Dans un communiqué de presse signé le mardi 28 septembre 2021, le ministre du Commerce dénonce des manœuvres visant à manipuler l’opinion publique et indique que le prix de la bouteille à gaz domestique de 12,5kgs reste inchangé à 6.500 FCFA.
Il n’y aura pas d’augmentation du prix de la bouteille de gaz domestique à 7.300 ou alors 7.310 FCFA dès le 1er octobre 2021 tel que relayé sur la toile depuis quelques jours.
Dans un communiqué de presse publié le mardi 28 septembre 2021, le ministre du Commerce Luc Magloire Mbarga Atangana dément fermement cette « fausse information » qui selon lui « participe des manœuvres visant à manipuler l’opinion pour des fins inavouées. »
Dans la suite de son communiqué, le ministre du Commerce réitère que le prix de la bouteille de gaz domestique reste inchangé jusqu’à nouvel avis.
« Le ministre du Commerce rappelle à cet égard que Jusqu’à nouvel avis, le prix de cession de la bouteille de gaz domestique au consommateur, qui bénéficie de la haute et constante attention des Pouvoirs publics, reste inchangé à 6. 500 FCFA/la bouteille de 12, 5 kgs. »
Ariane Foguem
Ce produit alimentaire doit être distribué aux populations en ce temps de crise sanitaire.
Il n’y a pas que les dons financiers qui sont apportés pour le Fonds de solidarité nationale. Il y a aussi des dons en nature. Orca spécialisé dans l’ameublement et la décoration au Cameroun, a décidé d’offrir pour ledit Fonds, 4000 sacs de riz de 25 kilogrammes chacun. C’est Mazen Al Jamal le Directeur général qui a remis le don au Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé publique. La réception dudit don s’est faite en présence de Luc Magloire Mbarga Atangana, le Ministre du Commerce. Les bénéficiaires de ce don d’Orca, apprend-on doivent être les populations. La pandémie du Coronavirus empêchant de nombreuses familles à subvenir normalement à leurs besoins.
A titre de rappel, le Fond de solidarité nationale a été créé par Paul Biya le Président de la République. Il a été créé pour couvrir les dépenses liées à la riposte contre le Covid-19. Depuis sa création, en plus milliard de FCFA qui y a été mis par le Chef de l’Etat, il est alimenté par des âmes de bonne volonté comme Orca. Mais aussi les Brasseries du Cameroun qui ont remis des masques chirurgicaux, des gels désinfectants, des solutions hydro-alcooliques et bien d’autres équipements nécessaires pour le renforcement des conditions d’hygiène, aux hôpitaux Laquintinie de Douala et central de Yaoundé. La cérémonie de remise de ces dons a eu lieu le 25 mars 2020.
Avant ces entreprises suscitées, il y a eu des dons faits par Baba Ahmadou Danpullo soit 100 millions de FCFA et 250 millions de FCFA pour Sylvestre Ngounchinghé.
Liliane N.
L’annonce est faite par Luc Magloire Mbarga Atangana le Ministre du Commerce.
Selon le communiqué de presse du Ministre du Commerce (Mincommerce) parvenu à notre rédaction, des marchés d’approvisionnement de proximité seront organisés dans la ville de Douala, dès ce 1er avril jusqu’au 4 avril 2020. Pour ce qui est de Yaoundé la capitale, ce sera du 02 au 05 avril. Dans le communiqué, Luc Magloire Mbarga Atangana précise que ces marchés sont organisés «dans le cadre de la mise en oeuvre des très hautes instructions du Chef de l’Etat relatives à la régulation des flux des consommateurs dans nos marchés au titre de la lutte contre la propagation de la pandémie de Coronavirus».
Trois sites ont été retenus à Douala pour abriter ces marchés. Il y a le Parcours vita, Snec Ndokoti et le Commissariat 9ème arrondissement à Deido. A Yaoundé, les sites retenus sont l’Esplanade du stade Omnisports, le Camp sic-mendong en face de la gendarmerie, Odza après la station Neptune et la Sous-préfecture de Nsam-Efoulan. Le Mincommerce fait savoir que les ménages pourront s’approvisionner dans ces marchés en produits vivriers et saisonniers.
