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C’est le bilan établi après le passage des éléments de la secte de boko haram ce Mardi à Faduma Koloram- campement situé dans l’État de Borno au nord du pays.

 

Des sources concordantes indiquent que ces individus sans foi ni lois, ont décidé de mener une action punitive car ils soupçonnaient les habitants de cette localité de coopérer avec les autorités.     

Un porte-parole de l’armée n’a pas pu être joint dans l’immédiat.

Une énième attaque dans cet Etat nigérian

Le mois dernier déjà, en plus de toutes les victimes qui ont perdu la vie depuis 2009,  20 civils ont été tués et 14 autres ont été blessés lors d’une attaque menée par ces terroristes, contre un village du nord-est du Nigéria.

Les insurgés, arrivés à bord de plusieurs pick-up, ont tiré au lance-roquettes sur le village de Gajiganna, dans l’État du Borno en proie à une insurrection djihadiste, qui dure depuis plus de 10 ans, alors que les habitants s’apprêtaient à rompre le jeûne du Ramadan, ont précisé ces sources.

« Ces êtres effroyables ont frappé le village avec des RPG (lance-roquettes), c’est ce qui a entraîné ce nombre de morts et, au-delà des pertes en vies humaines, il y’a eu de nombreux dégâts matériels »,  a déclaré Babakura Kolo, responsable d’une milice locale engagée aux côtés de l’armée contre les djihadistes.

Attaque au moment de la rupture du jeûne du ramadan

Parmi les témoins, Adam Bura, un habitant de Gajiganna, qui a déclaré avoir perdu sa femme dans l’attaque tandis que lui et ses trois enfants ont été grièvement blessés par des projectiles.

De son lit d’hôpital, Bukar Gaji, lui aussi victime de cette secte terroriste, déclare que sa maison a été complètement détruite, comme de nombreuses autres maisons, par les roquettes qu’ils tiraient depuis la périphérie du village.  

Les attaques perpétrées dans les pays voisins

L’on se souvient de la déculottée que l’armée Tchadienne a infligée à ce groupe armé il y’a quelques semaines, poussant les terroristes dans leur dernier retranchement, du moins pour ceux qui ne sont pas tombés sous les balles de cette vaillante armée et de ses partenaires avec en tête, le Chef de l’Etat de ce pays voisin au Cameroun, Idriss Deby Itno.  

Que dire des faits d’armes des Forces de Défense et de Sécurité du Cameroun ?

Malgré leurs attaques sournoises, perpétrées dans la plupart du temps au milieu de la nuit, alors que les populations sont plongées dans le sommeil, il faut dire que boko haram a depuis longtemps, perdu du terrain à l’Extrême Nord.

Chacune de leurs attaques est couronnée par un échec retentissant. Un résultat rendu possible grâce à la collaboration entre les populations et les Forces de Défense et de Sécurité qui tous, estiment avoir perdu des compatriotes qui avaient encore beaucoup à apporter pour la construction de leur pays. Main dans la main, ils sont résolus à tout mettre en œuvre afin de préserver la vie de chaque citoyen Camerounais dans ces régions à forte densité et prise pour cible par ces terroristes.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Ils sont fortement soupçonnés d’avoir enlevé le Gardien de la Paix Wehdzonghenyi - garde du corps du Directeur général de l'Upper Noun Valley Development Athority (UNVDA) – Société publique qui produit le riz de Ndop.

 

Les faits se sont déroulé Dimanche dernier, dans le chef lieu de la Région du Nord Ouest et, nos confrères de «Le Bled qui parle » indiquent que le secrétaire particulier du directeur général a lui aussi été enlevé.

Pour l’heure, des enquêtes ont été ouvertes afin de retrouver et de sauver la vie des deux victimes dont on est sans nouvelles depuis quarante huit heures.

D’après nos sources, les séparatistes ont encore procédé à une opération d’enlèvement à Bamenda, chef-lieu de la région du Nord-Ouest. Alors qu’on pensait que cette période de crise sanitaire causée par la pandémie du Coronavirus, les refroidirait, oh que non, les combattants de la république imaginaire d’Ambazonie ont décidé de s’en prendre au gardien de la paix Wehdzonghenyi. Son enlèvement s’est produit le dimanche 10 mai 2020.

