Celle-ci intervient au moment où le Cameroun, du point de vue de Manaouda Malachie, ministre de la Santé Publique, se remet péniblement d’un épisode sanitaire d’une virulence particulière, comme le témoignent les statistiques sur le nombre de personnes infectées, les taux de sévérité, de létalité et le niveau de saturation des services de prise en charge dans les centres agréés à cet effet.
Toutefois, le pire a été évité
Grâce à deux principaux points, relevés par le ministre de la Santé Publique devant les Hommes des médias ce Jeudi : Le relèvement des plateaux techniques des différentes infrastructures sanitaires et le renforcement continu des capacités des personnels de santé.
Le relèvement des plateaux techniques
Dans ce registre, Manaouda Malachie a relevé que le Gouvernement Camerounais a pris la résolution « d’investir dans l’avenir, afin d’aller au-delà de la simple mobilisation des ressources pour les biens de consommation éphémère ou pour les services dont l’importance n’est plus à démontrer pour la riposte ;
Aussi, apparaissait-il de bon augure de consacrer des ressources dans des immobilisations corporelles de nature à structurer le système de santé même en dehors de la stricte riposte au Covid -19 ; toute chose qui permettra de renforcer de manière qualitative et quantitative l’offre de soins et services aux populations camerounaises… ».
Se voulant plus précis, le ministre en charge des questions de Santé Publique a ajouté :
« L’amélioration de la prise en charge des détresses respiratoires à travers le renforcement du plateau technique inhérent à la réanimation ;
A ce jour, toutes les formations sanitaires de 1 ère, 2 ème et 3 ème catégories disposent d’équipements pour une prise en charge optimale de ces patients, tandis que les Hôpitaux de Districts et les Centres Médicaux d’Arrondissement ont été dotés, à minima, de concentrateurs d’oxygène et d’aspirateurs de mucosités, qui permettent notamment de prendre en charge, même les interventions chirurgicales dans ces formations sanitaires ;
Il en est de même pour les équipements d’exploration fonctionnelle, à l’instar des scanners et des appareils de radiographie mobile ou encore des équipements de monitoring des paramètres fonctionnels et de gestion des urgences à l’instar des appareils ECG, des défibrillateurs, des moniteurs de surveillance multiparamétrique, qui permettent aujourd’hui d’envisager, une prise en charge qualitative des patients… ».
Le mauvais rôle donné aux réseaux sociaux
Pour le ministre de la Santé Publique, ces derniers ont même réussi à pervertir « ceux-là même qui sont supposés détenir les savoirs sur les procédés de fabrication des vaccins, qui sont supposés détenir des connaissances suffisantes sur les retombées de la vaccination dans le monde et particulièrement dans notre pays, concernant au moins les maladies telles que la rougeole, la poliomyélite, car ils s’abreuvent aux évidences scientifiques des réseaux sociaux…
Alors que la population confuse par le flot de nouvelles fausses, tronquées et manipulées sur ces plateformes virtuelles, attend d’eux les explications les plus claires pour être rassurer, ces derniers prolongent les méfaits des réseaux de la désinformation et pire encore, prêchent par le mauvais exemple, grossissant ainsi les rangs des vaccino-hésitants et des vaccino-septiques…
Or, les vagues de l’épidémie de Coronavirus se succèdent certes, mais elles pourraient ne pas se ressembler. Heureusement, depuis quelques jours, les lignes bougent considérablement ».
L’Urgence de se faire vacciner
Car du point de vue du membre du Gouvernement, «C’est une vaccination qui bénéficie, de prime à bord, à l’individu qui le reçoit. Elle est qualifiée d’immunité grégaire. Lorsque dans une communauté ou à l’échelle du pays, 80% de personnes sont vaccinés (selon l’OMS), le pays acquiert l’immunité collective.
A ce moment, la capacité de transmission du virus est limitée. C’est à cette forme de protection que nous aspirons, parce qu’elle donne la possibilité de vivre ensemble sans redouter une éventuelle contamination.
