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Ce chiffre provisoire a été communiqué mardi dernier au cours de la réunion clôturant le cycle des préparatifs.

D’après le Ministère de la promotion de la Femme et de la Famille, près de 48 320 femmes ont déjà confirmé leur présence au Boulevard du 20 mai à Yaoundé, lors du défilé du 8 mars prochain. Lors de la rencontre qui a été dirigée par Abessolo Asseko président du Comité d’organisation de la Journée internationale de la femme (Jif), il a été question aussi de situer les activités du programme national harmonisé et l’ordonnancement dudit défilé. Il a par ailleurs été dit que la configuration du train de ce défilé fera une chaîne d’environ une dizaine de wagons. Les femmes des administrations publiques, privées, des réseaux des associations, des corps diplomatiques entre autres, constituent le gros des effectifs.

Il faut savoir que la 34e édition de la Jif qui va se célébrer dans quelques jours, a pour thème «Croisade contre les inégalités des sexes: s’arrimer à la nouvelle impulsion». Ce thème a été rendu public par Marie Thérèse Abena Ondoa le Ministre en charge de la promotion de la femme et de la famille.

Pour rappel, la Journée internationale des femmes est célébrée dans de nombreux pays à travers le monde. C’est un jour où les femmes sont reconnues pour leurs réalisations, sans égard aux divisions, qu’elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, économiques ou politiques. En cette Journée internationale de la femme, l’interpellation de tous à nous engager à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour en finir avec les préjugés éculés, encourager la mobilisation et le militantisme et promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.

C’est par ailleurs une occasion de faire le point sur les luttes et les réalisations passées, et surtout, de préparer l’avenir et les opportunités qui attendent les futures générations de femmes. La Journée internationale des femmes est apparue dans le contexte des mouvements sociaux au tournant du 20ème siècle en Amérique du Nord et en Europe.   

Liliane N.

Au Ministère de la Santé publique actuellement dirigé par Manaouda Malachie, les réflexions sont portées sur un plan B qui permettra aux camerounais de prémunir toute nouvelle infection.

La réunion de mobilisation des ressources tenue par le Ministère de la Santé mercredi dernier en collaboration avec l’Unicef, ne signifie pas que le Cameroun connait de nouveaux cas de poliomyélite. Les autorités camerounaises conscientes du fait que le pays reste sous le coup de la menace du fait de sa proximité avec des Etats voisins touchés par cette maladie, souhaitent mettre sur pied un plan B pour prémunir les camerounais d’une quelconque nouvelle infection.

Il convient d’ailleurs de préciser que partant du fait que le pays n’a plus enregistré des cas de poliomyélite, certains partenaires de la lutte contre cette affection, ont réduit leurs appuis financiers. Le Ministère de la Santé a donc opté de procéder à l’élaboration d’un Plan de transition des acquis de la lutte contre la polio encore appelé «Polio Legacy Planning». Le budget prévisionnel dudit plan de transition 2017-2021 s’élève à 37 451 489 933 F. Le financement disponible des partenaires techniques, combiné à l’apport de l’Etat, est de 33 511 776 528 F. Il y a donc un gap 3 939 713 405 F à combler.

La réunion de mercredi dernier visait non seulement à procéder à une mobilisation des ressources auprès des donateurs, aussi tendre la perche à de nouveaux partenaires, au regard du retrait progressif annoncé des donateurs traditionnels. Manaouda Malachie le Ministre de la Santé a expliqué que «c’est un évènement que nous désirons fortement catalytique destiné, à améliorer la couverture vaccinale, à travers la mise en œuvre complète des activités programmées dans le Plan de Transition. Il s’agit d’une véritable refondation de nos logiques d’action en vue de résultats plus probants et plus durables».

A titre de rappel, il faut souligner qu’en 2015, le Cameroun a été déclaré exempt de poliomyélite après plusieurs décennies de collaboration fructueuse entre le gouvernement et ses partenaires, notamment l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite (IMEP). Grâce au financement de cette Initiative au Cameroun, la vaccination de routine a été renforcée. Tout comme le système de surveillance et la capacité d'intervention d'urgence locale, entre autres.