Les heures sombres au sein de leurs familles respectives

Comme cela a été le cas, certainement de toutes celles des victimes de ces individus qui s’adonnent à ces pratiques depuis de nombreuses années, sans qu’on ne sache ce qui les motive.  

Les proches du Gardien de la Paix Wehdzonghenyi et du Secrétaire particulier du Directeur Général de l'Upper Noun Valley Development Athority ont les yeux tournés vers les Forces de Défense et de Sécurité qui, au-delà des mesures de sécurité mises en place pour la protection des populations, organisent nuits et jours, des battues. Ces dernières, espèrent les uns et les autres, vont permettre d’arracher leurs parents des griffes de kidnappeurs.

Ces terroristes qui font la sourde oreille

Ils se complaisent dans ces comportements machiavéliques, célébrant dès qu’ils en ont l’occasion, leurs crimes et défiant autant que faire se peut, l’Etat Camerounais.

Certains, selon des sources non officielles, abandonnent quelque fois la brousse qui est devenue leur milieu de vie naturelle, afin de se mêler à la population. Des attitudes qui leur permettent de marquer leurs futures victimes jusqu’au moment de frapper.

Malheureusement, ceux qui refusent de déposer les armes et de rejoindre les entités mises en place par le Gouvernement Camerounais, afin de faciliter leur insertion dans la vie civile bénéficient encore de la complicité de leurs parents. Passive ou active, ces derniers excluent toute idée de dénoncer les terroristes, malgré les crimes qu’ils commettent.

Le silence complice de la Société Civile et des Organisation non gouvernementales

Leurs membres, lorsque cela s’avère utile pour l’atteinte des objectifs visés, se vantent d’avoir des entrées au sein des groupes terroristes et grâce à ces dernières, elles prétendent tout savoir. C’est ce qui leur permet de tirer à boulets rouges sur les Forces de Défense et de Sécurité et de les accuser de tous les maux imaginables ou non.

Elles ont toujours fait part de leur supposée volonté d’œuvrer pour un retour à la paix dans les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest mais, face aux actions commises par leurs « protégés », c’est motus et bouche cousue.

Les rapports ne sont pas rédigés, les appels ne sont pas lancés et personne n’entend parler du respect des Droits de l’Homme. Les seuls qui en ont droit, pour les membres de cette société civile et autres Ong,  sont les ambazoniens.

Mais peut être pourront t –elles agréablement surprendre cette fois, en travaillant main dans la main avec l’Armée Camerounaise. Ainsi, les personnes kidnappées seront retrouvées, les assassins du Maire de Mamfé retrouvés, ainsi que ceux de toutes les autres victimes de ces individus sans foi ni loi.   

 

Nicole Ricci Minyem

 
 
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Ces bons points sont une fois de plus à mettre à l’actif des Forces de défense et de sécurité camerounaises (FDS). Selon des sources concordantes, il s’agit d’un bilan partiel d’une opération menée dans cette zone et qui a permis à l’armée de saisir des bagages et une importante quantité d’armes appartenant à ces terroristes. 



Selon l’information que nous avons reçues dont la crédibilité ne fait l’ombre d’aucun doute, les forces de défense et de sécurité camerounaises en date du 28 avril 2020 ont mené une opération à Nwa dans le Donga Mantung, région du Nord-ouest Cameroun. Le bilan partiel de cette action de l’armée à en croire nos sources, « plusieurs terroristes séparatistes neutralisés » dont « 5 capturés avec des armes et bagages », apprend-on.  

La bravoure de l’armée

Un résultat apprécié à sa juste valeur par de nombreux camerounais qui voient en cette opération, l’expression de la bravoure de l’armée camerounaise sur le théâtre des opérations avec pour missions principales, préserver l’intégrité territoriale du Cameroun tout en assurant la sécurité des personnes et de leurs biens. Une tâche noble mais délicate surtout en cette période marquée par la propagation du Covid-19.