Par ailleurs, il est loisible de constater que les effets indésirables répertoriés depuis le début de la vaccination le 12 avril 2021 sont ceux habituellement recensés : fatigue, nausées, fièvre. Des maux qui s’estompent rapidement dans un délai de 72 heures.
De plus, la surveillance des Manifestations post-vaccinales Indésirables permet de prendre entièrement en charge les allergies et autres réactions développées par l’organisme… ».
Autres informations
les données épidémiologiques au 14 juillet 2021 et qui présentent un cumul de 81 871 cas positifs pour 1 852 425 tests réalisés, soit un taux de positivité globale de 4,4%. 80 303 personnes sont guéries alors que 1 332 sont décès, soit uniquement 2 décès au cours des sept derniers jours, toute chose qui témoigne de la maîtrise de la pandémie.
A ce jour, le Cameroun compte 235 cas actifs dont 17 dans les formations sanitaires, et 218 suivis en ambulatoire et 4 patients sous oxygène.
Le taux de guérison est de 98%, celui de létalité à 1,6% soit moins élevé que les moyennes mondiale et africaine, tandis que le taux de sévérité est évalué à 0,2% et celui d’occupation des lits à 0,5%.
Nicole Ricci Minyem
Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale fait savoir au public, qu’il n’existe qu’un seul site internet de pré-enrôlement en ligne du nouveau système de production de passeports biométriques camerounais.
Les cyber criminels n’ont pas perdu le temps pour lancer l’arnaque pour l’étape de pré-enrôlement en ligne du nouveau système de production de passeports biométriques camerounais. Les demandeurs de ce document de voyage s’arrimant à la nouvelle donne, ont été pour certains trompés par ces cyber criminels. Car ceux-ci ont conçu un faux site internet pour cette étape. Ledit site dénoncé est : www.passacam.cm.
La situation est devenue assez grave au point de nécessiter une sortie officielle de Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale. Dans un communiqué parvenu à la rédaction d’ACP, l’autorité précise qu’il n’y a qu’un seul site. Et c’est le www.passcam.cm.
«Par conséquent le public est invité à faire preuve de vigilance et de responsabilité face à des faux sites de pré-enrôlement en ligne créés par des cybercriminels qui ont pour unique dessein d’arnaquer les usagers demandeurs de passeports», a écrit le DGSN.
A titre de rappel, la nouvelle procédure pour les passeports biométriques est entrée en vigueur le 1er juillet 2021. Il convient ici de faire un rappel des quatre étapes par lesquelles il faut passer pour l‘obtention de ce document.
La toute première est le pré-enrôlement qui se fait en ligne. Le demandeur doit ouvrir en ligne son dossier sur le site internet de la Délégation générale à la sûreté nationale. Ensuite, il va payer par Mobile Money, Orange Money ou une carte de crédit les frais de délivrance du passeport. Puis, il va prendre rendez-vous en ligne pour l’enrôlement.
La deuxième étape consistera à l’enrôlement physique dans un centre choisi par le demandeur. Elle sera composée de l’ouverture et la vérification du dossier soumis en ligne, avec les originaux des pièces exigible. Il y aura la prise de paramètres (photos, empreintes et signature) et le scan des pièces. A cela va s’ajouter l’approbation des informations et leur validation, puis la remise d’un récépissé au demandeur.
La troisième étape est consacrée à la production. Après l’enrôlement, dans le cas où il n‘y a pas de rejet, le passeport biométrique est produit en 48 heures. S’il y a un rejet, le demandeur en sera notifié par mail et SMS.
La quatrième et dernière étape est consacrée au retrait du passeport. C’est par SMS et mail, que le demandeur va être notifié. Celui-ci doit faire vérifier son identité avant de retirer le document. Il est possible de faire retirer le passeport par un tiers à condition d’être muni d’une procuration dûment légalisée.
Liliane N.
