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Reçu dans le cadre de l’émission « 7 Minutes pour convaincre » de nos confrères d’afrik – inform.com l’avocat et leader du Reform Party a dit : «Si j'étais Paul Atanga Nji, j'allais dissoudre le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun. Vous ne pouvez pas être un parti politique et vous manquez de respect au Président de la République, vous violez les lois… ».

 

L'homme de loi traité de tous les noms d’oiseaux depuis quarante huit heures sur les réseaux sociaux, par les militants et sympathisants de Maurice Kamto, estime que ce dernier « est dangereux pour la République ».

Face à plusieurs questions et relances du journaliste qui le recevait sur le plateau, Me Agbor Ashu Emmanuel Omar, très en colère est resté ferme sur sa position : «Si j'étais Paul Atanga Nji (le ministre de l'Administration Territoriale, NDLR), j'allais dissoudre le MRC. Vous ne pouvez pas être un parti politique et vous manquez de respect au Président de la République, vous violez les lois… ».

L’avocat au barreau du Cameroun a réitéré que l'opération de levée de fonds de lutte contre le COVID-19, initiée par Maurice Kamo est illégale : « Heureusement pour eux, je ne suis pas Paul Atanga Nji et j’estime que celui-ci est même très gentil. Le ministre de l'Administration Territoriale a agi avec tout l'arsenal juridique. Il a précisé que pour lancer une opération de collecte de fonds, il faut se conformer à la loi de 1983. Or, nous avons vu la manière cavalière avec laquelle le MRC a procédé pour lancer cette opération; ils ont créé une association illégale qui n'est répertoriée nulle part…

Non Monsieur ! Il ne faut pas badiner avec les choses qui touchent à l’État. Qu'ils aillent monter sur le Mont Cameroun. Moi je dis si c'était moi, le mrc n'existerait plus.

Je suis clair. On ne peut pas avoir un parti politique qui s'érige en concurrent à l'État. Monsieur Atanga Nji tolère ce parti politique. Je vous dis clairement moi je ne mâche pas mes mots. Moi je ne peux pas avoir un parti politique qui se met en marge de la loi et s'érige en concourent au président de la République.

Vous voulez gérer un état montrez le bon exemple. Vous ne pouvez pas être un parti politique et vous manquez du respect au chef de l’État, vous méprisez les lois de la République, vous dites que vous êtes un président de la république parallèle. Alors là ça ne tient pas. Ou bien vous êtes parti politique ou bien vous êtes président de la république… ».

 

Nicole Ricci Minyem

Outré par les insultes et les sous entendus peu flatteurs qu’il a adressés aux Camerounais Varain Engolo a recadré l’ex journaliste de Canal II International et la quintessence de son message ne laisse planer aucun doute

« Faisant suite à votre intervention, dans laquelle vous fustigez l’attitude du peuple Camerounais qui était visiblement ravi de constater que celui qui préside à ses destinées se portait comme un charme.

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance le droit de réponse y afférent.

Constater que la grande majorité du peuple refuse d’adhérer à vos convictions politiques, et à votre plan macabre de faire main basse sur le Cameroun, et vous menotter au pouvoir. Cela est certes très frustrant pour vous, mais néanmoins ne vous donne pas le droit de parler ainsi du peuple Camerounais avec cette fatuité dédaigneuse.

Ce peuple n’est pas dupe et a compris que la panacée que vous lui proposez pour changer de régime et mettre votre gourou au pouvoir n’est en réalité qu’un placebo, je dirai même un élixir du docteur doxey, une poudre de perlimpinpin, une illusion digne de Houdini. A vous entendre le Cameroun est un nouvel harmagedon, où se livre une bataille entre les forces du bien et celles du mal, et ceux qui ne rejoignent pas vos rangs sont systématiquement qualifiés de démons.

C’est cette dictature de la pensée unique qui vous empêche de faire sauter les verrous de la sympathie du peuple Camerounais, tant que vous jouerez les malins, et ferez preuve de roublardise, ces verrous vous seront fermés à jamais.

« Si tu veux changer le monde, commence par changer ton lit » dixit William H MacRaven, ancien amiral de l’US NAVY. Si vous voulez être adoubés par la majorité des Camerounais, et devenir une alternative crédible à Paul Biya, commencez par changer cette mentalité éclectique et stéréotypée qui vous caractérise et vous discrédite.

