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La Confédération Africaine de football (CAF) vient d’annoncer une nouvelle date pour la cérémonie officielle de tirage au sort de la 32eme édition de la Coupe d’Afrique des Nations qui se jouera au Cameroun du 9 janvier au 6 février 2022.

Initialement prévue le 25 juin dernier au Palais Polyvalent des Sports de Yaoundé mais reportée en raison du contexte sanitaire actuel, la cérémonie aura lieu le mardi 17 août 2021 au Palais des Congrès de Yaoundé.

L’annonce de cette nouvelle date a été communiquée aux autorités camerounaise par le secrétaire général de la CAF, Veron Mosengo-Omba ce mercredi 28 juillet.

Cette cérémonie verra la présence du président du Libéria Georges Weah et  plusieurs autres anciennes gloires du football continental.

La CAN 2021, deuxième du genre avec 24 équipes se jouera dans les villes camerounaises de Yaoundé, Douala, Bafoussam, Limbe et Garoua du 9 janvier au 6 février 2022.

Les 24 pays qualifiés sont ; l’Algerie, le Burkina Faso, le Cape-Vert, le Cameroun, la Cote d’Ivoire, les Iles Comores, l’Egypte, l’Ethiopie, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, le Malawi, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone, la Tunisie, le Soudan et le Zimbabwe.

S.K.

Two sisters aged 22 and 24 have been reported missing in Kribi, Ocean Division of the South region of Cameroon.

According to reports, the  two young ladies identified as Julienne Francine Abounge and Ela Nda left their parent’s home together last Saturday July 24 after receiving a phone call from a certain Gael.

The said caller is reported to have taken the two sisters aboard a vehicle away from their place of residence to an unknown destination.

When the parents noticed their long absence, a search was organised in their neighbourhood after which the family alerted the forces of law and order to signal they had gone missing.

Family sources say they have not been able to come in contact with the girls as their phones have been switched off.

They added that when leaving the house that Saturday, the youngest was putting on a yellow T-shirt and a black pair of trousers, meanwhile the elder sister was dressed in a red T-shirt and a pair of blue jeans.

When we were putting this script to press Wednesday July 28, nobody knew anything on the whereabouts of the sisters.

Investigations into what might be a possible case of kidnap have been opened by the police to track the caller and release the two sisters.

Marie Claire Nnana la Directrice générale de la Société de Presse et d’Editions du Cameroun pense qu’il serait mieux que les médias ne relaient plus les agissements du Mouvement pour la renaissance du Cameroun et de la Brigade Anti-Sadinards.

En date du lundi 26 juillet 2021, Marie Claire Nnana la Directrice générale (DG) de la Société de Presse et d’Editions du Cameroun (SOPECAM) a commis dans les colonnes de Cameroon tribune le quotidien à capitaux publics, un éditorial en rapport avec le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et la Brigade Anti-Sadinards (BAS). La DG de la SOPECAM affirme qu’il n’est plus à démontrer le MRC a un lien qu’elle qualifie d’organique et de charnel avec la BAS. Parlant de la marche du 25 juillet 2021 du parti politique de Maurice Kamto qui a été interdite, elle indique qu’elle a démontré le besoin du MRC de poursuivre la manifestation du 17 juillet 2021 de la BAS qui n’a pas connu de succès à Genève. Elle arrive à la conclusion qu’il faille s’abstenir pour ce qui est des médias, de relayer les activités de la BAS et du MRC.

Retrouvez ci-dessous l’éditorial de Marie Claire Nnana

Il y a 48 heures, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) appelait ses sympathisants à manifester contre les institutions étatiques à Yaoundé. Preuve qu’il ne cherche plus à nier l’évidence: son lien organique, charnel avec ce qu’il est convenu d’appeler la Brigade Anti-Sardinards (BAS), groupuscule ultraviolent composé d’immigrés camerounais en Europe. Il est désormais acquis que ce parti communique pour l’encourager dans ses dérives, et appelle à manifester dans la capitale avec la prétention de prolonger une manifestation qui a tourné court à Genève.

