Le Grand Nord tout seul représente la moitié de l’électorat du Cameroun.
Au Cameroun, on observe que tous les hommes politiques ou les partis politiques de premier rang convoitent le Grand Nord. La zone du Grand Nord est constituée de 3 régions qui sont le Nord, l’Adamaoua et l’Extrême-Nord. Prenant comme prétexte la libération de Mamadou Mota et son retour dans sa terre natale, Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) s’est rendu dans le Grand Nord précisément dans la localité de Tokombéré située à l’Extrême-Nord. Selon nos sources, le leader du MRC avait rencontré les autorités traditionnelles.
Par le passé, il y a eu d’autres hommes politiques à l’instar de Cabral Libii du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale qui est déjà allé aussi à la conquête des régions du Grand Nord. On ne saurait ne pas parler du démissionnaire du MRC Célestin Djamen. C’est dans la ville de Ngaoundéré et précisément le 27 décembre 2020, qu’il est allé tenir un meeting politique.
Selon des observateurs politiques, le Grand Nord est source de convoitises de tout politicien sérieux parce que en réalité il constitue déjà à lui tout seul, la moitié de l’électorat du Cameroun. Ce qui signifie, qu’en temps d’élection, avoir cette zone du pays de son côté se révèle être un grand atout.
Le confrère Défis Actuels indique que le Grand Nord c’est un peu plus de 6 millions d’habitants sur les quelques 20 millions que comptait le Cameroun en 2010. A la présidentielle du 9 octobre 2011, on dénombrait 1,9 million de personnes inscrites sur la liste électorale. Résultats : 1,6 million d’électeurs ont voté pour Paul Biya sur les 4,8 millions de suffrages recueillis, sur l’ensemble du territoire.
« Le Grand Nord représente la masse électorale prépondérante du Cameroun. C’est ce qui peut justifier cet acharnement de tous tes leaders politiques vers le Grand-Nord, parce que c’est d’abord un bastion politique très compliqué en termes de présence de multiples partis politiques. Mais la lecture profonde que l’on puisse faire, c’est d’abord en termes d’électorat. Le Grand Nord représente la moitié des électeurs du Cameroun, donc tous les leaders politiques tentent d’aller conquérir du terrain de ce côté, question de s’assurer un électorat massif », affirme le politologue Louison Essomba dans les colonnes du journal Défis Actuels.
Liliane N.
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale révèle que la découverte de cette cache d’armes artisanales a été possible grâce à la dénonciation citoyen lambda.
Selon Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (MINAT), une cache d’armes artisanales des sécessionnistes a été découverte par les éléments de la gendarmerie de la région du Nord-Ouest à «Mille Tweenty Four», sur la route de Wum. Le MINAT qui est actuellement à Bamenda chef-lieu du Nord-Ouest a révélé que c’est un citoyen «honnête» possédant des informations fiables qui a permis aux Forces de Défense et de Sécurité de mettre la main sur la cache qui possédait une vingtaine d’armes artisanales. Le Ministre Atanga Nji a précisé que c’est ce genre de collaboration qu’on attend des citoyens dans la lutte contre la montée de l’extrémisme sécessionniste.
Présidant une réunion sécuritaire avec les autorités de la région, le Ministre Paul Atanga Nji a pour une énième fois, demandé aux sécessionnistes de déposer leurs armes. Il a précisé que ce dépôt d’armes doit être fait sans toutefois penser qu’il y aura une contrepartie.
«Ce qui intéresse le gouvernement, c’est de récupérer les armes. Ceux qui détiennent les armes en brousse ne doivent pas détenir ces armes (…) Le dépôt des armes doit se faire sans conditions. Ce n’est pas un marchandage. Les terroristes savent qu’ils ne doivent pas détenir des armes. Seul l’Etat a le monopole de la contrainte légitime…La reddition se fera sous le contrôle des autorités administratives. Le Chef de l’Etat a donné des instructions claires: ceux qui vont déposer les armes n’iront pas en prison. Ils seront encadrés et vont bénéficier d’une reconversion normale, et le Chef de l’Etat a dit que c’est la seule porte de sortie honorable pour les terroristes», a déclaré le Ministre Atanga Nji.
Liliane N.
Les 600 bouteilles de gaz ont été saisies dans un réseau de siphonage qui opérait au quartier Yassa.
Tout récemment sur la toile a circulé une vidéo qui montre des hommes en pleine opération de siphonage de bouteilles de gaz à Douala précisément au quartier Yassa. Les autorités notamment celles du Ministère du Commerce qui ont pris connaissance de ladite vidéo ont entrepris des recherches qui ont porté des fruits. Une source dans ce département ministériel dirigé par Luc Magloire Mbarga Atangana révèle que sur instruction de celui-ci, une action a été entreprise le 20 février 2021, pour mettre hors d’état de nuire le réseau en question.
