L’arrêté signé par le Premier Ministre – Chef du Gouvernement a été rendu public en cette mis journée et les sites choisis vont servir à la prise en charge des personnes atteintes par la pandémie
A Yaoundé, il s’agit du :
Centre spécial de prise en charge des patients de Covid – 19 du Stade militaire
Centre spécial de prise en charge des patients atteints du Covid 19 de l’ancien bâtiment de l’Entreprise Orca, au lieu dit Carrefour Zoe.
Dans la ville de Douala,
C’est le Centre spécial de prise en charge des patients atteints du Covid – 19 du stade de Mbappe Leppe ;
Ou encore le Centre spécial de prise en charge des patients atteints de Covid – 19 du camp des logements sociaux de Yassa.
Dans le Chef lieu de la Région du Nord – Garoua, le Centre de prise en charge des patients atteints de Covid – 19 est situé à l’esplanade du stade Roumde Adja.
Ville de Limbe
Les patients atteints du Covid – 19 seront conduits au niveau du middle Farm Stadium.
Dans la ville de Bafoussam – chef lieu de la région de l’Ouest
Le Centre spécial de prise en charge des malades a été emménagé au niveau du camp des logements sociaux et le deuxième est au niveau du Stade Toket.
Dans le communiqué de Premier Ministre, il est stipulé que d’autres Centres spéciaux pourront être créés dans d’autres localités, en temps que de besoin.
D'autres précisions
Elles sont inscrites dans des articles
A : Les centres spéciaux de prise en charge des patients atteints de Covid – 19 sont chargés de l’administration des soins hospitaliers et du suivi médical des patients victimes de la pandémie.
B : Chaque Centre spécial de prise en charge des patients atteints de Covid – 19 est administré par un chef de centre assisté de deux adjoints.
Les responsables visés sont des médecins, spécialistes ou généralistes désignés par décision du Ministre de la Santé Publique
C : Tous ces Centres sont respectivement des annexes des formations sanitaires suivantes
Dans le Chef lieu de la région du Centre, ce sont les annexes de l’hôpital Central de Yaoundé.
Chef lieu de la région du Littoral, annexe de l’hôpital Laquintinie
Garoua, c’est l’annexe de l’hôpital Régional de la ville qui porte le même nom – Limbe : Hôpital Régional du chef de la région du Sud Ouest…
Tous ces Centres seront dissous de plein droit à la fin de la pandémie. Ils sont soumis aux règles de fonctionnement et d’organisation des formations sanitaires publiques.
Nicole Ricci Minyem
Le message sous forme d'interpellation émis par le Saint-Père ce lundi sur la page de son compte Twitter est largement partagé par les internautes. En effet, le Pape François appelle la planète à prendre conscience de l'urgence à prier ensemble pour les hommes et femmes qui ont une vocation politique et une forme élevée de charité.
Les conséquences du coronavirus dans le monde restent douloureuses.A date, selon les statistiques relayées par de nombreux médias, cette pandémie ravageuse a déjà engendré plus de 2 millions de contaminés et au-delà de 165.000 décès. Pour atténuer la gravité de cette crise, le Pape François, depuis le Saint-siège, écrit sur la page de son compte Twitter, "prions ensemble pour les hommes et femmes qui ont une vocation politique, qui ont une forme élevée de charité". Ainsi, s'observe l'urgence du seul recours à la providence pendant cette période de crise sanitaire avec son cortège d'implications sur le plan économique, pour une prospérité retrouvée le plus tôt possible.
"Prions pour les partis des différents pays, pour qu'en cette période de pandémie, ils cherchent ensemble le bien du pays et de leurs partis", ajoute le Saint-Père. Il est convaincu que le recours à Dieu pour aider les politiques à se défaire de l'égoïsme, voire de l'égocentrisme est urgent pour des actions qui permettent faire efficacement face au Covid-19 et pour que les vulnérables se sentent très rapidement soulagés.
Précisons que l'Italie où se trouve le Vatican ( siège de l'Eglise catholique romaine) et où siège le Pape, est l'un des pays les plus touchés par le coronavirus. Selon les données actualisées au 07 avril 2020, il connaît plus de 16.000 morts. Les conséquences économiques notamment dans le secteur productif italien sont estimées de 10 à 15%, à en croire les experts. En Afrique, le continent vient de franchir la barre de 1000 morts, apprend-on par le bais de France 24 le week-end dernier.
Innocent D H
Le point de presse du Ministère de la Santé du 19 avril 2020 concernant la pandémie du Coronavirus, indique que le weekend dernier, le Cameroun a enregistré 42 décès.
Les chiffres actuels de la pandémie du Coronavirus rendus publics font état de 42 décès, 305 guéris, 176 hospitalisés et 33 sous oxygène. On note que le nombre de personnes décédées des suites du Covid-19 a doublé ce weekend. Parce que Joseph Dion Ngute le Premier Ministre en date du 16 avril 2020, en faisant la présentation de la situation épidémiologique avait indiqué que le Cameroun comptait un nombre de 22 décès.
Les chiffres ont donc été revus à la hausse et on peut comprendre l'insistance du Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé sur le respect des règles barrières. “Nous devons renforcer l'observance des mesures barrières édictées et surtout le port obligatoire des masques. Protégeons nous!protégeons les autres! Soyons responsables”, a-t-il tweeté hier 19 avril 2020.
