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Blood has once again been spilled in the Far North region of Cameroon, precisely in Sagmé, a locality in Fotokol, in the Logone and Chari Division and a few dozen kilometres from the border with Nigeria following a serious confrontation between Government forces and elements of the Boko Haram Islamist sect.

According to a press release issued by the Defense Ministry Spokesperson, Navy Captain Cyrille Atonfack, the terrorists in their numbers and heavily armed stormed the locality of Sagmé onboard light tactical vehicles and attacked the outpost of the military operation EMERGECE 4.

The soldiers on duty counterattacked and the infighting claimed the lives of eight of them included the Commander of the military base and several Boko Haram elements as well. Thanks to the swift reaction from the defense forces on duty, they were able to repel the terrorists and save more lives.

Besides the eight soldiers who lost their lives, 13 others sustained severe injuries and are currently receiving treatment at the Maroua Military Hospital. Following this new attack, the Minister of Defense, Joseph Beti Assomo instructed that security be reinforced in the Far North region and at borders.

He has equally extended the heartfelt condolences of the Head of State to the families of the departed soldiers as well wished a quick recovery to those that sustained injuries. It is worth mentioning that recently, Boko Haram has been multiplying attacks against defense forces as well as the population in some localities in the Far North region of Cameroon. Boko Haram has plagued Cameroon’s Far North region since 2014, killing more than 2,000 people, according to security reports.

In mid-June, the group confirmed that its leader, Abubakar Shekau was killed after clashes with ISWAP.

 

Below is the communique on the Sagmé attack

Hundreds of civilians are said to have fled Sagmé, the Cameroonian locality in the Far North region that borders Nigeria after an attack by Boko Haram terrorists over the weekend claimed the lives of eight defense forces and sent more than a dozen to the hospital.

Those from localities bordering Sagmé are said to have equally fled to the bushes after the deadly attack.

The Governor of the region, Midjiyawa Bakari has called on the population to return to their localities following a redeployment of the military to protect them.

Speaking to State channel, CRTV, Governor Bakari enjoined the people to cooperate with the military for an effective fight against the Islamist group’s insurgency in the area.

He said he has asked traditional rulers, the clergy and community leaders to remobilize self-defence groups, especially along the border with Nigeria.

VOA reported that security analyst and former military spokesman, Col Didier Badjeck stressed the role of the population in defeating Boko Haram terrorists.

The security analyst reportedly said elements of the Islamist group have been infiltrating many localities on the northern border with Nigeria and that it is very difficult for the military to detect the terrorists if civilians do not collaborate by reporting strangers in all border towns and villages.

He further indicated that churches and mosques should ask civilians to stop lodging visitors and giving strangers food, thinking that they are obeying religious teachings because fighters may be disguising themselves as ranchers moving around in search of food for their cattle or as farmers visiting markets to sell crops.

Boko Haram and its breakaway faction Islamic State West Africa Province have increased their deadly attacks against defense forces and the population in the Far North region of Cameroon in recent years.

 

 

 

 

 

 

 « Que le péril sécuritaire qui sévit dans le Nord-Ouest ne migre à l’Ouest… » ; Tels sont entre autres les mots martelés par le ministre délégué à la présidence, chargé de la Défense à l’entame des assises de Mbouda - chef lieu du Département des Bamboutos.

Elles ont été décidées suite aux attaques répétées de certaines positions des forces de sécurité et de défense notamment dans les Bamboutos, le Noun et la Menoua ; des attaques attribuées aux ambazoniens et qui ont amené Joseph Beti Assomo -  Ministre Délégué à la présidence chargé de la Défense à effectuer une visite de travail les 22 et 23 Juillet dernier à l’Ouest du pays.

Autour de la table de discussion, les autorités administratives, les responsables du ministère de la Défense, les officiers généraux parmi lesquels le commandant de la cinquième région de Gendarmerie, le général de brigade Ekongwese Divine Nnoko, et le commandant de la cinquième région militaire interarmées, le général de brigade Nka Valère.

Mais aussi les autorités traditionnelles dont la collaboration est permanemment sollicitée, car elles seules sont à même de redynamiser les comités de vigilance et sensibiliser les populations, afin que celles-ci coopèrent un peu plus avec les forces de défense et de sécurité.

