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Dans une publication faite il y’a quelques heures et intitulées : « Covid – 19 et Terrorisme : Union de tous aux perfides avatars » le chef de la Division de la Communication au Mindef estime que ce n’est que par ce canal que les Camerounais de manière spécifique pourront faire face

 

La publication  

 

« Par ses vagues plus puissantes les unes que les autres, avec les variants qui épuisent les lettres de l’alphabet, la pandémie du corona virus multiplie les assauts sur la planète, ébranlants les plus solides des fortifications sanitaires, bousculant les plus savantes des théories scientifiques, neutralisant les combinaisons médicamenteuses au fur et à mesure de leur mise au point.

 

Et comme s’il était doté d’un esprit singulièrement espiègle et cynique, le virus cornu semble se prendre un malin plaisir de semer la confusion entre les personnes du troisième âge, les adultes et les juvéniles, tant et si bien que personnes ne saurait prescrire avec suffisamment d’assurance quelle frange de la population devrait bénéficier de plus d‘attention, ni le nombre de doses de vaccin à prendre pour atteindre l’immunité individuelle, encore moins où se situe le seuil d’immunité collective.

 

Aussi, confinements, reconfinements, ouvertures et fermetures des frontières, interdiction de voyages ciblées et tests de dépistage à répétition se multiplient, alternent les uns et les autres, se succèdent et s’additionnent en fonction des taux de contamination sans que rien ne parviennent à endiguer durablement la virulence et la fugacité du nouveau fléau sanitaire qui ne laisse qu’une petite opportunité de parade.

 

Il s’agit de nos bonnes vielles mesures – barrières, absolument rustiques, banales à la limite, mais redoutablement efficaces, à et à la portée de tous.

 

En plus de les connaître par cœur, en plus de les vulgariser autour de soi, il convient de les mettre en pratique, et surtout collectivement.

 

Car, tout comme le fléau sécuritaire nommé terrorisme auquel il se rapproche par bien de manifestations, le Covid – 19 exploite la moindre faille, la moindre perte de vigilance, pour ravager le camp des personnes saines.

 

Et, à l’instar du terrorisme, le corona virus se combat par équipe, chaque équipier se devant de tenir sa place et son rang, de manière à contribuer avec l’efficacité de l’ensemble.

 

Covid et Terrorisme : Deux périls à notre existence qui frappent indistinctement et impitoyablement, petits et grands, forts et faibles, miséreux et fortunés, lettrés et incultes. L’origine tribale et l’entregent n’y sont d’aucun secours.

 

Si les fluatations de l’affection virale peuvent ressortir du naturel, les changements des modes opératoires du projet obscurantiste répondent quant à eux, à une planification rigoureuse, visant à l’imposition d’une société d’hommes et de femmes transformés en automates utilitaires.

 

Au regard des péripéties de cette guerre de basse intensité qui oppose l’humanité toute entière à ces fléaux, rien ne dit qu’elle soit près de se terminer.

 

Les plus grands dangers pour nous sont donc soit l’habitude à ces phénomènes mortifères, soit l’érosion de notre volonté de combattre.

 

L’hôpital ou l’esclavage, tels sont les seuls horizons qui s’ouvrent face au Covid et au terrorisme. Ces menaces combinées font appel à l’esprit civique et la solidarité de tous, avec l’instinct de survie comme adjuvant de notre détermination de les vaincre.

 

Restons Unis. Restons tous unis. Unis nous vaincrons ».               

   

N.R.M  

Les experts de la CAF et de la FIFA ont procédé à la vérification de tous les éléments de fonctionnalité contenus dans le cahier de charge, pour ce qui est du Stade Olembe.