Ajoutée à cette crise sanitaire, les attaques incessantes des groupes armés séparatistes dans les deux régions anglophones du pays. Malgré la crise sanitaire et l’appel de l’ONU à un cessez-le-feu, les milices des séparatistes amazoniens continuent de perpétrer des exactions au sein des populations. 

Rappelons à titre d’exemple, le cas récent de l’incendie organisé par ces milices des séparatistes à Ngarbuh.  En effet, ils auraient sans discernement brûlé les habitations des éleveurs « Mbororos » dans cette localité située du Nord-ouest. Ils ont profité de ce mois de ramadan pendant que ce peuple observe le jeûne pour causer un maximum de dégâts.

Tout ceci se passe manifestement sous le regard silencieux et complice des ONG de protection des Droits de l’Homme qui ne trouvent à réagir pour jeter de l’huile au feu en jetant l’opprobre sur l’armée camerounaise qui reste malgré cela professionnel. 

 

Innocent D H

 

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Les victimes selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme sont pour la plupart des civils et des combattants tous tuées ce mardi dans un marché d’Afrine, ville du nord de la Syrie tenue par l’armée turque et des forces supplétives syriennes, selon un nouveau bilan.

 

Selon nos confrères de 20 Minutes Monde, au moins six combattants syriens alliés à Ankara figurent parmi les morts. Par ailleurs, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, organisation non gouvernementale a dénombré 11 enfants parmi les victimes. Pour   l’instant, l’attaque n’a pas été revendiquée mais, les experts des questions de guerre laissent entendre que c’est l’attaque la plus meurtrière depuis des mois dans les territoires du nord du pays tenus par les supplétifs syriens d’Ankara. Ces zones sont régulièrement secouées par des attentats similaires ou des assassinats ciblés.

 

De nombreux « cas critiques »

Le bilan pourrait être revu à la hausse car il y a de nombreux « cas critiques » parmi les blessés, a souligné le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. Fournissant un bilan plus élevé des victimes, le ministère de la Défense turc a attribué l’attentat à la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG) et leurs alliés.

« Des actes aussi lâches et maléfiques sont inacceptables, de quelque camp que ce soit dans ce conflit », a commenté la porte-parole du département d’État américain, Morgan Ortagus. Située dans la province d’Alep, la région kurde d’Afrine avait été conquise en mars 2018 par des forces turques et leurs supplétifs syriens, qui en avaient délogé les YPG.

 

Plus de 380.000 décès depuis 2011

La moitié des 320.000 habitants de l’enclave d’Afrine ont fui leurs foyers lors de l’offensive, selon l’ONU, et la majorité ne sont jamais rentrés. La région accueille aujourd’hui des milliers de civils qui y ont été installés après avoir été contraints d’abandonner d’anciens bastions rebelles reconquis par le régime de Damas.

D’après l’ONU et Amnesty International, des expropriations et autres abus sont commis dans l’enclave, notamment par les supplétifs syriens. En janvier, au moins sept personnes ont été tuées dans l’explosion d’une voiture piégée à Azaz, une ville de la province d’Alep tenue par des forces syriennes proturques, selon l’OSDH.

Déclenchée en 2011, la guerre en Syrie s’est complexifiée au fil des ans, impliquant des puissances étrangères. Le conflit a déjà tué plus de 380.000 personnes.

 

N.R.M

 

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Il était 21h Dimanche soir lorsque deux jeunes gens ont fait exploser leurs bombes près de l’école primaire d’Amchidé. Le bilan, selon nos confrères de L’Oeil du Sahel est lourd.

 

Les noms des victimes : Baba Adamou - Goudjia Fane - Mamoudou Tchiti - Abdoul Aziz - Boukar Kamsouloum - Adamou Gouade - Tchari Karami. Les blessés quant à eux ont été amenés dans les centres hospitaliers pour une prise en charge conséquente.

Un triste début de semaine pour les habitants de cette localité située à  l’Extrême Nord du Cameroun qui pensaient pourtant en avoir fini avec cette période noire de leurs vies. Ils sont nombreux qui avaient même repris leurs activités, notamment le commerce, les travaux champêtres, le pâturage et bien d’autres.