Il n’y a pas que le nombre de décès dus au Coronavirus qui a augmenté au Cameroun. Les régions actuellement touchées par la pandémie ont augmenté. S’il y a de cela une semaine où on parlait de six régions, à l’heure actuelle, on enregistre 8. La dernière qui a déclaré un cas de Covid-19 est celle du Nord. Ces régions sont le Centre, le Littoral, l’Ouest, l’Adamaoua, le Sud, l’Est, le Sud-Ouest et le Nord.
“En dépit de cette progression de la pandémie dans notre pays, nous devons saluer à sa juste valeur l’implication des collectivités territoriales décentralisées. De plus en plus d’élus locaux descendent régulièrement au plus près des populations pour informer et sensibiliser ces dernières sur les mesures à prendre pour éviter d’être contaminé. Et pour faciliter l’observance desdites mesures-barrières, les magistrats
municipaux procèdent à la multiplication des points de lavage des mains à l’eau et au savon dans les villages et même dans les quartiers. Une action qui, tout en suscitant l’adhésion spontanée des citoyens, amène chaque personne à prendre en main la sécurité sanitaire des siens et par ricochet, à assumer en partie la responsabilité du bien-être de sa communauté”, a écrit le Ministère de la Santé.
Liliane N.
A travers un communiqué signé le 19 Avril dernier, Louis Paul Motaze affirme qu’il n’a envoyé aucune correspondance à son homologue au sujet d’un compte litigieux ouvert dans les livres d’Afriland First Bank
En substance, le Minfi a écrit : « Aucune réponse du ministre des Finances n’a été adressée à son collègue de l’Administration territoriale… L’opération Survival Fund fait l’objet d’un traitement approprié ».
Il faut rappeler que l’usine à Fake news est entrée en action depuis le 13 Avril dernier, lorsque Paul Atanga Nji a saisi son collègue membre du gouvernement, afin qu’un enquête soit ouverte suite à l’action de levée de Fonds, organisée par Maurice Kamto, parallèlement à celle du Président de la République afin dit–il, de venir à bout de la pandémie Corona Virus. Le ministre de l’Administration territoriale avait au préalable exigé le gel des fonds de cette association parce que selon lui, une telle opération n’a aucune base légale.
Les spécialistes de la désinformation ont quelques jours plus tard, inondé les réseaux sociaux avec des messages qu’ils ont tôt fait d’attribuer au ministre des Finances, dont celui- ci : « Nous avons mieux à faire que suivre les traces de 400 millions collectés à l’étranger sous forme de dons pour aider les Camerounais au Cameroun… ».
La mise au point du ministre des Finances vient une fois de plus mettre en exergue, la volonté de quelques individus qui chaque matin, travaillent à semer la zizanie. Ils profitent de chaque occasion afin de mettre en mal, les relations entre les Camerounais et s’ils ont l’occasion de faire leur sale besogne au sein de l’appareil gouvernemental, ils n’hésitent pas. Leur volonté affichée de prendre le pouvoir semble avoir pris le dessus sur tout le reste et tant que cela sert à leur cause, « pourquoi se priver ».
Et pour Philippe Abe, acteur de la Société Civile, c’est une preuve de plus de leur malhonnêteté intellectuelle : « Fort heureusement, c’est sur ces mêmes réseaux sociaux qu’il est au quotidien apporté la preuve de leur forfaiture. Je me suis toujours posé la question de savoir où est ce qu’ils prennent leurs informations même si je sais qu’avec l’avancée de la technologie, il est facile avec un peu de connaissance de fabriquer n’importe quoi ».
Il ajoute : « Ils célèbrent le prétendu succès de l’opération Cameroon Survival Fund et veulent amener les insensés à croire que c’est pour leur bien mais, pourquoi la même opération n’a pas été mise en place pour les victimes de Ngouache, les populations du Nord et du Sud Ouest ? Ils veulent créer un Etat bis et, à mon sens le Gouvernement de monsieur Biya n’est pas assez ferme… ».
Nicole Ricci Minyem
Pour S.E Christophe Guilhou Ambassadeur de France au Cameroun, son audience du 16 avril 2020 au Palais de l’Unité, rentre dans l’ordre naturel des usages diplomatiques.
La dernière audience que Paul Biya le Président de la République a accordé à S.E Christophe Guilhou l’Ambassadeur de France au Cameroun, a suscité une polémique au pays. Chacun y est allé de sa perception. D’aucuns comme Benjamin Zebaze le Directeur de publication du journal Ouest-Littoral, ont estimé que cette audience qui a coïncidé avec la réapparition du Chef de l'Etat, démontre la soumission du Cameroun à la France.
Invité sur le plateau de télévision du programme Actualités Hebdo de la Crtv, S.E Christophe Guilhou face à Ibrahim Sherif a indiqué d’entrée de jeu, qu’il ne s’attendait pas à ce que son audience du 16 avril 2020 au Palais, fasse naître une polémique. Aussi, répondant aux questions du journaliste Ibrahim Sherif, S.E Christophe Guilhou a tenté de présenter le bien-fondé de ladite audience et son contexte.