« Tout part d’une vidéo en circulation sur les réseaux sociaux dévoilant des actions frauduleuses de siphonage de gaz domestique par des individus dans des camions stationnés dans un entrepôt. Sur hautes instructions du ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, le Délégué départemental du Wouri et ses collaborateurs vont se lancer à la recherche du site sur la base des quelques indications fournies dans ladite vidéo », a relate la source dans une publication du confrère le bled parle.
Poursuivant dans ses révélations la même source introduite au Ministère du Commerce raconte qu’il a juste fallu quelques heures aux agents de la délégation départementale du Commerce du Wouri pour retrouver le lieu où ces individus pratiquaient leurs opérations de siphonage. Pris en flagrant délit, les responsables de ce trafic ont pris la poudre d’escampette avant l’arrivée des Forces de maintien de l’ordre. Toutefois les agents de la délégation départementale du Commerce du Wouri ont réussi à mettre la main sur deux d’entre eux. Ces derniers ont été mis à la disposition de la division de la police judiciaire pour des besoins d’enquêtes.
Liliane N.
Le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé affirme que même s’il n’y a pas lieu de s’alarmer, les camerounais doivent tout de même reprendre conscience.
Contrairement à ce que d’aucuns pensent et affirment, la pandémie du Coronavirus reste une réalité dans notre pays. Peut-être pas comme on le voit dans les pays européens, mais c’est une pandémie qui est présente au Cameroun. De passage à la CRTV à l’édition du journal de 20H30 en posture d’invité, le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé (MINSANTE) a dressé le bilan de la situation rendue à la date du 22 février 2021. On retient que le nombre de décès dû à la pandémie est croissant. On est passé d’1 décès par semaine à 32. Et pour ce qui est du taux d’occupation on est passé du pourcentage de 0,5% à 3,4%.
« Dans la vie d’une épidémie, vous pouvez à un moment donné maitriser la situation, mais vous pouvez également avoir de temps en temps des petites poussées. C’est ce que nous constatons aujourd’hui. Les indications sont calières. En ce qui concerne les hospitalisations, nous partons d’une situation où nous avions il y a quelques mois, 0,5% Nous sommes montés à 3%, aujourd’hui nous sommes à 5% d’occupation des lits. Si nous prenons également les décès, on est parti de 1 à 2 décès par semaine, après on est monté à 3,4 décès par semaine, on est monté à 12 décès par semaine, après 23 décès par semaine, aujourd’hui on est à 32 décès par semaine », fait savoir le Ministre de la Santé.
Même si le Dr Malachie Manaouda reconnaît que la situation épidémiologique du Cameroun n’est pas alarmante, il pense tout de même qu’il y a lieu de revenir au strict respect des mesures barrières. Ces mesures sont le port systématique du masque, le lavage des mains avec de l’eau propre et du savon ou encore avec un gel hydroalcoolique. Il y a aussi le respect de la distanciation sociale.
Quand nous regardons cela nous pensons qu’il y a quelque chose qu’il faut faire. Lorsque nous voyons l’élution globale de l’épidémie, il n’y a pas matière à s’alarmer outre mesure. Il faudrait tout simplement que nous reprenions conscience », a-t-il déclaré.
Résurgence des cas de Covid 19 : Pourquoi les camerounais n’y croient plus ?
Liliane N.
Denis Nkwebo le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun dit avoir accepté sa nomination au sein de la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés avec humilité et responsabilité.
Denis Nkwebo fait partie des personnes qui ont été nommées la semaine dernière par Paul Biya le Chef de l’Etat à la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés (CNDHL). Le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun se réjouit avec cette nomination qui lui assigne des missions, qu’il remplissait déjà dans sa corporation.
« J’ai appris la nouvelle de ma nomination au sein de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du Cameroun par décret du président de la République Paul Biya et j’ai aussitôt accepté cette mission avec humilité et responsabilité. Je crois que nous faisions déjà ce travail depuis très longtemps au sein du Syndicat National des Journalistes du Cameroun. Ce décret du président de la République vient légitimer donc la cause qui était celle de notre syndicat. Ce décret vient aussi consacrer le fait que nous sommes l’organisation professionnelle de la presse la plus représentative dans le domaine du journalisme au Cameroun. Nous entendons servir notre pays, servir la profession conformément au texte qui a été voté par l’Assemblée Nationale en 2019 », déclare-t-il.
Alors invité au programme dominical de STV «7Hebdo», Denis Nkwebo a précisé ce qui allait être son rôle au sein de la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés.