La présence des Forces de Défense et de Sécurité ainsi que celle des membres des comités de vigilance leur ont donné, au cours des derniers mois, l’occasion de se sentir en sécurité. Ce d’autant plus que les velléités  grégaires de cette horde de hors la loi ont été stoppées par les Soldats. 

Et pourtant, ce Dimanche soir, profitant de l’obscurité, les anges de la mort ayant revêtu l’aspect candide de deux petits enfants sont une fois de plus venus appelés les populations et les autorités à encore plus de vigilance.

Ces dernières sont d’ailleurs descendues sur le lieu du drame, apportant soutien et réconfort aux familles des victimes, remobilisant les cellules de veille afin que de tels actes ne puissent plus jamais se perpétrer.

 

L’Armée Camerounaise veille

Malgré la crise sanitaire qui sévit dans le monde entier et bien que conscients des risques encourus du fait de l’impossibilité de respecter entièrement les mesures de précaution prescrites par le gouvernement Camerounais ainsi que l’Organisation Mondiale de la Santé, les soldats ont réitéré leur volonté de monter la garde, afin de botter hors du triangle national, les membres de la secte terroriste de boko haram.  

Une attitude offensive qui oblige cette cohorte d’individus sans foi ni loi, à poser des actes lâches comme celui de Dimanche dernier. Et, après la déculottée que leur a infligée l’armée tchadienne et ses alliés il y’a peu de jours, des sources militaires indiquent que « les terroristes se sentent de plus en plus à l’étroit dans cette partie de l’Afrique Centrale car tous les pays qu’ils pensaient prendre en otage leur ont démontré que leurs jours sont désormais comptés… ».  

Autres informations relayées par nos confrères de l’œil du Sahel : Le  décès de deux militaires qui ont péri dans la localité de Zigague ainsi que de trois civils trouvé mort à Gossi-Tourou.

  

Nicole Ricci Minyem  

 

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Ils ont été attaqués en début de semaine par une cohorte d’individus sans foi ni âme appartenant à boko haram dans l’île de Bouma – Lac Tchad.

 

Des sources concordantes affirment que les affrontements ont duré plusieurs heures avant que l’armée malgré le lourd bilan qu’on connait, ne parvienne à repousser les assaillants. 

Les mêmes indiquent que les «  assaillants sont arrivés tôt lundi 23 mars au matin à bord de barques motorisées et ont attaqué par surprise les forces tchadiennes, qui ont riposté. Mais au lever du jour, les combats ont redoublé d’intensité, obligeant les loyalistes à appeler du renfort. Mais les terroristes ont résisté. L’aviation est ensuite entrée en action pour disperser les assaillants qui se sont enfuis en milieu d’après-midi, les forces tchadiennes ont finalement repris le dessus et ont obligé l’ennemi à battre en retraite ».

 

Le Président de la République est descendu sur cette île afin de rendre hommage à ses « frères d’armes ».

« Nous sommes ici dans la presqu'île de Bohoma, département de Fouli dans la province du Lac Tchad. Elle est complètement encerclée par les eaux et il y’a quelques années, afin d’assurer la quiétude des populations qui y vivent, nous avons jugé nécessaire de mettre une unité de Force de Défense et de Sécurité pour sécuriser les villages.

C’est cette unité qui s’est vue enlevée certains de ses éléments alors que certains de leurs camarades avaient été envoyés ailleurs pour des besoins opérationnels. C’est ainsi que nous avons perdu quatre vingt douze (92) de nos soldats, sous officiers et officiers.

J’ai pris la résolution de faire le déplacement afin de venir m’incliner devant leur mémoire mais également  de dire aux Tchadiens que nous avons des morts oui, cependant nous comptons dans nos rangs,  47 blessés qui ont été conduits dans des hôpitaux pour bénéficier des soins intensifs.

Cette action de boko haram et je dirais c’est pour la première fois que nous perdons autant d’hommes. J’ai assisté à de nombreuses opérations, j’en ai mené un bon nombre aussi mais, en un seul coup, perdre autant d’hommes c’est la première fois ».