«C’est à nous de fixer le cap des réformes et de conduire, avec l’ensemble des partenaires, le processus qui doit aboutir à la mise en œuvre effective du Plan de transition. Les pouvoirs publics s’engagent à tenir leur part de responsabilité. Nous savons pouvoir compter, dans ce processus, sur la collaboration et l’appui multiforme de nos partenaires», a souhaité le Minsanté.

 

Liliane N.

L’office du Baccalauréat du Cameroun a rendu public le 28 février 2019, le classement comptant pour l’année 2018.

Pour certains observateurs, ce n’est pas surprenant de retrouver une énième fois, le collège Jean Tabi à la tête du classement des meilleurs établissements scolaires au Cameroun. L’établissement privé confessionnel de Yaoundé affiche un taux de réussite de 100%. D’après le palmarès des lycées et collèges rendu public par l’office du Baccalauréat du Cameroun (Obc), le collège Jean Tabi est suivi par le collège François-Xavier Vogt de Yaoundé avec un taux de réussite de 98,84%. Le collège Liberman situé dans la ville de Douala arrive en troisième position avec 98,75% de taux de réussite. Une fois de plus l’enseignement privé démontre sa suprématie au Cameroun.

Dans le classement de l’Obc, le premier établissement scolaire public occupe la 12e position. Il s’agit du lycée technique professionnel agricole de Yabassi dans la région du Littoral, qui affiche un taux de réussite de 88,61%. Après quatre collèges on retrouve le lycée de Djeu à Fongo Tongo, dans la région de l’Ouest. Il est classé 17e. Avec les lycées d’Apouh à la 22e place toujours à Fongo Tongo, de Bépanda à la 25e place et celui de Ndog-Passi à Douala, on totalise juste cinq établissements publics dans le top 30 de ce classement de 1201 établissements. Le dernier du classement est le lycée technique de Bahouan à l’Ouest.  Il présente un taux de réussite de 8,57%.

Selon les responsables de l’Obc, pour figurer dans le palmarès, l’établissement doit être agréé par le Ministère des Enseignements secondaires, appartenir à un ordre d’enseignement relevant du public, du privé laïc ou du privé confessionnel et avoir présenté au moins 60 candidats aux examens organisés par l’Obc, entre autres.

A titre de rappel, le collège Jean Tabi était premier au classement des établissements aux examens d’enseignement général et technique en 2017.

Cette fois-ci, l’Obc a également dévoilé dans son édition 2018 du palmarès de l’Obc des tableaux des meilleurs lauréats par examen. Le meilleur lauréat national est Aaron Clotaire Metchinjin du lycée de NkolEton à Yaoundé. Il a obtenu une moyenne générale de 18,00/20 au Baccalauréat C. Ornella Dimo Kitio, la meilleure fille sur le plan national avec 16, 61/20 au Baccalauréat C a également été mise en lumière. Tout comme Erica Audrey Mengue Nten, 10 ans, la plus jeune lauréate. Elle est issue du lycée classique de Sangmélima dans le Sud et est lau réate au Probatoire D avec une moyenne générale de 10,00/20. La doyenne, Marie Ngo Kapna, 58 ans, élève aux cours du soir « Télé Africa school » de Yaoundé et ayant présenté le Baccalauréat A4 Espagnol, n’a pas été oubliée.

En ce qui concerne le classement régional, l’Institut polyvalent bilingue la Pintade de Ngaoundéré dans l’Adamaoua, arrive en tête. Il est suivi du collège Jean Tabi du Centre et la région de l’Est vient en troisième position, avec le collège Bary de Batouri. Le collège Sonara de Limbé dans la région du Sud-Ouest, boucle le classement.

 

Liliane N.

Des rumeurs faisant état du rachat, par le groupe Dangote, du complexe chimique camerounais (CCC) ont été abondamment relayées mais des informations puisées à bonne source démontrent qu’il n’en est rien.

 

L’on prête au groupe du richissime homme d’affaire nigérian l’achat ou le rachat de presque tout au Cameroun. En 2016 déjà, des rumeurs démenties par les deux parties faisaient état d’une prise des parts importante du groupe Dangote dans le capital de L’Union Camerounaise des Brasseries (UCB) ; toute chose qui aurait permis, de l’avis de certains concurrents de UCB de réaliser une progression de ses ventes de l’ordre de 31% cette année-là.