Réactions

Joseph Beti Assomo – Ministre Délégué à la Présidence, chargé de la Défense : « Nous avons tenu une réunion de crise au cours de laquelle nous avons examiné la situation en profondeur et nous avons pris un train de mesures appropriées pour que ce qui s’est passé dans le Noun et les Bamboutos ne se reproduise plus. Nous allons veiller à ce que les instructions qui ont été données soient mises en œuvre.

 

Nous renforcerons ce qu’il faut en effectifs et en moyens et nous allons suivre de très près cette situation. C’était une mission très importante et nous sommes satisfaits de ce que nous avons fait».

 

François Etapa – Préfet des Bamboutos : « Depuis 2018, de par sa position géographique, le département des
Bamboutos fait face à des assauts répétés des sécessionnistes, avec tous les effets collatéraux que cela implique. A l’issue de la rencontre que nous avons eue, nous allons redescendre sur le terrain pour répercuter les instructions du haut-commandement et sensibiliser davantage les populations sur l’absolue nécessité de renseigner les forces de sécurité et de défense.

 

 Dans ce cadre, on a mis sur pied des comités de vigilance dans chaque village. Lesquels sont organisés en fédération au niveau de chaque arrondissement».

 

Donnacien Um : Préfet du Noun : « Le Noun a quatre arrondissements qui partagent leurs limites avec le Nord-Ouest. Ça fait que nous faisons l’objet d’incursions. La dernière remonte à 2018. Depuis lors, le dispositif mis en place permet de contrôler la situation.

 

Nous allons rassurer les populations, tel que le demande le haut commandement. Qu’elles sachent que les pouvoirs
publics sont derrière elles pour les protéger, elles, ainsi que leurs biens. Il faut redynamiser les comités de vigilance en s’appuyant sur les chefs traditionnels sur qui on compte énormément».

 

Nicole Ricci Minyem

 

Vincent Sosthène Fouda rappelle que le président de la République représente à la fois l’Etat et la nation.

Invité du programme «Le grand 7» de Dash Tv hier dimanche 25 juillet 2021, l’homme politique Sosthène Vincent Fouda a condamné les manifestations de Genève de la Brigade anti-sadinards (BAS). Pour lui, il y a lieu de condamner énergiquement ce qui s’est passé dans cette ville suisse. Parce que le président de la République incarne une institution. Et il faut bien faire la différence entre Paul Biya la personne et Paul Biya le président de la République.  

 «La personne du président de la République qui est elle-même élue, le président de la République est élu par un ensemble des camerounais donc il représente à la fois, l’Etat et la nation. Donc il ne s’agit pas comme certains font, d’aller chercher les articles de loi pour voir si le dépositaire de la force publique ou si une partie du peuple peut pourchasser un Chef de l’Etat partout où il se trouve dans le monde. Et les cas qui nous intéressent ici, ne rentrent pas dans le droit. Ils rentrent dans l’éthique, de la façon dont nous avons à vivre», a-t-il déclaré.

Il faut rappeler que la BAS par la voix de son commandant Calibro Calibri a indiqué que le président Biya avait perdu droit de cité en Europe. Et qu’eux de la Brigade allait poursuivre avec les manifestations. Pour Vincent Sosthène Fouda, il est anormal de poursuivre un Chef de l’Etat, de le bousculer ou même de l’insulter.

«On ne bouscule pas un Chef de l’Etat. On ne poursuit pas un Chef de l’Etat, on ne l’insulte pas. Parce qu’il incarne les institutions de la République. La personne de Paul Biya n’est pas la personnalité du président Biya. Ce que nous avons à respecter c’est les institutions. Et tant qu’on ne condamne pas ou qu’on condamne partiellement ce qui se passe à Genève, et l’on tolère ce qui se passe à Yaoundé, il y a à mon sens, vraiment un délictement du sens du symbole de la République. Je vais insister là-dessus. On ne bouscule pas une femme devant ses enfants, on son époux, qui puis être un élu de l’Etat-nation et je vais insister là-dessus, c’est-à-dire que la nation par le peuple l’a élue comme a élu le Chef de l’Etat, et que l’Etat», a-t-il déclaré. 

