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Cyrus Ngo’o compte faire appel de la décision rendue par le tribunal de première instance de Douala-Bonanjo le 5 août 2021. Reconnu « coupable d’abus de fonction et de concussion », le DG du PAD a été condamné à « 6 mois d’emprisonnement avec sursis pendant 5 ans et 1 700 000 francs d’amende ferme ».

 

Outre cette condamnation, le tribunal alloue aussi à la partie civile, la société Cana bois, un montant de 3,2 milliards de FCFA en guise de réparation du préjudice économique subi. En plus, un mandat d’incarcération a été émis contre Cyrus Ngo’o en exécution de la contrainte par corps d’une durée de 5 ans, apprend-on.

Le DG du Port autonome de Douala (PAD) dans une espèce de mémoire sur l’affaire, précise d’emblée avoir agi en qualité de principal dirigeant de cette plateforme portuaire et non intuitu personae. Il entend dès lors « exercer la voie de recours contre ce jugement pour le rétablissement de la vérité, de son honneur et de la légalité républicaine ».   Le document suscité informe que « cette condamnation découle des poursuites engagées (par la société Cana Bois) pour des faits relevant aux fonctions du directeur général à la suite de la revalorisation des tarifs des prestations portuaires rendues par le Port autonome de Douala ».

Les nouveaux tarifs portuaires entrés en vigueur depuis le 1er janvier 2018 sont une initiative souveraine du gouvernement camerounais et non du PAD, qui ne fait que les mettre en œuvre, rappelle-t-il. Leur validation par l’Autorité portuaire nationale le 11 octobre 2017, après une habilitation du ministère du Commerce a fait par ailleurs intervenir le Comité consultatif d’orientation, le conseil d’administration du PAD, le ministère de l’Économie, entre autres.

Dans une correspondance datée du 10 octobre 2017, le ministre des Transports d’alors, Edgard Alain Mebe Ngo’o, avait écrit au DG du PAD : « Dans le cadre des mesures préalables pour le démarrage de la procédure d’instruction du dossier du Cameroun en vue du décaissement de l’aide budgétaire attendue de la Banque mondiale, (…) il est attendu du Port autonome de Douala l’actualisation des tarifs portuaires actuels (frais de stockage) ». Dans la même veine, le ministre de l’Économie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), en date du 7 août 2018, lui délivre son avis de non-objection sur le projet d’amendements apportés au régime tarifaire applicable aux prestations rendues par le PAD. Pour le Minepat, ces amendements « ne remettent pas en cause la révision tarifaire intervenue en octobre 2017, mais permettent de faciliter davantage les opérations sur la place portuaire ».

Cependant, la revalorisation des tarifs des prestations portuaires, pourtant applicable à toutes les entreprises installées au port de Douala, n’est pas du goût de la société Cana Bois.  Son promoteur, Nassar Bouhadir, juge la nouvelle tarification de la redevance portuaire suicidaire. « La convention d’occupation temporaire d’une parcelle du domaine public valable liant son entreprise au PAD pour une durée de dix ans, consentie sur la base du tarif hors taxes de 715F/m2/an tout comme les taxes sur la valeur ajoutée et autres exigences contenues dans le contrat n’ont jamais fait l’objet d’une quelconque transgression de sa part », réplique-t-il.

Défaut de paiement

Pourtant, le 29 juillet 2020, le DG du PAD sert une mise en demeure pour défaut de paiement de la redevance domaniale à la société Cana Bois en tant qu’attributaire d’une autorisation d’occupation temporaire (AOT) délivrée le 24 juin 2015.

« Dans l’exécution de votre contrat, il ressort que vous ne respectez pas les engagements que vous avez pris en vertu des dispositions de l’article 9 alinéas 1 et 6 de ladite AOT à savoir, entre autres, le paiement des redevances domaniales à terme. À date, vos impayés dans nos livres, sauf erreur ou omission, s’élèvent à la somme de FCFA 155 483 256 », écrit le DG du PAD.

Innocent D H

 

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Ces engins ont été inaugurés ce mardi, 13 octobre 2020 à Douala par le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute. La dépense faite par le Port autonome de Douala (PAD) entre dans le cadre de son projet de dragage du chenal du Wouri.