Plus proche dans le temps, c’est le désir du groupe nigérian d’entrer dans le domaine de l’importation du poisson au Cameroun qui faisait les choux gras de la presse. Là aussi, l’information avait été démentie tout comme l’est celle qui a court, relative au rachat par le même groupe du Complexe Chimique Camerounais (CCC) propriété du groupe Fadil.

En effet, selon Samir Saidani directeur général adjoint du groupe nigérian, « Cette information est totalement fausse. C'est une campagne de désinformation et de déstabilisation orchestrée par des personnes malhonnêtes. »

Une vérification faite au Ministère du Commerce révèle en effet que la CCC n’a pas été vendue à Dangote. « Dans le compte rendu que nous avons ici, il n’y a aucune trace de la vente de la CCC à un investisseur, quel qu’il soit », indique la communication du Ministère.

Ceci étant, il est important de noter que la CCC, entreprise spécialisée dans la fabrication et la distribution de savons se porte plutôt bien. Ladite entreprise envisage même de diversifier ses activités à la suite de la restructuration qu’elle vient de mener à bien avec le remboursement d’une dette de 5,5 milliards de XAF à la Commercial Bank of Cameroon (CBC) et à la Bicec. Le groupe Fadil se prépare actuellement à se lancer dans la fabrication de produits de beauté et de savons liquides.

La mère des entreprises du groupe Fadil, la CCC est toujours camerounaise et rien pour le moment n’indique qu’il puisse en être autrement. S’agissant du groupe Dangoté, qui sait quel achat ou intention d’achat lui sera attribué demain ?

 

La 2ème édition du forum sur la langue et la culture Kéra s’est ouverte ce jeudi 28 février 2019 à l’Ecole Normale des Instituteurs de l’Enseignement Général de Yagoua. Il était question au cours de ce forum qui s’achève le 02 mars prochain de discuter sur les stratégies de préservation et de sauvegarde du patrimoine culturel de ce peuple.

 

La ville de Yagoua  dans le département de  Mayo- Danay dans  l’Extrême -Nord du Cameroun, rythme depuis deux jours, au forum de la langue et la culture  Kéra. Peuple à cheval entre le Cameroun et le Tchad, les Kéra constituent un peuple de plus de 25. 000 âmes reparties sur l’ensemble de ces 2 pays de la sous-région Afrique centrale. Faisant partie des peuples dits « trait-d’union », les fils et filles de cette communauté se retrouvent pour la 2ème fois pour penser la sauvegarde de son patrimoine culturel face aux mouvements de l’assimilation qui rattache ce peuple à ses voisins Toupouri et Massa. 

            Dans ses mots de bienvenue, le président du comité d’organisation, Hassana Patrice invite ses frères à promouvoir la culture Kéra partout où ils se retrouvent.

            ‘’Soyons fiers d’être ce que nous sommes. Si nous ne nous valorisons pas, personne d’autre ne le fera à notre place’’, a-t-il indiqué.

            Dans la leçon inaugurale, le Professeur Ndjonka Dieudonné a mis l’accent sur la cohabitation entre Kéra et peuples voisins pour dire que les Kéra doivent se battre pour préserver leur langue. Selon lui, de nombreux termes utilisés par les Toupouri sont issus des Kéra qui sont les ascendants de ceux-ci et dont le poids est considérable dans la désignation du Wan Doré, chef supérieur commun aux Kéra et Toupouri.

            Les thèmes de réflexion qui ont suivi ont permis d’édifier l’assistance sur divers thèmes, notamment la lutte traditionnelle, qui, selon la communication de Awassadou Gomna peut-être une source importante de revenus et d’attraits des touristes si valorisée.

            ‘’La lutte traditionnelle, codifiée comme c’est le cas au Sénégal, représente une source de revenus tant pour les athlètes que pour les populations hôtes qui vont accueillir les compétitions qui seront organisées à cet effet.

            Dans ce vent de mondialisation de plus en plus accrue, la préservation et la sauvegarde de la langue, principal élément de la culture est une voie royale pour sauver la culture vouée à l’occidentalisation à outrance des cultures africaines.

