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Georges Mouliom, father to 19-year-old Erica Mouliom who died last July 15 in a car accident involving popular musician Tenor has urged all those in charge of the case pending before court to address it as though it were their daughter.

Speaking at his daughter’s burial ceremony over the weekend in the Noun Division, West region of Cameroon where she was interred, Georges Mouliom said the circumstances sorrounding Erica’s tragic departure remain very uncertain.

« How come a person who was declared dead burned be found without scratches? How can an injured person who is described to have been projected from the back seat through the windshield be found without any injuries?" These are the questions Georges Mouliom said shouldn’t remain unanswered.

He called on those in charge of the complaint filed by the family against the artiste for manslaughter to make decisions taking into consideration the fact that it could have been their daughter.

According to the desperate father, his daughter was victim of practices common to University milieu where some lawless people spend their time derailing young girls.

On that faithful July 15, Erica died on the spot after the car Tenor was allegedly driving in a drunken state had a serious accident. The vehicle hit an electric pole, rolled o the road before catching fire.

Erica’s body was transported to the Laquintinie Hospital Mortuary but the father removed it from there that very day and took it to Bamoun where it was discovered that the body suffered no injury despite the serious nature of the accident.

After accusing Tenor of killing the daughter, the family filed a complaint and following his recovery from the accident, Tenor was incarcerated at the Douala New Bell prison over charges of manslaughter.

Reports have it that he will remain there for at least six months renewable as investigations are oncourse.

 S.K.

 

 

Elle a été déposée ce Lundi par Messey Fritz Frantz auprès du Commandant de Brigade de Recherche de Bonanjo ; Ladite plainte concerne Gerard Philippe Kuissou Mephou, Darling Nguevo et Arol Ketchiemen Siandje Von Boris Bertolt

 

Dans le document publié sur la page facebook personnelle de ce militant du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, on peut lire ce qui suit :

 

« Je suis depuis quelques jours, victime d’une cabale cybernétique où mon nom et mon image sont traînés dans la boue. Les individus sus – cités m’associent dans une affaire de mœurs concernant une certaine mirabelle. Il faut le préciser, que je ne connais ni d’Adam, ni d’Eve.

 

Agissant en leurs noms, en profils facebook mais également par les noms d’emprunt (Nguevo) le tontinard, Benskin 2linfo, Arol Ketch), ces individus m’accusent entre autres de diffamations, de viol et d’agression sur la personne de Mirabelle.

 

Des accusations qui constituent une atteinte grave à mon honorabilité et à ma respectabilité, et qui me valent les menaces de mort par mon compte Messenger.

 

Afin d’être rétabli dans mon honneur, je m’en réfère donc à vous pour obtenir réparation du préjudice moral que je subis actuellement, tout en vous priant de bien vouloir donner à cette plainte la suite légale qu’elle comporte… ».

 

Que la lumière soit

 

Comme un complément d’informations, Messey Fritz Frantz  précise que malgré la cabale ourdie contre sa personne depuis plus d’un mois, aucune plainte n’a été déposée contre lui

 

« Je précise que jusqu'ici, je n'ai fait l'objet d'aucune plainte déposée par qui que ce soit et je n'ai été convoqué par aucun commissariat.

 

Je donne donc l'occasion aux personnes suscités d'apporter les preuves de ce que j'aurai diffamé cette Mirabelle (c’est la première fois que je cite son nom avec ce profil et avec mon autre profil Poutine Le Lion  je ne l'ai jamais fait) et que j'aurai été Complice de son supposé viol.

 

Que ceux qui pensent qu'ils peuvent se transformer en accusateur et en justicier impunément sur Facebook comprennent que ça ne marche pas avec tout le monde. 

 

Le Cameroun est un État de Droit ! Un huissier appellera les concernés pour leur remettre leurs convocations.

 

En passant dites à Darling Nguevo que je n'ai jamais changé de numéro comme il le dit au prétexte de me soustraire à la justice, ce numéro sur la plainte je l'utilise depuis près de 5 ans et si quelqu'un a une convocation pour moi qu'il me contacte immédiatement.

