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Il s’agit des étudiants de l’IAI inscrits au centre de Douala.

Des étudiants du centre de Douala de l’Institut africain d’informatique (IAI) du Cameroun ont conçu 11 applications qui forcent l’admiration et imposent le respect. Il s’agit d’applications utiles pour le télétravail et le traçage des malades du Coronavirus, potentiellement contagieux. Les étudiants ont présenté leurs inventions hier 17 novembre 2020, au cours de la visite d’Armand Claude Abanda le représentant résidant de l’IAI Cameroun.

Parmi les applications, il y a NK Tracer, développée par un certain Fabrice Tiodji. Celle-ci permet de tracer les malades Covid-19 probablement contagieux et de les localiser. L’idée, explique son concepteur, est née du mauvais comportement de certains compatriotes et Etrangers qui ont été mis en quarantaine dès leur arrivée dans nos aéroports et se sont enfuis plus tard. «Grâce à mon application qui est liée au téléphone mobile, on peut désormais directement localiser ces gens», a-t-il déclaré.

Saluant les inventions des étudiants, Armand Claude Abanda a indiqué que l’efficacité de ces applications a été démontrée sur le terrain. «Nous allons d’ailleurs aussi envisager d’autres contributions auprès des écoles, entreprises publiques, parapubliques et privées de Douala pour que ces différentes institutions sachent utiliser les plateformes de télé travail», a-t-il ajouté.

Il convient de préciser que ces étudiants du centre de Douala de l’IAI ont bénéficié de l’appui du Plan triennal spécial jeune.

Liliane N.

Published in Télécommunication
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Les Etats-Unis ont décidé de ne donner que des visas de deux années, aux étudiants de 59 pays. 

Parmi les 59 pays à être concernés par la mesure des Etats-Unis, 38 sont africains. Et parmi ces 38 pays africains, on retrouve le Cameroun. Le visa qui sera désormais octroyé aux étudiants des nations concernées par cette nouvelle mesure aura une durée de 2 ans. Le département de la Sécurité intérieure des Etats-Unis a sorti une note officielle.

En fait les pays frappés par cette mesure américaine sont catalogués comme faisant l’apologie du terrorisme d’une part, et d’une autre part, ceux dont le taux de séjour s’élève au-delà de 10%. Il convient de préciser toutefois, que pour les formations excédant deux ans, les étudiants pourront faire une demande de prolongement de leur séjour en territoire américain, laquelle ne sera autorisée qu’après enquête du département de la Sécurité intérieure.

Les pays africains concernés sont: le Kenya, le Rwanda, l'Ouganda, la Tanzanie, le Burundi, le Soudan du Sud, la Somalie, l'Ethiopie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, la République Centrafricaine, le Tchad, la RDC, le Congo, la Côte d'Ivoire, Djibouti, la Guinée équatoriale, l'Erythrée, le Gabon, la Gambie, Le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, la Libye, le Malawi, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, Guinée, le Sénégal, la Sierra Leone, le Soudan, le Togo et la Zambie.

Liliane N.

 

Published in International
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La “police Covid-19” a comme mission veiller au strict respect des mesures de protection contre la pandémie qui a fait de milliers de morts, dans le monde entier. 

 

L’Université de Ngaoundéré est décidé à mettre du sien dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus. C’est dans ce sens qu’elle a décidé de créer en son sein la “police Covid-19”. Son rôle est de veiller à ce que les étudiants et tous les usagers du campus de Dang respectent les gestes barrières édictées par l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et les mesures de protection mises en place par le gouvernement. 

Cette “police Covid-19” est composée d’étudiants. Ils sont près d’une centaine. Ils sont identifiables grâce aux chasubles qu’ils portent. Ils vont d’un coin de l’Université à un autre. Outre de s’assurer que le lavage des mains, la distanciation sociale requise et le port du masque sont effectifs, la “police Covid-19” de Dans a également un droit de regard sur les tenues vestimentaires.

Pour revenir à l’engagement démontré de l’Université de Ngaoundéré dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus, il faut rappeler que son Conseil d’administration a décidé que la somme d’1 milliard 0,87 FCFA doit être débloquée. Elle sera prélevée dans le budget global de l’institution universitaire. Le milliard à débloquer va servir à la réhabilitation du centre médico-social de l’Université, l’acquisition d’une ambulance médicalisée, l’installation  des dispositifs numériques et mécanisés de lavage des mains etc. 

Il faut aussi rappeler que l’Université de Ngaoundéré compte une trentaine d’enseignants et étudiants testés positifs au Coronavirus. 

 

Liliane N.

 

Published in Corona Virus

L’Office des étrangers de Bruxelles a lancé une campagne d’information sur les conséquences des séjours irréguliers des étudiants en Belgique.

 

En Belgique, le Cameroun occupe la première place du classement des nationalités introduisant le plus grand nombre de demandes de visa pour études. De par le monde, une demande de visa pour études en Belgique sur 5 est introduite par un ressortissant camerounais.

La Belgique encourage l’arrivée d’étudiants étrangers sur son territoire. Ces échanges permettent à une partie de la jeunesse camerounaise de suivre des spécialisations n’existant pas dans leur pays et contribuent à la vitalité des relations belgo-camerounaises.

Les autorités belges tiennent néanmoins à éviter que ne se développent des filières d’immigration irrégulière. L’accès et le séjour sur le territoire belge sont conditionnés au respect des procédures légales, de la transparence et de la sincérité. Les autorités belges sont particulièrement attentives à ce que de faux documents ne soient produits à l’appui des demandes de visa d’études.