Devant ces évolutions, on est en droit de se demander si l’on n’a pas fait le jeu de ces extrémistes en leur accordant une trop large place dans les médias. Oui, ce débat reste d’actualité: faut-il relayer les incivilités et les outrances d’un regroupement de nature sectaire, clanique, qui jette l’opprobre et l’anathème sur le symbole le plus emblématique de la nation, le président de la République, excite les pulsions et les instincts humains les plus vils, ne craint pas de faire l’apologie de la violence et du tribalisme en appelant au meurtre ? Et qui met en scène toute honte bue, dans les grandes villes européennes, des manifestations publiques dantesques, ponctuées de vandalisme d’ambassades et de symboles nationaux ?

En effet, cette question est loin d’être anodine, encore moins farfelue. Elle s’est posée aux décideurs et aux médias du monde, par exemple, dès les premiers coups d’éclat tragiques de AL QAEDA aux Etats-Unis d’Amérique. L’on découvrait alors que les terroristes étaient torturés par leur égo et étaient affublés d’une autre tare: l’exhibitionnisme. Plus leurs carnages étaient médiatisés, plus vite ils répétaient les suivants, en s’appliquant à monter d’un cran dans l’horreur. Par analogie, on en déduit que les apologistes de la violence comme moyen d’expression politique sont sensibles aux échos médiatiques et au reflet de leur perversité dans la société. Les protestations et les condamnations de la société civile et politique, si dures qu’elles soient, les excitent plus qu’elles ne les effraient. La montée en puissance des obscénités sur les lieux de ces mises en scène en est la preuve palpable. L’exhibition des femmes nues, qui reste un sacrilège dans toutes les traditions africaines, s’y déploie sans pudeur aucune.

Devant de tels excès, et cette innommable folie, qui s’apparentent davantage à des orgies ésotériques qu’à des manifestations politiques, on s’interroge: le désir de faire du buzz et de saturer l’actualité n’est-il pas devenu la seule manière d’exister pour ce couple infernal ? Car aux yeux de la majorité des Camerounais, y compris ceux qui avaient pensé trouver ici une alternative possible au RDPC au pouvoir, leurs excentricités n’inspirent plus que du dégoût. Car le culte de la force et le déni de la réalité qui caractérisent ce binôme en rebutent plus d’un. Instaurer un climat de guerre civile permanente et créer des divisions supplémentaires dans une société déjà blessée, drôle de projet politique !

Tous les agitateurs de Genève et d’ailleurs l’ont compris : leur mission, puisqu’il apparaît qu’ils en ont bien une, celle de décrocher le pouvoir suprême par les manifestations violentes, en s’appuyant sur la «communauté internationale», est une mission impossible. Pas tant qu’il existe au Cameroun des citoyens lucides, épris de paix, éduqués, doués de libre-arbitre. Ceux-là aiment le Cameroun, et ne braderaient pas son image et son avenir pour un mirage. Ils savent aussi que le vrai leader, c’est celui qui a le courage d’affronter les peurs, les conservatismes, les corporatismes de ses compatriotes. Et non celui qui les y maintient par calcul.

On peut encore faire le triste constat que ces diversions des politiciens cherchant la courte échelle vers le pouvoir consument, hélas, et à tort, beaucoup trop d’énergie et de temps aux Camerounais. Elles sont à même de détourner le pays des importants défis qu’il doit relever, en lien avec sa marche vers le développement, mais aussi avec la dégradation de l’environnement sécuritaire, économique, sanitaire. Ces défis sont multiformes, mais citons les plus pressants d’entre eux : la relance économique post-Covid; la décentralisation, espoir du pays profond, et dont l’histoire est loin d’être écrite; la Stratégie nationale de développement (SND) et l’achèvement des grands projets infrastructurels; la Coupe d’Afrique des nations de football; la lutte contre le terrorisme dans les zones concernées; l’ajustement de la riposte anti-Covid, malmenée par l’arrivée de nouveaux variants et le refus de la vaccination. Sans oublier la restauration de la paix et de la cohésion sociale, et son pendant, la reconstruction des zones ravagées par les conflits.