Ce sont « deux principaux types d’engins qui ont ainsi été achetés : les engins flottants spécialement conçus pour différents types de dragage d’une part, et des engins terrestres destinés aux travaux d’aménagement des sites de refoulement des résidus du dragage, d’autre part », rapporte Cameroon Tribune dans sa parution de ce mercredi, 14 octobre 2020.

A propos de ces nouveaux engins acquis par le PAD, le quotidien national bilingue parle de la Vedette « Menchum Falls ». « Il s’agit d’une vedette d’appui au balisage destinée aux travaux de techniciens qui font la maintenance des navires. La vedette, dotée d’appareils d’aide à la navigation, constitue un matériel léger pour l’entretien des voies navigables », peut lire dans le journal.

Quant au navire faucardeur « Lake Baromi Mbô », il va servir à « débarrasser la surface des milieux aquatiques des plantes, des algues, des roseaux, des contaminants aquatiques venant de la ville. Avec sa puissance de traction évaluée à 12 tonnes, il peut également être utilisé pour des tâches portuaires légères comme la poussée, la traction et le remorquage ».

Un autre nouvel engin, c’est la drague stationnaire « Vigilance », ou encore Drague suceuse. Elle est équipée d’un désagrégateur, mais peut aussi être équipée d’une roue de dragage. La profondeur standard de dragage est de 14 mètres.

Enfin, la drague aspiratrice en marche, baptisée « Mont Mandara ». Ce navire est utilisé dans le dragage des ports et des chenaux d’accès, pour enlever le sable afin de rétablir les fonds nécessaires à la navigation.

 « Tous ces équipements permettront à l’Etat du Cameroun de rétablir sa souveraineté sur l’entretien de la principale autoroute d’accès et de sortie des biens et de réduire les charges d’exploitation du PAD tout en optimisant les activités relevant du service public portuaire », indique Cyrus Ngo’o, le Directeur général du Port autonome de Douala. Cette acquisition va améliorer à coup sûr la performance opérationnelle, renforcer l’attractivité et la compétitivité du PAD, apprend-on.

Innocent D H

 

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Le Directeur Général du PAD, Cyrus NGO'O souhaite calmer les inquiétudes qui grandissent au sein de son personnel depuis l’annonce du décès hier de Mme Esther Gwet. Selon certains employés de la maison, il est vraisemblable qu’elle soit décédée après avoir été contaminée au COVID 19.

 

D’après certaines informations, Mme Esther Gwet et son époux seraient revenus récemment d’un séjour à l’étranger. Ces mêmes informations font état de ce que son époux serait en ce moment même sous assistance respiratoire à l’hôpital Général de Douala.

Mais l’inquiétude de ses collègues vient principalement du fait qu’elle st venu au bureau pendant plusieurs jours avant de manifester les signes de la maladie. Certainement que le virus était dans sa phase d’incubation. C’est au milieu de cette panique que le Directeur Général du Port Autonome de Douala appelle à la sérénité et rassure.

Dans un communiqué rendue publique ce samedi, il fait savoir : « Monsieur le Directeur Général du Port Autonome de Douala a le regret d’annoncer le décès de Madame Gwet épse Yogo Esther, en service à la Direction de l’Exploitation. Elle est décédée, le 27 mars 2020 à l’hôpital Général de Douala, des suites de maladie.

Tout en adressant ses sincères condoléances à la famille de la défunte si durement éprouvée, le Directeur Général du Port Autonome de Douala invite tout le personnel à ne pas céder à la rumeur et à la panique dues à un environnement caractérisé par la prise de conscience de la pandémie du COVID 19 qui sévit actuellement dans le monde entier.

Le Directeur Général assure que les enquêtes médicales sont actuellement conduites par le Centre Médico-Social du PAD, pour déterminer les causes exactes du décès de Madame Gwet épse Yogo Esther, en collaboration avec les autorités sanitaires de la Région du Littoral.