Etre proactif. C’était le but visé par l’Office des étrangers de Bruxelles, à travers sa séance d’informations sur l’immigration clandestine, le 15 mars dernier à l’Institut français du Cameroun, antenne de Douala. «Une session qui, comme l’a rappelé Vincent Bodson, consul du Royaume de Belgique au Cameroun, s’adressait en général à toutes les personnes souhaitant migrer Outre-Quiévrain, mais de façon particulière, aux étudiants », rapporte Cameroon Tribune. Cette session  s’inscrit dans le cadre d’une campagne d’information et de prévention lancée dans plusieurs pays par cet Office, service fédéral belge chargé de la gestion de la population immigrée et dépendant du ministère de l’Intérieur.

Proactif, c’est le terme utilisé par Marlies Elebaut, fonctionnaire à l’immigration à l’Office, qui a reconnu que le problème d’immigration clandestine des Camerounais «n’est pas grave », même s’il est «très difficile de donner des statistiques correctes » sur le phénomène. Les chiffres disponibles sont plutôt ceux des arrestations des Camerounais en situation irrégulière: autour de 200 individus en 2018.

Toutefois, la présence du service fédéral belge au Cameroun se justifie par un fait: «On s’est aperçus qu’il y a beaucoup d’étudiants qui utilisent des documents frauduleux, ce qui montre le désir de vouloir entrer ou rester de façon irrégulière en Belgique. Et nous aimerions les prévenir des conséquences », a expliqué Dame Elebaut.

Ces conséquences, c’est bien entendu une interdiction d’entrée sur le territoire belge, qui peut aller au-delà de trois ans. Mais en plus, une fois qu’on est à nouveau autorisé en Belgique, il faudra rembourser les frais de son rapatriement et de son séjour en centre de rétention. « Ce sont des coûts énormes », prévient Marlies Elebaut.

Autre coût important: celui de la vie dans ce pays. Pour les étudiants par exemple, le coût moyen par mois se situe dans une fourchette de 450 000 à 500 000 FCFA, entre nourriture, hébergement et matériel. Vaut mieux donc être parfaitement préparé. Pour cela, les candidats aux études supérieures dans le Royaume doivent se diriger vers « Campus Belgique », où ils recevront toutes les informations correctes dont ils ont besoin.

 

Otric N.

Published in International

Le 31 octobre 2018, ils ont reçu des mains de Jalel Snoussi l’Ambassadeur tunisien, leurs visas.

C’est une nouvelle vague d’étudiants camerounais qui iront s’instruire dans les Universités tunisiennes. Ils sont tous inscrits au premier cycle des études universitaires. Accompagnés de leurs parents, ils ont reçu leurs visas au cours d’une cérémonie présidée par le Diplomate Jalel Snoussi. Celui-ci les a demandé d’être des modèles durant les trois années que va durer leur formation. Aussitôt ladite cérémonie achevée, ils ont pris le vol pour ce pays ami et partenaire de bonne date du Cameroun. Ils seront inscrits dans les filières mathématiques, génie civil, santé et tourisme.

En réalité, les étudiants qui devaient bénéficier des bourses tunisiennes pour le compte de l’année 2018-2019, devaient être au nombre de 26. C’est le nombre de places que ce pays partenaire avait mis à la disposition des apprenants camerounais. Mais juste 20 dossiers ont été déposés au Ministère de l’Enseignement supérieur (MINESUP). Les postulants devaient avoir eu une note égale ou supérieure à 14 sur 20. Sur les 20 dossiers que le MINESUP a reçus, 17 ont été retenus. Du nombre admis à aller poursuivre leurs études en Tunisie, 12 ont souhaité s’y rendre en ce moment. Les autres restent attendus à l’Ambassade pour les modalités d’usage.

Pour ce qui est du fait que le Ministère n’ait pas pu présenter le nombre d’apprenants voulus par la Tunisie, les responsables indiquent que les postulants n’avaient pas tous la note égale ou supérieure à 14 sur 20. Durant la cérémonie suscitée, Thérèse Ndoko Epse Wanah Titumbe Directeur de l’assistance des œuvres universitaires a plaidé pour que la moyenne requise pour bénéficier de la bourse soit revue à 13 sur 20.

A titre de rappel l’année dernière, 11 étudiants camerounais avaient bénéficié de la bourse tunisienne. A la cérémonie de remise de leurs visas, l’Ambassadeur de Tunisie au Cameroun avait indiqué que pour avoir la possibilité d’aller se former dans son pays, il faut impérativement avoir passé l’examen du baccalauréat avec une moyenne de 14/20. Comme pour cette année, 26 apprenants n’ont pas pu répondre positivement au critère relatif à la note. Sur les 26 places disponibles, le Ministère de l’Enseignement supérieur n’a proposé que 14 noms et sur la base de la liste proposée par ce département ministériel, juste onze bacheliers ont été retenus.

C’est depuis 1970 que la Tunisie offre des bourses d’étude aux étudiants des pays francophones. Pour les cinq dernières années plus de 50 étudiants camerounais ont profité du précieux sésame. Lesdites bourses offertes s’inscrivent dans le renforcement de la coopération Sud-Sud.

Liliane N.   

 

Published in Education






Sunday, 05 June 2022 11:01