de transformation et de production de chocolat. Cette usine emploie une vingtaine de personnes dans l'Hexagone.
Liliane N.
Pour arriver à la finale de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations, le Cameroun doit impérativement battre ce soir, le Maroc tenant du titre.
C’est à 20 heures de ce mercredi 03 février 2021, que le Cameroun va affronter le Maroc au stade Omnisports de Gueme, à Limbé, dans la région du Sud-Ouest. Ce match est décisif. Parce qu’il faut à tout prix battre les Lions de l’Atlas pour non seulement rester dans la compétition mais plus important encore, pour tenter de remporter pour la toute première fois de l’histoire, le trophée du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN). En conférence de presse d’avant-match, Martin Ndtoungou Mpilé le sélectionneur des Lions indomptables A’ a clairement indiqué que leur but est d’atteindre la finale du CHAN.
« Nous avons mis en place des mécanismes pour que le Maroc ne se sente pas à l’aise demain. Nous avons la ferme intention de jouer la finale, notre préparation vise absolument la finale… Nous ne sommes plus en phase de poule où on dira qu’on va jouer un match et se rattraper après. Maintenant, ça passe ou ça casse. Donc on va tout donner et nous souhaitons que la victoire soit de notre côté », a déclaré Martin Ndtoungou Mpilé au cours de la conférence de presse d’avant-match qui a eu lieu hier mardi 2 janvier 2021.
Du côté du Maroc, l’objectif est le même. Non seulement gagner le match de ce soir mais également conserver le titre remporté lors de l’édition de 2018.
« Mes joueurs sont prêts mentalement pour donner une bonne prestation du football marocain. Il y a de l’entraide, il y a de la maturité au sein du groupe. Donc ce qui fait qu’ils sont prêts pour défendre le titre gagné il y a trois ans », a déclaré le sélectionneur Houcine Ammoute en conférence d’avant-match.
Les Lions indomptables devront faire particulièrement attention à l’attaquant des Lions de l’Atlas Ayoub El Kaabi. Il est présenté comme étant le meilleur buteur de l’histoire de cette compétition avec 11 buts, soit 9 inscrits lors de la précédente édition.
Liliane N.