Au cours d’une rencontre tenue ce Lundi dans les locaux des services du Gouverneur de la Région du Littoral, le patron des lieux, qui avait en face de lui les responsables syndicaux des conducteurs de moto, a dit son raz le bol de voir « sa ville » considérée comme un repère de brigands à cause de l’incivisme et autres maux propres aux praticiens de ce « métier ».
« Il n’est pas question que Douala soit pris en charge par des bandits. Il faut savoir que la ville de Douala n’est pas réservée à ceux qui viennent faire du désordre, il est important que cela soit clair pour tous, que cela soit compris de tous… », Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, gouverneur de la région du Littoral.
Cependant, le camp d’en face accuse l’administration de laxisme, car, disent-ils, C’est à cause de l’inattention accordée à leurs multiples doléances que ce désordre, au fil des ans, s’est installé dans la capitale économique du Cameroun.
Dans son allocution, Paulin Ouatsa, leader des conducteurs de moto taximen dans l’arrondissement de Douala 4ème déplore : « Vous savez, il y a de cela onze, voire douze ans aujourd’hui, il y a eu un laisser-aller dans la région du Littoral. Tous ceux qui voulaient entrer dans la ville en ont eu la latitude. Quelqu’un a une somme de 500 mille, il achète une moto et la met en route…
Cela fait plus de dix ans que nous sommes en pourparlers avec l’administration ; nous leur avons demandé de prendre les mesures, afin que les agents de l’administration se rassurent avant qu’une moto ne commence à rouler, que le conducteur ait un permis en bonne et due forme mais aussi une carte grise et une plaque d’immatriculation…
Cela n’a jamais été fait. Nous avons toujours été traités de bandits, de voleurs, de braqueurs ».
Il apparaît évident pour tous que l’activité des conducteurs de moto doit être assainie. Un besoin d’autant plus pressant que le week-end dernier, une personne a encore perdu la vie dans l’un des quartiers de la ville économique, à cause de l’inconséquence d’un chauffard, qui, à cause de ses manœuvres hasardeuses, a envoyé sa cliente sous les roues d’un camion.
Au-delà de ces accidents quasi permanents, l’on ne compte plus le nombre d’agression dont sont victimes les habitants et autres étrangers.
Deux morts dans un accident de la circulation sur le nouveau pont du Wouri
De nouvelles résolutions prises
Parmi elles, intervient en urgence, la formation des conducteurs de moto taxi mais également, leur identification.
« La réunion d’aujourd’hui était une réunion de recadrage, pour rappeler que le secteur de motos-taxi répond à une réglementation assez fournée, avec les textes du Premier ministre, du ministre des Transports et bien d’autres et que tous ont le devoir d’appliquer… », précise le gouverneur Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.
Pour changer la donne, l’administration communale entend elle aussi apporter sa touche personnelle tel que l'inique Dr Roger Njitchoua, 2ème adjoint au maire de Douala : « Il y a quelques jours, nous avons présenté à la Société civile un plan d’actions intitulé Professionnalisation et Assainissement du secteur des motos-taxi. Dans le package, nous avons proposé deux modules de formation : la Conduite et la Citoyenneté… Tous ceux qui vont se plier à ces exigences vont recevoir un permis de conduire et un chasuble visuel. Nous allons en plus les inscrire dans un registre communal ».
Un ensemble de mesures qui ne semblent pas convaincre les acteurs de ce corps de métier qui, en ont vu d’autres préoccupations. « Cela pourrait être la fin des problèmes si les pouvoirs publics eux-mêmes sont sérieux. Nous sommes dans ce pays et savons comment se comportent certains administrateurs dans cette République. Je suis à 24 ans de syndicalisme, nous avons assez vus dans cette Région du Littoral. Aujourd’hui où la liberté s’est entièrement transformée en libertinage, on se lève en sapeurs pompiers. C’est bien beau mais, je doute fort que les résultats suivent… », Hilaire Nzouankeu, Coordonateur national de l’organisation syndicale des motos taxi et tricycles.
Nicole Ricci Minyem
Le club fanion de la Région du Nord Cameroun s’est qualifié dimanche dernier pour la phase de poule de la Coupe de Confédération africaine de Football (Caf). C’est grâce à cette qualification que Coton vient de recevoir un chèque d’une valeur de 135 millions de FCFA. En effet, pour valider son ticket qualificatif, l’équipe a battu en aller et retour l’AS Sonidep du Niger.
Dimanche dernier, 21 février 2021, Coton Sport de Garoua a obtenu sa qualification pour la phase de poule de la Coupe de la CAF. Salomon Banga Bindjeme et ses coéquipiers se sont défaits des Nigériens de l’AS Sonidep en match aller et retour, respectivement par un score de 2-0 à Niamey et 1-0 à Garoua. Une belle prouesse qui permet au club camerounais de décrocher la rondelette somme de 135 millions de nos francs.