“Effectivement j’ai été reçu jeudi dernier par le Chef de l’Etat. Sachez que je suis Ambassadeur de France au Cameroun depuis 8 mois, j’ai été nommé à ce poste par le Président de la République Emmanuel Macron, et dans la structure, je suis accrédité auprès du Chef de l’Etat camerounais M. Paul Biya. C’est lui qui a reçu mon agrément et donc dans ce cadre-là, j’ai des entretiens réguliers avec le Chef de l’Etat. Le dernier avait eu lieu au mois de mars; c’est tout naturellement que j’ai eu un nouvel entretien cette semaine pour faire le point sur les sujets bilatéraux, les sujets internationaux. Je n’ai aucun commentaire à rajouter là-dessus. Nous nous voyons régulièrement et nous discutons des sujets qui intéressent nos deux pays”, a déclaré le Diplomate français.
A la sortie de l’audience du 16 avril dernier, S.E Christophe Guilhou a déclaré qu’il a trouvé le Chef de l’Etat toujours alerte. A la question de savoir donc à qui s’adressait-il? L’Ambassadeur de la France au Cameroun affirme qu’il ne s’adressait qu’à la presse qui l’interrogeait. Et sur le fait qu’il y avait-il urgence ou pas, à ce qu’il soit reçu par le Chef de l’Etat en ce moment précis, le Diplomate français répond “nous avons des entretiens réguliers. Nous faisons des points sur des sujets bilatéraux. L’Ambassadeur est le messager entre autres de deux Chefs d’Etat et donc nous faisons le point sur un tas de sujets entre les deux pays et Dieu sait si la coopération entre le Cameroun et la France est dense et riche”.
Liliane N.
Dans une interview accordée au journal français Médiapart, l'écrivain et philosophe camerounais s'inscrit au dessus des visions pessimistes sur l'évolution du coronavirus dans le continent africain. Il estime, "le virus peut soulager le continent d'une partie de ses gérontocrates".
Dans son développement argumentatif, Achille Mbembe ne cède pas à des prédictions qui tendent à faire croire qu'une hécatombe se pointe sur le continent africain du fait des conséquences du Covid-19 dans cette partie du globe. Evoquant la situation en Afrique, notamment celle centrale, l'intellectuel parle des "tyrans" qui sont à la tête des Etats depuis plusieurs décennies. Selon lui, dans ces pays, les systèmes de santé se trouvent dans un délabrement total. Cependant, l'enseignant à l'Université de Witwatersrand de Johannesburg en Afrique du Sud écarte le pire arguant que les vieillards peuvent néanmoins beaucoup craindre la maladie.
Il explique," à cause de prédilection supposée pour les vieillards, le virus peut, à la limite soulager le continent d'une partie de ses gérontocrates. Mais cela m'étonnerait qu'à lui tout seul, il mette fin à la tyrannie". A travers cette posture, Achille Mbembe pense que le coronavirus va permettre le règlement de la question de certains "tyrans" au pouvoir.
Le philosophe voit également la possibilité pour l'Afrique d'organiser valablement une riposte contre la propagation du Covid-19. Une telle réponse n'est plausible que lorsque "l'Afrique arrête de s'aveugler. Qu'elle apprenne à nouveau à se penser au-delà des mythes et des faux mouvements, qu'elle redevienne elle-même habitable, c'est-à-dire capable de marcher par elle-même, sans avoir besoin des prothèses", suggère-t-il.
Pour cela, il faudrait "qu'à l'anesthésie ambiante, à l'étiolement programmé, elle oppose ses immenses potentialités; qu'elle puisse au plan profond de ses rêves imaginaires et, au lieu de répéter chez-elle ce qui n'a pas marché ailleurs, qu'elle invente des chemins radicalements neufs, pour elle et pour le monde, cela est possible, à condition de réinvestir dans le monde d'après", croit fermement Achille Mbembe.
Rappelons-le, depuis le début de la pandémie de coronavirus, des voix ont prédit une hécatombe en Afrique. C'est le cas du secrétaire général de l'Onu qui annonçait des milliers de mort en Afrique.
Innocent D H
Sur des images circulant sur la toile, l’on voit des jeunes dames assises devant de grandes bassines d’eau mousseuse, occupées à laver des caches nez dont la provenance ne laisse planer le moindre doute
Il apparaît au fil des jours que la pandémie du Coronavirus permet de mettre en évidence, le caractère vénal, immoral, machiavélique de quelques individus qui n’aspirent qu’à se faire de l’argent, au détriment de la santé de leurs concitoyens.
Alors que des mesures barrières sont prises afin d’éviter un maximum de contamination, il y’en a qui estiment que c’est l’occasion en or de se faire autant d’argent que possible, en contaminant cette population déjà « terrorisée » par les chiffres plus ou moins croissants des personnes atteintes dans le monde entier, à travers des masques vendus à vil prix.
Ces personnes semblent organisées en équipe. Certains arpentent les rues, campent aux abords des hôpitaux, ramassant au passage les masques jetés n’importe où qu’ils mettent dans des sacs en jute.
D’autres sont installés à l’arrière d’un domicile qui ne paient pas de mine et il est impossible de connaître la provenance de l‘eau qu’ils utilisent pour laver leurs trouvailles.