« Mon rôle ce n'est pas d'aller m'opposer à des gens. Mon rôle ce n'est pas d'aller en combat avec qui que ce soit. Ça ne fait pas partie de mes prérogatives. Mon rôle c'est de m'assurer que, dans la mesure du possible, chaque fois qu'un citoyen voit ses droits violés, qu'on intervienne pour le restaurer dans ses droits. Ça c'est ma mission », a-t-il déclaré.
Liliane N.
Patrice Melom le Directeur général du Port Autonome de Kribi met en garde les populations par rapport à un faux communiqué qui annonce le recrutement de 596 personnes.
Le Port Autonome de Kribi (PAK) n’a lancé aucune opération de recrutement en ce moment. C’est l’essentiel du message que Patrice Melom son Directeur général (DG) a fait lire sur les ondes du Poste National le 22 février 2021 à l’édition du journal du 13 heures. Cette communication du DG du PAK est due au fait qu’en ce moment sur la toile et les réseaux sociaux circule un communiqué qui lui est attribué et qui annonce le recrutement de 596 personnes.
Patrice Melom précise qu’il s’agit d’« un faux communiqué publié par des individus sans foi ni loi qui utilisent frauduleusement le logo du PAK et la signature de son Directeur général… Une telle manœuvre vise à jeter du discrédit sur une place portuaire qui monte en puissance et réalise des performances qui valent au PAK la confiance des partenaires nationaux et internationaux ».
En appelant la population à faire preuve de plus de vigilance, le DG du PAK dément tout ce qui est présentée comme information dans le communiqué qui lui est attribué. « Le Port autonome de Kribi poursuit avec assurance les missions à lui assignées par le gouvernement et reste engagé dans la lutte contre le chômage en favorisant l’installation de nombreuses entreprises dans sa zone industrialo-portuaire », souligne Patrice Talon dans sa communication.
Il convient de noter qu’il est récurrent de voir sur la toile, de fausses annonces de recrutement au PAK. Certaines de ses annonces promettaient même des recrutements au PAK, ainsi que des marchés publics en contrepartie d’énormes sommes d’argent. Seulement à chaque fois que ce type d’annonce a circulé, la direction générale du Port a fait un démenti.
Liliane N.
Le chef régional de la Faune et des aires protégées affirme ne pas connaître pour l’instant la provenance de ce fauve.
Neuf personnes dans la région de l’Extrême-Nord, ont failli être tuées par un lion dont on ignore encore la provenance. Le fauve s’en est pris aux populations des villages Woulki et Mbomboya tous deux situés dans l’arrondissement de Makary.
« Un lion, dont pour l’instant on ignore la provenance, a semé la panique dans la localité. L’animal, conformément à la loi et son décret d’application, a été abattu dans le cadre de la légitime défense », renseigne le chef régional de la Faune et des aires protégées.
Les victimes du fauve sont prises en charge dans des formations hospitalières de la région de l’Extrême-nord. Le responsable de l’hôpital de district de Makary, dans le département du Logone-et-Chari cité par le Poste national, affirme que « parmi les 09 qui sont arrivés à l’hôpital de district de Makary, un a été transféré à Kousseri pour une prise en charge. Et les huit qui restent sur place les blessures sont de gravité moyenne. Donc il n’y a pas de complication ».
Les experts pensent que le fauve abattu qui s’en est pris aux villageois, est de ces vieux lions vieux qui abandonnent la meute et s’attaquent aux proies faibles, à l’instar des êtres humains. Toutefois, dans un communiqué radio presse parvenu à notre rédaction, Jean David Ndjigba le délégué régional des forêts et des faunes de l’Extrême-Nord demande aux populations de vaquer librement à leurs occupations. Il affirme que le danger a été éloigné. Il faut préciser que l’incident avec le fauve s’est déroulé le weekend dernier.
Liliane N.
Alex Nguépi le cadre du Mouvement pour la renaissance du Cameroun affirme que le clientélisme et le favoritisme tirent vers le bas, le parti de Maurice Kamto.
Alors qu’il a été suspendu par le secrétariat national à la communication du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), Alex Nguépi cadre du parti de Maurice Kamto a quand même décidé de parler de son fonctionnement. Il trouve que dans ce parti de l’opposition qui est le sien, il y en a qui parlent plus et agissent peu. De ce fait, il porte le plaidoyer de mettre les hommes qu’il faut à leur place.
« Donnons au MRC des hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Dans le MRC, certains bavardent plus qu’ils n’agissent. Une élite ne passe pas son temps juste à critiquer. Elle prend des risques, elle prend des positions, même lorsque celles-ci sont impopulaires », déclare Alex Nguépi.