Hier dimanche 08 août 2021, aux environs de 15h, une mission conjointe de la CAF et de la FIFA était au Stade Olembe à Yaoundé. Elle a procédé à l’inspection de ce Stade qui fait jusqu’ici partie des infrastructures sportives retenues pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2021, qui va se jouer au Cameroun l’année prochaine. L’inspection s’est faite en fonction du cahier de charge retenu. Sudat Muhammed, un Mozambicain, chef de la mission, le Capverdien Jerson Melo, les deux inspecteurs de la CAF, ont été conduits au stade d’Olembe par Narcisse Mouelle Kombi le ministre des Sports et de l’Education physique qui est aussi le président du Comité d’organisation de la CAN (Cocan) et Naseri Paul Bea, le Gouverneur de la région du Centre par ailleurs président du Comité des sites de Yaoundé pour la compétition.

L’inspection du Stade Olembe était importante en ce sens où il est prévu que le 03 septembre prochain, un match test s’y joue. Ce match va opposer les Lions indomptables et la sélection du Malawi. Il compte pour les éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022. Yoann Ropital, le Directeur du projet Magil a rassuré ces derniers, en s’appuyant sur le fait que toutes les exigences essentielles de la CAF ont été satisfaites. Les experts de la CAF après avoir vérifié la fonctionnalité du Stade en diurne, se sont rassurés qu’il puisse déjà abriter un match en nocturne.

L’autre point de cette inspection évoquée a été celui des spectateurs. Les experts ont indiqué qu’il pourrait y avoir une jauge de 13.000 spectateurs sur les 60.000 places de capacité du Stade.

Liliane N.

 

 

Trois militaires ont trouvé la mort dans une nouvelle attaque de la secte islamiste Boko Haram au poste de Sagmé, dans l’Extrême Nord du pays, où les djihadistes multiplient les exactions. Au moins un assaillant a également été tué.

 

Après avoir tué huit militaires dans une attaque au poste de Sagmé le 24 juillet dernier, les éléments de la secte islamiste Boko Haram ont, dans une nouvelle attaque, hier nuit au même poste, ôté la vie à trois autres soldats.

Dans un post publié sur sa page Facebook très tôt ce matin, le trihebdomadaire L’œil du Sahel renseigne qu’au moins un assaillant a également trouvé la mort lors de cette attaque.

L'attaque des djihadistes a eu lieu à Sagmé, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière avec le Nigeria, où est né Boko Haram.

Cette nouvelle attaque intervient alors que les autorités camerounaises ont annoncés la mise sur pied de nouvelles stratégies pour mieux faire face aux exactions a répétitions de Boko Haram dans l’Extrême Nord du pays.

Cette annonce faisait suite à une visite du Ministre de la Défense, Joseph Beti Assomo à Maroua après que deux attaques des djihadistes en l’espace de trois jours ait couté la vie a treize militaires et fait plusieurs blessés graves.

Les membres de Boko Haram et d'une branche dissidente, le groupe État Islamique en Afrique de l'Ouest (Iswap), multiplient ces dernières années les attaques meurtrières contre les forces de sécurité et les civils dans l'extrême nord du Cameroun comme dans les régions limitrophes des trois pays voisins, le Nigeria, le Niger et le Tchad.

L'insurrection de Boko Haram est née en 2009 dans le nord-est du Nigeria avant de se propager dans les pays voisins. Depuis, plus de 36 000 personnes (principalement au Nigeria) ont été tuées, et 3 millions ont dû fuir leur domicile, selon l'ONU.

 

S.K.

Cameroon and Nigeria will in the months ahead hold a meeting of the Cameroon Nigeria Mixed Commission, (CNMC) to examine the outstanding issues and finalize the delineation project some 19 years after the judgment of the International Court of Justice (ICJ) on the boundary dispute opposing both nations.

The information was made known Thursday August 5 at the end of a four-day working mission to Abuja (Nigeria) and Yaounde (Cameroon) by the Special Representative of the Secretary-General, also Head of the United Nations Office for West Africa and the Sahel (UNOWAS) and Chairman of the CNMC, Mahamat Annadif.

On behalf of the United Nations, Mahamat Annadif commended the work done jointly by the two countries and their renewed commitment to the peaceful resolution of their border dispute.