Logé dans le groupe B, les Cotonculteurs ne se contentent pas à contempler cette récompense. Ils sont déjà fixés sur leurs adversaires de la phase de groupe. Dans ce groupe sont logés, les Marocains de RS Berkane, les Algériens de JS Kabylie et des Zambiens de Napsa Stars.
Le vice-champion du Cameroun en titre compte réaliser une excellente performance dans cette compétition. C’est d’ailleurs à juste titre qu’a réagi Francis Tombi Alemi au micro de nos confrères de CFOOT, « Ce seront des matchs comme tous les autres (…) Coton sport a aussi une certaine notoriété sur le continent, donc tout va se jouer comme d’habitude sur le terrain et chacun utilisera ses forces pour venir à bout des adversaires. On va continuer de travailler pour être à la hauteur de ce défi, car jusqu’ici tout dépend encore de nous-mêmes ».
Innocent D H
Le Président de la République du Cameroun a accordé en début d’après-midi, une audience à l’ambassadeur de France au Cameroun. Celui-ci était porteur d’un message du Président français Emmanuel Macron.
Au sortir du Palais de l’Unité, Christophe Guilhou fait savoir qu’avec le Président de la République ils ont abordé plusieurs sujets. « Nous avons abordé un certain nombre de sujets. La pandémie du coronavirus, la situation ici au Cameroun, les besoins, tout ce que la France pouvait continuer à faire pour venir en aide dans la lutte contre cette terrible pandémie. Nous avons également abordé la situation intérieure au Cameroun, l’excellence de la relation bilatérale et la situation internationale ».
Il ressort que deux problématiques ont meublé les échanges des deux hommes : Le coronavirus et la situation intérieure du Cameroun qui se résume le plus souvent à la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Sur la question de la coopération sanitaire entre les deux pays, en rapport avec la lutte contre la pandémie du Coronavirus, le Gouvernement français avait mis à la disposition du Cameroun le montant de 7,7 milliards de FCFA pour mener la lutte. Un financement ouvert depuis Mai 2020.
Dans le cadre de l’initiative « Covid-19 - Santé en commun », l’Agence française de développement (AFD) annonce quatre financements au Cameroun pour un montant de 7,7 milliards de FCFA (11,7 millions d’euros). En accord avec les autorités sanitaires du Cameroun, ces projets mobilisent des partenaires expérimentés et déjà engagés sur le terrain : le Centre Pasteur du Cameroun, des ONG comme Alliance for International Medical Action (ALIMA) et Action contre la Faim, l’Organisation mondiale de la santé, des agences des Nations-Unies comme le PNUD, ainsi que l’Institut de recherche pour le développement (IRD).
De plus, les dégâts du Covid-19 sur l’économie du Cameroun a également intéressé le Chef de l’Etat. Des pistes de relances ont été envisagées par les deux hommes.
Pendant 01 heure et 30 minutes, les deux hommes ont également abordé la question de la situation intérieure du Cameroun, mais aussi de la France. Il faut dire que la France s’engage dans une campagne présidentielle qui aboutira à la nouvelle élection présidentielle de 2022. Pour cette nouvelle bataille électorale, le Président Macron voudrait se représenter. Un soutien du Président camerounais serait la bienvenue. « Je lui ai remis un message écrit d’Emmanuel Macron » a confié à la presse, l’hôte du Chef de l’Etat camerounais.
Stéphane NZESSEU
Les fonds sont mis à la disposition du Programme national de Développement participatif (Pndp) par l'Union européenne à travers son mécanisme du Fed qui est administré par l’Agence française de développement (Afd). Ce sont au total, 12 départements qui sont concernées par ces plans territoriaux dans les régions de l’Adamaoua, de l’Est, Extrême-Nord et du Nord. Pour la matérialisation de ce projet, le Pndp est à la recherche d’un partenaire.
Cette action du Pndp s’inscrit dans le cadre de la 3ème phase du Programme national de Développement participatif lancé depuis 2016. Le projet fait la part belle à l’aménagement du territoire en appuyant sur la spécificité de chaque territoire et l’appui aux filières agropastorales locales.
Ces plans territoriaux s’inspirent des transferts de compétences aux communes dans le sillage du développement des infrastructures de désenclavement notamment les routes communales, pistes rurales, ouvrages de franchissement. En outre, cette nouvelle orientation dans la mise en œuvre du Pndp se sert des appuis aux filières agricoles, animales et végétales à travers la construction des magasins de stockage, des ateliers de transformation ou des couloirs de passage.
Les bureaux d’études, Organisations Non Gouvernementales, consultants individuels, ou des bureaux d’études et organisations de la société civile, sont les acteurs auxquels s’adresse cet appel à manifestation d’intérêt lancé le 10 février dernier.