Liliane N.

Ce sont les victimes de la violente attaque qui s’est déroulée à l’aube du 24 Juillet dernier dans la localité de Sagmé, comme l’indique le communiqué rendu public par le ministre de la Défense Joseph Béti Asssomo

 

« Dans la matinée du samedi 24 Juillet, aux environs de 4 heures, une horde de terroristes boko haram lourdement armés et à bord de plusieurs véhicules légers, a attaqué le poste avancé de l’opération militaire Emergence 4 situé dans la localité de Sagmé – Arrondissement de Fotokol – Département du Logone – et – Chari – Région de l’Extrême Nord.

 

Après de violents combats, les insurgés ont replié, manifestement en direction de la localité de Wulgo, Etat du Borno, dans le nord – est du Nigéria… ».

 

Bilan de cette malheureuse expédition

 

Forces de Défense Camerounaises « 8 (huit) militaires tués et 13 (Treize) autres blessés et évacués à l’hôpital militaire de Maroua pour un suivi approprié… ».

 

Nos confrères du journal l’œil du Sahel, dans la parution de ce Lundi, indiquent que les terroristes ont été neutralisés et leurs corps, peut – on aussi lire dans le Communiqué du ministre de la Défense « Ont été emportés conformément à leur habitude en pareilles circonstances… ».

 

Tout en présentant les condoléances du Cameroun aux familles endeuillées et prompt rétablissement aux blessés, Joseph Béti Asssomo se veut rassurant en écrivant que :

 

« Les troupes restent en alerte maximale dans toute la Région de l’Extrême Nord et au – delà des frontières, afin de prévenir de nouveaux  assauts éventuels de l’hydre terroriste boko haram, dont les manifestations sont récurrentes ».

 

Des morts de trop

 

Et qui démontrent que les terroristes sont dans une attitude d’affront permanent et qu’ils n’entendent pas se plier de quelque manière que ce soit, aux appels de cessez le feu lancés aussi bien par le Gouvernement Camerounais que Nigérian ;

 

Au contraire, chaque fois que les deux Etats se réunissent pour tenter de trouver des solutions à cette crise sécuritaire, les terroristes montent d’un cran dans la barbarie, l’horreur, la bestialité.

 

Des milliers de morts depuis 2009

 

Les membres de boko haram et d'une branche dissidente, le groupe État Islamique en Afrique de l'Ouest (Iswap), multiplient ces dernières années, les attaques meurtrières contre les forces de sécurité et les civils dans l'Extrême-Nord du Cameroun comme dans les régions limitrophes des trois pays voisins, le Nigeria, le Niger et le Tchad. Des civils y sont également enlevés.

 

L'insurrection de boko haram est née en 2009 dans le nord-est du Nigeria avant de se propager dans les pays voisins. Depuis, plus de 36 000 personnes (principalement au Nigeria) ont été tuées, et 3 millions ont dû fuir leur domicile, selon l'Organisation des Nations Unies.

 

Nicole Ricci Minyem

  

 

Jean De Dieu Momo le ministre délégué auprès du ministre de la Justice affirme que le président de la République est un oint de Dieu, envoyé au Cameroun pour son salut.

Au milieu de toute l’agitation qu’il y a autour du séjour privé en Europe du président de la République Paul Biya, Jean De Dieu Momo le ministre délégué (Mindel) auprès du ministre de la Justice, a choisi de commettre une tribune. Le Mindel l’affirme plus d’une fois, dans ladite tribune. Pour lui, le Chef de l’Etat est un oint. Il n’a qu’à voir ses actions pour le Cameroun. Il parle par exemple de ce récent séjour en Suisse. Le membre du gouvernement indique qu’il y est allé non pas pour se soigner mais plutôt pour signer des contrats.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Jean De Dieu Momo

 Cet Homme est Oint !

 Vous direz ce que vous voudrez, mais je vous dis que cet homme est oint! Paul Biya est oint par Dieu lui-même! Regardez, tous les représentants du bon Dieu sur terre sont avec lui. De notre vénéré cardinal Christian Tumi aux différents papes qui l’ont côtoyé et adoube: Pape Jean Paul II, Pape Benoit XVI, Pape François. Les actes et actions de cet homme parlent par eux-mêmes et plaident en faveur de sa sainteté. Et toute sa vie nous montre que cet homme est le fils de Dieu, son envoyé sur la terre du Cameroun pour notre salut.