La viande de bœuf avec os y sera vendue à 2000 FCFA le kilogramme à Yaoundé et à Douala à 2300 FCFA. La viande de boeuf sans os sera commercialisé à 2500 FCFA le kilogramme dans la capitale et à Douala à 2800 FCFA.
«En ce qui concerne les villes dans lesquelles la Mirap dispose déjà des points de vente permanents sous la forme de magasins témoins, en l’occurrence Bertoua, Ebolowa, Garoua, Maroua et Ngaoundéré, ces espaces restent ouverts au public tous les jours de 8heures à 17 heures», précise le Mincommerce.
Liliane N.
L’accord a été trouvé en présence de Luc Magloire Mbarga Atangana le ministre du Commerce.
Depuis le vendredi 18 octobre 2019, les producteurs, les coopératives locales et les sociétés spécialisées dans la commercialisation du cacao ont trouvé un prix de vente de ce produit, qui arrange tout le monde. Les échanges qui ont été houleux, ont débouché sur l’arrêt de 1200 F comme prix unique à appliquer tout au long de la campagne cacaoyère 2019-2020. On note une hausse de 75 F sur ce qui était pratiqué jusqu’à la date suscitée.
Il convient de préciser que les producteurs, les coopératives locales et les sociétés spécialisées dans la commercialisation du cacao se sont retrouvés à l’occasion d’une vente groupée. Cette vente groupée a eu lieu à Biakoa dans l’arrondissement de Mbangassina, département du Mbam-et-Kim, région du Centre. Elle a été présidée par Luc Magloire Mbarga Atangana le Ministre du Commerce (Mincommerce). Prenant la parole lors de cet évènement, le Mincommerce a indiqué que tous les espoirs restent portés sur des marchés de niche, notamment le partenariat avec la Confédération des chocolatiers et confiseurs de France avec qui le Cameroun, a un prix garanti de l’ordre de 1 650 F/kg pour un cacao d’excellence.
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Le Mincommerce a saisi l’occasion de cette vente groupée initiée par le Projet d’assainissement de la commercialisation interne du cacao et du café (Pa3c), pour vanter le Label Made in Cameroon. Il a indiqué que celui-ci est devenu une référence dans le monde. Et cela est dû à la qualité de ses fèves.
Selon le Ministre, les planteurs sont désormais mieux imprégnés non seulement des techniques de culture moderne, mais aussi, ils ont la maîtrise de la fermentation et du séchage. En plus, le cacao camerounais respecte de plus en plus les normes environnementales et ne voit plus les enfants impliqués dans sa production.
Liliane N.
C’est depuis quelques années, que le gouvernement a établi la liste d’une douzaine de secteurs d’activités par lesquels le label Made in Cameroon peut être valorisé. Lesdits secteurs sus présentés, ont été choisis grâce au savoir-faire des producteurs du pays qui ont sensiblement amélioré la qualité de transformation de leurs produits. Il en est donc que, près de 600 produits ont déjà été identifiés.
L’un des secteurs qui gagne des proportions intéressantes, c’est celui de l'agro-alimentaire. Il semble impacter positivement l’économie nationale. Car dans ledit secteur, de nombreux produits à l’instar des huiles raffinées, des conserves, des pâtes alimentaires, du thé, du café, des boissons (vins et spiritueux et de l'eau minérale) ainsi que des produits chocolatiers, qui se commercialisent.
Il y a aussi l'industrie de transformation métallurgique, de l'aluminium et celle du bois qui font partie des secteurs les plus en vue en matière de développement de l'économie nationale. D’après les économistes, la transformation du fer, du métal et des tôles n'est pas en reste. Ces secteurs sont suivis de près par l'industrie chimique et surtout le cosmétique Made in Cameroon qui est en plein essor. Ceci du fait que, des produits issus de ce secteur sont fabriqués à base de matière première du terroir.