Pour les membres de la Jeunesse présidentielle, citoyenne et républicaine, le laxisme des responsables étatiques Helvétique est une violation de certaines Conventions et Traités signé et devant réguler les liens entre les pays signataires
Dans un communiqué rendu public ce jour et dont nous avons reçu copie, ils s’indignent de cette perméabilité et promettent que désormais, « Rien ne sera plus comme avant »
« C’est avec une grande consternation, doublée d’une indignation absolue que nous constatons que les opposants politiques contre notre Président de la République et contre les Institutions Républicaine établies, ont résolu de travestir l’image de notre souveraineté en territoire étranger ;
Bravant les accords et traités internationaux, notamment la Convention de Viennes, sur les rapports diplomatiques entre les Etats adoptés le 18 Avril 1961, complétés par la convention, sur les Relations Consulaires de 1963 ;
Ces Conventions ratifiées par l’Etat du Cameroun traitent notamment de la question des voyages officiels à l’étranger des souverains, des chefs d’Etat et des chefs de gouvernement ainsi que les modalités protocolaires et leur protection en matière de sécurité… ».
La république Suisse Helvétique, pourtant signataire desdites Conventions a-t-elle failli ?
Pour les Camerounais Patriotes, il ne subsiste aucun doute la dessus :
« Nous prenons acte que malgré les relations de réciprocité et de bonne coopération qui existe entre nos deux Etats, que la Suisse a donné l’autorisation de manifestation publique aux activistes qui menacent nos Institutions, notamment la première personnalité du Cameroun qui incarne notre souveraineté, notre indépendance ;
Les mêmes activistes qui pillent nos symboles nationaux, les ambassades, le drapeau de la République du Cameroun et autres emblèmes représentatifs… ».
La riposte sera à la mesure des actes posés
Vis-à-vis de tous ceux qui envisagent de s’en prendre au Président de la République, mais aussi des représentants de la Suisse présents au Cameroun
Résolutions prises par « la jeunesse présidentielle, la jeunesse républicaine et citoyennes, au-delà des chapelles politiques… » ; Qui a pris la résolution « de porter une riposte aux apatrides et autres asociaux accueillis par ce pays « ami », aux représentants de cet état sur notre territoire ainsi qu’au corps diplomatique des pays amis ;
Des manifestations populaires seront organisées à Yaoundé et à Douala à l’effet de réaffirmer notre attachement au Président de la République, ainsi qu’aux Institutions républicaines qu’il incarne… ».
Le message est clair
« Rien ne sera plus comme avant si les autorités helvétiques ne redressent pas la trajectoire de ces violences, qu’elles autorisent à répétition lors des trois dernières visites du Président Paul Biya dans leur pays ;
Afin que nul n’en n’ignore, nous prenons l’engagement de boycotter tous les symboles de leur état, qu’ils soient commerciaux, économiques ou diplomatiques ;
Cette mesure prendra effet à partir de Samedi 17 Juillet 2021 si ces manifestations viennent à se réaliser ».
N.R.M
Le rappeur Tenor ainsi qu'un autre occupant du véhicule sont actuellement pris en charge à l’hôpital Laquintinie de Douala.
L’artiste camerounais Tenor a été victime d'un accident de la circulation ce jeudi jeudi 15 juillet 2021. Il revenait d’un concert organisé par la slameuse Lydol à l'Institut français de Douala. L'accident est survenu au niveau du rond-point Bessengue, sur le chemin de retour après sa prestation.
Une jeune dame, âgée de 22 ans selon les premiers recoupements, étant à bord du véhicule de l’artiste a perdu la vie sur le champ. Le chauffeur et l'artiste ont été blessés et transportés à l’hôpital Laquintinie de Douala. L'artiste s'en serait sorti avec un bras cassé et quelques brûlures. Selon son manager, ils subissent actuellement une batterie d'examens afin de cerner d'autres éventuelles séquelles du choc.
Quelques heures après l'annonce de cet accident, l'équipe managériale a publié un communiqué afin de revenir sur les circonstances de l'incident. "Il (Tenor, ndlr) était accompagné d'un chauffeur, un ami et ils prenaient le soin de raccompagner certains fans après une séance de photos à la suite de son spectacle", peut-on lire dans la note.