 D’abord sa naissance: fils du plus pauvre et du plus humble d’entre les hommes avec un salaire de catéchiste, comme l’était Joseph le charpentier père de Jésus Christ, il a été élevé dans la sobriété et dans l’amour du prochain. Aime ton prochain comme toi même est le credo de sa vie. Ensuite ses études au séminaire le prédestinent à la prédication de la bonne nouvelle et de la parole de Dieu. Ce dernier, Dieu, l’oriente dans sa mission au service du Cameroun et des hommes qui y habitent, lequel Cameroun vient d’accéder à l’indépendance et a besoin des cadres locaux pour le diriger. Alors que beaucoup de camerounais qui sont allés se former en Occident ont refusé de rentrer dans notre brousse, qui à l’époque n’avait ni routes bitumées ni eau courante ni électricité, il rentre au Cameroun en 1962 pour se mettre à notre service. D’ailleurs même aujourd’hui beaucoup sont partis et ne sont plus revenus. (Pire certains sont très bruyants en cassant nos ambassades et en s’agitant dans les rues pour repousser les investisseurs désireux de venir investir chez nous.)

 D’abord humble fonctionnaire, serviteur de la nation, puis discret premier ministre, Il n’a jamais failli ainsi qu’il en avait fait le serment une fois à la magistrature suprême. On ne lui connaît aucune fortune obscure ou biens mal acquis et il paie de sa propre poche ses séjours privés à l’étranger! Il tient sa famille à l’écart de la gouvernance du pays. Ses enfants le voient rarement tellement il est accaparé par les affaires de notre pays et n’accorde aucun passe-droit à ses proches.

 Il tient sa charge du bon Dieu qui a utilisé le président Ahidjo pour ce faire et il exerce son sacerdoce en toute humilité et courage. Il n’a jamais demandé à être président de la République. Il a même refusé de prendre la succession de son prédécesseur. Tout le monde a insisté pour qu’il la prenne et toutes les tribus l’ont accepté et intronisé chef. Et depuis lors, il porte sa croix sur son chemin de Golgotha sous les intempéries, les injures, les crachats, les quolibets et la cravache de ceux qui ont crucifié Jésus Christ! Malgré les pouvoirs d’Etat dont il est investi, il ne les a jamais utilisés pour châtier les agitateurs insensés que nous avons été et que certains continuent d’être. S’il l’avait voulu, je pourrirais personnellement en prison avec plusieurs autres personnes ou pire mes os blanchiraient dans un obscur cimetière aux côtés d’autres réactionnaires agités. Mais non. Il m’a élevé. Il pardonne. Il laisse faire. Il se laisse insulter et vilipender. Il sait que nous ne savons pas. Il connaît la profondeur de notre ignorance ignorée par nous-mêmes. D’autres vont même jusqu’à prétendre le prendre et le pendre en Suisse!!!

 Stoïquement, il avance vers son destin en portant sa croix et tout le poids du Cameroun sur ses robustes épaules taillées au fil des tornades politiques pour le conduire vers son émergence. Il ferme ses oreilles à la clameur méchante de ceux qui militent pour sa perte et, se tournant vers Dieu, depuis Genève où il est allé encore une fois travailler pour son pays et pour le bonheur de son peuple, il dit: « pardonne leur seigneur car ils ne savent pas ce qu’ils font! ».