La promotion du Label Made in Cameroon a donc été et reste toujours une préoccupation constante des autorités camerounaises. Des ateliers de promotion dudit label sont organisés ci et là. En novembre dernier, un atelier de ce genre avait été organisé dans la ville de Douala, région du Littoral. Il avait été indiqué qu’il y a un besoin d’authentification des produits locaux, des critères de fiabilité, de la qualité et la norme.
Le 4 mars 2019, Luc Magloire Mbarga Atangana le Ministre du Commerce a reçu en audience, à Yaoundé, le Directeur Général adjoint de l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), Jean-Baptiste Wago, et le président de l'International Trademark Association (INTA), David Lossignol. Il a été question pour ces trois personnalités d’échanger sur la création et la protection du label « Origine Cameroun Certifiée ». A travers ce processus de labellisation et de certification du «Made in Cameroun», a indiqué le ministre du Commerce, le pays entend mener la lutte contre la contrefaçon.
Liliane N.
En dépit de la présence du communiqué de presse de Luc Magloire Mbarga Atangana le Ministre du Commerce, fixant la nouvelle grille tarifaire des produits de consommation, les commerçants de la ville de Douala continuent de fonctionner avec leurs propres prix. Disant ainsi être à la quête du gain qu’ils n’ont pas avec la grille tarifaire du Ministère du Commerce. Il est à préciser que les produits de première nécessité concernés dans ladite grille sont le riz et le poisson importé. Le cri des ménagères restent alors toujours perceptible. Car c’est parfois le panier à moitié vide qu’elle sont contraintes de rentrer chez elles.
Un tour fait dans les poissonneries de la ville de Douala, on note des hausses des prix sur les aliments suscités. Au lieudit Ndokoti, par exemple, dans une de ces poissonneries, le kilogramme du Maquereau 20+ se vend à 1100 Fcfa. Soit 100 Fcfa de plus rapport au prix fixé par le Ministère du Commerce. « Lorsqu’on achète le carton à 21 000 Fcfa pour vendre le kilogramme à 1000 Fcfa, comme indique le communiqué de presse, nous vendons à perte. En vendant le kilogramme à 1100 Fcfa, nous avons un bénéfice de 1000 Fcfa par carton écoulé », justifie un agent des lieux.
La situation est quasi pareille pour le riz. Le kilogramme est vendu soit à 500 Fcfa soit à 600 Fcfa dans de nombreuses échoppes de Douala. « Le sac de riz thaïlandais de 50 Kg coûte désormais 20 000 Fcfa. Pourtant, il était vendu à 16 000 Fcfa deux mois plus tôt. En achetant à ce prix, je ne peux pas vendre le kilogramme à moins de 500 Fcfa. Sinon je vais perdre. Pour vendre comme demande le Ministre, il faut que les prix baissent dans les points d’approvisionnement », affirme une commerçante.
Toutefois, il convient de noter que la nouvelle grille tarifaire qui a été arrêtée par le Ministère du Commerce est issue des concertations les opérateurs des filières riz et poisson importés. Et Luc Magloire Mbarga Atangana avait appelé ces derniers au respect de leur engagement.
Liliane N.
D’après plusieurs sources, les équipes de la brigade nationale de contrôle et de répression des fraudes du ministère du Commerce ont saisi d’importants stocks de produits redatés qui appartiendraient au promoteur du supermarché Fontana à Yaoundé.
En effet, une cargaison de produits alimentaires aux dates de péremption frauduleusement prorogée ont été saisie. La découverte a permis de tomber sur des cargaisons entières de chocolats pour pâtisserie, des huiles végétales, des bonbons pour enfants et même des couches jetables pour bébés, dont les dates de péremption ont été habilement modifiées. Ces produits devaient se retrouver sur le marché en vente libre, n’eut été la dénonciation d’un informateur ayant permis d’alerter les autorités.
Selon Cameroon Tribune, c’est le promoteur des supermarchés FONTANA qui serait à la tête de ce vaste réseau de contrefaçon. « Après une enquête minutieuse et bien ficelée, nos informateurs nous ont révélé que l’homme d’affaires pratique cette sale besogne sur les produits de première nécessité depuis belle lurette » a affirmé un cadre du ministère du commerce.