Quand on combat un système, on ne veut se commettre ni de près ni de loin avec lui, je prends comme exemple, le très respectable Garga Haman Adji qui avait démissionné ainsi que son épouse pour marquer d’une pierre blanche sa rupture avec le système. Pourquoi votre reine ne démissionne t’elle pas ?

Ce n’est pas facile pour elle de renoncer aux avantages et aux privilèges liés à la fonction de haut fonctionnaire qu’elle occupe dans ce système ?

Quel peuple voulez vous convaincre à descendre dans la rue pour vous alors que votre objectif est d’imposer la suprématie d’une tribu sur les autres, en quoi êtes-vous différents d’Hitler et de son obsession chimérique de la suprématie de la race aryenne ? Sachez mon cher que votre haine, et votre tribalisme, sont les combustibles qui entretiennent le feu de la méfiance et la défiance que le peuple Camerounais ressent à votre égard.

Si le refus de galvauder les petits acquis de notre pays en installant une horde de desperados obnubilés par « l’AURI SACRA FAMES. » signifie être zombifiés, alors oui nous acceptons d’être des zombies. On peut reprocher mille et une choses à Paul Biya, mais pas le tribalisme, il est donc meilleur que vous.

Souhaiter la mort d’un adversaire politique démontre votre indescriptible bassesse et votre étroitesse d’esprit.

Le pouvoir appartient à Dieu et au peuple, il n’est pas une tontine, si le vrai peuple n’était pas avec Paul Biya, il ne resterait plus deux minutes au pouvoir ».

 

N.R.M

C’est la quintessence de la réponse donnée par la nouvelle égérie du « french-bashing » au Président Français qui lors d’un discours a évoqué l’idée d’un travail commun entre l’Afrique et l’Europe

Sur son compte tweeter elle a laissé éclater sacolère : « C’est quel acharnement comme ça ? Dégage. Fiche nous la paix. Occupes toi du peuple français. Pour l’Afrique, la France est un virus plus mortel que le Covid – 19 et le Sida réunis. Il faut te le dire en quelle langue pour que tu comprennes ? Il n’ya pas d’ensembles qui tienne. Dégage ».

Une sortie qui a amené quelques médias, à penser que Nathalie Yamb « a vraisemblablement les nerfs à fleur de peau sur tous les sujets qui ont trait à l'Afrique. Et encore plus lorsqu'il s'agit de la gestion de la crise sanitaire du Covid – 19, qui décime la planète ces derniers mois ».

Pour eux, Emmanuel Macron a simplement levé un coin de voile sur les démarches entreprises à travers le monde pour venir à bout de ce tueur silencieux : « L’initiative que nous lançons aujourd'hui, c'est un travail en commun entre l'Europe et l'Afrique pour vaincre ensemble la pandémie. Les destins de nos deux continents sont liés », a déclaré le locataire de l'Élysée, pour exprimer à quel point le continent africain, sur lequel est prédit un avenir des plus sombres à propos du Covid-19, compte dans son plan d'intervention.

Dans son allocution, le président français avait ajouté : « Nous pouvons gagner cette bataille, à condition d’agir sans attendre en utilisant au mieux le temps et les moyens dont nous disposons. Dans le cas contraire, la pandémie pourrait frapper très durement l’Afrique, ce qui prolongerait considérablement la crise au plan mondial».

La scandaleuse vidéo sur la proposition d'un essai clinique en Afrique à propos du nouveau coronavirus n’avait pas laissé indifférente, la Conseillère exécutive des Mamadou Koulibaly. A cette occasion, Nathalie Yamb s’était rappelé du vaccin contre la maladie du sommeil, qui a fait plus de mal aux Africains, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale.

« C'est l'histoire d'une piqûre magique, qui devait débarrasser l'Afrique d'une maladie qui décimait le continent. C'est l'histoire d'un scandale pharmaceutique oublié, enterré par les pouvoirs coloniaux de la fin des années 1950. La méthode connu quelques ratés - la molécule se révéla inefficace et dangereuse - mais cela n’a pas freiné les médecins, au contraire. Ils ont tout mis en œuvre afin de « lomidiniser » l'intégralité des populations, de gré ou de force…La suite, on la connaît. Ce fut en effet une véritable catastrophe humaine à l'époque. Cet essai clinique dont parlent ces deux professeurs est donc mal venu dans un continent africain qui s'active de plus en plus pour prendre son destin en main ».