Quand c’est sec, il y’en a qui sont affectés au repassage et ensuite, les masques qui semblent neufs et conformes aux normes voulues sont rapportés dans les marchés et proposés à ces hommes et femmes qui n’ayant pas les moyens d’aller en pharmacie, croient qu’il s’agit pour eux d’une aubaine.
Le prix proposé est incitatif et c’est chacun qui veut en prendre le maximum, pour soi même mais également pour les autres membres de la famille et notamment les enfants.
Et l’on se dit surpris que le nombre de personnes contaminées connaisse une ascension aussi vertigineuse. Et comme il faut un coupable, les doigts accusateurs sont pointés vers le gouvernent qui pour les spécialistes de la critique de tout sur tout, estiment « Que rien n’est fait afin d’assurer la protection des moins nantis et d’ailleurs, le Président de la République refuse de s’adresser à ses concitoyens, etc ».
Force doit revenir à la Loi
Il s’agit d’une urgence et nul besoin de prendre des gangs avec ces propagateurs de la « Mort ». L’on se souvient que cela fait à peine quelques jours, que le Premier ministre a rassuré les uns et les autres que le marché de la fabrication des masques ne saurait être confié à une seule entreprise. Joseph Dion Ngute n’a posé qu’une seule exigence : Les normes de fabrication doivent être respectées afin de protéger tous ceux qui ne peuvent se rendre dans les pharmacies pour s’en procurer.
Le port du masque est obligatoire au Cameroun depuis quelques jours et chacun, selon ses moyens essaye de se conformer à la loi. Face à ces attitudes criminelles, les autorités sont interpellées et doivent prendre leurs responsabilités pour que ceux qui pensent avoir trouvé le bon filon afin de s’enrichir réponde de leurs actes.
Nicole Ricci Minyem
Il est constitué d’un assemblage de Ballons qui mis ensembles, se déplacent à la lisière de l'espace, offrant ainsi une liaison plus fluide aux personnes des communautés plus ou moins desservies dans le monde entier.
Contexte
Des milliards de personnes n'ont toujours pas accès à Internet. La crise sanitaire qui secoue actuellement la planète entière, a incité de nombreux pays à prendre des dispositions notamment dans le domaine de l’Education afin de maintenir le niveau scolaire des enfants, aussi bien du primaire que des grandes écoles, en passant par le secondaire. Une démarche qui a affiché les limites des uns et des autres.
Face à cette réalité et confronté à la problématique de la connectivité dans ce pays de l’Afrique de l’Est comme partout ailleurs, le gouvernement Kenyan, a approuvé les essais du lancement des ballons Loon dans la stratosphère au-dessus du pays.
Présentation du Système Loon
Il a pris les composants les plus essentiels d'une tour cellulaire et les a repensés pour qu'ils soient suffisamment légers et durables pour être transportés par un ballon à 20 km au-dessus de l'espace. Les ballons de plongeon sont conçus et fabriqués pour supporter les conditions difficiles de la stratosphère, où les vents peuvent souffler à plus de 100 km / h et les températures peuvent descendre jusqu'à -90 ° C.
Pour étendre la connectivité aux zones plus ou moins desservies dans le monde entier, le réseau « Loon » combine les progrès de la science des matériaux, de la modélisation atmosphérique, de l'apprentissage automatique, des systèmes de communication…
Tout l'équipement de vol est très économe en énergie et est alimenté par des énergies renouvelables. Les panneaux solaires alimentent le système pendant la journée tout en chargeant une batterie embarquée pour permettre les opérations de nuit.
Partenariat
L’équipe qui travaille à l’installation du réseau « Loon » est composée des ingénieurs multi raciaux et, dans chaque pays, ceux qui la composent travaillent de concert avec les spécialistes nationaux. Au Kenya, les tests ont été faits depuis 2018.
Pour les spécialistes, il est aujourd’hui question de mettre la dernière touche : « Dans l'immédiat, nous commencerons à envoyer des ballons aéroportés existants, ainsi qu'à en préparer de nouveaux à lancer à partir de nos sites de lancement aux États-Unis et, à les diriger vers le Kenya par les vents stratosphériques à 20 km au-dessus de la Terre. Ce processus prend du temps et nous nous attendons à ce qu’il s’agisse de plusieurs semaines avant l’arrivée des ballons de Loon au Kenya… ».
Ils ajoutent qu’ « Une fois sur place, nous effectuerons les dernières étapes des tests d'intégration de réseau avec Telkom Kenya. Par la suite, nous pourrons commencer à fournir des services aux Kenyans… Compte tenu de la situation mondiale avec COVID-19, nous travaillons aussi vite que possible pour déployer le service Loon au Kenya pour aider à court terme et établir des opérations durables qui continueront de servir les populations à long terme ».
Nicole Ricci Minyem
Le Sénat a décidé de contribuer pour le Fonds de solidarité nationale créé pour couvrir les dépenses relatives à la riposte de la pandémie du Coronavirus au Cameroun.