 

Mon image j'y tiens jalousement et je serai sans ménagement pour quiconque la traînera dans la boue surtout dans une histoire grave de viol !  Ça suffit » !!!

 

Nicole Ricci Minyem

           

Le jeune homme a été percuté par un chauffeur visiblement ivre au lieudit « Chapelle Nsimeyong ».

Le miraculé dont l’histoire fait encore l’objet de commentaires au lieudit «Chapelle Nsimeyong» se prénomme Fabrice. Il est âgé de 25 ans. Et le 25 juillet dernier, il a échappé à la mort. Il se passe que ce jour-là, aux environs de 5h30 minutes, alors qu’il se rendait dans sa boutique, il a été percuté par un chauffeur visiblement ivre. Le jeune homme voulait juste traverser la route.

Des témoins de la scène affirment que du fait du choc qui était quand même violent, il a perdu connaissance. Le chauffeur peut-être paniqué, a préféré prendre la poudre d’escampette, abandonnant Fabrice allongé à terre. Il a été par la suite conduit de toute urgence à l’Hôpital central de Yaoundé.

Selon nos sources, son pronostic vital n’était pas engagé. Il s’en sort tout de même avec des blessures pas très graves. Ses proches sont heureux que le Seigneur a éloigné le pire qui aurait pu être la mort. Une enquête a été ouverte pour retrouver le chauffeur fuyard.

Liliane N.

 

Les professionnels de la santé des promotions 2013 des facultés médicales du Cameroun, fatigués d’attendre leur intégration à la fonction publique se sont rendu hier aux services du Premier ministre à Yaoundé pour exprimer leur ras-le-bol.

« Nous sommes au chômage depuis un an après sept années de formations, que faisons-nous. » « Les malades meurent et les médecins sans-emplois, quel paradoxe ! » Non à la surexploitation par le privé. » « Non à la suspension verbale de l’intégration. » C’est muni de pancartes affichant ces revendications et frustrations que les quelques 700 médecins sont allés revendiquer leur droit devant les services du Premier ministre à Yaoundé hier lundi 2 aout.

« Nous sommes ici pour montrer notre frustration par rapport à notre situation. Nous sommes 700 médecins au chômage, 700 médecins qui sont livrés à la sur exploitation dans le privé et sous-payés. Nous avons demandé une audience a maintes reprises au Ministère de la Santé trois fois déjà, la troisième fois on nous a dirigé vers un responsable qui ne nous a pas donné d’informations claires, précises et officielles, aujourd’hui nous voulons un résultat clair. » a indiqué l’un des médecins grévistes.

Sortis de l’école en 2020, pour exercer en tant que médecins dans divers domaines, les professionnels de la santé comprennent mal le fait que même après les audiences au ministère de la santé, ils restent toujours sans suite. « Nous n’avons jamais été notifiés de façon écrite du fait que nous ne serons pas intégrés à la fonction publique. Donc nous avons besoin d’un certains nombres de réponses. » souligne un autre médecin gréviste.

Tel que précisé par les médecins, l’arrêté qui soutient leur concours est estampillé par le visas de la primature, comme tel est le cas pour d’autres concours d’intégration directe raison pour laquelle ils ont décidé de se rendre aux service du Premier ministre pour enfin avoir une suite favorable. Ils ont d’ailleurs adressé une lettre à ce dernier, demandant une audience.

Les médecins grévistes ont également envoyé un cri de détresse au Chef de l’Etat pour une reposes plus favorable. « Les concours des médecins se font en fonction des besoins sur le terrain. Nous sommes sortis de grandes écoles de formations d’Etat et au sorti de ces formations, nous ne sommes pas encore intégrés. Nous avons déjà rencontré les autorités compétentes mais sans suites favorable. Nous désirons que le chef de l’Etat se penche sur la question d’intégration des médecins. »

Au vu de leur sort, certains d’entre eux craignent le pire pour leurs cadets académiques étant donné que l’on est passé de 800 à 960 candidats en moyenne par concours.

 S.K.

Cette attaque a fait trois blessés du côté de l’armée et de nombreux éléments de Boko Haram ont été neutralisés.