Seulement, celui-ci a été très mal reçu par le public qui estime qu'il est sujet à plus d'ambigüité. Depuis lors, les questions se multiplient sur la toile. Le nombre exact d'occupants du véhicule restent aussi confus. Selon le communiqué controversé et certains médias, quatre personnes étaient dans le véhicule et le chauffeur des circonstances reste introuvable. Tous ces détails ont suscité la curiosité de plusieurs internautes. Des influenceurs se sont d'ailleurs engagés à élucider l'affaire et à retransmettre dans plusieurs directs annoncés.
Liliane N.
Evocation en a été faite le 7 juillet 2021 au cours des 30ème et 31ème sessions ordinaires du Comité de pilotage du Bureau de mise à niveau des entreprises (BMN) camerounaises.
Selon les confidences d’un membre du Comité de pilotage (Copil), « Le financement de l’Agence française de développement (AFD), consécutif au 3ème CD2 (Contrat désendettement, NDLR), s’épuise en décembre 2021. Puisque le BMN n’a pas été reconduit pour le second triennat. Une vaste réflexion est engagée par le Comité de pilotage pour permettre un autofinancement du BMN ».
Dans un contexte d’émergence des zones de libre-échange et depuis sa création en 2011, le BMN déploie des outils tels que le Programme national de mise à niveau (PNMAN). Selon des chiffres vérifiés, près de 800 entreprises ont volontairement adhéré à ce programme phare du BMN. Une centaine de plans de mise à niveau ont été validés par le Comité de pilotage, après un tri et suivant des critères d’éligibilité. Plus d’un milliard de FCFA ont été octroyés par le gouvernement à ces entreprises au titre de primes sur investissements matériels, apprend-on.
Outre cet accompagnement, le BMN a signé des partenariats avec plusieurs organismes financiers, en vue de faciliter l’accès aux financements, aux entreprises bénéficiaires des programmes de cette structure.
Stratégie adoptée par l’entreprise
Des sources internes au Comité de pilotage de cette institution publique, les difficultés financières actuelles qui mettent à mal l’avenir du BMN, arrivent au lendemain de l’adoption par l’entreprise de sa stratégie 2020-2024, en droite ligne de la nouvelle stratégie nationale de développement 2020-2030 (SND20-30) adopté par le Gouvernement camerounais. En effet, selon la stratégie de cet organisme étatique, il a besoin d’une enveloppe de 65 milliards de FCFA pour la réalisation de ses objectifs sur la période 2020-2024. C’est dans le sillage de pouvoir conduire la mise à niveau de 600 entreprises camerounaises.
Précisons que cette structure a été mise place par l’Etat pour accroître la compétitivité des entreprises locales.
Innocent D H
L’ambassadeur de France au Cameroun, Christophe Guilhou a exprimé cette volonté le 12 juillet dernier, au cours d’une audience avec le président de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme (CNPBM). D’après le diplomate, « les autorités françaises sont préoccupées par la lutte les contenus haineux ».
Les discours haineux et xénophobes semblent avoir le vent en poupe depuis quelques temps notamment sur les réseaux sociaux. Et, face à cette situation qui met à mal la bonne marche du monde, la solidarité et la fraternité internationales, la France est disposée à coopérer avec le Cameroun pour l’aider à intensifier la croisade contre de telles pratiques rétrogrades. « Nous avons été très intéressés par les analyses sur la lutte contre les contenus haineux parce que ce sont des questions qui nous intéressent tous, dans toutes les générations et un peu partout dans le monde. Il était très intéressant de recueillir les vues sur la situation au Cameroun et nous avons tracé des perspectives de coopération et d’échange là-dessus », justifie Christophe Guilhou.