 Cet homme est le fils aimé de Dieu que certains veulent crucifier. Regardez-vous même qu’au crépuscule de sa vie, alors que beaucoup se reposent à l’ombre du manguier ou à la plage de Kribi, il prend l’avion pour aller à Genève négocier les contrats importants pour son pays. Certains de nos enfants, empoisonnés à la ciguë démocratique occidentale et nourris à la mamelle des informations déformées pour le service de l’industrie du dénigrement des pays africains,  pensent à tort qu’il est parti «  se reposer ou se soigner »!  Que cela est bien faux! Réfléchissez aussi! Que lui manque-t-il, dans ce Cameroun prospère qu’il a patiemment construit, pour se reposer? Et quel est donc cet hôpital de référence que la Suisse aurait que nous n’aurions pas au Cameroun ou que d’autres pays occidentaux ou d’ailleurs n’auraient pas? Posez-vous la question de savoir pourquoi Genève et pas une autre ville dans le monde ni un autre pays? Il n’y va pas pour se soigner ni pour se reposer. Il y va pour travailler discrètement pour son pays. Pour notre pays et pour son peuple très souvent ingrat. Il remplit son cahier de charges auprès du bon Dieu à qui il rendra compte un jour certain mais encore lointain. Il a compris depuis que nous sommes ingrats et méchants. Mais Il fait son travail selon son cœur sans attendre ni remerciements ni appréciations de notre part. Il nous connaît. Il a tout vu. Il a tout reçu de nous. Nous ne le surprenons plus.

 Cet homme est oint de Dieu et je ne veux pas être du camp de ceux qui ont crucifié le fils de l’Homme! Un jour, que j’espère lointain, nous le pleurerons et le regretterons. Un jour, nous le vénérerons  comme on vénère Jésus Christ sur les pas duquel il marche résolument. Un jour nous saurons que nous avons côtoyé l’envoyé du bon Dieu et que nous ne l’avons pas reconnu. Prions pour qu’après lui le Bon Dieu nous donne un autre saint homme exactement comme lui en tout point de vue. Amen

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         

Michelle Ndoki a décidé de lancer son projet politique «les bâtisseurs».

Inaperçue depuis des mois sur la scène publique, Michelle Ndoki revient au-devant de la scène avec un nouveau projet politique. Elle l’a baptisé «les bâtisseurs». Elle a présenté aux abonnés de sa page Facebook le samedi 24 juillet 2021. En regardant son combat dans le passé, celle qui est cadre au Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), a déclaré que l'erreur faite jusqu'ici, est de présenter aux compatriotes «des personnes providentielles comme étant l'alternative à la personne providentielle aujourd'hui en place».

Michelle Ndocki a donc profité de son direct pour présenter son projet politique.

«Cette nation sera bâtie comme les autres, par des êtres de chairs et de sang qui font des erreurs, qui se trompent, qui essaient, qui échouent et qui recommencent. Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, ce n'est pas des spécialistes dans la détection des fautes ou des travers des uns et des autres… Ce dont le Cameroun a besoin aujourd'hui, ce sont des bâtisseurs. L'heure est sombre, mais notre terre n'a que nous et nous n'avons qu'elle. Il est temps de nous rassembler et de nous remettre au travail… Toute réalisation humaine commence par une idée. Alors permettez-moi de vous soumettre la mienne: je rêve d'un Cameroun auquel nous aurons rendu l'amour dont nous l'avons privé plus de 30 ans ; d'un Cameroun qui redeviendra connu et reconnu, pour sa capacité à apporter amour, protection et justice à ceux qu'il accueille ; d'un endroit dont la faim, la corruption, la douleur, la violence, la peur ont disparu et où chacun connait sa place. Je veux que plus jamais un enfant de ma terre ne prenne les armes contre un autre, que plus jamais une femme ne meurt en donnant la vie dans un hôpital dans l'indifférence générale ; que plus jamais un enfant ne pense à la délinquance, au banditisme comme une voie possible pour atteindre la réussite.

Je rêve d'un Cameroun dont les rues sont sûres, les villages paisibles, les forêts sacrées. Je rêve à ma dernière heure de laisser ce Cameroun à mes enfants, un Cameroun que l'on chante partout comme une terre d'accueil et d'espoir, le phare de l'Afrique centrale ; un Cameroun où l'on célèbre le travail, la force, la beauté, la sagesse sans se demander s'ils sont le fait d'un homme ou d'une femme. Je vous demande, de revenir ici avec  moi, tous les quinze jours, à partir d'aujourd'hui,  jusqu'à ce que, notre projet soit clair et connu. Ensuite, je vous dirai, nous vous dirons comment nous ferons pour réaliser cette vision» a-t-elle déclaré en substance.

Il convient de préciser que jusqu’ici, Michelle Ndocki n’a pas encore présenté sa démission au MRC.