Indiquons que le Pndp de depuis son lancement il y a quatre ans, est un programme dont la contribution est non négligeable dans l’amélioration des conditions de vie des populations à la base. A mettre à l’actif du Pndp, le renforcement des capacités techniques et opérationnelles des acteurs, ainsi que du cadre institutionnel, législatif et réglementaire en matière de la décentralisation. De sources officielles indiquent que ce programme a permis le financement de 6 500 microprojets dans les volets : éducation, santé, électrification, hydraulique entre autres. Ce sont également, 329 plans communaux de développement qui ont été produits grâce à l’appui du Programme national de développement participatif.
Innocent D H
Le Gouverneur de la région de l’Ouest fait le bilan de cet accident de la circulation survenu dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 février 2021 entre Bangangté et Foumbot. Awa Fonka Augustine se dit indigné par cette série d’accident sur les axes routiers de la région de l’Ouest.
Dans sa communication, le Gouverneur de la région de l’Ouest commence par rappeler les circonstances de la survenance de cet accident. Awa Fonka nous apprend que l’accident a eu lieu à 23 heures et 30 minutes au lieu-dit Maka 1 dans l’arrondissement de Foumbot, Département du Noun. Il s’agit d’un gros porteur de 60 places immatriculé LT-I22-IQ appartenant à la compagnie de transport « Avenir Voyages SARL » et conduit par le nommé ISSAH, qui, venant de Koutaba et allant vers Yaoundé, du fait d’un excès de vitesse et d’un dysfonctionnement du système de freinage a dérapé et s’est retrouvé dans un ravin après avoir fait plusieurs tonneaux.
Le Gouverneur de la région de l’Ouest dresse le bilan de 05 morts dont un moine et un nourrisson de 09 mois, 51 blessés pour 15 cas graves, et des dégâts matériels importants. Une situation qui exaspère le patron de la région. Il se dit indigné par la série des accidents de circulation enregistrés sur les axes routiers dans la Région de l’Ouest. Awa Fonka appelle les responsables des sociétés de transports à bien vouloir mettre en œuvre scrupuleusement les instructions prescrites par le ministre des Transports lors de la séance de travail tenue le 1er Février 2021.
Accident mortel : A peine réouverte l’agence de voyage « Avenir » fait d’autres morts
Des mesures qui sont bien connues par ces différentes agences. Mais qui font le choix d’outrepasser les dispositions de la réglementation des transports. Il est plus qu’urgent pour le gouvernement de prendre des mesures de répressions en amont. Des missions de contrôle dans les agences pour s’assurer de la qualité des véhicules et des contrôles sur les compétences en conduite et en bonne conduite des chauffeurs des différents Bus. Mais jusqu’ici, le ministère des Transports continue de pointer un doigt accusateur sur les voyages de nuit. Or, le problème fondamentalement le voyage de nuit, mais la qualité des routes, leurs éclairages, l’état des véhicules de transports, l’interdiction des surcharges, et l’aptitude de conduite voire le niveau d’expérience des conducteurs.
Stéphane NZESSEU
Ils étaient main dans la main ces dernières années. Tous les deux passionnés de la lutte pour le développement de notre société, ils se sont unis autour du projet « Croire au Cameroun » (CRAC). Un mouvement politique dont l’objectif était de rendre sa gloire au Cameroun en 05 ans par le développement agricole. Ernest YENE est en larmes.
Inconsolable… Ernest ENE, le Secrétaire Général du CRAC est en larmes. Il regrette le départ du président du mouvement, avec qui ils avaient encore de nombreux projets à mettre en œuvre pour le Cameroun. Sur son compte Facebook, il a exprimé ses regrets … « Je suis dévasté par la douleur ... Et je ne trouverais pas tous les mots pour exprimer la profondeur de cette douleur et de l’hommage que tu mérites...
« Celui qui n'a jamais prétendu avoir SEUL la méthode et la solution pour un autre Cameroun est mort »
Celui qui était un ami, un camarade, un père dans l'engagement citoyen est mort hier à Amiens en France après une longue maladie. Celui qui était l’apôtre d'un Cameroun debout en 5 ans par l'AGRICULTURE est mort. Celui qui faisait la politique autrement est mort. Celui qui avait l'art du consensus, du compromis et une haine de la compromission et du leadership messianique est mort. Celui grâce à qui les Camerounais ont du poulet Camerounais à leur table est mort. Celui qui était un grand avec un grand G et vrai avec un grand V est mort. Celui qui a vécu, a fait, a lutté au propre comme au figuré est mort. Celui qui n'a jamais prétendu avoir SEUL la méthode et la solution pour un autre Cameroun est mort. Celui qui m'avait nous avons la solution, travaillons pour une méthode pour avoir un autre Cameroun est mort…
Il est mort, mais sa vision est là intacte, pour nous sans lui, sans lui qui a voulu d'un Cameroun debout telle une puissance agro-écologique
À toi la gloire ! A nous les pleurs ... »
De toute évidence, c’est une perte considérable pour le Cameroun. Le promoteur de La Voix du Paysan, celui qui s’est lancé dans l’activisme et a réussi à faire plier le gouvernement sur les importations inutiles des poulets congelés alors qu’il existait une filière locale qu’il suffisait de développer. Celui qui a rappelé aux camerounais qu’il y avait d’énormes quantité de riz à Yagoua. Du riz produit par le Cameroun mais qui pourrissait dans les caves alors qu’au même moment, on importe des tonnes et des tonnes de riz pour nourrir les populations camerounaises. Des luttes qui devraient continuer.