Soulignons que c’est déjà depuis plusieurs années que l’Hexagone est engagé dans la lutte contre les discours haineux dans le cadre de la redynamisation de sa coopération avec le Cameroun. En 2018 par exemple, le prédécesseur de Christophe Guilhou avait été reçu par le président de la CNPBN. Gilles Thibault avait alors déclaré : « La France pense que c’est important pour les Camerounais de vivre en paix et en harmonie. Il faut retrouver ce vivre ensemble qui est la marque de fabrique du Cameroun, cette terre d’hospitalité et de générosité », avait-il déclaré.
Innocent D H
Selon nos sources, Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki ont été placés en garde à vue hier, mercredi 14 juillet 2021, à l'issue de la confrontation avec Malicka Bayemi, à la Division régionale de la police judiciaire du Littoral à Bonanjo.
Il y a du nouveau dans l’affaire Malicka Bayemi vs Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki. Des sources nous apprennent que le journaliste, patron de Radio Sport Infos et l’homme de la sextape, ont été placés en garde à vue hier 14 juillet 2021. Ils n’ont pas pu regagner leurs domiciles respectifs, après qu’ils aient eu une confrontation qu’ils ont eue avec Malicka.
Le confrère le quotidien Le Jour dans son édition de ce 15 juillet 2021, rapporte que «la Délégation générale à la sûreté nationale (DGSN) et le parquet général étaient en désaccord sur l'opportunité de la garde à vue des deux suspects. Alors que la DGSN plaidait pour leur libération, le parquet général invoquait les raisons sécuritaires pour justifier l'impératif de leur maintien dans les liens de la détention».
Il convient de rappeler que Collectif des 7 avocats qui s’est constitué pour la défense de Malicka Bayemi, lors d’un point de presse a indiqué que le procès de l’affaire débute le 22 juillet prochain. Et les infractions pour lesquelles Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki sont poursuivis sont publications obscènes, fausses nouvelles, proxénétisme et diffamation.
« Ces infractions ont été visées dans le cadre de la citation directe que nous avons déposée au tribunal de première instance de Douala-Bonanjo, et nous estimons qu’ils (les mis en cause) vont comparaître pour les faits qui leur sont reprochés », a déclaré maître Nadine Yanou, membre du collectif dénommé « Universal Lawyers and Human Rights Defence » (ULHRD) que préside Me Dominique Nicole Fousse, avocat au barreau du Cameroun.
Liliane N.
Le ministère de la Santé vient d’autoriser la mise sur le marché des produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» conçus par Mgr Samuel Kleda, pour la prise en charge des patients atteints du Coronavirus.
Par voie de correspondance, le Dr Malachie Manaouda ministre de la Santé a tenu informé Mgr Samuel Kleda, de l’autorisation de la mise en vente des produits qu’il a conçus pour la prise en charge des patients souffrant du Coronavirus. Le ministre Manaouda apporte la précision selon laquelle, l’indication retenue pour ces produits de l’Archevêque métropolitain de Douala est «adjuvant au traitement du Covid-19».
Selon Ken Clavers le chef de la cellule de communication (Cellcom) du ministère de la Santé, un produit adjuvant est un «médicament ou traitement qui renforce ou complète les effets de la médication principale». Donc, il n’est pas requis de dire que les produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» de Mgr Samuel Kleda sont pour le traitement du Coronavirus. Le Cellcom ajoute que le code de la Santé publique (article L.5111-1) définit ainsi le médicament : «toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique».
Aussi, dans sa correspondance, le ministre de la Santé indique l’autorisation de mise sur le marché camerounais accordée aux produits suscités, a une durée de validité de 3 ans, à compter de la date de signature de l’acte y afférent.
La même autorisation a été aussi a accordée au Dr Yagnigni Mfopou Euloge et les promoteurs de la bonne santé, pour le produit «Corocur, poudre sèche de Thymus vulgaris de 50g, flacon de 60 ml».
Liliane N.
Le drame s’est produit hier 14 juillet 2021 au lieudit Douala Bar. Pour l’heure, la cause du drame est reste inconnue.