  L’histoire du peuple Kéra remonte au XVe siècle avec la dernière vague des mouvements migratoires pré-barguirmiens. C’est un peuple nilotique qui, sous l’impulsion des pressions migratoires, a traversé le Chari et le Logone devant les Massa et les Musgum, pour se retrouver autour des lacs Fianga et Tikem.

Tous ces trois peuples formaient la famille tchadique sud, et c’était le deuxième mouvement migratoire après les paléo-soudanais composés des Guidar, Guiziga, Mufu, Kapsiki, Mafa et Wandala qui composaient la famille tchadique centre. Le peuple Kéra fut rejoint au XVIIe siècle à l’Est du lac Fianga par les Mousey et à l’Ouest au bord du lac Tikem par les Toupouri venus du sud sous les mouvements migratoires d’Est en Ouest des Sara, Ngambay et Laka.

 

 

 

La réunion de lancement du budget de l'exercice 2019 tenue à la salle des actes de la mairie de Yokadouma, chef lieu du departement de la Boumba et Ngoko à l'Est.
 
L'enveloppe globale allouée à la fois pour les autorisations d'engagement et les crédits de paiement pour l' ensemble du département de la Boumba et Ngoko s'élève à 1 275 012 000 ( un milliard deux cent soixante quinze millions douze mille ), des fonds destinés à un financement de 83 Projets, Le montant a été révélé ce 23 février 2019 par Ruffin Mikod Délégué départemental du Minepat au cours de la réunion de lancement du budget de l'exercice 2019 tenue à la salle des actes de la mairie de Yokadouma. Contre une enveloppe de 596 030 000 de FCFA (cinq cent quatre vingt seize mille trente millions) en autorisation d'engagement et crédit de paiement pour 48 projets au titres de l'année 2018, soit une hausse de 688 982 000 et de 117,56% en valeur relative. Il est à noter que 83,72% de cette enveloppe allouée au département est géré par les collectivités territoriale décentralisés soit 1 067 512 000 ( un milliard 67 millions cinq cent douze mille) FCFA
 
 Les assises ont été présidées par Valeri Norbert Kuela, préfet du département de la Boumba et Ngoko. C'était en présence des responsables administratifs gestionnaires de crédits, les opérateurs économiques, les responsables des forces de maintient de l'ordre, les chefs de juridictions des tribunaux de Yokadouma. Plusieurs exposés ont été présentés, par les délégué des marchés publics, contrôleur départemental des finances, le Receveur des Finances et le Délégué Minepat. L'exposé du délégué des marchés publics a porté sur le nouveau code des marchés publics qui fait des autorités administratives les maîtres d'œuvres délégués.  Une responsabilité qui ne sera plus celle des fonctionnaires de ce département ministériel. Ruffin Mikod, le délégué départemental de l'économie du plan et de l'aménagement du territoire est revenu sur le processus de maturation des projets après  la présentation de la structure du BIP 2019, et sur quelques recommandations générales formulées par Louis Paul MOTAZE Ministre des Finances le 10 janvier 2019 à Bertoua au cours du lancement du budget. S'adressant des ressources transférés à chaque commune, celles ci seront fonctions des performances en termes d'exécution des projets BIP de l'exercice 2019.
 
 
Bossis Ebo'o à Yokadouma.

La mauvaise foi du responsable de la formation sanitaire d'Edea mis à nue suite au refus de contribuer à la campagne de collecte de sang.

En fait il était question d'organiser dans le cadre des activités retenues par le PNTS ( programme national de transfusion sanguine ) et calé sur la feuille de route d'une association citoyenne de la localité. Bref, à la suite des trois journées de sensibilisation qui ont permis de bénéficier de l'hospitalité de la communauté paroissiale du “quartier d'Amour”, où près de 30 ( trente) volontaires se sont prononcés et se sont fais enregistrer auprès de l'Amicale des Donneurs de Sang Volontaires Non Rémunérés « AMDOSAV». Selon des sources dignes de fois, «Il ne restait que la collecte de leur précieux sang pour avoir ainsi la possibilité de sauver encore plus de vie. Et c'est là, que Monsieur le Directeur se dérobe devant ces responsabilités et depuis bien du temps déjà, ne veux pas donner des instructions pour que le plateau technique de L'HRAE se mobilise pour prélever ces volontaires». 

