La convention de partenariat y afférente a été signée entre les deux parties le 26 février dernier. Il est question pour l’Institut africain d’informatique (IAI) du Centre technologique de Paul Biya d’étendre son réseau de partenaires pour accompagner l’Etat du Cameroun dans la promotion du digital.
Les documents de ce partenariat ont été paraphés par Armand Claude Abanda, le représentant-résident de l’IAI-Cameroun et Hamadou Hamidou, maire de la commune de Maroua Ier. C’était en présence du préfet du département du Diamaré, Jean Marc Ekoa Mbarga.
Selon les explications de Armand Claude Abanda, cet acte rentre dans le cadre de la mise en œuvre du programme social un Million de jeunes, d’enfants et femmes (MIJEf) à former aux Technologies de l’information et de la Communication (TIC) à l’horizon 2035, sous le parrainage de la première dame du Cameroun, Chantal Biya.
Dans les détails, l’on apprend, qu’à travers ce partenariat, l’IAI-Cameroun se charge de former des centaines de jeunes et de femmes de l’arrondissement de Maroua Ier à l’informatique dans les mois à venir. Il s’agit notamment des logiciels d’application de base que sont Microsoft Word, Excel, Internet, Publisher, ainsi que la citoyenneté et l’entrepreneuriat. « La signature de ce partenariat montre que le département du Diamaré est résolument dans la lignée idéologique du président de la République qui veut que les Camerounais s’arriment au monde digital. Aujourd’hui, dans la mairie de Maroua Ier, les jeunes ont la chance d’avoir un maire très dynamique », indique Armand Claude Abanda. Un partenariat qui intervient au lendemain de la célébration du cinquantenaire de l’IAI.
Pour sa part, visiblement satisfait de son initiative, le maire de Maroua déclare : « Dès l’entame de notre mandat, nous avons pris l’engagement de former autant que nous pouvons des jeunes de notre commune à l’outil informatique, qui est aujourd’hui une utilité, une nécessité absolue pour la survie du monde ».
Le préfet du département du Diamaré a saisi l’occasion pour encourager vivement les jeunes de la localité à saisir cette opportunité en or, à eux offerte pour se former en masse aux TIC. « Actuellement on ne peut pas contourner les technologies de l’information et de la communication. Je voudrais demander aux jeunes de courir pour être les premiers sur la liste (…) », soutient Jean Marc Ekoa Mbarga.
Innocent D H
Le Tribunal arbitral du Sport affirme avoir pris en considération le courrier du 26 février 2021 de la FIFA qui reconnaît Seidou Mbombo Njoya comme représentant légitime de la Fédération Camerounaise de Football.
C’en est fini pour le Sénateur Albert Mbida qui a été porté à la tête du comité exécutif transitoire de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), par d’anciens membres de l’assemblée générale de 2012 qui contestent le leadership de Seidou Mbombo Njoya. Après la FIFA de Gianni Infantino, le Tribunal arbitral du sport (TAS) vient de reconnaître Seidou Mbombo Njoya comme le représentant légitime de la FECAFOOT.
Parmi les éléments qui ont pesé pour que le TAS tranche en faveur du désormais président par intérim de la Fédération, figure le courrier du 26 février 2021. Il convient de rappeler que par voie de correspondance précisément le 16 février dernier, le TAS avait appelé la FIFA à statuer sur le véritable représentant de la FECAFOOT. Surtout qu’il y avait sur la table de ce Tribunal, un appel déposé le 17 novembre 2020 par la Ligue de Football Professionnel du Cameroun (LFPC) contre la FECAFOOT et deux conseils, chacun ayant reçu mandat de la faction qui l’a engagé, se sont prévalus du droit de défendre la Fédération dans cette affaire.
Le courrier du 26 février 2021 de la FIFA a donc donné sa position sur qui est reconnu comme représentant légitime de la Fédération. La FIFA est restée aux côtés de Seidou Mbombo Njoya qu’elle avait décidé de nommer comme président par intérim de la FECAFOOT quand le TAS a choisi d’annuler son élection à la veille du Championnat d’Afrique des Nations.
Liliane N.