Le mercredi 14 juillet 2021, les populations du quartier Douala Bar ont été témoin d’un drame, qui s’est produit dans un chantier de construction implanté dans leur zone d’habitation. Le drame a eu lieu dans un immeuble R+4 en construction. L’échafaudage s’est effondré et a causé la mort d’un des ouvriers appelé Ladandi Djekreo. Selon les témoins de la scène, le défunt âgé de 22 ans, a reçu un gros bloc de béton sur le corps. Le projectile lui a été fatal. Son corps a été déposé à la morgue de l’hôpital Laquintinie de Douala. Il y a aussi eu 22 ouvriers du chantier qui ont été blessés. Ils ont également été admis dans le service des urgences de la formation sanitaire suscitée.
Au moment du drame, on apprend que les populations du coin sont venues secourir les ouvriers.
«Tous les soirs, je les demandais toujours de racler le reste du ciment mélangé au gravier sur les planches. Ils ne le faisaient pas. C’est le poids de ce ciment mélangé au gravier qui est devenu solide et la planche n’a pas supporté le poids. Raison pour laquelle le pire s’est produit. Il y a eu cet effondrement de l’échafaudage», a confié un riverain, témoin de la scène au confrère Doualatoday.com.
Liliane N.
C'était au cours d'une opération de reboisement initiée par l’entreprise RocaGlia en collaboration avec les autorités locales dans le cadre des activités marquant le lancement de la saison sylvicole 2021. Principal objectif, restaurer le couvert végétal et inviter les populations à protéger l'Environnement contre diverses formes d'atteintes.
Les phénomènes de déboisement et des feux de brousse sont identifiés parmi les principales menaces qui pèsent sur l'environnement dans l'arrondissement de Figuil, département du Mayo-Louti. Conséquences directes, le désert avance à grand pas, les changements climatiques sont perceptibles. Cette opération de plantation de 1 200 arbres sur le site de Mayo-Kéwé vise à restaurer le couvert végétal dans cette localité. Une initiative saluée par le maire de la commune de Figuil, Mana Mesengue. « Nous sommes très content pour cette initiative de l’établissement RocaGlia qui est salutaire. Il reste à sensibiliser la population qui, à son tour doit sensibiliser les enfants pour éviter de pâturer dans ce champ qui deviendra certainement une plantation forestière et fera la fierté de tous », déclare le magistrat municipal.
Selon Jérôme Lakaye, responsable Environnement de l'Entreprise RocaGlia, c’est le lieu de rappeler l’importance de cette campagne de reboisement. « Nous menons une activité industrielle, il faut apporter des mesures de compensation. C’est ainsi que nous focalisons nos efforts sur des essences de types forestiers notamment des neem, des acacias, des manguiers, des anacardiers, des corossoliers, des flamboyants ».
« Je voudrai inviter mes populations à planter les arbres, à les encadrer et à la suivre, à éviter surtout les feux de brousse, la coupe anarchique des bois. La destruction de la forêt et l’avancée du désert sont dues aux actions de l’homme qui coupe le bois soit pour le bois de chauffage ou alors pour la confection des toitures », indique le représentant du sous-préfet de Figuil, Madi Salatou.
Au-delà de ces opérations de reboisement, l'événement ambitionne surtout d'éduquer les populations de Figuil sur la nécessité de l'expansion des plantations forestières et la lutte contre les changements climatiques.
Innocent D H
Exposées en permanence aux inondations, elles usent de leurs ingéniosités pour limiter les dégâts causés par les eaux en furie.
Quartier Gabdiré à quelques encablures du fleuve de la Bénoué, un groupe de jeunes mettent du sable dans des sacs pour créer des passages de fortune question de prévenir les risques d'inondations, les pluies diluviennes étant devenues récurrentes avec leurs lots de difficultés. « On se retrouve dans un état critique, l’eau entre à la maison. De 3 heures à 4 heures, nous faisons sortir tous nos matelas car ils sont mouillés. Derrière notre concession, il y a un marécage et à chaque pluie, ça déborde et nous subissons. Nos maisons menacent également de s’écrouler car les inondations sont abondantes. Nous essayons de trouver du ciment pour fermer les fissures visibles sur les murs », se plaint Boubakary Yaro Mohamadou, habitant du quartier Gabdiré.