D’après le site internet Actu Cameroun, l’équipe de la Brigade de Contrôle et de Répression des Fraudes du Mincommerce, conduite par le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana est descendue sur les lieux et à découvert l’outil qui sert à falsifier les dates de fabrication et de péremption des produits. En outre, cette équipe a découvert que les hors la loi fabriquaient aussi des faux whiskies et champagnes. Pour le Ministre du Commerce, le présumé auteur encore introuvable fera l’objet de poursuites judiciaires.
Relevons que ce n’est pas la première fois qu’on assiste à une contrefaçon des produits alimentaires. On trouve beaucoup d’autres produits contrefaits sur le marché, ce qui appelle à la vigilance de tout un chacun.
Danielle Ngono Efondo
Trente minutes. C’est le temps qu’aura duré la séance de travail présidée jeudi dernier par le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana. Une séance de travail qui réunissait autour de la table, le directeur général du Port autonome de Douala (Pad), ses collaborateurs et les membres du groupement des importateurs de riz, rapporte Cameroon Tribune.
« Nous prenons l’engagement de réunir à nouveau les opérateurs de la filière pour engager le processus de finalisation de la nouvelle formulation de la convention qui avait été signée à l’effet d’intégrer le scénario au cas par cas tel que souhaité par les importateurs de riz ».
A en croire le journal, cet engagement du Dg du Pad, Cyrus Ngo’o, à l’issue de la séance de travail, marque la volonté des pouvoirs publics d’apporter des solutions fiables aux différentes préoccupations de leurs partenaires. En effet, apprend-on dans les colonnes du tabloïd, la rencontre faisait suite aux inquiétudes exprimées par les importateurs de riz quant au non-respect des clauses relatives aux délais de franchise du riz par l’autorité portuaire.
« Les importateurs avaient un souci sur les délais de franchise du riz au port de Douala. Depuis très longtemps, ces délais étaient de 90 jours. Une résolution du conseil d’administration du port les avait ramenés à 11 jours. On ne peut pas dépoter 25000 tonnes de riz en 11 jours. On avait déjà convenu de cela dans un précédent échange à Yaoundé. Sur le sujet, aucun compte rendu n’avait été établi pour que les opérateurs soient sûrs qu’ils ne feraient pas l’objet de pénalités quand ils allaient au-delà de 11 jours », a expliqué le secrétaire général des syndicats des importateurs de riz, Jaquis Kemleu Tchabgou.
« Nous sommes satisfaits parce que le directeur général du port a dit qu’on va se revoir dans une semaine et chacun saura désormais ce qu’il doit payer suivant la quantité de riz à dépoter », a-t-il conclu.
Compte tenu du contexte marqué par les fluctuations des prix du riz, et pour que les consommateurs soient à l’abri des d’éventuels désagréments, le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana a demandé aux importateurs de reconstituer les stocks courants et les stocks de sécurité dans les deux mois à venir.
Selon l'Institut national de la statistique (INS) le Cameroun a importé 728 443 tonnes de riz pour une valeur de 183,7 milliards FCFA en 2017. Malgré l’application des droits de douane dans ce domaine, depuis janvier 2016, ces importations enregistrent une hausse de 18,6% en quantité et 27,9% en valeur par rapport à 2016.
Les achats de cette denrée de grande consommation dans le pays proviennent en totalité de l’Asie (99,8%), principalement de la Thaïlande (85%), de l’Inde (7%) et du Myanmar (2%).
Otric N.
Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du Commerce, et Gabriel Dodo Ndoke, ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement Technologique, étaient à Douala le 13 mars 2019 pour une visite de travail dans la filière sidérurgie/métallurgie.
La délégation ministérielle était plus précisément dans les unités de production des trois principales aciéries du pays: Prometal, Les Aciéries du Cameroun et Métafrique Steel. Une visite relative aux prescriptions du chef de l’Etat en matière de promotion du Made in Cameroun dans le secteur métallurgie, l’un des piliers de l’industrialisation du triangle national.