Après le départ de Maroua de Joseph Beti Assomo le ministre de la Défense (Mindef), les combattants de la secte terroriste Boko Haram ont attaqué les positions de l’armée dans la localité de Sueram près de Fotokol, dans le département du Logone-et-Chari, situé dans la région de l’Extrême-Nord. Selon la CRTV la chaîne à capitaux publics, le bilan de cette attaque qui a eu lieu dans la nuit du 29 juillet 2021, fait état de trois soldats blessés, plusieurs éléments de la secte terroriste neutralisés mais aussi blessés, des armes et des munitions saisies.

Il convient de noter que le Mindef en visite à Maroua, a promis que les attaques de Boko Haram auront une riposte appropriée de l’armée du Cameroun. Parce qu’il convient quand même de noter qu’avec cette autre attaque sus mentionnée, la secte a attaqué trois fois le pays en une seule semaine. Ces attaques ont été enregistrées dans les localités de Sagmé, Zigague et Sueram. A chaque fois, les insurgés ont visé des postes militaires.

Pour ce qui est de l’attaque de Sueram, on apprend de nos sources, que le dispositif de riposte des Forces de défense et de sécurité leur a permis de répliquer rapidement. Le bilan fait état de deux terroristes neutralisés, de plus d’une dizaine de blessés et plusieurs autres capturés. Face aux tirs nourris de l'armée camerounaise, le reste de la bande d'assaillants a pris la poudre d'escampette en direction des villages nigérians de Zanari et de Toukoungoudo. Des armes et des munitions ont été abandonnées par les terroristes. Celles-ci ont été récupérées. Du côté de l’armée camerounaise, on a enregistré trois soldats blessés mais on ne déplore aucune perte en vie humaine, ni dégât matériel.

Liliane N.

Dans le cadre de l’implantation du Projet intitulé « Second Chance Education (SCE) », la priorité a été donnée à la gente féminine vivant dans les Régions du Nord et Sud Ouest.

 

Ledit projet est une plate forme de plaidoyer visant particulièrement cette couche de la société, notamment celles qui vivent dans les zones dans lesquelles les crises sécuritaires continuent de causer des dégâts indescriptibles, surtout dans le domaine de l’éducation.

 

Les organismes et autres Ong qui sont établies au Cameroun n’ont d’ailleurs eu de cesse de faire un constat : Les crises prolongées exacerbent la vulnérabilité sur les femmes et les filles ; Elles augmentent en outre les taux d'abandon scolaire chez les femmes et les filles.

 

L’Organisation des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes a, dans sa dynamique d’implantation, déposer ses valises dans les zones dites anglophones, afin d’atteindre plus de femmes et de filles et améliorer leur bien-être, de même que  leur résilience grâce au projet Seconde Chance pour l’Education (SCE).

 

Pour les responsables d’Onu Femmes, « Le projet SCE vise à briser les tendances actuelles et fournir des solutions globales pour les femmes marginalisées et les jeunes femmes qui ont manqué sur l'éducation et qui risquent d'être laissés pour compte… ».

 

Partenariat multiforme

 

Dans le document d’informations mis à la disposition des médias, on peut entre autres lire que : « Le programme SCE tire parti des partenariats, des approches holistiques et des technologies innovantes pour briser les tendances actuelles et fournir une solution globale pour les femmes et les filles marginalisées…

 

C’est dans cette logique qu’ONU Femmes a réuni les Organisations de la Société Civile et a invité les uns et les autres à devenir l'une des parties prenantes qui participe au plaidoyer en faveur de l'éducation des femmes et des filles… ».

 

Parallèlement à la création de la plate-forme SCE, les dames impliquées dans cette dynamique ont fourni des services de qualité, des contributions, en se basant sur les résultats observés pendant l'évaluation. Ceux –ci sont issus des enquêtes menées dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.

 

Elles ont mis en évidence les activités qu’elles sont aptes à réaliser avec l’apport de divers partenaires car, elles ne veulent plus être en marge de la société. La crise sécuritaire dont elles sont les plus grandes victimes a sérieusement entravé leur avenir ainsi que celui de leurs enfants.