 

Devant nos confrères de la presse Tchadienne, le Chef de l’Etat a laissé entendre que de nouvelles dispositions seront prises

« Nous allons revoir tout notre dispositif afin que plus jamais ne se reproduise ce que Bohoma a connu…Nos soldats n’ont pas cédé le moindre centimètre de terrain. Ils ont tenu jusqu’au bout. Ce sont de valeureux membres de Forces de Défense et de Sécurité qui ont fait leurs preuves dans toutes les opérations des Balkans et ailleurs. Ce sont des leaders, des grands hommes que nous venons de perdre. Paix à leur âme ».

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Les présumés assaillants de Galim dans les Bamboutos n'auront pas eu l’occasion de se réjouir pendant longtemps après les meurtres commis il y’a quelques jours, dans cette partie de l’Ouest Cameroun

 

D’après des sources non officielles, c’est sur renseignements que les vaillants éléments de l’Armée Républicaine, sous la coordination du COM RMIA5 ont procédé à un ratissage de la base des terroristes à Babessi, comme le révèle ce témoignage qu’on attribue à un soldat :

« Après les attaques de Galim et de Bamenda, nos boys n'auront pas attendu longtemps pour porter la riposte au cœur de la rébellion amba de Ndop. Ils sont 25 à être tombés aujourd'hui vers 5h30. Leur camp a été rasé tandis que ce soir le ratissage continuait. Je m'abstiendrai de vous montrer les photos des corps de la racaille en piteux état. Un constat: les armes de la vermine deviennent de plus en plus sophistiquées. Ceci devrait être un indice sur ce que l'on se doive d'en finir le plus rapidement possible... D'autres opérations d'envergure sont  prévues les prochains jours ». 

 

Matériel de guerre confisqué

Une opération qui a permis de libérer huit civils retenus prisonniers depuis un mois. Les Forces de Défense et de Sécurité ont par ailleurs mis la main sur 01 AK 47, 2 boites de chargeur, 26 armes artisanales calibre 12, 14 canons, 14 batteries 31 panneaux solaires,  2 groupes électrogènes,  2 bonbonnes de gaz a soudure  7 téléphones portables, 3 motos, 148 munitions calibre 12 201 munitions AK 47 Fal m21…

Toujours selon la même source, les présumés assassins des gendarmettes Gend Nougue Maeva et Gend Boumla Emelda, de l’Inspecteur Nsangou, du Gardien de la Paix Principal Djeugap et des autres victimes « banquetaient gaiement après leur attaque massive et coordonnée sur Galim. Sans égards ni remords…Fort heureusement, ils ne se seront pas réjouis pendant longtemps et sont  allés rejoindre leurs victimes dans l’au-delà…».

 

Une Armée professionnelle qui garde le cap

Certes c’est avec beaucoup de regrets que ces Jeunes Hommes et Femmes ayant choisi de servir sous le Vert – Rouge – Jaune National, sont amenés à se défendre de leurs concitoyens ; toutefois contrairement à ce qu’affirment les promoteurs de cette guerre, ils n’en tirent aucune gloire.

Au cours de cette dernière opération, ils ont réussi à sauver huit civils retenus par les terroristes. Et ce n’est certainement pas à ces derniers, qui croyaient leur dernière heure arrivée qu’on ira dire que les Forces de Défense et de Sécurité font un « génocide » dans les régions prises pour cibles par les entrepreneurs de cette crise sécuritaire.

L’on attend que les « ONG » et leurs partenaires aillent recueillir auprès d’eux des témoignages authentiques, vérifiables, car, ils sont la preuve vivante des exactions commises au quotidien sur les populations civiles par les ambazoniens et leurs complices.

Que ceux qui disent détenir les preuves de leurs accusations farfelues sur ces Jeunes qui acceptent le sacrifice suprême n’attendent pas longtemps pour « pondre » d’autres rapports qui ne reflètent aucunement la réalité des faits.