 

Nicole Ricci Minyem

La Légende du football Africain qui pour de nombreux Jeunes restent un exemple, une icône s’est confié aux journalistes sportifs africains réunis au sein de la plateforme Afrique Football Médias (AFM).  

 

Occasion pour le Gardien de buts des Lions Indomptables et de  l’Olympique de Marseille, de revenir sur les raisons qui selon lui, ne lui ont pas permis d’être, malgré ses deux tentatives, président de l’instance faîtière du football Camerounais.   

« Sur l’élection, il faut savoir que quand vous avez une certaine aura, les gens sur - entendent ce qu’il se dit sur vous. C’est comme ça que comme j’ai commencé à jouer très tôt, à 23 ans, on m’appelait vétéran parce qu’évidemment, j’avais commencé à jouer en première division à 16 ans.

J’ai été candidat à la présidence de la FECAFOOT simplement en 1996, puis en 2018. L’élection de 2018 ayant traîné depuis 2013, on aurait pu penser que j’ai été candidat 10 milles fois. J’ai été candidat deux fois seulement et donc, il ne faut pas penser que j’ai toujours été candidat ou que j’ai toujours voulu être candidat.

Maintenant, je vais vous dire une chose : Premièrement, même en sachant que je vais perdre, j’aurais été candidat quand je l’ai été parce que le football camerounais, allant mal depuis l’époque où je jouais puisque je le critiquais en étant joueur, s’il n’y a pas de candidature de qualité, les gens croiront qu’on n’avait pas le choix.

Or, c’est la candidature de qualité qui montre quel est le déphasage entre ce que disent les gens et ce qu’ils pensent profondément entre eux.

Et donc, à peine l’élection terminée, les mêmes gens qui ont voté vont commencer à se plaindre de ce que leur football ne marche pas. J’étais candidat en 96 avec certaines critiques, de 96 à 2020, ça fait 24 ans aujourd’hui. En 24 ans, figurez-vous, on dit la même chose.

C’est-à-dire que ceux qui sont responsables de voter, votent comme pensent leur ventre, comme pensent leur cœur et puis après, leur tête va se plaindre de ce dont ils se plaignaient déjà avant l’élection. Nous apprenons la démocratie et moi, je suis d’accord de faire partie de ceux qui contribuent à faire en sorte qu’on l’apprenne, c’est-à-dire que l’africain se rende compte que la démocratie c’est le moment où il est chargé d’engager quelqu’un.

Il est chargé de recruter quelqu’un qui va être à son service et il le recrute mal, eh bien, il aura de mauvais résultats, qu’on en soit conscients… ».

 

N.R.M

 

Philemon Yang l’ancien Premier Ministre succède ainsi à Peter Mafany Musonge.

 

Le décret a été lu à l’édition du journal de 17 heures du Poste national. Paul Biya le Président de la République a décidé de nommer Philemon Yang son ancien chef du gouvernement, au poste de grand chancelier des ordres nationaux. Une fonction assumée jusqu’à la signature du décret de ce 17 avril 2020, par Peter Mafany Musonge.

Philemon Yang qui est sorti du gouvernement lors du remaniement du 4 janvier 2019, revient donc aux affaires, à l’âge de 72 ans. C’est lui qui va désormais présider aux destinées de cet organe, qui a la charge de réceptionner les dossiers de candidatures à une distinction honorifique, envoyés par les Ministères compétents. 

 

Philémon Yang, est né le 14 juin 1947 à Jiketem-Oku, département de Bui, dans la région du Nord-Ouest. Il a été Premier Ministre par ricochet Chef du gouvernement entre 2009 et 2019. C’est un ancien magistrat et diplomate anglophone. Il est militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais. En janvier 1975, il a été nommé au Parquet de la Cour d’appel de Buéa au poste d’officier comme Procureur. 

 

Le 30 juin 1975, il a été nommé dans le gouvernement comme vice-Ministre de l’administration territoriale. En mai 1978, il est devenu le Ministre de l’Elevage et des Industries animales. En novembre 1979, il a été nommé Ministre des Mines et de l’Energie. Le 4 février 1984, il a quitté le gouvernement. Et le 23 octobre 1984, il a été nommé Ambassadeur du Cameroun au Canada.

 

Liliane N.

 

Elle estime qu’il est désormais de mettre un terme à la gestion opaque de cette mairie et non plus être « Un retour sur investissement pour le militantisme de certains… ».