Nécrologie : Bernard Njonga n’est plus
Stéphane NZESSEU
Le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé affirme que même s’il n’y a pas lieu de s’alarmer, les camerounais doivent tout de même reprendre conscience.
Contrairement à ce que d’aucuns pensent et affirment, la pandémie du Coronavirus reste une réalité dans notre pays. Peut-être pas comme on le voit dans les pays européens, mais c’est une pandémie qui est présente au Cameroun. De passage à la CRTV à l’édition du journal de 20H30 en posture d’invité, le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé (MINSANTE) a dressé le bilan de la situation rendue à la date du 22 février 2021. On retient que le nombre de décès dû à la pandémie est croissant. On est passé d’1 décès par semaine à 32. Et pour ce qui est du taux d’occupation on est passé du pourcentage de 0,5% à 3,4%.
« Dans la vie d’une épidémie, vous pouvez à un moment donné maitriser la situation, mais vous pouvez également avoir de temps en temps des petites poussées. C’est ce que nous constatons aujourd’hui. Les indications sont calières. En ce qui concerne les hospitalisations, nous partons d’une situation où nous avions il y a quelques mois, 0,5% Nous sommes montés à 3%, aujourd’hui nous sommes à 5% d’occupation des lits. Si nous prenons également les décès, on est parti de 1 à 2 décès par semaine, après on est monté à 3,4 décès par semaine, on est monté à 12 décès par semaine, après 23 décès par semaine, aujourd’hui on est à 32 décès par semaine », fait savoir le Ministre de la Santé.
Même si le Dr Malachie Manaouda reconnaît que la situation épidémiologique du Cameroun n’est pas alarmante, il pense tout de même qu’il y a lieu de revenir au strict respect des mesures barrières. Ces mesures sont le port systématique du masque, le lavage des mains avec de l’eau propre et du savon ou encore avec un gel hydroalcoolique. Il y a aussi le respect de la distanciation sociale.
Quand nous regardons cela nous pensons qu’il y a quelque chose qu’il faut faire. Lorsque nous voyons l’élution globale de l’épidémie, il n’y a pas matière à s’alarmer outre mesure. Il faudrait tout simplement que nous reprenions conscience », a-t-il déclaré.
Résurgence des cas de Covid 19 : Pourquoi les camerounais n’y croient plus ?
Liliane N.
Denis Nkwebo le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun dit avoir accepté sa nomination au sein de la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés avec humilité et responsabilité.
Denis Nkwebo fait partie des personnes qui ont été nommées la semaine dernière par Paul Biya le Chef de l’Etat à la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés (CNDHL). Le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun se réjouit avec cette nomination qui lui assigne des missions, qu’il remplissait déjà dans sa corporation.
« J’ai appris la nouvelle de ma nomination au sein de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du Cameroun par décret du président de la République Paul Biya et j’ai aussitôt accepté cette mission avec humilité et responsabilité. Je crois que nous faisions déjà ce travail depuis très longtemps au sein du Syndicat National des Journalistes du Cameroun. Ce décret du président de la République vient légitimer donc la cause qui était celle de notre syndicat. Ce décret vient aussi consacrer le fait que nous sommes l’organisation professionnelle de la presse la plus représentative dans le domaine du journalisme au Cameroun. Nous entendons servir notre pays, servir la profession conformément au texte qui a été voté par l’Assemblée Nationale en 2019 », déclare-t-il.
Alors invité au programme dominical de STV «7Hebdo», Denis Nkwebo a précisé ce qui allait être son rôle au sein de la Commission nationale des Droits de l’homme et des libertés.
« Mon rôle ce n'est pas d'aller m'opposer à des gens. Mon rôle ce n'est pas d'aller en combat avec qui que ce soit. Ça ne fait pas partie de mes prérogatives. Mon rôle c'est de m'assurer que, dans la mesure du possible, chaque fois qu'un citoyen voit ses droits violés, qu'on intervienne pour le restaurer dans ses droits. Ça c'est ma mission », a-t-il déclaré.