Joints par voie téléphonique un des responsables de l'AMDOSAV, il nous informes que: “Pourtant nous le savons tous, la difficulté et le stress lié à la recherche du sang dans nos hôpitaux. Voila un Directeur qui refuse de contribuer à alléger le fardeau des patients nécessiteux à Edea et décide unilatéralement d'écarter l'action sociale dudit hôpital qui est un démembrement du Ministère de la santé publique au Cameroun ”. Comment admettre qu'une association citoyenne s'engage à sauver des vies. Comme il l'explique l'un des responsables de AMDOSA : “ Et surtout quand nous savons que les 30 volontaires en question ne sont pas des Adventistes du septième jour... Ladite campagne de collecte de sang à la paroisse saint Jean Bosco du quartier d'amour d'Edea  où après avoir saisi Monsieur le Curé par écrit, nous a permis d'effectuer trois dimanches uniquement pour la sensibilisation et à raison de deux descentes chacun de ces dimanches.” Notons ici que concernant ladite campagne, l'Amicale des donneurs de sang volontaires non rémunérés avait saisie le sieur Jean Gustave Tsiagadigui, Directeur de l'hôpital Régional Annexe D'edea dans le cadre de la collaboration établie par certains éléments de droit tel que la lettre d'accord de collaboration.

Entre l'Association ( Amicale des Donneurs de Sang Volontaires Non Rémunérés  ) et le Ministère de la Santé Publique. Le responsable joint nous laisse entendre dans une désolation:  “Je t'assure que Monsieur le Directeur de ladite fosa ( formation sanitaire ) était informé minute by minute de toutes les démarches entreprises, sauf mauvaise foi caractérisée”. Avant de nous préciser que leur souhait est que le travail pour lequel l'amicale des donneurs de sang volontaires avait été créer puisse être fait. Selon leur explication, à l'hôpital régional annexe d'edea, « le medecin, Jean Gustave et un groupuscule de personnes qui lui reste fidèles jasent sur le président de l'Amicale. Ils disent que l'Amicale ne travaille pas.»  et pourtant des centaines de personnes et patients à Edea, témoignent et démontrent  que c'est faux.  “la preuve Monsieur le Directeur, Jean Gustave, de l'hôpital régional annexe d'Edea est au courant de la campagne. Mais maintenant, il refuse que ce sang des volontaires que nous sommes soit collecté” clame malheureusement un donneur venue sauvé une vie de son précieux sang gratuitement.

Il ressort de nos investigations que dans l'ensemble des centres de santé de la contrée, ne disposent pas de banque de sang. Et actuellement à l'hôpital d'Edea, au niveau du laboratoire, un vaste réseau de business et d'arnaques s'est implanté, consistant à soumettre les patients à obligatoirement payer la somme de 38.500 ( trente-huit mille Cinq-Cents) francs par poche de sang. En dehors des frais exigibles à la caisse de l'hôpital. Lorsque le patient se trouve face une impossibilité systématique de se procurer un donneur volontaires, il se fait simplement molesté par ledit réseau bien structuré. Piloté par le responsable de la structure. Or, le responsable de l'association des donneurs volontaires dit être présent et disponible, mais étouffer par par les responsables de la formation sanitaire. “Je suis hyper actif dans beaucoup d'autres hôpitaux de la place qui me sollicitent malheureusement n'ont pas de banque de sang” témoigne l'homme de Dieu Pierre Séraphin Tjomb.

Lorsqu'un responsable hospitalier s'engage à rejeter les actions humanistes et salvatrices comme celles que propose l'Amicale des donneurs de sang volontaires! L'on s'interroge s'il le médecin prend en compte l'impact de la chose. Ne l'ignorons pas que quand l'hôpital refuse de collecter, il fait perdre la crédibilité des membres et par ricochet, celle de l'association. C'est aussi vrai que, des sources non officielles révèlent que la mise en cause serait un tribalisme religieux. Or, lors d'une des sorties médiatiques d'André Mama Fouda, ministre de la santé publique, il laissait entendre que “ lorsqu'un donneur volontaire se présente dans une formation sanitaire au Cameroun, il devrait être rapidement prélever. Car, il pourrait faire marche arrière. ”

 

Some Enrique Emmanuel à Bertoua.