Liliane N.

Alors que par le biais d’un communiqué presse-radio, Gilbert Tsimi Evouna annonçait le retour au Cameroun du président de la République Paul Biya hier 25 juillet 2021, l’information s’est révélée ne pas être juste.

Le président de la République n’est pas revenu 25 juillet 2021 au Cameroun, comme l’a annoncé Gilbert Tsimi Evouna en sa qualité de chef de la délégation permanente départementale du Comité central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) pour le Mfoundi. Une note d’information du parti au pouvoir signé par Palalou Midjinyaoua 3e adjoint au maire de ville de Yaoundé rendu public hier, indique que le retour au Cameroun du président Biya a été reporté.

«La hiérarchie nous informe que le retour annoncé du couple présidentiel prévu pour cet après-midi (25 juillet 2021 NDLR) a été reporté. Tout en vous remerciant et vous félicitant pour le déploiement que vous avez mis en œuvre pour réserver un accueil exceptionnel au président national, président de la République et Chef d’Etat. Je vous exhorte à rester mobilisés et vigilants pour d’une part, faire front aux manœuvres des ennemis de l’intérieur ou de l’extérieur de notre pays et, d’autre part, de témoigner tout notre attachement à notre leader le moment venu», peut-on lire dans la note d’information de Palalou Midjinyaoua le président de la section Mfoundi II.

Il convient d’indiquer que cette note d’information est apparue après le communiqué presse-radio de Gilbert Tsimi Evouna dans lequel, il conviait les populations de Yaoundé et de ses environs à se mobiliser pour accorder un accueil chaleureux au président de la République.

«Jusqu’à présent, on se pose la question, sur ce qui s’est passé pour qu’on annonce ainsi le retour du couple présidentiel. Surtout que celui qui signe ce communiqué, est l’une des rares personnalités proches du Chef de l’Etat. Où a-t-il puisé cette information ? Pourquoi s’est-il précipité à annoncer le retour du couple présentiel ? Le cabinet civil de la Présidence de la République a ouvert une enquête pour avoir les réponses à ces questions et à bien d’autres » a confié au confrère Cameroon-info.net, une source dans la suite du Chef de l’Etat à Genève.

Liliane N.

 

 

Les sauveteurs s’adonnent encore aux fouilles ce jour, cherchant dans la boue et les débris s’il y’a des survivants. La presse internationale quant à elle informe que cette nouvelle catastrophe est liée aux intempéries en plus des glissements de terrain     

Au moins 59 personnes étaient encore portées disparues, a précisé le gouvernement de l’Etat de Maharashtra, dont Bombay est la capitale, à la suite de multiples incidents liés à la mousson.

« Quarante-trois personnes sont mortes dans trois glissements de terrain dans le district. Les opérations de secours continuent », a déclaré à l’AFP Sagar Pathak, responsable de la gestion des catastrophes dans le district de Raigad, au sud de Bombay.

Deux autres personnes sont mortes dans des éboulements dans le district de Satara, a indiqué à l’AFP Anirudha Ashtaputre, porte-parole du gouvernement de l’Etat de Maharashtra, et une quinzaine sont portées disparues.

Opérations de secours difficiles

La marine et l’armée de l’air sont intervenues pour venir en aide aux milliers de personnes affectées par des inondations. Mais les opérations de secours sont compliquées par les éboulements qui ont coupé plusieurs routes, en particulier l’autoroute entre Bombay et Goa.

Plus de 24 heures d’intenses précipitations ininterrompues ont fait sortir de son lit le fleuve Vashishti. Des quartiers de la localité de Chiplun, à 250 km de Bombay, étaient noyés sous 3,5 mètres d’eau.

Le chef du gouvernement du Maharashtra, Uddhav Thackeray, a indiqué que les services d’urgence peinaient à atteindre des quartiers de Chiplun désormais isolés, en raison de l’état des routes et des ponts endommagés par les inondations.

La marine a mobilisé sept équipes de secours équipées de canot gonflables, de gilets de sauvetage et de bouées sur les zones touchées, ainsi que des chauffeurs spécialisés et un hélicoptère pour hélitreuiller les personnes naufragées.

