Sur sa page Facebook l’homme des médias estime que ceux qui refusent de proférer injures et menaces au Chef de l’Etat Camerounais sont des cas sur lesquels doivent se pencher les psychiatres
« Ce qui me chagrine, ce n’est même pas l’attitude de ceux qui nous gouvernent. On peut même les comprendre ; ils se battent pour faire perdurer le système qui les nourrit.
Ce qui est incompréhensible c’est ce petit peuple misérable qui vit toute sorte d’injustice et qui s’en accommode. Il trouve même des arguments pour soutenir les bourreaux. Et le peu d’énergie qui lui reste, il l’oriente contre d’autres victimes du système. Ça me dépasse. Je pense que tout cela relève de la psychiatrie. C’est trop fort ».
Réagissant, un internaute s'en est farouchement pris à l'écrivain :
"On appelle ça Syndrome de Stockholm. C'est la maladie des camerounais, adeptes de la stabilité dans la pauvreté qui pour eux, est une fatalité et ont une peur bleue du changement. Ils ont plus peur du changement que les Américains l'ont pour un vendredi, 13; pour un chat noir qui croise les pattes ou pour le 13ème étage.
Pour moi, cette maladie est plus que le Covid-19, ce manque de prise de conscience.
Le problème n'est pas la, quand tu veux aider la population ça ne s'ignore pas peu importe votre obédience, votre région ou votre religion ; mais le problème avec vous c'est que vous faites un combat émotif, dans votre combat vous dévouez une haine farouche envers ceux qui dirigent actuellement on dirait que vous voudrez leur rendre des comptes de façon personnelle. ça n'a rien avoir avec les besoins de la population. Apprenez à équilibrer les choses peut être à ce moment le peuple que vous sollicitez tant pourra cette fois ci essayer de comprendre votre démarche.
C'est de la petite intelligence quand tu n’as pas encore compris le Cameroun comme plusieurs. Le pays est plus complexe, allez le faire ailleurs. Même ceux qui ne supportaient pas le Président de la République le soutiennent aujourd’hui et prient pour lui. Vous insupportez le peuple, avec les mensonges au quotidien, les injures, les agressions même sur des personnes âgées, des appels aux insurrections, la communauté internationale…C’est une honte. Nous n’en n’avons pas besoin. Revoyez vos méthodes. Pardon, il vous faut et en toute urgence, une éducation.
Il peut dire ce qu'il veut c'est son bon droit. Mais ne pas soutenir Kamto ne veut pas dire qu'on soutient le système en place, juste que Kamto n'est pas le guide qu'il nous faut.
Jean Bruno Tagne fut nommé par décret présidentiel il y'a quelques années, Membre du Conseil National de la Communication (CNC). A ce moment là, le pays était beau et le Président de la République n'était pas un dictateur. Il bénéficiait ainsi de tous les avantages liés à sa fonction (selon le fameux article 2) et de concert avec ses confrères du CNC, il distribuait à tout vent, des sanctions aux médias. Alors qu'Henriette Ekwe avait refusé une nomination comme membre d'ELECAM à cause de ses convictions politiques.
Après sa mise à la porte du CNC en 2016 et son remplacement par Guibaî Gatama, il reçut subitement la révélation selon laquelle ce régime serait pourri. Si ce régime est aussi pourri, qu'il sache donc que: Tout régime pourrisseur, pourrit tous ceux qui l’approchent, lui y compris.
A titre illustratif n'avait-t-il pas dit dans l'audio qui circulait en 2016 que : « Si le grand 9 me donne, je prends aussi ma part ». Cela lui avait valu une traduction devant le conseil de discipline du CNC. En définitive, il n'est pas crédible à mes yeux. Que DIEU te bénisse…"
N.R.M