 

« Monsieur Simon Pierre Bimaî, je dis Non 

Dès 2020, nous n’admettrons plus une gestion opaque de nos mairies rurales.

Tous les élus doivent dire ce qu’ils font et faire ce qu’ils disent. Le maire ne doit plus se limiter à construire un joli bâtiment, aménager confortablement son bureau et conduire une grosse voiture, non !

La mairie est une entreprise, elle doit produire de l argent. Même les malhonnêtes de la diaspora ne me diront pas le contraire, car c’est la mairie qui fournit les repas dans les cantines de leurs enfants et ils reçoivent une facture qu’ils paient.

Je ne demande pas à Mr Simon Pierre Bimaî (Maire de Ngambe et c’est ma part de combat là bas) de créer une restauration collective non ! La mairie de Ngambe dispose des terres, mais l’aliment le plus consommé dans cette zone c’est le riz. Quel contraste ! Une plantation, une carperie ... donneront du travail aux jeunes du village, lesquels occupés, ne penseront plus à faire des sales coups et se retrouver en prison.

Mr Bimaî, vous avez le devoir de mettre fin à l’exode rural et de faire de Ngambe, un lieu sûr pour les petits investisseurs aussi, afin que nos terres soient mises en valeur.  

Mais auparavant, créez une page Facebook pour montrer ce que vous faites et faire ce que vous dites. Vous devez rester accessible pour tout le monde. Vous êtes un élu du peuple et non l’élu de vos proches. 

Si vous disposez d'un clim plus frigo dans votre bureau, cela veut dire que vous pouvez aussi recharger un Smartphone. Si vous êtes capable de faire des appels vidéo, cela veut dire que vous pouvez aussi faire des directs !

Les enfants de Ngambe vous accompagneront dans votre mission, mais vous devez faire preuve d une grande implication. 

En attendant, nous voulons connaître les états financiers de cette mairie (Feicom, état de caisse, bilan du maire sortant ...)

Il paraît que vous avez fourni votre groupe électrogène personnel pour alimenter la mairie. Merci ! Mais est- ce un don ? Ou cela fera t – il l’objet d une facturation opaque ? On doit savoir !!!! Anyway, quel contraste entre le bâtiment de la mairie et votre bureau ».

  

N.R.M

 

Sur sa page Facebook l’homme des médias estime que ceux qui refusent de proférer injures et menaces au Chef de l’Etat Camerounais sont des cas sur lesquels doivent se pencher les psychiatres  

 

«  Ce qui me chagrine, ce n’est même pas l’attitude de ceux qui nous gouvernent. On peut même les comprendre ; ils se battent pour faire perdurer le système qui les nourrit.

Ce qui est incompréhensible c’est ce petit peuple misérable qui vit toute sorte d’injustice et qui s’en accommode. Il trouve même des arguments pour soutenir les bourreaux. Et le peu d’énergie qui lui reste, il l’oriente contre d’autres victimes du système. Ça me dépasse. Je pense que tout cela relève de la psychiatrie. C’est trop fort ».

Réagissant, un internaute s'en est farouchement pris à l'écrivain :  

"On appelle ça Syndrome de Stockholm. C'est la maladie des camerounais, adeptes de la stabilité dans la pauvreté qui pour eux, est une fatalité et ont une peur bleue du changement. Ils ont plus peur du changement que les Américains l'ont pour un vendredi, 13; pour un chat noir qui croise les pattes ou pour le 13ème étage.
Pour moi, cette maladie est plus que le Covid-19, ce manque de prise de conscience. 

Le problème n'est pas la, quand tu veux aider la population ça ne s'ignore pas peu importe votre obédience, votre région ou votre religion ; mais le problème avec vous c'est que vous faites un combat émotif, dans votre combat vous dévouez une haine farouche envers ceux qui dirigent actuellement on dirait que vous voudrez leur rendre des comptes de façon personnelle. ça n'a rien avoir avec les besoins de la population. Apprenez à équilibrer les choses peut être à ce moment le peuple que vous sollicitez tant pourra cette fois ci essayer de comprendre votre démarche.

C'est de la petite intelligence quand tu n’as pas encore compris le Cameroun comme plusieurs. Le pays est plus complexe, allez le faire ailleurs. Même ceux qui ne supportaient pas le Président de la République le soutiennent aujourd’hui et prient pour lui. Vous insupportez le peuple, avec les mensonges au quotidien, les injures, les agressions même sur des personnes âgées, des appels aux insurrections, la communauté internationale…C’est une honte. Nous n’en n’avons pas besoin. Revoyez vos méthodes. Pardon, il vous faut et en toute urgence, une éducation.