Cet agenda est titanesque, mais le Cameroun est un pays dont l’histoire est jonchée de défis, des différends frontaliers avec un puissant voisin, jusqu’à la grave crise économique du milieu des années 80 suivie de la dévaluation du franc CFA – et de grosses secousses sociales – en passant par les années 90, dites années de braise, qui ont vu le pays trembler sur ses bases, et les vautours se réjouir… trop tôt. Car il s’est relevé, plus fort que jamais, en pariant sur le dialogue et la réconciliation en famille. Et si le pays s’est toujours relevé de ses crises, il y a bien une raison. Cette raison, c’est son chef, Paul Biya, un grand homme d’Etat, leader visionnaire, qui a consacré sa vie entière à construire et à moderniser le Cameroun, malgré les vents contraires et des situations récurrentes d’extrême fragilité, inhérentes au parcours historique ou fomentées et entretenues, mais qu’il a su dépasser, transcender, pour aller de l’avant.

C’est encore ce qu’il s’apprête à faire, pour sortir le pays et la sous-région d’une forte zone de turbulences politiques, sécuritaires, sociales et économiques. En observant bien ces derniers temps le ballet de ses ministres, envoyés spéciaux auprès de ses pairs de la CEMAC, on peut imaginer que les prochains jours seront très studieux pour Paul Biya. En sa qualité de président en exercice de la CEMAC, il s’apprête selon toute évidence à proposer à ses homologues un plan de riposte coordonné, cohérent, compatible avec les intérêts de tous. Les divergences ne manquent pas, certes, mais puisque ces pays ploient sous les mêmes maux, à savoir baisse des cours du pétrole, Covid-19, Boko Haram et bandes armées, et restent sous programme avec le FMI, le leader du Cameroun proposera manifestement une vision commune pour sortir du marasme.

En ce qui concerne le Cameroun, on peut dire que le débat est déjà ouvert ! Faut-il s’endetter encore plus, au risque de creuser les déficits, afin de booster les secteurs-refuges ? Faut-il jouer la rigueur, mettre le tour de vis et rétablir les équilibres, en flirtant avec le spectre de la récession ? Et quid du sort de la monnaie commune, le franc CFA, question que les chefs d’Etat avaient mise à la réflexion en 2016 au Sommet de Yaoundé ?

Une chose est certaine: les populations durement touchées par les effets conjugués de toutes ces crises apprécieront qu’une place de choix soit accordée à l’emploi, au pouvoir d’achat, aux avancées de la décentralisation, avec des transferts effectifs de compétences et de budget. Sans oublier les services sociaux de base, en particulier, un meilleur accès aux soins de santé, à l’éducation, à l’eau et à l’électricité.

Comme on le voit, les défis de l’heure sont de taille, et interpellent tous les fils du Cameroun, ceux de la diaspora compris. Ils doivent faire le bon choix: sortir de leur apathie pour les uns, de leur égarement pour les autres, et participer à l’œuvre de construction du Cameroun. C’est là, nous semble-t-il, l’un des défis majeurs de la prochaine décennie. Parce que le président ouvre les bras à tous les enfants du Cameroun. Et parce que nous avons tant à faire, nous avons le devoir de condamner la violence, le repli tribal, la fracturation de la nation. Et l’obligation de travailler ensemble, comme des frères.

 

Pour les avocats de Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki, la détention de leurs clients est abusive et illégale.

Les avocats de Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki continuent de s’opposer à la mise en détention provisoire de leurs clients. Ils expliquent que les faits pour lesquels, ceux-ci sont poursuivis ne correspondent pas avec un cas de flagrant délit. Les mandats de détention de leur point de vue sont irréguliers. Et pour justifier leur position, ils citent notamment l’article 12 (b) du Code de procédure pénale qui prévoit que le procureur de la République peut délivrer un mandat de détention provisoire en cas de flagrant délit. Or, pour le cas d’espèce, précisent les avocats, les prévenus n’ont pas été pris en flagrant délit.

«Les faits reprochés aux deux prévenus ne rentrent pas dans la définition donnée par le législateur à la flagrance délit ou de crime», soutiennent les avocats avant d’ajouter: «Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une détention illégale, arbitraire et abusive fortement condamnée par le présent code ainsi que par tous les textes internationaux prévus à l’article 2 du Code pénal».