 

 

Nicole Ricci Minyem

 

 

 

 

United States-based rights group, Human Rights Watch has raised an alarm o the urgent need to protect civilians at risk in the crisis-hit North West and South West regions of Cameroon and to hold those responsible for abuses to account.

In a report published Monday August 2, the rights group documents fresh attrocities committed by both soldiers and separatist fighters against civilians, including rape, torture, unlawful killing, desecration of palaces, destruction of artefacts and kidnappings.

The report reads that Cameroonian security forces killed two civilians, raped a 53-year-old woman, destroyed and looted at least 33 homes, shops, as well as a traditional leader’s palace in the North-West region on June 8 and 9, 2021.

Meanwhile, armed separatist fighters in the South-West region killed a 12-year-old boy on June 6, a 51-year-old teacher on July 1 and in the North-West region kidnapped four humanitarian workers and held them overnight on June 25.

Human Rights Watch indicates that to get the above information, it conducted telephone interviews with 10 victims and witnesses to human rights violations by security forces, as well as with 18 relatives of victims, journalists, and civil society activists and as well interviewed a family member of the teacher killed by separatist fighters.

As for details on security forces’ abuses, the rights group says witnesses revealed to them that in the very early hours of June 9, about 150 soldiers from both the regular army and elite Rapid Intervention Battalion conducted a security operation in and around Mbuluf village in the North West region. As the forces approached the village on foot, fearful residents allegedly fled to the nearby bush.

Security forces reportedly stopped a group of six – a husband and wife, their two children, another man, and another woman – in the vicinity of the village and enquired on the whereabouts of separatists.

We said we didn’t know,” the wife said. “They said my husband had a gun. We said we had no gun. They said they would kill us, and then one of them raped me.”

These are just few out of the many abuses Human Rights Watch says civilians are victims of in the Anglophone regions. The rights group has called on Cameroonian authorities to investigate and prosecute attackers and their commanders, and urged the UN Security Council and other regional and international partners to impose targeted sanction against those responsible for the serious human rights violations.

S.K.

Ces établissements d’enseignement secondaire sont fermés au motif de violation des formalités légales de création et d’ouverture au titre de l’année scolaire 2021-2022.

106 établissements scolaires enregistrés dans toute l’étendue du territoire doivent garder leurs portes fermées. La décision qui survient à un mois de la rentrée scolaire a été prise par Pauline Nalova Lyonga Mme le ministre des Enseignements secondaires (Minesec). Des 106 établissements mis en cause, la ville de Douala à elle toute seule en compte 58. La Minesec reproche à tous ces établissements, entre autres d’avoir violé les formalités légales de création et d’ouverture au titre de la rentrée scolaire 2021-2022. S’ils veulent donc ouvrir leurs portes, le membre du gouvernement demande tout simplement à leurs promoteurs de se conformer aux textes.

Ce n’est pas la première fois que le ministère des Enseignements secondaires décide de garder fermer des établissements scolaires pour des motifs suscités. Sur le terrain, le constat qu’on a souvent fait, est que la décision du ministère n’est toujours pas respectée. Parce qu’il y en a qui fonctionnent une fois les classes commencées.

En 2019 par exemple, 262 établissements secondaires avaient été interdits de fonctionner pour les mêmes motifs. Mais tous n’avaient pas respecté la décision de la tutelle, au grand étonnement des populations. De nombreux syndicats d’enseignants affirment que, ces établissements font fi de l’interdiction et continuent à opérer à cause des responsables d’éducation corrompus.

Il convient d’indiquer qu’un décret du Premier ministre signé le 25 décembre 2008 définit la démarche à suivre pour obtenir l’autorisation d’ouverture d’un établissement scolaire. Il faut donc commencer par une déclaration qui tient l’Etat informée de l’intention d’ouvrir ou d’étendre une activité scolaire ou une formation privée.

La déclaration en question doit être jointe à un dossier technique et administratif. Ce dossier doit avoir une copie conforme d’un permis de bâtir, une copie d’attestation de non refus de la déclaration, un certificat d’adhésion à l’une des organisations de l’enseignement privée, une liste nominative du personnel administratif et enseignant, assortie de leur qualification académique ou professionnelle et des contrats de travail respectifs, une liste des équipements didactiques disponibles, une attestation du compte bancaire de l’établissement distinct du compte personnel du fondateur, une attestation de fonds disponibles représentant trois mois de salaires du personnel.