Le Mincommerce a ainsi rappelé la volonté du gouvernement de « limiter, voire stopper certains types d’importation », afin de ne plus être « tributaires des convulsions du marché international », rapporte Cameroon Tribune. Et à la suite des plaintes des acteurs du secteur qui disent être en surcapacité, il fallait donc pour le gouvernement s’assurer, que le trio leader de la filière (tubes, fils recuits, tôles d’acier), peut véritablement répondre à la demande en se penchant sur leur technicité, leur logistique, leur respect des normes.
Avant la descente proprement dite sur le terrain, apprend-on, les trois opérateurs ont présenté leurs chiffres globaux et les difficultés rencontrées dans leur activité lors d’une séance de travail. Ainsi, sur le plan local et sur une base annuelle, on peut noter que le taux de couverture de la capacité de production par rapport au besoin estimé est de 321% sur le segment tubes par exemple. Pour les tôles d’acier, on est aux alentours de 171%. Le taux pour le fil recuit s’élève quant à lui à 287%.
Conséquence, le fonctionnement de l’outil de production de façon globale se situe entre 30 et 50% de ses capacités. Un outil de production que les membres du gouvernement ont pu observer par eux-mêmes dans les unités et qui ont fait dire à Luc Magloire Mbarga Atangana: « Ce que nous avons vu aujourd’hui nous a édifiés sur la capacité de notre industrie à approvisionner notre marché. Ce qui se fait est largement suffisant. Les capacités installées sont au-delà des besoins ».
Il a énoncé sur la nécessité d’avoir une vision plus large et sur le long terme: « Il faut produire pour satisfaire la demande locale, Il faut produire pour exporter ». Surtout dans un contexte marqué par l’avènement de la Zone de libre-échange continentale dans quelques mois et son potentiel marché d’1,3 milliard de consommateurs.
En prélude à la 34e édition de la Journée mondiale des droits des consommateurs qui se célèbre le 15 mars prochain, le ministre du Commerce (Mincommerce), Luc Magloire Mbarga Atangana a procédé lundi dernier à Yaoundé au lancement des activités.
La journée est placée sous le thème : « Communications électroniques : Vaincre la vulnérabilité du consommateur ». Elle est une occasion de plus, selon le Mincommerce, de rendre les marchés numériques plus équitables. Il s’agit également d’accorder davantage d’importance aux questions de télécommunications et la prise en compte du bien-être du consommateur.
Le Conseil national de la consommation (Conaco) assure la coordination de cet événement alors que son opérationnalisation est assurée par les associations de défense des droits des consommateurs. « Pendant cette semaine, vous allez être au-devant de la scène, il est question pour vous d’informer, sensibiliser les consommateurs et d’organiser les campagnes de proximité à Yaoundé et dans les autres villes », leur a instruit Luc Magloire Mbarga Atangana.
L’objectif général de cet événement est la mise en place d’un cadre juridique approprié, prenant en compte la vulnérabilité du consommateur vis-à-vis des communications électroniques. Cette concertation sera également faite avec le concours actif des opérateurs du secteur. « Une dynamique que les pouvoirs publics encouragent », conclut le Mincommerce.
A ce propos, la présidente du Conaco, Jacqueline Koa, explique que l’usage des produits et services des télécommunications s’est généralisé. Cependant, les technologies innovantes ne sont pas bien appréhendées par les consommateurs qui estiment être victimes des abus de toutes sortes dans ce secteur d’activités. La célébration de cette édition s’inscrit par conséquent dans la logique de la sensibilisation de toutes les parties prenantes à la consommation des produits et services de télécommunications.
Rappelons que depuis 1983, l'association internationale des consommateurs "Consumer International" célèbre la journée mondiale des droits des consommateurs le 15 mars. Dans un discours devant le Congrès américain, le 15 mars 1962, le président américain J.F. Kennedy avait énoncé les quatre droits fondamentaux du consommateur : droit à la sécurité, droit à l'information, droit de choisir et droit d'être entendu.
En France, la "défense du consommateur" est relayée par de nombreuses associations et une revue telle que "60 millions de consommateurs", réalisée par des journalistes professionnels travaillant en étroite collaboration avec les experts de l'INC, assure une mission de service public en totale indépendance vis-à-vis des fabricants et des distributeurs.