Marcel Niat Njifenji et les Sénateurs ont décidé d’aller au-delà de la parole. Ils ont décidé d’agir, en faisant un don de 100 millions de FCFA à verser dans le Fonds de solidarité nationale du Coronavirus. C’est Niat Njifenji, le président du Sénat qui a lui-même rendu public l’information au cours de la cérémonie de clôture de la session parlementaire du mois de mars de sa chambre. On retient du discours de la deuxième personnalité du pays, que la stratégie de riposte contre la pandémie conçue par le gouvernement a retenu largement l’attention des parlementaires. Ceux-ci ont rendu un vibrant hommage aux personnels soignants qui au risque de leur propre vie volent au secours des patients du Coronavirus.
Si donc, du côté du Sénat un geste a été posé, à l’Assemblée nationale, on se sera contenté d’un discours et de paroles pour saluer les efforts déployés par le Président de la République, le Ministère de la Santé, le corps médical.
“Je voudrais du haut de cette tribune, saluer la stratégie de riposte mise en place par les pouvoirs publics camerounais sous la Très Haute impulsion du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Paul BIYA, pour barrer la route à la propagation du COVID-19 dans notre pays. La création par le Président de la République, d’un Fonds de Solidarité Nationale avec une dotation initiale d’un milliard de Franc CFA, illustre à suffisance, tout l’intérêt et toute l’importance que Son Excellence Monsieur Paul BIYA accorde à la lutte contre cette pandémie planétaire”, a-t-il déclaré.
Cavaye Yéguié Djibril dans son discours prononcé à la cérémonie de clôture de la session parlementaire dans sa chambre, a rappelé que seul l’appel à générosité publique lancé par le Chef de l’Etat est le seul qui soit légal. Tous les autres ne sont que des arnaques. “Toute autre initiative visant notamment à faire un appel de fonds, sans l’aval des pouvoirs publics, sera considérée comme une arnaque et sera traitée comme telle. Des lois existent au Cameroun pour de tels cas”, a-t-il déclaré.
Liliane N.
Le Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé indique aux populations qu’elles peuvent continuer d’entrer en contact avec le Centre d’appel, par le biais d’autres numéros de téléphone.
Une panne générale en rapport avec le réseau de la fibre optique survenue le 17 avril 2020, a mis hors service le numéro vert 1510. L’importance dudit numéro dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus n’est plus à démontrer. C’est en fait le numéro d’accès au centre d’appel, qui enregistre tous les cas douteux, pour ce qui est de la contamination au virus du Covid-19, au Cameroun.
Parfaitement informé de la situation, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé (Minsante), rassure sur le fait que le 1510 n’est que temporairement hors service. Et pour que les camerounais ne sentent pas perdu, le temps que tout revienne à la normale, le Minsante indique que des numéros sont disponibles pour entrer en contact avec le Centre d’appel.
Pour la région du Centre, les populations sont invitées à composer les numéros 677 89 93 69, 677 89 43 64, 677 89 76 44 et le 677 90 01 57.
Pour ce qui est de la région du Littoral, il faut composer: le 677 89 45 53, 677 89 76 61, 233 42 56 67, 233 42 56 61, 233 42 56 58 et le 233 42 56 70.
Pour la région de l’Est, deux numéros sont disponibles. Il s’agit du 677 89 72 87 et le 677 89 33 28.
Pour la région du Sud, il y a le 222 836 671, 222 863 675, 222 283 672, 222 283 676, 651 454 876, 694 388 444 et le 699 776 326.
Il convient de noter que les camerounais ont adopté le numéro vert 1510. Les camerounais appellent pour avoir des informations sur des symptômes qu’ils ressentent. Mais aussi pour informer des cas douteux dans leur entourage. Le Centre auquel on accédait via le 1510 reçoit en moyenne 1000 appels par jour. Devenant débordé, les autorités avaient annoncé qu’elles vont procéder à sa délocalisation. Cela sera peut-être fait avec la panne qui a mis hors service le numéro vert.
Liliane N.
C’est n’est pas une rumeur, mais une information officielle rendue publique dans un communiqué signé ce 18 avril par le Gouverneur de la région du Nord, Jean Abate Edi’i. Le numéro 1 de la région, président régional du Système de gestion pour la coordination de la réponse sanitaire à la pandémie du Covid-19 au Cameroun, informe que le Nord enregistre son premier cas confirmé de Coronavirus.
Selon le communiqué du Gouverneur, « il s’agit d’un citoyen résidant dans la ville de Guider, département du Mayo-Louti, répondant au nom de Ibrahima Abba, procureur de la République près les Tribunaux de Guider ». Pour la prise en charge de cas, Jean Abate Edi’i rassure que les Équipes d’intervention rapide (EIR) sont à pied d’œuvre.
La région du Nord qui était jusqu’ici épargnée de la maladie, vient donc d’enregistrer son premier cas confirmé. Pour éviter la propagation du virus dans la région, l’autorité administrative rappelle à « l’ensemble des populations la nécessité, voire l’urgence de respecter scrupuleusement les 20 mesures gouvernementales édictées par le Chef de l’Etat, pour barrer la voie à la propagation du Coronavirus ».