Le dossier doit passer au secrétariat général du ministre hôte. Celui-ci dispose d’un délai de 15 jours pour transmettre le dossier avec avis motivé et contre récépissé au délégué régional compétent. Ce dernier dispose aussi de 30 jours pour transmettre avec avis motivé, la déclaration de création d’un établissement scolaire ou de formation privée d’enseignement, assortie de la copie du récépissé au ministre chargé des enseignements secondaires selon le cas. Une fois le dossier chez le ministre, il dispose d’un délai de 60 jours pour marquer son refus éventuel ou son accord, selon les deux précédents avis qui lui ont été transmis. En cas d’acceptation, un récépissé de déclaration est délivré au promoteur, valable pour cinq ans et éventuellement renouvelable à la demande du promoteur. Il comporte l’acte d’autorisation de l’établissement, le statut et le règlement intérieur et la preuve du fonctionnement effectif ou de l’activité effective de la personne morale.

Liliane N.

Il est attendu d’abondantes précipitations pour les 10 prochains jours dans certaines villes du Nord et de l’Extrême Nord du Cameroun avec risques d’inondations selon les prévisions du dernier bulletin de l’Observatoire national sur les changements climatiques (Onacc).

L’Observatoire national sur les changements climatiques, (Onacc) annonce de fortes pluies accompagnées de vents violents avec un risque important d’inondations dans les régions du Nord et de l’Extrême Nord notamment suite au débordement des rivières.

Dans le Nord, les villes concernées sont; Guider, Tcholliré, Garoua, Rey Bouba, Pitoa et Lagdo et Kousserie, Waza, Maroua, Gamboura, Kaele, Maga et Bogo dans l’Extrême Nord.

D’après l’Observatoire national sur les changements climatiques ces précipitations seront bien plus abondantes que celles enregistrées à la dernière décade du mois de juillet.

Dans les autres régions telles que l’Ouest, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, le Centre, Sud, Adamaoua et dans le littoral, la situation sera plus ou moins stable.

Ces inondations pour la plus part ont toujours un impact direct sur le secteur des travaux publics, avec la dégradation des routes et les destructions des ponts et autres ouvrages de franchissement dans les localités les plus touchées.

S.K.

Former Nigerian President, Chief Professor Olusegun Obasanjo who arrived Cameroon last July 30 has praised the Information and Communication Technology, ICT University for the quality education offered by the institution to students across Africa.

He was speaking at the graduation ceremony of the 6th batch of ICT University that took place last Saturday July 31 on the school premises and was presided at by the Minister of State, Minister of Higher Education, Chancellor of academic honors, Prof Jaqcues Fame Ndongo.

Ahead of the graduation ceremony of the batch he was Godfather, Chief Olusegun Obasanjo who once served as chair of the African Union arrived Cameroon Friday July 30 and was received at the Yaounde Nsimalen International Airport by the Minister of External Relations, Lejeune Mbella Mbella on behalf of the Head of State.

Olusegun Obasanjo, aged 84 ruled Nigeria twice, first as a military ruler from 1976 to 1979 and later as a civilian leader from 1999 to 2007. He is well known by Cameroonians for his involvement in the resolution of the decades-long border dispute opposing Cameroon to Nigeria over the sovereignty of the Bakassi Peninsular from 1993 to 2006.

He had agreed to hand the narrow strip of land over to Cameroon by signing the Grentree agreement during talks led by the then UN Secretary General, Kofi Annan in the presence of four other States who acted as witnesses, including the United States, the Federal Republic of Germany, Great Britain and Northern Ireland’s United Kingdom and France.

On Sunday August 1, the former Nigerian States man who wrapped four lives into one as a soldier, a farmer, a President and now a preacher was guest on the flagship program, Cameroon calling over the National Station where he came back on the resolution of the Bakassi border conflict.

He stated clearly that: “Koffi Annan, Paul Biya and myself did not resolve the conflict for a noble peace prize, but for the good of our people…”

 S.K.

 

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01