Liliane N.
Patrice Melom le Directeur général du Port Autonome de Kribi met en garde les populations par rapport à un faux communiqué qui annonce le recrutement de 596 personnes.
Le Port Autonome de Kribi (PAK) n’a lancé aucune opération de recrutement en ce moment. C’est l’essentiel du message que Patrice Melom son Directeur général (DG) a fait lire sur les ondes du Poste National le 22 février 2021 à l’édition du journal du 13 heures. Cette communication du DG du PAK est due au fait qu’en ce moment sur la toile et les réseaux sociaux circule un communiqué qui lui est attribué et qui annonce le recrutement de 596 personnes.
Patrice Melom précise qu’il s’agit d’« un faux communiqué publié par des individus sans foi ni loi qui utilisent frauduleusement le logo du PAK et la signature de son Directeur général… Une telle manœuvre vise à jeter du discrédit sur une place portuaire qui monte en puissance et réalise des performances qui valent au PAK la confiance des partenaires nationaux et internationaux ».
En appelant la population à faire preuve de plus de vigilance, le DG du PAK dément tout ce qui est présentée comme information dans le communiqué qui lui est attribué. « Le Port autonome de Kribi poursuit avec assurance les missions à lui assignées par le gouvernement et reste engagé dans la lutte contre le chômage en favorisant l’installation de nombreuses entreprises dans sa zone industrialo-portuaire », souligne Patrice Talon dans sa communication.
Il convient de noter qu’il est récurrent de voir sur la toile, de fausses annonces de recrutement au PAK. Certaines de ses annonces promettaient même des recrutements au PAK, ainsi que des marchés publics en contrepartie d’énormes sommes d’argent. Seulement à chaque fois que ce type d’annonce a circulé, la direction générale du Port a fait un démenti.
Liliane N.
Dans une publication sur son compte Facebook ce lundi matin, l’ancienne Directrice de Campagne de Serge Espoir Matomba l’accuse de l’intimider pour qu’elle ne lui réclame plus une importante somme d’argent que l’homme politique lui doit.
Clarence Yongo, en plus d’être journaliste et promotrice de la web Tv Griote TV, est également experte en communication politique. C’est à ce titre qu’elle fût recrutée en 2018 par le PURS pour diriger la campagne présidentielle du candidat malheureux, Serge Espoir Matomba. Visiblement, au cours de cette période, elle a concédé un prêt à son candidat. Et depuis le 07 juillet 2018, elle continue d’attendre d’être remboursée. Malgré les échéances plusieurs fois dépassées.
Au cours de l’une de ses sorties, Clarence Yongo fait savoir que « le 14 février 2020, cette femme qui attend patiemment son argent depuis le 07 juillet 2018 décide après plusieurs relances et promesses d’aller à la rencontre de son débiteur à Bonaberi. Elle avait été informée d’une réunion du parti. Elle devait en profiter puisque le débiteur en question ne prenait plus ses coups de fil. Lorsqu’elle y arrive, l’homme simule tout d’abord ne pas reconnaître la dette avant de prendre engagement devant témoins de rembourser au bout de 15 jours… Vous est-il déjà arrivé que votre débiteur vous fasse passer pour une escroc ? Cela m’est arrivé. Faites attention aux gens à qui vous prêtez de l’argent. »
L’affaire prend maintenant toute une autre tournure. D’après Clarence YONGO, Serge Espoir MATOMBA aurait envoyé dans ses bureaux des agents de la police en civil pour l’intimider. « Le 21 février 2020, sont arrivés à mon bureau trois individus (2 hommes et 1 femme). Pendant que l'un des hommes se dirige vers la porte centrale, entre sans frapper et demande à me rencontrer, les autres sont à l'extérieur et font le guet. Étant en clientèle, l'homme aux lunettes noires veut absolument savoir où me trouver. Il pose des questions de façon menaçante.
L'un de mes collaborateurs m'appelle et lui passe le téléphone. L'homme dit être à mes trousses pour affaire urgente me concernant. Je lui réponds que je suis en clientèle et qu'on peut prendre un rendez-vous. Mais évidemment mon interlocuteur décline cette proposition. Trois jours plus tard, mon collaborateur arrive à la PJ pour un reportage et rencontre sur son passage le même monsieur aux lunettes noires qui feint ne pas le reconnaître. En réalité, le pseudo leader de Bonaberi envoyait des éléments pour exercer un trafic d'influence afin que je ne revendique plus mon argent. Il fallait alimenter la frayeur pour que je me taise. Je devais garder le mutisme sur sa filouterie.