Le Directeur Général tient à préciser que toutes les mesures prises et édictées par le Gouvernement de la République pour protéger les populations sont mises en application au Port Autonome de Douala. Il invite une fois de plus tout son personnel au respect SCRUPULEUX, au sein de l’entreprise et en dehors, de toutes les prescriptions de protection et de sécurité sanitaire recommandées. »

Sans plus de précision, le personnel est invité à attendre. Or, il serait intéressant de mettre déjà dès cet instant des mesures de dépistages massifs de son personnel pour identifier ceux qui pourraient être contaminés et stopper rapidement l’évolution du mal.

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Stéphane NZESSEU

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Cyrus Ngo’o, directeur général du Port de Douala-Bonabéri, s’appuyant sur une résolution du conseil d’administration tenu le 07 décembre 2018, a lancé un appel international à candidature pour le recrutement d’un directeur et de son adjoint à la tête de la Régie déléguée de dragage du Port autonome de Douala-Bonabéri, a-t-on appris.

 

Selon certaines sources, l’appel lancé rentre dans le cadre du processus d’autonomisation du dragage du chenal d’accès au port, des plans d’eau, des darses et des pieds de quais. C’est ce processus qui a vu naître la Régie déléguée du dragage, dont la mission est non seulement de réduire les coûts d’exploitation de l’infrastructure, mais aussi de rétablir le plein contrôle du Port autonome de Douala (PAD) sur l’entretien du chenal, principale voie d’accès des biens de consommation et d’évacuation de la production nationale.

Le directeur retenu aura pour charges, pendant la durée de son contrat (2 ans) entre autres, l’ingénierie relative aux travaux du dragage du port, l’exécution des travaux des dragages d’entretien et d’approfondissement des chenaux d’accès, des plans d’eau, des darses et des pieds de quais. Il se chargera de suivre l’évolution des fonds marins et la production des plans de relevés de fonds, et aussi de piloter les projets de dragage attribués à la structure.

Le directeur de la Régie déléguée de dragage devra en outre assurer la coordination et la supervision de la gestion administrative et financière des travaux de dragage, le marketing des capacités de l’infrastructure portuaire, et l’exécution des prestations de dragage en dehors du Port de Douala-Bonabéri. Il sera secondé dans ces missions par le directeur adjoint.

Ledit communiqué précise que les candidats aux deux postes doivent être âgés de 60 ans au plus. A noter que, le poste de directeur est ouvert à toutes les nationalités. Mais celui de son adjoint est réservé uniquement aux Camerounais. Les candidatures sont attendues au plus tard le 15 octobre prochain.

 

Danielle Ngono Efondo

 

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C’est la principale résolution qui a sanctionné un échange jeudi en présence du ministre du Commerce à Douala.

 

Trente minutes. C’est le temps qu’aura duré la séance de travail présidée jeudi dernier par le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana. Une séance de travail qui réunissait autour de la table, le directeur général du Port autonome de Douala (Pad), ses collaborateurs et les membres du groupement des importateurs de riz, rapporte Cameroon Tribune.

 

« Nous prenons l’engagement de réunir à nouveau les opérateurs de la filière pour engager le processus de finalisation de la nouvelle formulation de la convention qui avait été signée à l’effet d’intégrer le scénario au cas par cas tel que souhaité par les importateurs de riz ».

 

A en croire le journal, cet engagement du Dg du Pad, Cyrus Ngo’o, à l’issue de la séance de travail, marque la volonté des pouvoirs publics d’apporter des solutions fiables aux différentes préoccupations de leurs partenaires. En effet, apprend-on dans les colonnes du tabloïd, la rencontre faisait suite aux inquiétudes exprimées par les importateurs de riz quant au non-respect des clauses relatives aux délais de franchise du riz par l’autorité portuaire.

 

« Les importateurs avaient un souci sur les délais de franchise du riz au port de Douala. Depuis très longtemps, ces délais étaient de 90 jours. Une résolution du conseil d’administration du port les avait ramenés à 11 jours. On ne peut pas dépoter 25000 tonnes de riz en 11 jours. On avait déjà convenu de cela dans un précédent échange à Yaoundé. Sur le sujet, aucun compte rendu n’avait été établi pour que les opérateurs soient sûrs qu’ils ne feraient pas l’objet de pénalités quand ils allaient au-delà de 11 jours », a expliqué le secrétaire général des syndicats des importateurs de riz, Jaquis Kemleu Tchabgou.