Peut – être à ce moment, auront –ils un peu de crédibilité et peut – être aussi, les Camerounais qui sont reconnaissants et qui prient chaque jour, pour leur Armée pourront–ils les croire lorsqu’ils affirment sans aucune honte que : « Il n’y a pas les Camerounais qui aiment ce pays plus que les autres…Tous nous travaillons à la préservation de la paix et de l’unité de notre pays ».

 

Nicole Ricci Minyem  

 

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L’opération a été menée le 29 Février dernier dans cette localité située dans la région du Nord Ouest et huit ambazoniens ont été tués après avoir ouvert le feu sur les éléments de l’Armée  Républicaine

 

Selon des informations non encore officielles, tout serait parti de l’assassinat brutal et lâche d’un soldat Camerounais et d’un civil par des hommes sans foi ni lois, vivant des incantations maléfiques qui leur donnent l’illusion d’une invincibilité totale. Des êtres maléfiques qui bénéficient du soutien financier et logistique des prétendues Organisations non gouvernementales et autres individus résidents aux Etats – Unis, en France, en Afrique du Sud et même sur le territoire national. Des soi disant partenaires qui ont pour ambition de semer le chaos, la désolation et les cris de lamentation dans cette Afrique en miniature.

Toujours les premiers à ouvrir le feu

Alors qu’ils sont présentés par leurs parrains comme des êtres sans défense, revendiquant ce  qui leur « revient de droit » avec des arbres de la paix, les mêmes sources nous revèlent les huit terroristes maîtrisés à  Mendakwe ont été les premiers à ouvrir le feu sur les éléments des Forces de Défense et de Sécurité qui se sont vus obligés de répliquer.

Certains  d’avoir le contrôle de la situation, les soldats ont mis la main sur cinq (5) canons, des explosifs, des amulettes, du chanvre indien et beaucoup d’autres objets.

La source, à la fin de son message publie en PS qu’«Aucun ambaFool de la diaspora n'a été tué. Seuls les analphabètes ternes sur le terrain perdent la vie pour rien…Massa, notre roi des jambes noires nous a toujours dit que les #AmbaBoys existent toujours parce que le Président Biya a pitié d'eux ».

 

Un prétendu génocide sur des terroristes qui célèbrent leurs crimes

Pendant le week end, une vidéo a fait le tour de la toile. On y voit des individus portant sur un pic, la tête ensanglantée d’une victime de leur folie meurtrière. Ils esquissent des pas de danse en faisant des incantations des personnes possédées dans un rituel macabre alors qu’en toile de fond, on voit des populations amassées qui elles aussi semblent prendre une part active à cet évènement.

Une armée professionnelle, super entraînée et toujours prête    

Il y a quelques jours, des éléments du Bataillon d’Intervention Rapide ont été sélectionnés parmi les 1600 militaires issus des armées de 34 pays africains et leurs partenaires afin de bénéficier du programme Flintlock 2020, organisé dans plusieurs sites en Mauritanie (Atar, Nouakchott et Kaédi) et au Sénégal (Thiès) à la fin du mois de Février dernier.

Il convient de souligner qu’il s’agit du plus important et du plus grand exercice annuel des Forces d’opérations spéciales du commandement des Etats – Unis pour l’Afrique depuis 2005.

Il a été conçu pour renforcer les capacités des soldats des principaux pays partenaires. Ces derniers sont alors mieux outiller à mener la lutte contre les organisations extrémistes violentes, à protéger leurs frontières et à assurer la sécurité des populations.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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Ils sont suspectés de préparer une attaque dans une école en utilisant des armes et des explosifs artisanaux, deux adolescents ont été arrêtés en Russie, ont indiqué les services de sécurité (FSB) dans un communiqué publié ce mercredi.

 

Nés en 2005 et de nationalité russe, les deux jeunes étaient actifs sur divers sites Internet où ils faisaient l’apologie du meurtre de masse et du suicide, a expliqué le FSB. Ils prévoyaient d’attaquer un « établissement scolaire » de Saratov, ville située sur la Volga.

 

Une « vengeance »

Les services de sécurité précisent que leur arrestation a eu lieu dans un ancien abri anti bombes où les adolescents conservaient un fusil à canon scié et prévoyaient de fabriquer des « mélanges incendiaires » grâce à des instructions trouvées sur Internet. Une enquête a été ouverte contre eux pour « appartenance à un groupe prévoyant de multiples meurtres ».