Pourtant quelques jours plus tôt, le politiRien prenait engagement devant témoin de rembourser ce qu'il me doit. Mais que vaut la parole d'un débiteur indélicat et multirécidiviste? L'engagement pris par un "milliardaire" impécunieux n'a de valeur que le fond de sa poche trouée. »
Affaire à suivre !
Stéphane NZESSEU
Dans son éditorial du 20 février dernier, le Capitaine de Vaisseau Cyrille Serge Atonfack Guemo argue que :
« Affaiblir les institutions étatiques, détruire le tissu économique, désorienter le système éducatif, effacer les traditions ancestrales.
Telle semble être la mission formellement reçue par les groupes terroristes qui depuis de longues années, tentent de mener à matérialité, le dessein de plus en plus manifeste, de puissances étrangères nourrissant l’objectif de mettre le Cameroun en coupe réglée, aux plans idéologique, économique, et sociétal.
A la fois multilatéraliste et surtout souverainiste, le positionnement géostratégique et géopolitique du Cameroun semble s’inscrire en opposition frontale avec les ambitions des ténors d’un libéralisme débridé, prédateur et hégémonique, bien décidés à faire main basse sur les ressources et potentiels dont regorge notre pays. Quitte pour cela, à le délester des portions de son territoire national.
Pour y parvenir, quoi de plus indiqué que la destruction de l’outil de production en pleine consolidation qualitative et quantitative ? Il s’agit d’asphyxier le tissu économique, chose qui aura pour conséquence directe la réduction des flux de capitaux, avec un impact négatif sur les conditions de vie d’une population en constante croissance, et aux besoins tout aussi croissants.
De la situation d’indigence ainsi créée d’une manière artificielle, il est attendu un sentiment de frustration que les agents et organes de la manipulation s’efforcent de transformer en manifestations violentes du mécontentement populaire. Mais par son niveau d’instruction appréciable et son discernement, le peuple camerounais fait échec à cette funeste manœuvre.
Aussi, l’ennemi déconfit s’acharne à détruire l’école. De là, la flambée des incendies, des attaques d’établissements scolaires, le meurtre des enseignants et des apprenants jusque dans les salles de cours, sans omettre les viols, les sévices, et les enlèvements dont ils sont victimes.
En essayant de réduire les vénérables sanctuaires de la science, en de nouveaux cimetières de l’intelligence, le but de ce déferlement de violence est de priver d’intelligence, les futures générations de camerounais.
Dans l’espoir que les esprits incultes ainsi créés seront plus réceptifs aux injonctions de leurs civilisateurs éclairés. Cette tentative de nous imposer le voile de l’ignorance connaît un retentissant fiasco.
Non plus, les attaques à répétition contre les gardiens de la tradition ne sont des actes de pur banditisme, ni de vaine cruauté. Les assassinats, les enlèvements de chefs traditionnels, le vol et la destruction des symboles de nos cultures ancestrales participent de l’ambition visant à nous couper de nos racines, pour mieux nous inculquer les pratiques du modernisme déviationniste.
N’est-il donc pas étonnant, que le récent assassinat groupé de chefs traditionnels dans la Région du Sud-Ouest, n’ait soulevé qu’un faible écho dans le landernau des organisations de la société civile, encore moins parmi la profusion d’organisations humanitaires. Le sujet ne serait peut-être pas dans l’air du temps imprimé par le courant du progressisme des mœurs à la solde du capital.
Toujours est-il que la perte de repères et l’aliénation morale nées de l’incendie de nos bibliothèques, autrement dit, de l’effacement des tenants de nos modes de vie multiséculaires, va faire de nous et de notre descendance, les sujets serviles du projet global d’excentration de la figure de l’homme, au profit d’une idéologie essentiellement utilitariste et bassement matérialiste.
Résister activement aux ennemis du Cameroun, revient à lutter pour la sauvegarde du territoire national, de notre peuple, de nos richesses, de nos traditions, et de notre humanité. La paix de notre pays sera le pretium doloris, en d’autres termes, le prix de la douleur actuellement endurée par nos braves populations ».
N.R.M
Ils ont été déroulés au cours d’une énième audience tenue au Tribunal Criminel Spécial. Désormais, le Parquet Général porte à 315 millions 153 mille 804 FCFA, le montant du préjudice subi par l’Etat en raison du paiement des factures à l’entreprise Limousine Prestige, entreprise appartenant à l’ancien ministre des Transports.
Des factures des marchés spéciaux « surfacturés » ont été présentées le 18 février, comme pièces à conviction. Des « preuves » que rejette le collège d’avocats acquis à la cause de Edgar Alain Mebe Ngo’o et Cie. Me Koue Amougou Noelle, présidente de la collégialité : « Les pièces sont certifiées par le ministère de la défense, mais non datées. Nous pensons qu’elles doivent être datées. Ces pièces ne peuvent être admises. Vous devez les déclarer irrecevables…».