Il peut dire ce qu'il veut c'est son bon droit. Mais ne pas soutenir Kamto ne veut pas dire qu'on soutient le système en place, juste que Kamto n'est pas le guide qu'il nous faut. 

Jean Bruno Tagne fut nommé par décret présidentiel il y'a quelques années, Membre du Conseil National de la Communication (CNC). A ce moment là, le pays était beau et le Président de la République n'était pas un dictateur. Il bénéficiait ainsi de tous les avantages liés à sa fonction (selon le fameux article 2) et de concert avec ses confrères du CNC, il distribuait à tout vent, des sanctions aux médias. Alors qu'Henriette Ekwe avait refusé une nomination comme membre d'ELECAM à cause de ses convictions politiques. 

Après sa mise à la porte du CNC en 2016 et son remplacement par Guibaî Gatama, il reçut subitement la révélation selon laquelle ce régime serait pourri. Si ce régime est aussi pourri, qu'il sache donc que: Tout régime pourrisseur, pourrit tous ceux qui l’approchent,  lui y compris.

A titre illustratif n'avait-t-il pas dit dans l'audio qui circulait en 2016 que : « Si le grand 9 me donne, je prends aussi ma part ». Cela lui avait valu une traduction devant le conseil de discipline du CNC. En définitive, il n'est pas crédible à mes yeux. Que DIEU te bénisse…"

  

N.R.M

 

Malgré la crise sanitaire en cours et ses multiples aléas sur les agendas académiques, le Ministre de la Fonction Publique ne s’est pas laissé intimidé et a su rendre les résultats de la session de concours 2020 à temps.

 

On peut percevoir une once de fierté entre les liges du tweet de Joseph LE. Le tweet fait savoir : « J’ai signé ce 16 avril 2020 dix-sept (17) communiqués portant admissibilité à certains concours professionnels 2019 et deux concours spéciaux 2020, ainsi que trois arrêtés portant résultats définitifs ». Les concours dont les résultats définitifs ont été rendus publics sont :

-          Le concours professionnel de recrutement de 30 Adjoints d’Administration

Ici, au lieu de trente (30) noms, la liste définitive affiche seulement 17 noms. Comme quoi le gouvernement n’a pas atteint le quota demandé pour les différentes fonctions qui devaient être pourvues par ces agents.

-          Le concours professionnel de recrutement de 50 Brigadiers de Douanes

-          Le concours de recrutement de 10 Contrôleurs Adjoints des Régies Financières (Douanes)

Dans ce concours encore, on n’a pas atteint 10 admis. Mais seulement deux candidats ont été retenus. Comment comprendre que sur autant de candidats qui postulent seuls deux noms sont retenus en définitive ? Notamment les nommés FADIMATOU HAMASSIOUTO et DJENABOU ABDOURAMAN.

 

Les autres résultats sont des admissibilités à certains concours de recrutement au sein de la fonction publique camerounaise.

-          40 Personnels d’Actives des Douanes

-          125 Personnels des Eaux et Forêts

-          140 Personnels de l’Education Physique et Sportive

-          105 Personnels de l’Elevage et des Pêches Maritimes

-          100 Personnels de l’Enseignement Maternel, Primaire et Normal

-          400 Personnels de l’Enseignement Technique et Professionnel

-          75 Personnels du Génie Rural

-          155 Personnels de la Santé Publique (Infirmiers)

-          60 Personnels de l’Informatique et de la Téléinformatique

-          140 Personnels de la Jeunesse et de l’Animation

-          60 Personnels des Régies Financières (Douanes)

-          60 Personnels des Régies Financières (Impôts)

-          90 Personnels de la Santé Publique (Technique Médico-Sanitaires)

-          80 Personnels de l’Administration Générale

-          60 Personnels du Travail et de la Prévoyance Sociale

-          140 Personnels de l’Agriculture 

Les épreuves orales auraient dû se tenir dans les jours qui suivent l’annonce des admissibilités. Or « compte tenu des mesures de restriction en vigueur dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19, le calendrier annexé au présent communiqué inique la date, l’heure et le lieu de passage des candidats devant les différents jurys ». Comme quoi, malgré cette crise, les concours en question iront bel et bien jusqu’à leurs fins. Le ministre Joseph LE y tient.