Les populations des quartiers Lopéré, Padama, Sabongari-Ouro talaka et bien d'autres, également installées dans des zones à risques ne sont pas épargnées des menaces d'inondations. Elles tentent de trouver des palliatifs. « Quand il pleut dans le quartier, il n’y a pas la route pour passer et rentrer chez soi car l’eau entre dans les maisons. Nous trouvons des sacs vides dans lesquels nous mettons du sable pour éviter que l’eau entre dans les maisons », exdplique Job, habitant de Sabongari-Ouro Talaka dans un air désespéré.
Face à cette situation, des doléances sont émises par les habitants à l'endroit des autorités locales. « Nous voulons que le Gouvernement, les maires, les députés et les élites de la région du Nord, nous aident à retrouver la quiétude dans ce quartier parce qu’à chaque fois qu’il pleut nous sommes débouts, nous ne pouvons plus dormir », supplie Boubakary Yaro Mohamadou.
Par ces temps de fortes pluies dans le Nord, les populations qui vivent dans les zones à risques craignent le pire du fait des inondations.
Innocent D H
Contrairement à l’indifférence que l’on a pu voir il y’a deux ans, lorsque les éléments de la brigade anti sardinad ont pris la résolution de rendre invivable le séjour du Chef de l’Etat dans ce pays de l’Europe Centrale, les choses semblent différentes cette fois
Quelques uns de ces individus ont été interpellés il y’a quelques heures alors qu’ils gesticulaient devant l’hôtel dans lequel loge le couple présidentiel, scandant des propos mélodramatiques sortis de leur imagination, proférant des menaces contre l’Institution du Cameroun et lui promettant mille morts.
Las de voir cet incessant remue – ménage et après de nombreuses mises en garde, la police suisse a arrêté quelques individus, les conduisant vers un lieu où ils pourront se mouvoir sans plus gêner ceux qui, à ces heures s’attèlent à gagner honorablement leur vie.
Ceux qui ne traînent pas dans les rues afin de rejeter sur les autres, l’inconséquence de leurs choix de vie, les problèmes et autres déboires qu’ils ont pu rencontrer, les décisions qu’ils n’ont pas su ou pu prendre quand il le fallait.
Ceux qui savent que les combats quels qu’ils soient, se mènent dans leur pays et que les élections sont le seul moyen par lequel l’on accède au pouvoir…
Paul Biya : Président de la République du Cameroun
Bien ou mal élu, il s’agit d’un fait que certains ne parviennent pas à accepter, à intégrer dans leur esprit. Ils refusent en outre d’aller de l’avant et de se préparer pour les futures échéances électorales, résolus à installer celui qui est leur choix par les moyens les plus vils.
Les nombreux déboires auxquels ils font face au quotidien n’annihilent pas leur funeste désir de s’en prendre au Président de la République, dont ils ont d’ailleurs annoncé le décès à plusieurs reprises.
Ces arrestations constituent –elles une entrave à la volonté de nuisance des éléments de la bas ?
L’on en saura un peu plus Samedi prochain, jour choisi par les membres de la brigade anti sardinard pour mener un énième «assaut » ;
Ils annoncent sur tous les réseaux sociaux que celui – ci sera le dernier car c’est maintenant qu’ils vont mettre la main sur le Président de la République, sans que personne ne soit en mesure de faire quoi que ce soit.
Les autorités de la Suisse ont l’obligation de se rassurer que toutes les dispositions sont prises afin qu’aucun tort ne soit fait contre le Président de la République, ni contre son épouse.