Selon l’agence de presse russe Tass, un des suspects a indiqué aux enquêteurs qu’il souhaitait agir par « vengeance » et prévoyait de tuer 40 personnes. Selon les agences de presse russes, depuis 2018, le FSB a empêché 50 attaques contre des écoles et démantelé 150 groupes de jeunes « extrémistes » actifs sur Internet.

 

Plusieurs affaires montées de toutes pièces, selon des ONG

Fin 2018, un adolescent de 18 ans avait abattu 20 personnes avant de suicider dans une attaque contre un établissement scolaire de la ville de Kertch, dans la péninsule ukrainienne de Crimée annexée en 2014 par la Russie. En parallèle, les accusations de terrorisme ou d’extrémisme visant divers groupes politiques, en particulier des jeunes, se sont multipliées en Russie.

Mi-février, sept jeunes hommes accusés par le FSB de préparer des attentats se sont vu infliger des peines de six à dix-huit ans de prison, suscitant une vague d’indignation et des appels à leur libération. Selon des Organisations Non Gouvernementales de défense des droits humains, cette affaire a été montée de toutes pièces, avec falsification de preuves et aveux obtenus sous la torture.

 

Terrorisme mondial

La Russie, comme de nombreux autres pays n’échappe pas à ces acteurs de la terreur. Jeunes comme vieux, ceux qui choisissent de prendre les armes contre leurs concitoyens, ceux qui en ont fait un métier trouvent toujours des raisons pour justifier leurs actions.

Les réseaux sociaux n’ont rien fait pour que la donne change car, il est facile de trouver des informations qui peuvent permettre même à des novices, de fabriquer les armes qu’ils utilisent le plus souvent et malheureusement, contre des innocents.

L’arrestation de ces deux jeunes adolescents peut–elle permettre le changement de mentalité ? Leur interpellation peut –elle constituer un élément dissuasif pour ceux qui envisagent de suivre ce chemin ? Rien n’est moins sûr.

Il apparaît donc important que les gouvernements ont l’obligation de se tenir la main parce que chaque pays est concerné car le terrorisme est une gangrène qui n’épargne personne.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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Selon nos sources, la secte terroriste Boko Haram est en rupture de stocks alimentaires.

 

Les faits remontent à la semaine dernière. Des membres de la secte terroriste Boko Haram ont fait des incursions dans plusieurs villages de l’arrondissement de Kolofata, dans la région de l’Extrême-Nord. Ils ont pillé deux villages notamment celui de Saharé et Cheripouri. Ils ont emporté des denrées alimentaires, des motos, des vêtements, des ustensiles de cuisine et des objets de valeur. Cela a été possible parce que selon nos sources, les habitants de Saharé et Cheripouri n’ont pas dormi dans leur concession. Et grâce à ce fait, les éléments de Boko Haram n’y ont pas commis de meurtre ou réduit en feu les maisons.

D'après des témoignages recueillis à l’Extrême-Nord où la secte terroriste fait régulièrement des incursions, celle-ci connaît une rupture de stocks alimentaires. C’est la raison pour laquelle, depuis un certain temps, elle n’a que fait multiplier ses incursions dans plusieurs villages. Le but étant de reconstituer son butin. 

A titre de rappel, tout récemment les membres de Boko Haram ont tué trois personnes dans des localités du département du Mayo-Tsanaga. Ils ont incendié un centre de santé dans la localité de Ouzal, ainsi que plusieurs habitations. Les victimes sus mentionnées, ont été retrouvées dans les décombres de ces habitations. Il y a également eu des civils blessés au cours des attaques. L’agence Xinhua qui a également traité de ce sujet, a précisé que, « les localités de Mandoussa, Kouva et Hitere ont également été attaquées ».

Il convient de noter qu’en dépit d’une relative accalmie, Kolofata reste l’un des épicentres d’incursions à répétition de Boko Haram. Et il se distingue par des attentats-kamikazes.

 

Liliane N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01