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Liliane N.

Liliane N.

Osawa Tsutomu, l’ambassadeur du Japon au Cameroun a procédé à la signature de la convention relative à la construction de ce gymnase avec Alain Kingue le président de la Fédération Camerounaise de Judo.

Il est prévu que le gymnase qui sera construit dans la ville de Soa, serve pour la pratique du Judo. On comprend donc parfaitement la raison pour laquelle, c’est Alain Kingue le président de la Fédération Camerounaise de Judo qui du côté de notre pays a signé la convention relative à ce projet. Le Japon va donc débourser la somme de 51 550 000 FCFA. Il convient de préciser que son apport s’inscrit dans le cadre de l’appui aux micro-projets de promotion de la culture japonaise au Cameroun.

«Le gouvernement du Japon a décidé de financer ce projet historique pour non seulement pratiquer le judo, mais aussi pour organiser d’autres compétitions internationales», a déclaré sur les antennes de la CRTV le 10 mars 2021, Osawa Tsutomu, l’ambassadeur du Japon au Cameroun.

«Il est question pour nous de laisser une marque. Notre marque c’est déjà d’avoir un lieu de pratique pérenne pour le judo au Cameroun. Cela nous amène à penser qu’il faudrait que le judo ait un maillage national. Donc, ce n’est que le début d’une longue aventure», a déclaré Alain Kingue le président de la Fédération Camerounaise de Judo.

En détail, le gymnase doit occuper une superficie de 750 m2. Selon la convention signée, les travaux de réalisation de l’infrastructure doivent s’étendre sur une période de 12 mois à compter de la date de signature de la convention qui est le 9 mars 2021.

Liliane N.

L’administration du vaccin AstraZeneca a été suspendue dans des pays comme le Danemark, la Norvège après des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes qui ont été vaccinées.

Il y a de cela une semaine, le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé annonçait que dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus, le Cameroun a choisi le vaccin britannique AstraZeneca. Il avait aussi indiqué que les premières doses de ce vaccin arriveront dans notre pays dans deux semaines. Et la priorité sera accordée au personnel de la santé.

Seulement, aujourd’hui les nouvelles qui parviennent des pays ayant adopté le vaccin britannique AstraZeneca ne sont pas rassurantes. Les pays comme le Danemark, la Norvège et l’Islande ont décidé de suspendre son utilisation par mesure de précaution. Il a été observé de graves formations de caillots sanguins chez des personnes ayant reçu ce vaccin. Ces pays ont ouvert des enquêtes sanitaires et à l'heure actuelle, ils affirment ne pouvoir pas conclure à l'existence d'un lien entre le vaccin et les caillots sanguins observés.

Sur son compte Twitter le Ministre de la Santé bien au parfum de l’actualité autour du vaccin britannique AstraZeneca, indique avoir interpellé le Conseil Scientifique et le NITAG.

«Après la suspension par principe de précaution, du vaccin AstraZeneca, par certains pays, je viens de saisir en urgence le Conseil Scientifique et le NITAG, pour avis. Ce Vaccin est actuellement utilisé dans bien des pays aussi bien occidentaux qu’africains, sans soucis majeurs», a écrit le Dr Malachie Manaouda.

Liliane N.   

Me Dominique Fousse, la présidente du collectif d’avocats qui défend la famille de Lydienne Taba affirme que rien n’avance plus dans cette affaire depuis le 2 novembre 2020.

A en croire la famille de Lydienne Taba et le collectif d’avocats dirigé par Me Dominique Fousse, il n’y a pas grande avancée dans l’affaire pour laquelle Franck Eyono Ebanga le désormais ancien sous-préfet de Lokoundjé est mis en cause. Dans les colonnes du quotidien Le Jour de ce 11 mars 2021, Me Dominique Fousse fait savoir que depuis le 2 novembre 2020 où une tante de l’étudiante décédée a été auditionnée, l’affaire semble piétiner. 

«C’est depuis le 2 novembre 2020 que nous avons été auditionnés devant le juge d’instruction, chargé de ce dossier. Une tante de la victime a été également entendue ainsi que plusieurs autres témoins qui vivent non loin du lieu où les faits ont eu lieu», fait savoir Me Dominique Fousse.