Il faut rappeler que Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki ont été mis en détention provisoire à la prison centrale de New-Bell à Douala, à la suite d’une confrontation avec Malicka Bayemi. Ils sont donc incarcérés depuis le 16 juillet 2021. Leurs avocats parmi lesquels Me Alice Nkom ont déposé ce mercredi 28 juillet 2021, un courrier de six pages adressé au Procureur général près la Cour d’Appel du Littoral. Ils sollicitent l’enrôlement de l’affaire à la prochaine audience de la Cour d’Appel du Littoral afin qu’une décision soit rendue suite à leur requête.

A titre de rappel, Martin Camus Mimb est poursuivi pour «complicité d’atteinte à la vie privée» et Wilfrid Eteki pour «atteinte à l’intimité de la vie privée» et «publications obscènes d’ébats sur le réseaux sociaux».

Liliane N.

 

Frédéric Debord accusé d’harcèlement sexuel, est envoyé à Madagascar.

Orange Cameroun a un nouveau Directeur général (DG). Il s’agit du béninois Patrick Bénon. Il remplace le français Frédéric Debord qui devient le DG d’Orange Madagascar. Il y a encore quelques jours dans la société de téléphonie mobile, on affirmait que son départ du Cameroun n’avait rien à voir avec les accusations d’harcèlement sexuel et de licenciements abusifs portées contre lui. On avait alors parlé d’un «congé annuel planifié à l’avance», pour justifier le fait qu’il ait quitté le pays.

Le français Frédéric Debord était arrivé au Cameroun en 2018 en remplacement de la camerounaise Elisabeth Medou Badang. Au sujet des accusations sus rapportées, Orange Cameroun avait sorti un communiqué et indiquait qu’il s’agit d’une campagne de dénigrement.

«Orange Cameroun informe l’opinion nationale qu’une campagne de dénigrement est actuellement orchestrée à travers divers médias par des ex-employés qui sont licenciés pour des fautes éthiques et professionnelles. Ces licenciements ont été décidés conformément aux procédures en vigueur au sein de l’entreprise et notifiés aux autorités compétentes. En tant qu’entreprise responsable et citoyenne, Orange Cameroun fait confiance à la Justice pour connaître des faits et statuer s’il y a lieu, conformément à la législation en vigueur. Orange Cameroun est profondément attachée aux valeurs d’éthique et de conformité qui sont portées au quotidien par l’ensemble de son personnel. Depuis plusieurs années, un dispositif sécurisé de prévention, de dénonciation et de gestion de toutes formes d’abus est animé en permanence», pouvait-on lire dans le communiqué d’Orange Cameroun, qui date du 14 juillet 2021.

Suivant de près cette affaire, le confrère Eco Matin dans son édition du 13 juillet 2021 indiquait que le désormais ex-DG d’Orange Cameroun, est sous le coup des poursuites judiciaires.

«Fréderic Debord a été assigné en Justice, au même titre que la structure qu’il dirige, pour licenciement abusif d’une ancienne cadre de la maison, au motif de détournement d’une modique somme de 9 554 FCFA. Le DG d’Orange Cameroun est aussi englué dans des affaires de mœurs, notamment des faits de harcèlement sexuel passés sous silence ces dernières années. Appelé à comparaître le 28 juin dernier devant le tribunal, il ne s’est pas présenté », a écrit Eco Matin.

Frédéric Debord, à la tête de la direction générale d’Orange Madagascar, remplace Michel Degland, nommé DG adjoint de Mauritius Telecom, l’opérateur historique des télécommunications de l’Ile Maurice dont Orange est l’actionnaire majoritaire avec 40% du capital.

Liliane N.

Grace au Tracking Security System, la police a pu géo localiser la position de la supposée kidnappée qui se trouvait en compagnie de son amoureux, un étudiant de 33 ans au quartier Cradat à Yaoundé.

L’histoire s’est déroulée dans la cité capitale. Une information selon laquelle une jeune fille âgée de 20 ans aurait été embarquée le 21 juillet par des individus cagoulés à la Poste Centrale est devenue très vite virale sur les réseaux sociaux.

L’affaire qui a première vue relevait d’un kidnapping a poussé le Colonel, Commandant la Légion de Gendarmerie du Centre à instruire le Chef de Poste de Gendarmerie de la Poste Centrale d’ouvrir une enquête, afin de retrouver la jeune fille.