Allant un peu plus loin dans ses critiques du fonctionnement du MRC, Alex Nguépi cite deux maux qui minent le parti. Il parle du favoritisme et du clientélisme.
« Ses actions sont vues et sues de tous. Une élite a pour véritables ennemis les personnes affiliées à sa formation politique qui ne sont en réalité que des pourvoiristes. La position sociale et le confort intellectuel n’entraînent pas automatiquement efficacité et compétence. Dans un parti, tout le monde a sa place. Il suffit tout simplement de donner la chance à tout un chacun de libérer ses énergies. Et tous ceux qui, de par leur position, voguent dans le clientélisme et le favoritisme tirent le parti vers le bas et ne sont pas différents des cancres », affirme-t-il.
A titre de rappel, Alex Nguépi a été suspendu le 8 février 2021, pour des propos injurieux tenus contre Marcel Niat Njifenji dans l'un des foras WhatsApp du MRC dénommé COMMUNICANTS MÉDIAS.
MRC: Martin Ambang ancien conseiller de Maurice Kamto quitte le parti pour mauvaise gestion
Liliane N.
Cabral Libii député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale affirme avoir en partage avec Bernard Njonga, des convictions agricoles.
Tout comme de nombreux camerounais et hommes politiques, l’honorable Cabral Libii pleure Bernard Njonga, dont l’annonce de la mort laisse sans voix, ses proches, amis et connaissances. Rendant hommage au célèbre ingénieur agronome et syndicaliste agricole, le député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) sur son compte twitter a affirmé partager avec le défunt, des convictions agricoles.
« Le Cameroun perd un acteur de poids: Bernard Njonga. J'ai appris avec profonde contrition le décès survenu Dimanche 22 Février 2021, de Bernard NJONGA. J'ai personnellement connu et fréquenté l'illustre disparu. Nous avions en partage des convictions agricoles », a tweeté le député Cabral Libii.
A titre de rappel, Bernard Njonga est décédé hier 21 février 2021 des suites de maladie, dans une formation hospitalière française. Il était alors âgé de 66 ans. Au pays, il a été très connu pour sa défense du secteur agricole. Il était le président du parti Croire au Cameroun. Il a été fonctionnaire, notamment assistant de recherche à l’Institut de Recherche Agronomique pour le Développement.
Il a démissionné en 1987 après trois années de service. Vers les années 1980, il a lancé l’organisation non gouvernementale Service d’appui aux initiatives locales de développement (SAILD) qui publie le journal La Voix du Paysan.
Nécrologie : Bernard Njonga n’est plus
Liliane N.
Etienne Eto’o est l’auteur d’un doublé qui a porté à 4, le nombre de buts marqués par les Lions indomptables lors du 3ème match des poules qui les a opposés à la sélection mozambicaine.
Etienne Eto’o Pineda a livré une performance de haute facture le samedi 20 février 2021. Cette performance unanimement saluée lors de la rencontre Cameroun-Mozambique lui a valu le titre d’homme du match. Il faut rappeler qu’il fait partie des U20 du Cameroun qui prennent part à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de leur génération. Et avec son doublé, le Cameroun a infligé un lourd score de 4 buts contre 1 au Mozambique.
C’était en fait la première sortie d’Etienne Eto’o, le fils de Samuel Eto’o Fils. Il n’avait pas joué aux deux premiers matchs de la phase des poules. Une seule sélection sur le terrain a réussi à confirmer son talent. Le premier de ses deux buts a été marqué par coup-franc et le second lors d’un penalty.
Au terme de la rencontre, Etienne Eto’o face à la presse, a laissé voir sa satisfaction.
«Je suis ravi, surtout qu’on a fini la phase de poules avec 9 points, on a pris juste un but en trois matches et on en a mis six. Je ne peux qu’être ravi de l’équipe, du travail de chacun de nous. On est 27 joueurs et on est tous ici pour donner tout pour la nation et c’est un rêve de pouvoir marquer dans un match avec l’équipe nationale et surtout d’aider l’équipe, c’est très important.Pour dire la vérité, sur le premier but, au moment où je frappais, je ne savais pas que ça allait rentrer. C’était tellement tôt et c’était presque mon premier ballon que j’avais touché. Oui, j’étais très ému. Ma famille, ma mère, ma grand-mère, mon grand papi, mon père, tout le monde, je pensais à eux et le peuple camerounais aussi. J’étais aux larmes parce que c’est vraiment émouvant.» a déclaré le fils de Samuel Eto’o Fils.
En définitif, le Cameroun finit premier de sa poule avec 9 points ayant gagné tous les matches de la phase des poules.
Liliane N.