Ne voulant pas rester inactif dans ce dossier, Me Dominique Fousse et ses confrères envisagent de dépêcher un des leurs ce jeudi 11 mars 2021 au Tribunal d’Ebolowa, «pour savoir ce qui bloque l’instruction depuis plusieurs mois». Il convient de rappeler que la famille de Lydienne Taba a porté plainte contre l’ancien sous-préfet de Lokoundjé. Patrice Ebemby Mboma le père de Lydienne Taba avait saisi par voie de correspondance, le président de la République pour lui faire part des attitudes curieuses, qu’il observe dans le déroulement de l’enquête en rapport avec le décès de sa fille. Il avait parlé de la reconstitution des faits, la disparition du gardien voisin de la résidence de l’ancien Sous-préfet de Lokoundje, le fait que le matelas ayant recueilli le sang de sa fille n’ait pas été mis sous scellé, aucun statut légal de détention de l’autorité suspectée.

Aujourd’hui, la partie civile pour sa part, dénonce d’autres entorses dans la procédure. Elle croit savoir que Franck Derlin Eyono Ebanga demeure en liberté, alors qu’en tant que principal accusé dans cette affaire, il aurait dû être en détention préventive le temps de l’instruction.

«Nous sommes incapables de dire où se trouve le sous-préfet. Nous constatons une volonté des autorités judicaires de maintenir un flou à ce niveau mais la réalité est que le présumé meurtrier n’est pas en prison», déclare Me Dominique Fousse.

A titre de rappel, Lydienne Taba était une étudiante de 23 ans. Elle entretenait une relation intime avec Franck Eyono Ebanga. Et elle a été tuée par balle dans la nuit du 26 au 27 juillet 2020 à Kribi dans la résidence de ce dernier qui a parlé d’un accident. Jusqu’ici lumière n’a pas été faite autour des circonstances de sa mort.

Liliane N.

 

 

Laure Njitap Fotso l’épouse de Gérémi Njitap en guise de réplique à une correspondance d’Yves Michel Fotso qui demande aux veuves de son défunt père un mandat pour intervenir dans leurs affaires de famille, accuse ce dernier de divers maux qui pour certains, auraient contribué à dégrader l’état de santé de leur père.

Actuellement sur la toile, circulent deux correspondances des enfants du défunt patriarche Fotso Victor à savoir Yves Michel Fotso et Laure Njitap Fotso l’épouse de l’ancien Lion indomptables Gérémi Sorel Njitap. La première des correspondances est celle d’Yves Michel Fotso qui depuis le Maroc a décidé d’écrire aux veuves de son défunt papa. L’ancien Directeur général (DG) de la Camair souhaite avoir le mandat desdites veuves, pour intervenir dans leurs affaires de famille. Ne pouvant pas le faire ainsi étant donné que l’administratrice des biens mentionnée dans le testament du défunt est Laure Njitap Fotso et le successeur est Damien Fotso. Yves Michel Fotso accuse l’épouse de Gérémi Sorel Njitap de ne pas bien gérer la famille et de semer le trouble.

«…C’est donc principalement avec des conseils que je contribuerai à la bataille pour la manifestation de la vérité et la restitution des biens dont on essaye de vous dépouiller. Malheureusement l’accélération de la dégradation du traitement de la famille par ceux qui se sont attribués cette responsabilité me fait énormément de peine (paiement avec plusieurs mois de retard et avec discrimination de la ration des veuves, réduction drastique des frais des enfants mineurs et des universitaires sans même en assurer le paiement régulier, groupe électrogène non fonctionnel à la résidence et les veuves qui doivent aller puiser de l’eau à Proleg etc…) », peut-on lire dans la correspondance d’Yves Michel Fotso.

Laure Njitap Fotso

Répondant à son frère Yves Michel Fotso, Laure Njitap Fotso qui affirme avoir eu connaissance de sa correspondance, lui demande entre autres choses, de commencer par restituer des sommes d’argent qu’il aurait volé à leur défunt père. L’épouse De Njitap ne se reconnaît pas dans les accusations portées contre elle par son frère. Et dans sa réponse qui tient sur 12 pages, elle a décidé de répondre à son frère point par point.  

«Ma présente intervention a pour objectif premier de te rappeler que tout fait ou tout acte dont la finalité est de porter atteinte à la mémoire de Papa provoquera de ma part une réponse cinglante, claire et franche en retour. C’est donc en considération de cet engagement que je t’adresse la présente réponse dans le but de rassurer ceux qui doutent, d’encourager ceux pour qui la mémoire de Papa doit rester indemne de la moindre égratignure et de renvoyer les éternels pleurnichards, imbus de leur petite personne, à un exercice d’introspection afin qu’ils méditent le privilège de porter seul, incontestable et vrai patrimoine qu’il nous a légué: le nom de notre feu père», a écrit Laure Njitap Fotso qui entend ne pas se laisser malmener.