Selon une note d’information publiée par la gendarmerie nationale, les fins limiers de cette unité se sont immédiatement mis aux trousses des présumés criminels. Avec la collaboration des parents de la victime, le Service Central des Recherches Judiciaires de la Gendarmerie Nationale, grâce à son TSS (Tracking Security System) a fait la géolocalisation des suspects.

C’est ainsi que les éléments du Poste de Gendarmerie de la Poste Centrale ont interpellé un étudiant d’une école professionnelle de la place, âgé de 33 ans, au quartier Cradat à Yaoundé le 23 juillet 2021, accompagné de la jeune fille, prétendument kidnappée.

Interrogés, les deux amoureux sont passé aux aveux complets, révélant que le prétendu kidnapping n’était qu’un stratagème mis sur pied dans le but de leur permettre de filer le parfait amour, loin du regard inquisiteur des parents.

Ils sont gardés à vue dans ce poste de gendarmerie à Yaoundé, où l’enquête suit son cours.

S.K.

About 15 Cameroonian migrants are reported to have drowned while trying to cross the Mediterranean Sea from Tunisia to enter Italy recently.

According to reports, their inflatable boat had set off from Zuwara, on Libya's northwest coast, carrying migrants from some African States before it capsized. Images of the Cameroonian victims have been circulating on social media.

In recent months, several people have drowned off the Tunisian coast, with an increase in the frequency of attempted crossings to Europe from Tunisia and Libya towards Italy as the weather has improved.

Hundreds of thousands of people have made the perilous Mediterranean crossing in recent years, many of them often flee from war, authoritarianism and terrorism from various parts of Africa, with some migrants also leaving their home countries due to poor economic conditions.

The migrants frequently travel on unseaworthy wooden boats and rubber dinghies. Some pay a human smuggler to help them make the dangerous journey.

Since 2014, more than 20,000 migrants and refugees have died at sea while trying to reach Europe from Africa.

At least 866 people are feared to have drowned while making the journey across the Mediterranean from North Africa this year.

More than 40 died when a boat sank off Tunisia’s coast in April. In March, 39 died off the coast of Sfax and In June last year, at least 60 were killed when a boat sank.

According to figures from the Italian interior Ministry, almost 19,800 migrants arrived in Italy since the beginning of the year against just over 6,700 in the same period last year.

Source: ACP and News Agencies

 

The Minister Delegate at the Presidency in charge of Defense, Joseph Beti Assomo is once again on a security visit this time around to the Far North region that is suffering from repeated Boko Haram attacks that have claimed lives of soldiers and civilians.

In the space of three days, thirteen Government forces paid the ultimate sacrifice in service for the defense of the peace and integrity of the Far North region, five among whom were burnt alive in the two latest attacks perpetrated by elements of the Boko Haram Islamist sect on two military posts in the region that borders Nigeria where the sect originates from.

Attacks too many that have prompted the two-day working visit of the Minister Delegate at the Presidency in charge of Defense, Joseph Beti Assomo to the troubled region beginning this Wednesday July 28.

The Defense boss has as objective to monitor operations on the field to protect people and their goods and preserve the territorial integrity of the region, review the strategy in place, re-mobilize his troops and reiterate the need to be on constant alert not to be taken unaware.

During the past months, Boko Haram though lost its leader to the cold hands of death has been multiplying attacks in some localities that border Nigeria with Cameroon, killing soldiers and civilians, burning and looting property making the region the epicentre of its violence.

The sect has equally been recruiting more soldiers and re-strategizing on how to cause more havoc on both ends of the Cameroon-Nigeria border.

Minister Beti Assomo’s visit to Maroua is thus timely to address the increasing preoccupying security situation in the region as a whole.

The Boko Haram insurgency began in Nigeria in 2009 and then spread across the Lake Chad basin countries, including Cameroon. Boko Haram’s attacks are often indiscriminate, including suicide bombings in crowded areas that appear designed to maximize civilian deaths and injuries.

Cameroon has had a sharp spike in attacks over the past year. According to a November 2020 report of the Africa Center for Strategic Studies, a United States Department of Defense think tank, the number of Boko Haram attacks against civilians in Cameroon in 2020 was higher than in Nigeria, Niger, and Chad combined.