Au cœur des échauffourées cette fois-ci, le refus pour les moto taximen d’arborer les chasubles que mettent à leur disposition. Empoignades musclées, et de nombreux conducteurs de moto qui vont terminer dans le fourgon des forces de maintien de l’ordre.
Quartier Mboppi à Douala, il est 12 heures. Une patrouille d’agents de la municipalité de Mboppi fait une descente inopinée et se met à contrôler les conducteurs de moto de passages sur le tronçon. Les contrôleurs de circonstance, vérifient les pièces des conducteurs de moto (Cartes Nationales d’Identité, Permis de Conduire), et ils exigent aux benskineurs d’arborer désormais et obligatoirement, les chasubles de la mairie. Des exigences que ne vont pas comprendre et accepter. Plus encore, la brutalité dont font preuve les agents de la Mairie pour obliger les conducteurs de moto à se plier à leurs désirs. Selon ce moto taximan, « les agents de la police municipale sont sortis soudainement pour arrêter les motos. Ils ont retiré les chasubles que les conducteurs de motos arboraient et ont imposé le port des chasubles de la mairie. A côté de cela, ils ont procédé au contrôle des pièces de permis de conduire. Ceux des conducteurs de motos qui n’en disposaient pas voyaient leurs engins saisis par la police municipale. Et la façon avec laquelle ces agents interpellaient les conducteurs de motos était brutale ».
Une brutalité qui allait même jusqu’à la bastonnade de certains conducteurs de moto. Un benskineur a fait le témoignage de l’un de ses compères a perdu connaissance suite aux actes de brutalité de ces agents de la Mairie. C’est alors que les conducteurs de moto vont se mettre en colère. Ils vont décider de signifier leur colère en bloquant la voie publique sur l’axe routier Carrefour Agip vers le Marché Mboppi. C’est à la suite de ces barricades que les forces de polices vont intervenir et s’en prendre aux conducteurs de moto. Les motos vont être saisies, près de 13 moto taximen seront embarqués.
Et pourtant, les moto taximen ne demandent qu’une chose. « Nous ne demandons qu’à travailler. Il est vrai que plusieurs conducteurs de motos ne disposent pas de permis de conduire. Néanmoins, ils ont entamé les procédures pour avoir ces permis-là. Chaque camp de moto est en train de se mobiliser pour obtenir cette pièce. Maintenant, nous sommes dans ce processus et pendant ce temps, la mairie ne nous permet pas de travailler. Ils ne veulent même pas nous comprendre ».
Stéphane NZESSEU
La mesure est entrée en vigueur à partir du 02 mars 2021.
La mairie de Yaoundé 5 a décidé de lutter contre l’insalubrité et de punir désormais les personnes responsables. Le maire Augustin Bala annonce des sanctions contre toute personne qu’on trouvera en train de jeter à terre des ordures.
«Toute personne désormais surprise sur le territoire de la commune de Yaoundé 5 en train de jeter une ordure au sol, quelle que soit la nature de cette ordure, sera interpellée pour payer une amende de 10 000 FCFA dans les caisses de la commune », a déclaré Augustin Bala au cours de la cérémonie de lancement des activités de la société Hyper Clean.
Il faut savoir que Augustin Bala le Maire de Yaoundé 5 a conclu un partenariat avec la société Hyper Clean. Ce partenariat implique que ladite société assure désormais dans sa commune, une opération de conditionnement et de pré-collecte des ordures ménagères. Selon nos sources, Hyper Clean va devoir collecter les ordures ménagères à l'intérieur des quartiers et villages de Yaoundé 5, par le biais des tricycles et des grands sacs plastiques poubelles, pour ensuite les ramener au niveau des bacs à ordures de la structure officielle de ramassage et de recyclage des ordures ménagères, qui est Hygiène et Salubrité du Cameroun (Hysacam).
Avec ce partenariat, Yaoundé 5 veut conserver son titre de commune la plus propre de la capitale, et par ailleurs celui de troisième du concours des villes les plus propres du Cameroun en 2020. Il convient de noter que la Mairie avait reçu en récompense une enveloppe de 50 millions de FCFA. Il a été décidé que cette enveloppe serve à la construction d’une bretelle entre le rond-point « Mobil omnisports- Total Ngousso ». Le but étant de parvenir à désengorger cette rue très souvent otage des bouchons.