Liliane N.

 

Selon le quotidien Le Jour, les rebelles centrafricains ont fait irruption dans la localité de Mandjou dans la nuit du 8 au 9 mars 2021.

Dans son édition du 10 mars 2021, le quotidien Le Jour dont le Directeur de publication est Haman Mana rapporte que l’armée camerounaise présente dans la région de l’Est, a repoussé une attaque de rebelles venant de la République centrafricaine. Le journal dit être sûre de l’attaque car ayant procédé à un travail de vérification sur le terrain qui a conduit à la collecte de certains témoignages des habitants de Mandjou.  

«L’association de mon épouse organisait une réception à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la femme. Nous sommes rentrés vraiment tard et à peine nous avons essayé de trouver le sommeil que j’ai entendu les premiers tirs qui venaient du côté du péage», raconte dans les colonnes de Le Jour un certain Ephraïm Bélékou présenté comme étant un riverain.

«Au début j’ai pensé à un braquage au niveau de la station Bocom, mais avec l’intensité des tirs j’ai fini par comprendre que c’était plus sérieux. J’ai immédiatement réveillé ma femme et elle m'a dit que c'est certainement nos voisins qui nous rendent une mauvaise visite», déclare un autre riverain répondant au nom de Frédéric Igor Zock.

Selon donc le quotidien Le Jour, les échanges de coup de feu entre l’armée et les rebelles centrafricains ont duré entre 1 heure et 4 heure du matin. Cependant, le journal d’Haman Mana souligne qu’on ne saurait dire avec conviction s’il s’agit des rebelles du Mouvement de Libération du Cameroun (MLC). On sait que le MLC se présente comme étant un mouvement composé d’anciens soldats de l’armée de la République du Cameroun. Ses éléments arborent même des tenues de l’armée de terre de notre pays. Leur but est de mettre à mal les institutions de la République du Cameroun, renverser le Chef de l’Etat et installer à la tête du pays des personnes pour qui ils se battent visiblement.

Liliane N.

Ces 135 soldats et policiers centrafricains doivent aller prêter main forte dans leur pays.

Ils sont quelques 135 soldats et policiers centrafricains qui avaient trouvé refuge dans notre pays au Cameroun en fin d’année dernière. La situation s’étant sensiblement améliorée, ils ont choisi de repartir chez eux en Centrafrique. La cérémonie de leur retour libre et consenti a été coprésidée par le gouverneur de l’Est, Grégoire Mvongo, et le général de division centrafricain, Léopold Bruno Izamo, par ailleurs inspecteur général des Forces armées centrafricaines (FACA), rapporte le confrère Stopblablacam.

«Nous avons jugé que la situation en Centrafrique est en train de se stabiliser et que ce pays frère a besoin de ces éléments de l’armée pour sécuriser son territoire et protéger la population. C’est pour cette raison qu’ils ont été rapatriés», a déclaré le gouverneur de l’Est dans des propos rapportés par l’agence de presse turque Anadolu.

On apprend par ailleurs qu’au cours de la cérémonie présidée par le gouverneur de l’Est, il y a eu la signature des documents. Les signataires desdits documents ont été respectivement Grégoire Mvongo pour le Cameroun, et Léopold Bruno Izamo, l’inspecteur général des Forces Armées Centrafricaines (FACA), conformément aux usages, pour la rétrocession de 70 kalachnikov, des lances roquettes, munitions et autres équipements militaires au gouvernement centrafricain.    

La Centrafrique s’est montrée reconnaissante envers le gouvernement pour l’accueil et le refuge octroyé aux soldats de son pays. Il s’est réjoui de leur état de santé et a salué leurs prises en charge durant leur séjour en terre camerounaise.

«Ils ont été hébergés, nourris, protégés, et soignés. Le gouvernement centrafricain remercie les autorités camerounaises pour cette hospitalité. Nous allons continuer à travailler de manière collégiale en matière de sécurité au niveau de nos frontières», a déclaré Léopold Bruno Izamo.

Liliane N.