S.K.

La nouvelle demande de prêt du Cameroun dans le cadre de la lutte anti-covid sera étudiée par le Fonds monétaire international (FMI) jeudi prochain. Pour l’opposante Edith Kah Walla, " cette demande fait suite au vol, à la gestion catastrophique et au détournement du prêt de 222,4 milliards de FCFA reçu du FMI pour la réponse au Covid-19 ".

 

Le Cameroun a reçu 180 milliards de francs CFA du Fonds monétaire international au titre de la facilité de crédit rapide pour répondre au choc dû à la pandémie de Covid-19. En contrepartie, le pays s’est engagé à bien gérer ces fonds et à garantir la transparence autour de l’utilisation de ces fonds qui ont finalement fait objet de détournements à en croire notamment les nombreuses irrégularités révélées dans le rapport d'étape de la Chambre des comptes de la Cour suprême sur cette question. Un document qui avait futé sur les réseaux sociaux.

Plusieurs personnalités dont des ministres seraient impliqués dans ce scandale financier. L’opposition camerounaise demande à cette institution de Bretton Woods de conditionner son nouveau prêt en faveur du Cameroun.

 La cheffe du Cameroon People’s Party (CPP) exige ainsi, un audit indépendant des fonds déjà alloués au régime camerounais, des poursuites judiciaires contre des personnes impliquées dans les détournements et de nouvelles procédures de gestion financière et le respect de l’Etat de Droit.

Edith Kah Walla poursuit sa réplique en indiquant, " Ces exigences sont en parfaite adéquation avec la mission et les principes directeurs affichés par le FMI, ainsi qu’avec les termes des accords convenus entre le gouvernement du Cameroun et le FMI ".

Innocent D H

 

 

 

 

Le Président ivoirien Alassane Ouattara a reçu son prédécesseur et ex-rival, Laurent Gbagbo dans son palais présidentiel à Abidjan. Pourtant, l'on se rappelle que les deux personnalités étaient jusqu'ici comme des rivaux jurés depuis leur affrontement électoral en 2010 qui avait débouché sur une crise meurtrière.

 

Les deux hommes d'Etat se sont retrouvé ce mardi au palais présidentiel d’Abidjan. Ils se sont donné l’accolade puis ont marché quelques secondes main dans la main. Ils se sont ensuite entretenus pendant une trentaine de minutes. Cette rencontre fait suite à un précédent échange téléphonique entre Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo ce qui fait naître l’espoir d’une réconciliation entre les deux ennemis. Une telle issue permettrait d’apaiser la vie politique ivoirienne qui reste traumatisée par les événements de 2010, estiment plusieurs observateurs.

« Le simple fait de voir Ouattara et Gbagbo ensemble est perçu comme un acte d’apaisement et une image forte offerte aux Ivoiriens dans leur quête de paix et de réconciliation nationale », a écrit la presse d’opposition Notre Voie. De son côté, le porte-parole du parti de l’ex Président soutient, « Laurent Gbagbo est dans un esprit d’ouverture, de dialogue et de réconciliation ». Même son de cloche pour Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement d’Alassane Ouattara qui renchérit : « Il n’y a jamais eu d’interruption du dialogue dans notre pays et il se poursuivra parce que telle est la volonté du gouvernement ».

D'emblée, notons que le quotidien pro gouvernement ivoirien Fraternité Matin, espère qu'il s'agit d'une rencontre d'apaisement entre l'ancien chef d'Etat ivoirien et l'actuel Président. En 2010, les deux hommes s’étaient affrontés pour la présidence de la Côte d’Ivoire. C’est finalement Alassane Ouattara qui l’avait emporté. Toutefois, Laurent Gbagbo n’avait pas voulu reconnaître sa défaite ce qui avait déclenché une grave crise politique et sombré le pays dans la violence.

Rappelons que selon des sources officielles, 3 000 personnes avaient trouvé la mort au cours d’affrontements meurtriers de la période électorale. Laurent Gbagbo avait alors été poursuivi devant la cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité. La dernière rencontre entre les deux hommes remonte à 2010, lors d’un débat télévisé.

Innocent D H

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01