 
 
 
 
 
C'est le constat fait par le Maire de la Commune de Bertoua 1er ce 19 février 2019, au terme de la visite des chantiers financés par le Feicom.
 
 
La visite des chantiers de construction d'infrastructures scolaires dans l'Arrondissement de Bertoua 1er pour le compte de l'exercice 2019 a débuté ce matin. Dans près de huit sites où les blocs de salles de classes, des latrines et des bureaux administratifs vont être construits pour améliorer l'offre, un constat s'est dégagé. Certains sites sont encore à l'étape du dépôt de quelques matériaux. D'autres attendent encore le terrassement du site. D'autres ne sont qu'au niveau des fouilles. Les plus avancés sont au niveau de l'élévation des murs. De l'école primaire publique de Mokolo 2, à Birpondo, Ekounou, Koumé-Bonis et Bonis... le Maire a prescrit l'accélération des chantiers étant donné que les notifications de services ont été servis depuis début janvier lors de la réunion avec les prestataires de services. Cette visite a permis également à certains chefs d'établissements de poser certaines doléances en matière d'amélioration du nombre de salles de classes et des tables bancs. A Birpondo par exemple, où certains élèves suivent les enseignements dans une situation inconfortable. 
 
Pour ceux des chantiers qui sont en nette évolution, il s'agit pour la plus part des blocs administratifs construits pas les Ets Talma à qui le Maire a dit toute son appréciation de la qualité des travaux ainsi que de la diligence avec laquelle il conduit les marchés. 
 
Le dernier arrêt cette mi journée était inéluctablement le site du chantier de l'hôtel de ville dont les travaux de peinture avancent avec assurance. Toutes les ouvertures sont en place, vernies. On peut apprécier la première couche de peinture qui donne définitivement la physionomie de cette infrastructure à l'allure d'un bâtiment ministériel. La fin des travaux de peinture est annoncée pour cette fin de mois de février 2019. Il a osé grand, à la taille de cette collectivité territoriale décentralisée citée en exemple dans la région en termes de gestion et de management. La prochaine étape va consister à toucher du doigt les projets du Bip 2019 dont les dossiers d'appel d'offre sont dans le pipe en attendant que la commission départementale de passation des marchés statue. 
 
C'était en compagnie du chef de service technique Brown Gambel Bembel et du responsable de la communication Martin Crépin Ntsana Mekok.
 
 
Bossis Ebo'o
Des mégas meetings de remerciement au président de la république viennent d'être organisés dans les 04 chefs-lieux de département à l'Est.
 
Gratitude, reconnaissance, loyauté, déférence et fidélité. Tel sont les cinq maîtres mots qui résument bien le sentiment que les fils et filles de la région de l'Est éprouvent en ce moment à l'endroit de son excellence Paul Biya, président de la république du Cameroun. 
En effet, à l'issue de sa brillante réélection à la tête de l'État, le 07 octobre dernier et au lendemain de sa prestation de serment historique devant la nation toute entière, le 06 novembre 2018, le président de la république, chef de l'État a procédé au réaménagement du gouvernement de la république, le 04 janvier 2019.
 
Dans ce premier gouvernement des grandes opportunités que conduit son excellence Joseph Dion Nguté, premier ministre, chef du gouvernement, il a honoré 06 fils de l'Est qui occupent les prestigieuses fonctions de ministre de la fonction publique et de la réforme administrative ( Minfopra), pour Joseph Anderson Lé ;  de ministre des mines, de l'industrie et du développement technologique (Minmidt), pour Gabriel Dodo Ndoké ; de ministre délégué à la présidence de la république chargé des relations avec les assemblées, pour François Bolvine Wakata ; de directeur adjoint du cabinet civil de la présidence de la république, pour Oswald Baboké ; de secrétaire d'État auprès du ministre des travaux publics chargé des routes, pour Armand Ndjodom et de conseiller spécial à la présidence de la république, pour Luc Dieudonné Samba. Une grande première. Un fait inédit. Pour la toute première fois, depuis l'indépendance du Cameroun, la région de l'Est est représenté au gouvernement par six de ses dignes fils !
 