 

Paul Biya le président de la République a présenté ses condoléances à son homologue Théodoro Obiang Nguema Batsogo, à l’armée et au peuple équato-guinéen, après les explosions survenues au camp militaire de Bata et qui ont fait des morts.

 

Le Chef de l’Etat n’est pas resté insensible au drame que vient de connaître la Guinée équatoriale. En fait il se trouve que dans l’après-midi du dimanche 07 mars 2021, dans la ville de Bata, des dépôts d’explosifs militaires ont pris feu, suite à l’incendie des plantations voisines. L’armurerie de l’unité d’intervention rapide de Nkoantana a perdu des munitions de gros calibres. Le camp militaire de Bata et les zones résidentielles ont été détruites. Plus grave, il y a eu 98 morts et 613 blessés au lieu du sinistre.

Le président Biya par voie de correspondance, s‘est montré compatissant avec le Chef d’Etat Théodoro Obiang Nguema Batsogo, l’armée et le peuple équato-guinéen tout entier.

« J’ai appris la tragique nouvelle des explosions survenues dans l’armurerie d’un camp militaire à Bata (Guinée Equatoriale), qui ont provoqué le décès de dizaines de personnes et des dégâts matériels très importants. Je tiens suite à ce drame, à adresser mes sincères condoléances à S.E. Teodoro Obiang Ngema Mbasogo, ainsi qu’aux familles des victimes, à l’armée et au gouvernement équato-guinéen. J’y joins le sentiment de fraternelle compassion du peuple camerounais, et mes vœux de prompt rétablissement aux nombreux blessés », a écrit le président Paul Biya.

Liliane N.

 

LeJeune Mbella Mbella le ministre des Relations Extérieures a reçu dans son département ministériel hier 8 mars 2021, S.E Christophe Guilhou Ambassadeur de France au Cameroun.

Le sujet qui a alimenté les échanges entre LeJeune Mbella Mbella Ministre des Relations Extérieures (MINREX) et S.E Christophe Guilhou l’Ambassadeur de France au Cameroun hier 8 mars 2021, était la République centrafricaine (RCA). C’est connu de tous, la RCA vit de nouveaux troubles qui ont surgi après la présidentielle du 27 décembre 2020. Ces troubles sont alimentés par des mouvements rebelles. Et la situation en Centrafrique est telle que tout récemment, le Conseil de sécurité des Nations unies réuni à New York aux Etats-Unis, s’est penché sur ce pays voisin du Cameroun.   

Durant près de 2 heures de temps, le MINREX et l’Ambassadeur de France au Cameroun ont parcouru la situation sociopolitique de la République Centrafrique dont les troubles touchent le pays dans sa région Est qui lui est frontalière. «Nous avons échangé nos analyses sur la situation et notamment sur les discussions au Conseil de sécurité», a déclaré S.E Christophe Guilhou au terme de l’audience.

Comme mentionné ci-haut, le Cameroun subit dans sa partie Est, les troubles socio-politiques de la RCA. Rendu à ce jour, on parle d’environ 5000 personnes qui ont quitté la Centrafrique pour trouver refuge au Cameroun. De ce fait, l’audience au ministère des Relations Extérieures s’est montrée idoine pour S.E Christophe Guilhou qui a tenu exprimer la reconnaissance de son pays envers le Cameroun qui ne cesse d’accueillir des réfugiés centrafricains.

«J’ai exprimé la gratitude de la France à l’égard de la politique sage que mène le Cameroun à l’égard de la RCA, l’accueil très généreux depuis longtemps des autorités et du peuple camerounais à l’égard des réfugiés centrafricains», a-t-il déclaré S.E Christophe Guilhou.

Liliane N.

André Onana le gardien de but de l’Ajax d’Amsterdam a décidé d’accompagner Eclair de Sa’a, le club du championnat de première division de football féminin.

C’est un geste que les joueuses et le staff dirigeant d’Eclair de Sa’a ne sont pas prêts d’oublier. André Onana le gardien de but de l’Ajax d’Amsterdam a décidé de leur remettre ce 8 mars journée internationale de célébration de la femme une somme de 30 millions de FCFA.