 

Stéphane NZESSEU

 

Le Port autonome de Douala (PAD) connaîtra une expansion dès le début de l’année 2030. Par cette action, il est question de faire de cette plateforme portuaire l’un des grands pôles d’excellence au cœur du Golfe de Guinée à travers la démultiplication de ses capacités d’accueil. 

 

Leader dans la zone Cemac, le PAD connaîtra grâce à cette expansion annoncée dès 2030, le renouvellement et la réhabilitation, non seulement de ses infrastructures, mais aussi de ses superstructures existantes. L’on apprend de sources crédibles, qu’il y aura la construction d’un avant-port au large de l’île Manoka située à 35 minutes au large du petit port de pêche de Youpwé, non loin de la ville de Douala. 

Par cette expansion, le port deviendra un « pôle d’excellence au cœur du Golfe de Guinée » à travers la démultiplication de ses capacités d’accueil, projette le PAD. Ainsi, l’autorité portuaire compte sur l’accompagnement de l’Etat pour l’atteinte de cet objectif, même si la valeur financière du soutien étatique attendu n’est pas encore dévoilée. 

Le Port autonome de Douala qui est une plaque tournante de l’économie dans la sous-région Afrique centrale permet de desservir les Etats enclavés du Tchad et de la République centrafricaine (RCA). 15 millions de tonnes de marchandises représentent sa capacité annuelle de trafic. Il dispose actuellement de 26 quais d’accostage sur 5,5 kilomètres de long.

Quant à sa superficie, elle est de 400 ha. Le PAD compte 7 terminaux spécialisés, 15 entrepôts, 65 ha de terre-plein, 25 kilomètres de voies ferrées et 20 kilomètres de routes bitumées, selon les données obtenues auprès des sources fiables. 

 

Innocent D H

 

Le jeune Daniel Njikam Mbala indique au Professeur Maurice Kamto, qu’il a déçu le peuple camerounais.

 

Daniel Njikam Mbala se présente comme un fils de la République. Dans la lettre qu’il a adressé au Professeur Maurice Kamto, il appelle celui-ci à se rendre compte des erreurs qu’il a commises. Il lui demande aussi de les réparer. Il indique que le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) a été porté par les camerounais tout comme Cabral Libii, lors de la période de l’élection présidentielle de 2018. Cependant, il a perdu le cap juste après ladite période. Ce qui le pousse à se demander la direction dans laquelle, Kamto compte amener les camerounais.

“Vous disiez vous battre pour les problèmes de notre pays. La campagne fut belle et exceptionnelle car avec le jeune Cabral Libii vous avez levé le peuple camerounais. Mais malheureusement vous avez échoué et depuis tout ce temps, vous avez voulu avoir une démarche insurrectionnelle très rapidement désamorcée par l’Etat. La suite nous la connaissons tous entre votre arrestation et votre libération. Professeur, vous avez déçu le peuple camerounais où il vous attendait. Vous avez été égoïstes et refusé à votre parti d’évoluer sur l’échiquier politique national en lui refusant de participer à l’élection législative couplée des municipales”, a écrit Daniel Njikam Mbala.

Daniel Njikam trouve que Maurice Kamto est devenu très incohérent. Il a refusé au Mrc de participer aux élections législatives et municipales de février 2020 pourtant, il saisit l’Assemblée nationale pour constater la vacance au sommet de l’Etat. “Comment comprendre que vous ayez boycotté une législature et aujourd’hui vous demandez de constater la vacance présidentielle ? Et votre amour pour les camerounais ? Ceux qui meurent dans les hôpitaux ? Les fonds que vous avez recueilli pourraient déjà servir à faire des dons soit aux personnels soignants, soit pour les médicaments des malades soit pour les populations qui souffrent en ce temps de Coronavirus”, écrit-il.

Daniel Njikam affirme ne appartenir à aucun parti politique. Il déclare qu’il envisageait s’inscrire dans les rangs du Mrc. Seulement, il trouve que sous la conduite de Maurice Kamto, le parti est devenu très violent. “Je verrais ailleurs dans une opposition qui propose une démarche non violente à moins que vous changez de démarche entre temps! Car vraisemblablement vous êtes en train de vous enfoncer dans les poubelles de la Nation”, écrit-il.

Point de vue : Dieudonné Essomba invite les Camerounais à écouter Shanda Tomne  

 

Liliane N.

 

 
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Sunday, 05 June 2022 11:01