Pluies torrentielles et fort coefficient de marées

Le département météorologique indien a placé plusieurs régions de l’Etat en alerte rouge, en précisant que les fortes pluies devraient se poursuivre dans les prochains jours.

Aux pluies torrentielles de mousson, se sont ajoutés des marées à fort coefficient et des libérations d’eau de plusieurs barrages mis sous pression par l’accumulation des réserves, selon le gouvernement du Maharashtra.

Inondations et glissements de terrain sont fréquents en Inde pendant la saison de la mousson (juin-septembre), qui voit souvent d’anciens bâtiments s’effondrer après des jours de pluie ininterrompue.

Les autorités ont annoncé vendredi la mort de 4 personnes pendant la nuit dans l’effondrement d’un bâtiment d’un bidonville de Bombay, moins d’une semaine après que 34 personnes ont été écrasées par l’effondrement d’un mur, consécutif à un glissement de terrain dû aux fortes pluies.

Les pluies ont également provoqué l’inondation d’un centre de traitement des eaux, interrompant la distribution d’eau dans « la plupart des quartiers de Bombay », ont indiqué les autorités de cette ville de 20 millions d’habitants.

Le changement climatique intensifie les phénomènes de mousson en Inde, selon un rapport de l’Institut de recherche sur l’impact climatique de Potsdam (PIK). Ce rapport alerte sur les possibles conséquences de cette évolution sur l’alimentation, l’agriculture et l’économie dans un pays représentant le cinquième de la population mondiale.

N.R.M

 

Dans un communiqué rendu public il y’a quelques heures, l’honorable Cabral Libii tout en décrivant les faits tels qu’ils se sont déroulés a conclu d’une manière qui ouvre la voie à plusieurs expectatives

« Maintenant que l'écume du buzz commence à se dissiper et que les lampions s'éteignent peu à peu sur la scène du concours de beauté analytique, précisons déjà en entame que Honorable Nourane Fotsing n'a jamais forcé un barrage de police de ses mains, ni par personne interposée, étant au volant comme l'atteste les images, elle courait déjà le risque d'endommager son véhicule.

Précisons aussi que lorsqu'elle s'est présentée et qu'elle a demandé à bénéficier de la même faveur faite à un véhicule quelques minutes avant, car en effet, la police avait levé la barrière pour laisser passer un autre véhicule devant elle, un agent de police de sexe féminin avait déjà levé la barrière pour lui accorder cette faveur. Mais les collègues de cette dernière ont remis la barrière...

 

Ce qui s'est passé à Bafoussam impose que toutes les conséquences soient rigoureusement tirées. Et elles le seront ».

 

L’honorable Nourane Fotsing a t –elle voulu dénigrer le travail abattu par la Police Nationale ?

C’est ce point de vue que semblent défendre ceux qui accusent la Député de la Nation en affirmant qu’ « elle n’est pas au dessus de la loi ».

Il y’a toutefois lieu de se poser quelques questions.

En se référant à certains communiqués, Les fidèles musulmans qui affichent les airs de spectateurs autour de l’Honorable Nourane Fotsing et les policiers pendant l’altercation ont – ils abandonné leur  prière en entendant les cris ?

S’il y’a des véhicules qui sont passés avant que la Député du Pcrn ne s’engage elle aussi dans cette voie, qu’est ce qui s’est passé pour que tous les policiers adoptent le comportement qui a été le leur alors qu’elle était encore assise dans son véhicule ?

Fidèle musulmane elle aussi, est – on fondé de croire qu’elle est tellement imbue de sa personne qu’elle a décidé qu’en ce jour important pour les gens de sa communauté religieuse, elle a pris la résolution de piétiner les règles, violer la loi et troubler la prière de ses pairs ?

Le respect : Une denrée rare voire inexistante chez certains

Et pourtant, dans la société, chaque personne est importante et mérite d’être respectée ;  A-t-on véritablement besoin de crier, de menacer, de se mettre en nombre important pour faire valoir qu’on est un représentant de la Loi ?

La courtoisie, la politesse, la civilité ne sont – elles pas des armes plus puissantes lorsqu’on tient absolument à prouver qu’on est très important et qu’on a droit au respect ?

Nicole Ricci Minyem

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01