En fait, il se trouve que les responsables de ce club de première division ont saisi par voie de correspondance André Onana. Dans la correspondance, il sollicitait l’aide du Lion indomptable. Et ce dernier a choisi de répondre favorablement. Andre Onana ne s’est pas contenté d’une simple largesse financière, il s’est également rendu ce lundi 8 mars 2021 sur les lieux d’entrainement où les joueuses et le staff technique  peaufinent leurs stratégies avant chaque match. Il en a profité pour discuter avec elles, et leur prodiguer de précieux conseils. Il leur a d’ailleurs promis qu’elles ne seront plus jamais seules. «Mes princesses d’Eclair vous ne marcherez plus jamais seules», a-t-il écrit sur Instagram.

Il faut préciser que le Lion indomptable André Onana est au Cameroun. Il a été suspendu par pour une durée d’un an, pour dopage. C’est à contrecœur que le gardien a quitté ses coéquipiers. Toutefois, après être resté silencieux, André Onana était sorti de sa réserve pour s’expliquer.

Ci-dessous les explications d’André Onana

« Bonjour à tous. Je voulais juste vous faire savoir que l’Organe d’appel de l’UEFA m’a imposé une suspension immédiate de 12 mois pour avoir été testé positif lors d’un test d’anti dopage effectué en octobre 2020. Je veux juste préciser que tout ceci est le résultat d’une erreur humaine.

J’ai confondu un médicament avec une substance interdite par l’AMA (l’agence mondiale anti dopage) pour une simple aspirine. Le médicament a été prescrit à ma petite amie et je l’ai pris à tort pour une aspirine car l’emballage était presque identique, ce que je regrette profondément. Je dois dire que j’ai du respect pour l’Organe d’appel de l’UEFA, mais je ne suis pas d’accord avec sa décision sur cette question.

Je pense que c’est excessif et disproportionné parce que l’UEFA a reconnu qu’il s’agissait d’une erreur accidentelle. Tout le monde sait que je mène une vie très saine, et depuis le début de ma carrière sportive, je me suis toujours fermement opposé à tout usage du dopage et condamné tout comportement antisportif. J’ai 24 ans et ces dernières saisons, j’ai eu la chance de jouer presque toutes les minutes, à la fois pour l’Ajax et pour mon équipe nationale.

J’ai été élu meilleur gardien des Pays-Bas de ces quatre dernières années et le meilleur gardien d’Afrique de ces trois dernières années. Je tiens à dire que je n’ai pas besoin de recourir au dopage pour améliorer ma carrière sportive. Je ferai donc appel de cette décision auprès du TAS afin de prouver mon innocence et laver mon nom. J’espère être de retour rapidement sur les terrains pour faire ce que ‘j’aime le plus et aider mes coéquipiers. Je voudrais remercier l’Ajax et la sélection nationale du Cameroun pour leur soutien et leur confiance. »

 

Cependant, le Tribunal arbitral du sport reconnaît que Ahmad Ahmad l’ancien président de la Confédération africaine de football a enfreint les règles en matière de « distribution de cadeaux et détournement de fonds ».

Saisi par le malgache Ahmad Ahmad après sa suspension par la FIFA à la tête de la Confédération africaine de football (CAF), le Tribunal arbitral du sport (TAS) a choisi de ramener à 2 ans, la sanction prononcée par l’instance faîtière du football mondial. Récapitulatif donc, au lieu de 5 années, le malgache se tiendra de toute activité sportive durant deux ans. Aussi, dans la décision rendue ce lundi 8 mars 2021, le TAS a indiqué que le désormais ancien président de la CAF, a enfreint les règles en matière de « distribution de cadeaux et détournement de fonds ». Aussi, il doit payer une amende de de 50 000 francs suisses, soit un peu plus de 53 000 dollars.

A titre de rappel, c’est le 23 novembre 2020 que la FIFA a suspendu pour 5 années le malgache Ahmad Ahmad. La Commission éthique de la FIFA qui a pris cette décision, l’a trouvé coupable d’avoir enfreint divers codes d’éthique, notamment les articles 15 (Devoir de loyauté), 20 (Acceptation et distribution de cadeaux ou autres avantages) et 25 (Abus de pouvoir) de l’édition 2020 du Code d’éthique de la FIFA, ainsi que l’article 28 (Détournement de fonds) de son édition 2018.

Ahmad Ahmad avait pour sa part, choisi de déposer son dossier de candidature pour briguer un deuxième mandat à la tête de la CAF, pensant qu’avec l’action intentée au niveau du TAS, il aura gain de cause.

Liliane N.   







Sunday, 05 June 2022 11:01