 

« Nous sommes satisfaits parce que le directeur général du port a dit qu’on va se revoir dans une semaine et chacun saura désormais ce qu’il doit payer suivant la quantité de riz à dépoter », a-t-il conclu.

Compte tenu du contexte marqué par les fluctuations des prix du riz, et pour que les consommateurs soient à l’abri des d’éventuels désagréments, le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana a demandé aux importateurs de reconstituer les stocks courants et les stocks de sécurité dans les deux mois à venir.

 

Selon l'Institut national de la statistique (INS) le Cameroun a importé 728 443 tonnes de riz pour une valeur de 183,7 milliards FCFA en 2017. Malgré l’application des droits de douane dans ce domaine, depuis janvier 2016, ces importations enregistrent une hausse de 18,6% en quantité et 27,9% en valeur par rapport à 2016.

Les achats de cette denrée de grande consommation dans le pays proviennent en totalité de l’Asie (99,8%), principalement de la Thaïlande (85%), de l’Inde (7%) et du Myanmar (2%).

 

Otric N.

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Cette alliance va permettre au Port autonome de Douala de se relancer sur la façade atlantique. C’est ce qui convient de retenir de l’accord-cadre signé en début de semaine à Douala, Cyrus Ngo’o, directeur général du PAD et Renaud Picard, directeur général suppléant du grand Port maritime de Bordeaux.

 

Dans ce document, quelques points importants ont été soulignés, notamment la promotion des échanges commerciaux entre les deux institutions, la promotion du développement et l’amélioration de la relation ville-port. On y évoque également l’aspect commercial, logistique et industriel de l’activité portuaire, le développement des relations entre les différents partenaires composant les deux communautés portuaires et enfin, la planification du développement portuaire.

Les administrateurs du PAD précise en outre, que cet accord-cadre intègre les volets planification du développement portuaire ainsi que la gestion des résidus de dragage. Le Grand Port maritime de Bordeaux quant à lui, va accompagner le PAD dans l’élaboration du schéma directeur du développement du port, le suivi de la marée et, à travers l’apport des solutions de gestion optimale de la ressource naturelle d’eau pour la navigation.

Enfin, le PAD et le Port de Bordeaux s’accordent sur le contrôle des fonds avec les sondages, dragages, l’hydrographie, l’accompagnement dans l’élaboration d’un plan sectoriel de protection de l’environnement.

 

Quelques similitudes

L’on peut relever quelques points de ressemblance, entre le Port Autonome de Douala et son nouveau partenaire. Tous les deux en effet, sont  ouverts vers le monde extérieur et, nombreux sont les pays qui font transiter leurs marchandises, pour ne citer que cet exemple, par ces canaux, souligne en substance, les collaborateurs de Cyrus Ngo’o. Leur position stratégique sur la façade atlantique en fait ainsi des outils incontournables pour le développement et le rayonnement des villes et régions auxquels ils appartiennent, renforçant ainsi leur attractivité.

Depuis 2008, avec la loi du 4 juillet 2008, le Grand port maritime de Bordeaux s’est substitué au Port autonome. Cette loi lui attribue plusieurs missions, notamment l’aménagement, l’exploitation et l’entretien des accès maritimes, la police, la sûreté et la sécurité, la gestion et la préservation du domaine public et des espaces naturels dont il devient propriétaire (hormis le domaine maritime et fluvial), et la construction et l’entretien de l’infrastructure portuaire.

Le grand Port de maritime de Bordeaux est également chargé de la promotion de l’offre de dessertes ferroviaires et fluviales en coopération avec les opérateurs concernés, l’aménagement et la gestion de zones industrielles ou logistiques liées à l’activité portuaire et, la promotion générale du port.

Même si les contours financiers du document n’ont pas été rendus publics de même que sur le rôle que va jouer chacune des deux parties, il ressort des échanges que désormais, l’administration portuaire de Douala dans  les secteurs d’activité ciblés va jouer un grand rôle. Ce dernier, porte essentiellement sur la promotion des échanges commerciaux ainsi que sur le développement structurel de ce port.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01