Un argument que Me Atangana Ayissi, avocat de la partie adverse bat en brèche : « En l’état actuel de la procédure, vous ne pouvez pas rejeter une pièce qui est produite en la forme requise… Si nous reprenons l’article 313 du Code de procédure pénal, nous devons nous accorder que cette pièce étant certifiée par l’autorité compétente, son admissibilité doit être acquise ».
Comme pour enfoncer le clou, l’homme de Loi ajoute : « Quelle est le texte qui vous permet de sanctionner ? La loi demande que le document soit certifié conforme à l’original… On a demandé qu’il y ait la signature de l’autorité compétente. Le colonel a certifié le document. Est-ce que ce n’est pas suffisant » ?
S’en sont suivies des joutes oratoires
Le parquet général estime que les avocats de la défense ont dévié le fond des débats, tel que l'explique Me Atangana Ayissi : « Alors que nous attendons des observations sur la forme, la partie adverse se retrouve à faire des observations sur le fond ; Les pièces que nous avons présenté répondent aux exigences légales… » ;
Les avocats de l’ancien ministre de la Défense pour leur part, restent fermement campés sur leur position : « L’article 308 soutient-il que les documents doivent être certifiés sans date ? L’absence d’une date sur un document officiel invalide ce document, d’autant plus que nous sommes en matière pénale où les dates ont une importance capitale parce que dans le réquisitoire, il y a une période circonscrite… », argue Me Koue Amougou Noelle.
Et Me Ntamack de renchérir : « Nous nous interrogeons sur la compétence du lieutenant-colonel à certifier la prestation de service du document ».
Après 5h de débat houleux, l’audience a été suspendue pour délibération. De retour dans la salle, le juge a estimé que « les pièces présentées par le ministère public sont admises en la forme comme pièces à conviction… »
Arguant qu'en « dehors des factures des marchés dits surfacturés, les arrêtés du ministère du Commerce, relatifs à la mercuriale des prix ont été produits… ».
Les prochaines audiences sont prévues les 15, 19 et 29 mars 2021. Au cours de ces dernières, Edgard Alain Mebe Ngo’o - Mbangue Maxime - Mboutou Elle Ghislain - Menye Victor Emmanuel - Minla Nkoulou Bernadette épouse Mebe Ngo’o seront confrontés à d’autres charges qui pèsent sur eux.
Nicole Ricci Minyem
A partir de cette interrogation, l’honorable François Biba – Député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale pose la problématique de ces multiples dettes que le Gouvernement n’a de cesse de prendre, alors que la quasi majorité des chantiers pour lesquels ces sommes astronomiques sont perçues tardent à aboutir.
La prose de François Biba
« Vous voulez assister à la décadence d'un pays ? À l'arnaque bien organisée avec réseaux bien huilés ? Alors destination un pays situé en Afrique centrale qui avait pourtant tout pour être glorieux et cité en exemple non seulement dans la sous région, mais dans le continent et dans le monde entier.
Bien sûr qu'il est cité me diriez-vous. Mais dans quels contextes ? Quels exemples sont donnés de notre cher triangle national ?
Un pays de maquettes ? Un pays de chantiers abandonnés ? Un pays aux projets dont les budgets mettraient à mal quelque concurrence hasardeuse ?
Oui bienvenue chez nous, chez vous, si vous avez assez de courage pour vous y installer et gober les inepties qui sont servies sur des assiettes de pure porcelaine. Surtout il vous faut être patient comme un bœuf.
Patient…
Pour espérer un jour voir l'autoroute Yaoundé-Douala-Yaoundé.
Entamé depuis 2014 pour une durée prévisionnelle de 48 mois, soit une livraison prévue pour 2016, seuls environ 75 km sur 210 km ont été réalisés.
5 ans de retard et nous ne sommes pas encore à la fin de ce feuilleton mettant en avant une fois de plus, la gestion macabre de notre pays livré aux mains d'individus sans foi ni loi qui ne pensent qu'à se remplir les poches au détriment du bien-être des populations.
Afin de «moderniser» cette voie reliant les capitales politique et économique du pays, les concepteurs sont passés à une autoroute en 2x2 voies extensibles à 2x3 voies, avec une vitesse de référence de 110 km/h.
Preuve d'une absence d'étude préalable sérieuse du projet, et de benchmarking. Résultat des courses, une hausse de près de 71 milliards de francs CFA pour la première phase du projet. Soit quelque 355 milliards de francs CFA, au lieu des 284 milliards de francs CFA à l’origine.
Selon la Banque mondiale, le coût de cette autoroute est trop élevé en comparaison avec d’autres projets africains de même acabit. Dans un rapport publié en 2018, l’institution financière internationale révèle que l’autoroute Yaoundé-Douala atteindra au final près de 6,5 milliards de FCFA par kilomètre alors qu’il est d'environ 2 milliards de FCFA en Côte d’Ivoire et de 1,7 milliard de FCFA au Maroc.