“The work undertaken by the Cameroon-Nigeria Joint Commission (CNMC) is exemplary. I encourage both delegations to intensify their efforts to finalize the demarcation process (of the border), which is a guarantee of sub-regional stability,”

In his capacity as Chairman of the CNMC, Annadif maintained, “demarcation must be an opportunity for a development program that takes into account the needs and improves the living conditions of the populations concerned.”

He also insisted on the need to support the populations living on both sides of the border and to consolidate confidence between them, reaffirmed the UN’s support for the two countries, and welcomed the acceptance by both delegations of the holding of a meeting of the CMCN next November to examine the outstanding issues and finalize the delineation project.

The CNMC was established in November 2002 by the UN Secretary-General at the request of Presidents Paul Biya and Olusegun Obasanjo of Cameroon and Nigeria respectively. 

It aims at facilitating the implementation of the October 10, 2002 judgment of the International Court of Justice (ICJ) on the Cameroon-Nigeria boundary dispute.

Its mandate covers the fields of;

  • Demarcation of the land boundary and delimitation of the maritime boundary between the two countries.
  • Withdrawal of troops and transfer of authority in the Lake Chad area, along the land boundary and in the Bakassi Peninsula.
  • Addressing the situation of populations affected by the demarcation activities.
  • Development of recommendations on confidence-building measures aiming at promoting peaceful cross-border cooperation.

To date, 2,001 kilometers of boundary have been surveyed and agreed upon by the Parties (the total boundary is believed to be approximately 2,100 kilometers long).

 S.K.

La Sosucam a engagé des pourparlers avec les douanes camerounaises pour une lutte. Des pourparlers qui viennent d'être sanctionnés par la signature d'une convention bipartite entre le Directeur général des douanes et Samuel Libock, DG de Sosucam, qui vise à protéger la filière sucre du Cameroun.

 

Sosucam est identifiée parmi les entreprises du pays, victimes de la contrebande et du commerce illicite. Plusieurs cargaisons du sucre, produit de grande consommation font en effet l’objet de commercialisation avec pignon sur rue après une entrée clandestine et incontrôlée sur le marché camerounais. Les pertes financières de cette entité du fait de la concurrence déloyale et illégale du sucre d’origine douteuse sont estimées à environ 10 milliards de FCFA par an.

Pour amoindrir les effets néfastes du phénomène de la contrebande sur la filière du sucre au Cameroun, la Sosucam s'associe à la Douane dont le rôle dans la surveillance et la protection du tissu économique contre les mauvaises pratiques, est établi. Dans le cadre de ses missions traditionnelles ou lors des opérations ponctuelles du programme Halcomi (Halte au commerce illicite), plusieurs tonnes de cargaisons de sucre ont en effet été interceptées par les agents des douanes. La journée du 10 juin 2021 a connu la saisie de 640 sacs de sucre de contrebande dans la localité de Magada, dans la Région de l’Extrême-Nord, par les éléments de la zone 3 de l’opération Halcomi 3. Scénario identique à Garoua, dans la Région du Nord avec l’interception le 29 mai 2021 de 25 sacs de sucre de contrebande par les éléments de la même zone. Ces deux saisies sont caractéristiques de l’ampleur du phénomène qui, selon des sources douanières, provient du Nigéria voisin, avec pour point de pénétration les régions septentrionales du Cameroun.

C’est dans ce contexte qu’Edwin Fongod Nuvaga, le Directeur général des douanes camerounaises et Samuel Libock, le Directeur général de la Sosucam ont signé un protocole d’accord dont les principaux objectifs visent à lutter contre le commerce illicite, et créer un environnement favorable à l’épanouissement des acteurs de la filière sucre au Cameroun. À cette occasion, Edwin Fongod Nuvaga a rassuré sur « la montée en puissance de la surveillance douanière contre la fraude et la contrebande ». Illustrant par la saisie de plus de 3000 sacs de 50 kilogrammes chacun de sucre de contrebande dans le septentrion par les unités douanières. Le protocole conjoint Douane/Sosucam prévoit également la mise en place d’un comité paritaire de suivi, et la création d’une plateforme d’échange d’informations sur la  fraude et de contrebande, concernant spécifiquement le sucre.