Cette confirmation intervient alors que le site Nord Actu relayait il y a 11 jours qu’un bus de transport en commun avait été intercepté à Boklé dans l’arrondissement de Garoua IIIème. Parti de Yaoundé pour Garoua, transitant par Ngaoundéré, le bus avait à son bord un passager suspect d’être positif au Covid-19. Le lendemain, la même source fait savoir que les résultats des examens effectués au Centre pasteur de Garoua ont indiqué que le suspect a été testé négatif. Il a été libéré ainsi que l’ensemble des passagers du bus mis en quarantaine à l’Hôpital régional de Garoua.
Il faut dire que vendredi dernier, de sources crédibles avaient annoncé que la région de l’Adamaoua venait d’enregistrer son premier cas de maladie. Il s’agit de l’ancien maire de Ngaoundéré 3ème. Le cas de Covid-19 a été confirmé vendredi dernier par les services de santé a-t-on appris.
Innocent D H
Cette éventualité d’annulation partielle de la dette du continent africaine par cette institution de Bretton Woods a été annoncée par sa directrice générale, Kristalina Georgieva dans un entretien qu’elle a accordé à France 24 ce 17 avril 2020. La responsable du Fonds monétaire internationale réaffirmait ainsi l’engagement de la Communauté internationale qui ne cesse de multiplier les efforts pour permettre à l’Afrique de répondre à la pandémie de coronavirus.
La barre des 1000 morts du fait du Covid-19 a été atteinte ce vendredi et l’impact économique du virus sur le continent africain est réel et promet d’être dévastateur, selon les experts. A l’heure actuelle 57 milliards de dollars ont été mobilisés par les créanciers. Une situation qui ne laisse indifférente la FMI, sa directrice générale, Kristalina Georgieva dans un entretien avec la journaliste de France 24, Georja Calvin Smith a affirmé que l’annulation d’une partie de la dette africaine n’est pas exclue.
« Nous avons regardé de très près quels étaient les besoins financiers de l’Afrique. Nous avons conclu qu’il y avait une somme importante 114 milliards de dollars qui étaient nécessaires en termes de soutien à l’Afrique. Nous avons déjà pas mal progressé, le FMI a rapidement adopté des mesures de financement d’urgence, nous avons plus de 30 pays qui sont venus nous voir en nous demandant dans l’urgence de l’aide et dès à présent, nous sommes en train d’honorer environ 1/3 de ces demandes et nous continuerons la semaine prochaine avec un total de 18 milliards de dollars qui viennent du FMI. Outre cela nous sommes également aller voir nos actionnaires et nous leur avons dit nous avons encore besoins plus d’argent. (…) mais il nous manque encore 44 milliards et c’était justement l’objectif de la réunion. Nous réunir et voir comment ensemble nous pourrions en faire plus. Nous avons promis que le FMI ferait davantage en utilisant des prêts concessionnels pour l’Afrique et nous avons également demandé aux créanciers privés d’en faire autant que sont en train de faire les créanciers internationaux. Nous avons plein espoir qu’i l y aura un progrès dans le domaine. Enfin nous aimerions que tout le monde se coordonne à ce que nous puissions non seulement financer mais maximiser », souligne la directrice de cette institution financière.
Atouts de la crise pour l’Afrique
La responsable du FMI, explique par exemple que s’il y a davantage des dépenses de budgets nationaux, ça pourrait conduire à un fardeau supérieur de la dette. Ainsi, Il va falloir regarder quelle est la structure fiscale après la crise. « Nous devons également prendre cette crise comme une opportunité et regardez par exemple ce qui se passe dans l’espace numérique et pensons à l’Afrique qui pourrait faire des sauts technologiques du fait de cette crise pour ce qui est des paiements et versements numériques, pour ce qui est de l’apprentissage électronique et des gouvernements électroniques qui sont plus efficaces et plus transparents pour les citoyens », conseille Kristalina Georgieva.
« Ce que nous voulons faire avec la Banque mondiale, c’est de profiter de cette période de moratoire et aller regarder les pays un par un pour analyser la durabilité, aller voir ce qui peut être fait de plus et comment ces pays peuvent prendre en mains la situation, c’est-à-dire aller vers une transparence de façon que la dette soit bien gérée. Nous allons faire des études, il y aura des analyses et une des conclusions sera probablement prises. Nous sommes en train de nous mobiliser pour offrir des mesures d’urgence à des pays alors que toute l’économie s’est arrêtée. Mais c’est également la période où nous devons commencer à penser à la reprise c’est-à-dire quels sont les risques qui pourraient se faire jour lorsque nous serons sortis de la crise », déclare la directrice générale.
Pour certains chefs d’Etats africains, il est encore souhaitable que le FMI procède à l’annulation à de la dette africaine qui s’élève 365 milliards de dollars. Pour le président sénégalais, Macky Sall, dans une intervention sur Radio France internationale (RFI) cette somme n’est pas quelque chose « d’insurmontable » pour faire face à cette menace planétaire qu’est le Covid-19 surtout quand on s’en tient aux nombreuses transactions par jour dans le cadre des bourses.
Innocent D H
La France a élaboré un plan d’action, qui selon l’Ambassadeur Christophe Guilhou, va contribuer à éradiquer la pandémie du Coronavirus au Cameroun.