Ce décision a été accueillie avec émotion, joie, allégresse et satisfaction dans les quatre coins de la région du Soleil Levant. Elle restera gravée dans les annales de l'histoire politique de l'Est Cameroun. Elle constitue, a n'en point douter, un vibrant témoignage de la très grande confiance et estime que le président de la république Paul Biya, témoigne et accorde à la région de l'Est.
 
Et, depuis cette date, l'Est est en fête. Toutes les populations de la région, de Dimpam à Messok ; de Ngoyla à Garoua Boulaï ; de salapoumbe à Diang ; de Ngoura à Atok ; de Yokadouma à Bertoua ; de Batouri à Abong Mbang... unies et mobilisées comme un seul homme, disent merci au chef de l'État Paul Biya. Comme l'indique l'honorable jeune Ebo'o Bossis: « Nous l'avons témoigné le 26 janvier 2019, à Bertoua chef-lieu de la région de l'Est et du département du Lom et Djerem ; le 15 février dernier, à Yokadouma, chef-lieu du département de la Boumba et Ngoko ; le 16 février 2019, à Batouri, le chef-lieu du département de la Kadey et enfin l'apothéose dans le chef-lieu du département du Haut Nyong à Abong Mbang, le 23 février 2019. À l'unisson, fils et filles de l'Est disent “ Akiba ” monsieur le président, pour cette marque d'attention particulière, pour cette générosité croissante » manifeste l'honorable jeune parlementaire du Lom et Djerem à l'Est. Tout comme lui, le Minfopra Joseph Anderson Lé n'a pas manqué de reconnaître en l'homme du renouveau les bienfaits à la région de L'Est : « Depuis votre accession à la magistrature suprême, le 06 novembre 1982, l'Est n'a cessé de bénéficier de votre grande générosité. Ici et maintenant, de cette place des fêtes mythique d'Abong Mbang, là où le fleuve Nyong prend sa source, nous renouvelons notre engagement et notre détermination a vous suivre et à vous soutenir, de jour comme de nuit dans la conduite de notre cher et beau pays le Cameroun vers son émergence et à rester mobilisés et indéfectiblement attaché à votre personne, à vos idéaux, au RDPC notre grand parti, ainsi qu'aux institutions que vous incarnez.» Dixit il.
 
Bossis Ebo'o.

Le Ministre de l’administration territorial a remis une enveloppe de 32,5 millions de F Cfa aux commerçants touchés par ce énième incendie survenu dans cet espace marche de la capitale économique dans la nuit du 23 au 24 février 2019.

Au lendemain de l’incendie qui a consumé environ 150 boutiques dans la nuit du 23 au 24 février 2019 au marché Congo, dans la capitale économique camerounaise, les commerçants victimes de ce drame, ont reçu une visite de soutien du Ministre de l'administration territorial,  Paul Atanga Nji. Ces commerçants sinistrés, près 162 répertoriés par les services compétents, ont reçu un appui du gouvernement d’une valeur de 32,5 millions F Cfa. « Ayant été informé que les commerçants du marché Congo, ont été frappé par un violent incendie, le chef de l’Etat m’a chargé de venir transmettre son message de sympathie à tous les commerçants victimes de cet incendie », explique le  Ministre de l'administration territorial.

Accompagné du gouverneur de la région du Littoral, Paul Atanga Nji a demandé aux autorités administratives de faire une évaluation de la situation. Le Ministre de l'administration territoriale a également instruit le Communauté Urbaine de Douala de faire une bonne étude de ce énième incendie qui  a dévasté cet espace marchant, qui l’un des plus grands de la capitale économique. « C’est au moins la 6e fois que ce marché est détruit par les flammes. Le Président  de la République a pensé qu’il fallait réfléchir,  pour  voir dans quelle mesure on peut  construire des structures définitives. Apparemment le marché  est construit en matériaux provisoires qui en cas d’incendie, occasionnent beaucoup de pertes. Le nécessaire sera fait pour reconstruire ce marché afin que les commerçants soient épargnés de ces incendies à répétition  », relève le ministre.

On se souvient que les travaux de reconstruction du Marché Congo avaient été confiés en juillet  2012 à  la Southwest International Construction Corporation (SICC). Cependant ce contrat a été résilié par la Communauté urbaine de Douala   pour «défaillance» après le dernier incendie.

 

Marie MGUE

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Sunday, 05 June 2022 11:01