Innocent D H

Les deux unités de la Cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam) de Douala respectivement spécialisées dans la production des tissus imprimés (pagnes) et des serviettes sont à l’arrêt en raison de la suspension de l’approvisionnement en énergie, apprend-on de sources internes à l’entreprise. En effet, les turbines des deux usines ne tournent plus depuis le 21 juillet 2021.

 

Selon des sources bien introduites, l'entreprise Gaz du Cameroun (GDC), filiale locale du Britannique Victoria Oil & Gas (VOG) qui exploite le champ gazier de Logbaba a suspendu les livraisons de gaz à la Cicam du fait des impayés de 630 millions de FCFA. En outre, Eneo, le concessionnaire du service public de l’électricité accumule également auprès de la Cotonnière industrielle du Cameroun, des factures impayées de plus d’un milliard de FCFA. A en croire les observations d'un cadre de la Cicam, commentant les implications de cet arrêt des activités dans les usines de Douala : « Il sera difficile de payer les salaires dans le contexte actuel ».

Il faut remarquer qu'en dépit de la signature en 2015, d’un contrat-plan de 13,2 milliards de FCFA avec l’État, l'unique actionnaire de cette entreprise publique, celle-ci peine à sortir de la zone de turbulence dans laquelle elle se trouve depuis des années. Une situation consécutive notamment à l’invasion du marché local du textile par les importations et les produits de la contrebande. La Cicam qui était depuis quelque temps le fleuron du textile dans la sous-région Afrique centrale ne contrôle désormais plus qu’à peine 5% du marché local, apprend-on.

Innocent D H

 

Les statistiques de l’Institut national de la statistique (INS) révèlent que le taux d’allaitement maternel au Cameroun est passé de 28 % en 2011 à 31 % en 2014 pour se situer à 40 % en 2018. Ce qui correspond à environ quatre enfants sur 10 qui ne prennent que le lait maternel jusqu’à six mois.

 

Dans le cadre de la semaine de l'allaitement maternel qui vient de s'achever, la secrétaire générale adjointe de la Société camerounaise de pédiatrie (SCP), le Dr Clémence Vougmo, a accordé une interview au quotidien gouvernemental Cameroon tribune. Évènement placé cette année sous le thème : « Protection de l’allaitement maternel : une responsabilité partagée ».

De cet entretien avec Cameroon Tribune, l'on apprend : bien qu’ayant épousé une courbe ascendante, le taux d’allaitement maternel reste encore en deçà des standards de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui prescrit à tous les pays un taux d’allaitement maternel exclusif des enfants de zéro à six mois d’au moins 50 % d’ici 2025.

Parmi les freins à l’atteinte de cet objectif, il y a la violation à large échelle de la loi portant réglementation du code de commercialisation des substituts de lait maternel par les promoteurs et autres parties prenantes. « Une étude menée par le ministère de la Santé publique a montré que près de 68 % des professionnels de la santé sont des prescripteurs des substituts de lait maternel », déplore Dr Clémence Vougmo.

Elle rappelle que le lait artificiel ne contient pas d’anticorps. Ce qui expose les enfants nourris aux substituts de lait maternel à de nombreuses affections graves, voire mortelles. Pour remédier à cette situation, il est urgent de privilégier une sensibilisation accrue sur les bienfaits de l’allaitement maternel et une plus grande rigueur dans l’application de la réglementation, suggère Dr Clémence Vougmo.

Innocent D H

Le montant total du nouveau financement est de l'ordre de 12,9 milliards de FCFA. L'accord y relatif vient d'être marqué par le comité des concours financiers du Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunal (Feicom), la banque des collectivités territoriales décentralisées (CTD). L'information a été révélée dans le communiqué ayant sanctionné les 39ème et 40ème sessions de cette instance, tenues le 27 juillet dernier.