C’est un plan d’action à trois points que la France a conçu. Il prévoit un moratoire sur la dette du Cameroun envers elle, une aide d'urgence pour l'acquisition de médicaments et un soutien à la recherche sur le Coronavirus en Afrique. Ledit plan a sûrement été présenté par S.E Christophe Guilhou l’Ambassadeur de France au Cameroun, à Paul Biya le Président de la République, qui l’a reçu au Palais de l’Unité, le 16 avril 2020. Il convient de rappeler qu’au terme de cette audience, S.E Christophe Guilhou a indiqué avoir échangé avec le Chef de l’Etat sur la pandémie du Coronavirus. Les stratégies de riposte mise en place par les gouvernements de leurs deux pays ont été passés en revue ce jour-là.
Vu l’objet au centre de l’audience sus évoquée, on peut imaginer que le plan d’action de la France susmentionné, a reçu l’onction du Chef de l’Etat. Etant donné que s’étant rendu au Ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation après le Palais de l’Unité, l’Ambassadeur français a annoncé que son pays apporte un appui financier de 7 milliards de FCFA, pour la lutte contre le Coronavirus. Cet appui devra servir dans le domaine de la recherche. “L'appui de la France se manifeste par tout ce qu'on va faire pour aider le Cameroun à faire face aux besoins de médicaments, aux besoins de traitements, à l'identification, aux besoins des hôpitaux. Tout ça c'est 10 millions d'euros, plus 1 million d'euros destinés au Centre pasteur», a fait savoir l'ambassadeur de France au Cameroun”, a déclaré le Diplomate français.
Un collectif de quatre entreprises françaises qui exercent au Cameroun ayant à sa tête S.E Christophe Guilhou, s’est rendu au Premier Ministère le 17 avril 2020. Ledit collectif a remis un don de solutions hydro alcooliques représentant une valeur de 36 millions de FCFA à Joseph Dion Ngute le Premier Ministre. Les entreprises françaises ayant fait ce don sont Total Cameroun, la Société anonyme des Brasseries du Cameroun, Groupe CFAO et SOSUCAM. «Le Cameroun est reconnaissant du soutien de la France dans la lutte contre Covid-19», a réagi le Premier Ministre Joseph Dion Ngute.
Liliane N.
C’est dans une très longue lettre que le correspondant fait le récit des circonstances de son arrestation par la police camerounaise. La raison, une affaire de délation, de dénonciation calomnieuse et de diffamation à mon préjudice pour des faits qui se sont déroulés au Salon de l’agriculture en France. Cette affaire d’interpellation du Président Macron par Calibri Calibro. Nous vous proposons de découvrir dans son intégralité la lettre du correspondant de Canal 2 International, de Cnews et LCI.
« J’ai été interpellé le 02 avril 2020 à Douala au Cameroun dans le cadre d’une affaire de délation, de dénonciation calomnieuse et de diffamation à mon préjudice pour des faits qui se sont déroulés en France. À l’issue de onze jours de garde à vue, la vérité a triomphé sur l’arbitraire, le commérage et le mensonge. Le formidable élan de solidarité qui a dépassé les frontières du Cameroun et de la France, alors que j’étais pris dans les mailles de la Police Judiciaire, m’a profondément ému. J’ai été libéré, blanchi de tous soupçons.
Aucune charge n’a été retenue contre moi. J’ai été libéré, blanchi de tout soupçon. Aucune charge n’a été retenue contre moi. Je ne m’exprimerai pas d’avantage sur le fonds du dossier. Mon avocate au Barreau de Paris, Pascaline MELINON en a la charge, seule habilitée à cet effet. Ceux qui ont déjà subi des épreuves similaires savent à quel point nous ne ressortons jamais indemne d’une privation brutale et injuste de liberté. Pour l’heure, je m’en remets progressivement, d’où le retard pris pour vous exprimer toute ma gratitude et vous prie de m’en excuser. Ce qu’écrivait Albert Camus résonne d’autant plus aujourd’hui :
« Un journal indépendant donne l’origine de ses informations, aide le public à les évaluer, répudie le bourrage de crâne, supprime les invectives, pallie par des commentaires l’uniformisation des informations et, en bref, sert la vérité dans la mesure humaine de ses forces. Cette mesure, si relative qu’elle soit, lui permet du moins de refuser ce qu’aucune force au monde ne pourrait lui faire accepter : servir le mensonge ».
Journaliste et objectif
La mobilisation de nombreux journalistes, d’organisations de presse, d’organisations internationales de défense des droits de l’Homme, et de personnes anonymes, me confirme que j’ai fait le meilleur choix. En embrassant ce métier de journaliste, j’ai choisi de me mettre au service de l’objectivité. Ainsi, j’exprime ma très grande reconnaissance aux personnes et organisations suivantes :
Au Cameroun
M. Emmanuel CHATUE, Président Directeur Général du Groupe Canal 2 International, M. Joseph FOTSO, Directeur Général, Mme Colette CHATUE, Présidente de la Fondation Canal 2 International et Mme Ananie Rabier BINDJI, qui n’ont ménagé aucun effort pour ma libération.
Critiqués pour leur silence, je suis reconnaissant de tout ce qu’ils ont fait dans l’ombre pour exiger ma libération.
M. Dénis NKWEBO, Président National du Syndicat National des Journalistes du Cameroun qui n’a pas lésiné sur les moyens pour exiger du pouvoir de Yaoundé ma libération. Il a mobilisé la corporation dans le pays afin de faire prévaloir mes droits.