Pour couronner le tout, les populations riveraines continuent d'attendre désespérément leurs indemnisations du fait des expropriations.
Vous n'avez pas la patience du bœuf, vous voulez emprunter les airs ?
Il vous faudra la cultiver cette patience car là non plus, le pari n'est pas gagné. L'unique avion de la compagnie pourrait voler en éclat au milieu d'un tourbillon de dirigeants à la recherche désespérée d'éléments justifiant les fonds astronomiques engloutis par « air peut-être ».
Peut être arriverez- vous à destination si les trous d'air ne viennent pas à bout de cette patience que vous vous évertuez à cultiver contre vents et marée que dis-je, contre vents et air.
Patient…
Pour enfin voir aboutir les travaux du complexe Olembe.
Comment comprendre que 3 mois à peine après avoir voté le budget 2021, en augmentation de 232,5 milliards aux motifs de l'achèvement des infrastructures nécessaires à l'organisation de la CAN 2022 et du CHAN 2021, l'on se retrouve à autoriser des emprunts à hauteur de 88 889 591 078 FCFA.
D'autant plus que pour ledit complexe, le 19 août 2020, le ministre des sports déclarait: «Le plus important pour nous, c’est de prendre la mesure des recommandations telles qu’elles ont été formulées lors de notre dernière visite. Nous ne pouvons que nous féliciter de leur bon niveau d’exécution. A titre d’exemple, les huit mâts d’éclairage des deux stades annexes ont déjà été positionnés. De la même manière que la pelouse du stade principal est complètement mature. Les aires de jeux du stade et des deux terrains d’entraînement sont disponibles ».
En résumé, les travaux étaient pratiquement achevés. D'où vient-il donc que courant février, le constructeur demande encore 17 milliards afin d'achever le chantier ? D'où vient-il la nécessité de contracter une énième dette pour un complexe déclaré achevé ?
12 ans plus tard, le complexe d'Olembe serti d'or et de diamants vaudrait la « modique » somme de 217 milliards de FCFA. Tout comme l'autoroute recouverte de bronze et de marbre, il serait le plus onéreux d'Afrique.
Une dette de plus, encore et toujours, pour le montant global d'environ 100 000 milliards de FCFA, sans oublier les dettes intérieures auprès des entreprises: Camrail - 15 milliards en octobre 2020; Eneo - 180 milliards en janvier 2020; Hysacam - 07 milliards environ en janvier 2020,...
Patients,...
Pour comprendre que pendant que l'on annule le défilé du 11 février 2021, fête de la jeunesse, aux motifs pris de protéger les jeunes de la Covid-19, les activités du « village jeunesse » soient maintenues.
De plus, qu'il soit demandé aux autorités locales de continuer avec les différentes activités culturelles. Plus grave, dans la foulée, un gigantesque concert est autorisé. Tous ces événements rassemblaient probablement des jeunes extra terrestres pas du tout concernés par la pandémie.
Merveilleux séjour au « wandakistan », encore mieux merveilleux séjour en « absurbanie ».
N.R.M
Le chef régional de la Faune et des aires protégées affirme ne pas connaître pour l’instant la provenance de ce fauve.
Neuf personnes dans la région de l’Extrême-Nord, ont failli être tuées par un lion dont on ignore encore la provenance. Le fauve s’en est pris aux populations des villages Woulki et Mbomboya tous deux situés dans l’arrondissement de Makary.
« Un lion, dont pour l’instant on ignore la provenance, a semé la panique dans la localité. L’animal, conformément à la loi et son décret d’application, a été abattu dans le cadre de la légitime défense », renseigne le chef régional de la Faune et des aires protégées.
Les victimes du fauve sont prises en charge dans des formations hospitalières de la région de l’Extrême-nord. Le responsable de l’hôpital de district de Makary, dans le département du Logone-et-Chari cité par le Poste national, affirme que « parmi les 09 qui sont arrivés à l’hôpital de district de Makary, un a été transféré à Kousseri pour une prise en charge. Et les huit qui restent sur place les blessures sont de gravité moyenne. Donc il n’y a pas de complication ».
Les experts pensent que le fauve abattu qui s’en est pris aux villageois, est de ces vieux lions vieux qui abandonnent la meute et s’attaquent aux proies faibles, à l’instar des êtres humains. Toutefois, dans un communiqué radio presse parvenu à notre rédaction, Jean David Ndjigba le délégué régional des forêts et des faunes de l’Extrême-Nord demande aux populations de vaquer librement à leurs occupations. Il affirme que le danger a été éloigné. Il faut préciser que l’incident avec le fauve s’est déroulé le weekend dernier.
Liliane N.