 

Selon les explications du Directeur général (DG) du Feicom, Philippe Camille Akoa : « Les projets ayant bénéficié des financements couvrent huit secteurs. À savoir les infrastructures, la gouvernance, l’éducation, l’industrie et les services, la santé, l’eau et l’assainissement, le social, les sports et les loisirs. Ils répondent aux besoins exprimés par les populations, à travers les plans communaux de développement. Ils sont également alignés sur les priorités du gouvernement contenues dans la Stratégie nationale de développement (SND30) ».

Rappelons que, le Feicom avait déjà injecté au cours de l’exercice 2020, une enveloppe de 26,7 milliards de FCFA pour le financement de 136 projets communaux. A l'analyse, cette enveloppe triple pratiquement celle investie en 2019, au cours de laquelle seulement 10,5 milliards de FCFA avaient été débloqués par le Feicom pour le financement de 106 projets de développement dans 92 communes et communautés urbaines du Cameroun.

Élément clé du dispositif public de développement local, au moment où s’accélère le processus de décentralisation dans le pays, le Feicom reste engagé à accompagner les collectivités territoriales décentralisées camerounaises dans la réalisation de leurs projets au profit des populations pour un développement local assuré.

Innocent D H

 

Christian Penda Ekoka le fondateur du Mouvement Agir/Act et ancien allié politique de Maurice Kamto est décédé le dimanche 08 août 2021, à Toronto au Canada, des suites de maladie.

Le Cameroun se réveille mal ce lundi 09 août 2021. Christian Penda Ekoka est mort. La nouvelle circule sur la toile, se partage d’un forum à un autre. Certains peinent à croire à l’information, étant donné qu’il y a quelques semaines où un fake news dans ce sens avait circulé. Seulement pour cette fois-ci, l’ancien allié politique de Maurice Kamto est bel et bien décédé. La confirmation a été faite par l’un de ses proches. Des sources, on a appris qu’il a rendu l’âme hier dimanche, dans une formation hospitalière spécialisée à Toronto au Canada des suites d’un cancer du pancréas.

Christian Penda Ekoka a marqué la scène politique camerounaise et les camerounais par la pertinence de chacune de ses analyses. Avec la casquette de conseiller technique du président de la République  Paul Biya qu’il a arboré jusqu’à son ralliement à Maurice Kamto pour l’élection présidentielle de 2018, il a démontré qu’il maitrisait les questions d’économie. D’ailleurs la femme politique Anne Féconde Noah affirme dans son message hommage, qu’il était un économiste de haute facture.

Christian Penda Ekoka est né le 21 mars 1951 dans la ville de Douala, région du Littoral. Il était marié et laisse une femme avec trois enfants. Il a créé le Mouvement Agir/Act et a apporté son soutien à Maurice Kamto lors de l’élection présidentielle de 2018. Ces derniers mois, il s’était écarté de son allié politique pour la gestion des fonds de l’initiative Survie Cameroun.

Pour Christophe Bobiokono Directeur de publication du journal Kalara, «une lumière s'est éteinte sans jamais avoir été entendue... ».

Liliane N.

 

 

 

Ils intervenaient sur un poteau électrique hier vendredi au quartier Bessengué à Douala quand l’incident s’est produit.

Le quartier Bessengué dans la capitale économique du Cameroun, Douala a été le théâtre d’une scène peu commune le vendredi 06 aout 2021.

Deux agents de la société en charge de la distribution de l’énergie électrique au Cameroun, Eneo, engagés sur un chantier de réhabilitation du réseau de distribution à Bessengue-Douala, en début de soirée ont été ‘grillés’. Les images font d'ailleurs le tour de la toile.

Blessés aux mains et aux bras, avec des brûlures sur le torse, les électriciens ont été transportés d’urgence à l’Hôpital Général de Douala grâce aux secours mobilisés par les responsables de la société. Ils seraient sous soins intensifs.

L’on apprend également que les équipes médicales et d’exploitation d’Eneo suivent de près la gestion de la situation, en relation avec celles de l’Hôpital Général.

S.K.

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Sunday, 05 June 2022 11:01