M. Patrick TCHOUWA, Président National du Syndicat des Journalistes et Auxiliaires du Cameroun, encore merci.
Aux journalistes du NORD-OUEST qui malgré les risques, ont marché pour exiger ma libération. Je reconnais qu’à la lecture de l’article du journal LE JOUR, du fond de ma cellule, des larmes ont coulé.
Je vous serai éternellement reconnaissant pour avoir pris autant de risque pour un monsieur que l’on n’a jamais rencontré. C’est un signe d’amour et de solidarité que seul notre métier connait.
Mon frère ASHU LOIC, j’avoue que tu m’as été d’un soutien moral et matériel indéfectible.
A tous mes collègues du Groupe Canal 2 International pour leur bienveillance à mon égard.
Aux organes de presse locale.
À M. le Commissaire Divisionnaire DILI Jacques, Directeur de la Police Judiciaire, ses collaborateurs et les Golfs papa, Indiana papa, Oscars papa, merci pour tout.
À tous mes Amis notamment Bienvenu DONFACK, Milaire TCHANTCHOU, MVOLO Gérard, ENGO Joagin, pour ne citer que ceux-là.
Aux médias (Le jour, EQUINOXE, VISION 4, CANAL2, BALAFON, SWEET FM, ABK Radio.)
Aux journaux, Jeune Afrique et leur équipe rédactionnelle et leurs lecteurs, pour leur mobilisation continue.
Aux organisations non gouvernementales au Cameroun notamment le REDHAC.
Aux Camerounaises et Camerounais qui m’ont soutenu.
En France et à l’international
À HUMAN RIGHTS WATCH, Reporters Sans Frontière, à Amnesty International, au Syndicat National des Journalistes,
À la direction de CNEWS, mes confrères de CNEWS et LCI.
Merci à la direction de CNEWS, mes confrères de CNEWS et LCI.
Aux Diplomates Camerounais accrédités en France pour leurs messages de réconfort.
À mes Confrères et Collègues,
Louis KEUMAYOU, Président du Club de l’Information Africaine.
Christian EBOULE (Journaliste TV5MONDE), Francis LALOUPO (Journaliste, directeur de l’information Africa Radio), Philomé ROBERT (Journaliste France 24), Abdelaziz MOUNDE NJIMBAN (Journaliste et consultant), Georges DOUGUELI (Journaliste Jeune Afrique), Claudy SIAR (Journaliste et producteur, RFI), Théophile KOUAMOUO (Journaliste Le Média), Clarisse JUOMPAN (Journaliste Jeune Afrique), Thierno DIALLO (Journaliste Afrique Connection), Cyrille EKWALLA (Journaliste), Harry ROSELMACK (Journaliste TF1), Rémy NSABIMANA (Journaliste AJ+), Eric TOPONA MOCNGA (Journaliste Deutsche Welle), Annie MOTIO, Louis-Georges TIN (Président d’honneur du CRAN), Mohamadou HOUMFA (Journaliste), Romaric TENDA (Journaliste Afrik Inform), Maria MALAGARDIS (Journaliste Libération), Jean-Célestin EDJANGUE (Journaliste Le Messager), Lydie RAYNAUD, Harold HYMAN (Journaliste CNEWS), Yves MINTOOGUE (Historien et chercheur), David BOBIN (Journaliste RT France), Mimi MEFO (Journaliste Deutsche Welle), Julienne DUHAMEL, Michel Thierry ATANGANA ABEGA, Carole YEMELONG (Canal2international), Rodrigue TONGUE (Canal2international), LILE PIEDJOU, (Canal2international), Auriol LONKIO, (Canal2international),
Pour le triomphe de la justice et de la dignité humaine en général dans le monde
J. Rémy NGONO, Alain MOUAFO, Gabriel PIKLEU, Virginie RAYNAUD, Joël De CHATEAU ROUGE, MWADO, TAKAM pour ne citer que ceux-là.
Mon avocate Me Pascaline MELINON, dame de fer. Mille mercis….
Aux Présidents d’Associations et Chefs de Communauté Membre de l’Union des Camerounais de l’Étranger.
À la diaspora Camerounaise pour leur soutien moral.
A toutes les personnes qui m’ont soutenu sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter) et sur leurs différents blogs.
Je remercie également tous mes compatriotes du Cameroun et du monde entier qui m’ont soutenu moralement et qui ont souhaité garder l’anonymat pour des raisons de sécurité. Ils se reconnaîtront dans ce message de remerciements.
Permettez-moi de pouvoir remercier individuellement toutes ces personnes éprises de valeurs humanitaires et humanistes que j’ai rencontrées.
Je n’oublie personne et je reste redevable à tous ceux et celles qui ont apporté leur contribution dans l’ombre pour le triomphe de la justice et de la dignité humaine en général dans le monde.
Que les uns et les autres trouvent, ici, exprimés, mes sentiments de respect et d’éternelle gratitude !
Eric Golf KOUATCHOU,
Journaliste Reporter d’Image, Diplômé de l’École Supérieure de Journalisme de Paris
Fait à Douala le 17 avril 2020
Transcrit par Stéphane NZESSEU