Nicole Ricci Minyem
Les deux pays, qui subissent âprement les affres des terroristes ont une fois de plus pris la résolution de joindre leurs efforts afin que cessent les meurtres et autres crimes dans les Régions du Nord et du Sud Ouest Cameroun
La promesse a été faite au Chef de l’Etat Camerounais par son homologue du Nigéria ce Mardi, alors qu’il recevait en audience Félix Mbayu - ministre délégué en Charge de la Coopération avec le Commonwealth.
Les confrères de la presse nigériane en ont d’ailleurs fait large échos, en rendant public le communiqué final à l’issue du tête à tête entre les deux personnalités.
Dans celui – ci, on peut entre autres lire que « Muhammadu Buhari reste très attentif à la situation politique et sécuritaire qui prévaut dans le Nord et le Sud Ouest Cameroun ; il a une parfaite conscience des conséquences que cela engendrent au Nigéria…
Il est donc tout à fait logique et dans l’intérêt du Nigéria de veiller à ce que le Cameroun reste stable, et nous vous soutiendrons sans relâche… ».
Une coopération sans failles
Notamment dans le domaine militaire et les résultats obtenus dans la Région de l’Extrême Nord du Cameroun sont plus que concluants. Depuis 2015, les soldats qui servent sous les drapeaux de ces deux pays, en partenariat avec ceux venus du Tchad, ont réussi à affliger de cuisantes défaites aux terroristes de boko haram ; mettant à mal, leur funeste volonté d’assujettir les peuples installés au niveau des 1500 kilomètres de frontière qui séparent le Cameroun et le Nigéria.
Même si quelques individus sans foi ni loi s’aventurent à mener des raids sporadiques, l’on remarque que nombreuses sont les Populations qui regagnent leurs terres, leurs domiciles, leurs plantations abandonnés au plus fort des attaques terroristes.
L’espoir des mêmes résultats au Nord et Sud Ouest Cameroun
D’autant plus qu’on a vu sur les réseaux sociaux que des bandes armées entendent elles aussi faire front commun afin de semer la terreur partout où ils auront l’opportunité de le faire.
Le travail abattu au quotidien par les Forces de Défense et de Sécurité, accompagnées par les Populations qui refusent que leurs localités deviennent des no man lands est très apprécié ; toutefois, il est important de tout mettre en œuvre afin de barrer la voie aux terroristes qui font du Nigéria, une base arrière dans laquelle ils peuvent aisément se retirer après avoir commis leurs crimes.
Nicole Ricci Minyem
Parmi les nouveaux textes adoptés, il y a la dissolution de la Ligue de football professionnel du Cameroun.
La Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) a finalement tenu comme prévu, son Assemblée générale extraordinaire. Cette Assemblée générale extraordinaire a connu la participation de plusieurs acteurs majeurs du football camerounais, à l'instar d’Issa Hayatou président d'honneur de la Confédération Africaine de Football (CAF) et d’Hamad Kalkaba Malboum le président du Comité olympique et sportif. Les nouveaux statuts et textes réglementaires adoptés, l’ont été sur la base d’un vote de 82 voix pour, 11 voix contre et 2 abstentions, apprend-on.
Il convient de rappeler que le principal point à l’ordre du jour portait sur l’adoption des textes. Cinq d'entre eux étaient sujets à modification et à adoption. Il s’agissait des statuts, du code électoral, du code d’éthique, code disciplinaire et du règlement financier. Il en ressort donc que pour ce qui est des changements, la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC) sera dissous. Il y aura une nouvelle Ligue. Il y a aussi la réduction du nombre de délégués participants de 90 à 60. Et chaque région sera désormais représentée par six délégués et non neuf. Six et non cinq présidents de club représenteront désormais la Ligue 1 et 2.
«L'Assemblée Générale s'est déroulée dans une ambiance constructive et positive, les délégués ont été curieux et ont aidé à la révision et à l'adoption des nouveaux textes qui aboutiront à des élections à la FECAFOOT et plus généralement, l'essor du football local, et la prochaine CAN 2021», a déclaré Seidou Mbombo Njoya le président par intérim de la FECAFOOT.
Liliane N.