Liliane N.
En plus des séparatistes neutralisés, l’armée a détruit un camp d’entraînement et de fabrication d’armes artisanales à Bui.
Durant une semaine, les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ont ratissé la ville de Bui située dans la région du Nord-Ouest. L’opération baptisée «Bui 1» a permis de neutraliser 12 séparatistes et de détruire un camp d’entraînement et de fabrication d’armes artisanales à Yeloum, localité située entre Oku et Nkoo.
Il convient de souligner que pour mener cette opération, l’armée a mobilisé plus de 400 soldats. Ceux-ci ont été conduits par le Colonel Charles Alain Matiang, Commandant de la 51e Brigade d’infanterie motorisée. Intervenant au sujet de ladite opération sur les antennes de la CRTV, le Général Valère Nka, Commandant de la 5e région militaire interarmées a déclaré que «je leur ai dit de continuer dans le respect des droits humains, des règles d’engagement et de comportement. Nous devons pacifier le Nord-Ouest. Nous sollicitons aussi la collaboration des populations parce que ce sont elles qui souffrent contre les exactions des terroristes sécessionnistes».
Il faut aussi noter que l’opération «Bui 1» n’est pas le fruit du hasard. Elle a été motivée par les attaques séparatistes devenues récurrentes dans cette ville du Nord-Ouest. Des attaques qui ont couté la vie déjà à deux soldats et qui mettent en mal les populations. Les Forces de Défense et de Sécurité avaient donc l’objectif de ratisser large pour neutraliser l’ennemi qui continue à semer la désolation dans ce département.
Liliane N.
L’armée rejette toutes les accusations de viol de femmes, meurtre et destruction de maisons portées contre elle par l’Organisation non gouvernementale Human Rights Wacth. Elle affirme avoir bel et bien menée une opération de bouclage, dont l‘objectif était de mettre hors d’état de nuire des séparatistes qui avaient fait de la localité d’Ebam, une base arrière de planification des attaques dans l'arrondissement de Eyumojock et ses environs.
C'est par la plume du Capitaine de Vaisseau Cyrille Serge Atonfack Nguemo le Chef de Division de la Communication au Ministère de la défense, que l'armée apporte des éclairages sur les évènements qui se sont produits dans la nuit du 1er mars 2020 à Ebam, une localité située dans la région du Sud-Ouest. Contrairement aux allégations portées contre elle par l'Organisation non gouvernementale (ONG) Human Rights Watch, le Capitaine de Vaisseau Cyrille Serge Atonfack Nguemo affirme que l'armée n'a ni violé des femmes, ni tué et encore moins détruit des maisons. Dans le communiqué de presse parvenu à notre rédaction, le porte-parole de l'armée indique que c'est une opération de bouclage qui a été menée à Ebam. Elle avait pour but de neutraliser des séparatistes qui ont fait de cette localité, la base arrière de planification des attaques dans l'arrondissement de Eyumojock et de ses environs.
Selon le communiqué du Capitaine de Vaisseau Cyrille Serge Atonfack Nguemo, l'armée a saisi une arme de fabrication artisanale et des munitions, 16 motocyclettes. Il y a aussi eu au terme de l'opération un séparatiste neutralisé, 35 individus interpellés et mis à la disposition de la Compagnie de Gendarmerie de Mamfé pour exploitation.
A titre de rappel, en date du vendredi 26 février 2021, l'ONG Human Rights Watch dans un rapport rendu public a affirmé que l'armée a violé au moins 20 femmes. Et parmi elles, quatre sont des personnes qui vivent avec un handicap. L'ONG a affirmé que les mêmes soldats ont tué un homme et ont arrêté 35 autres.
L’ONG Human Rights Watch porte de nouvelles accusations contre l’armée
Retrouvez ci-dessous le communiqué de l'armée
Jean-Jacques Lengue Malapa le Maire de Douala 1er a décidé de fermer les écoles maternelles communales de sa zone de commandement, le Préfet du Wouri dans un arrêté, affirme qu’il n’a pas la compétence, pour prendre pareille décision.
C’est l’affaire qui créée actuellement la controverse à Douala 1er dans la région du Littoral. Benjamin Mboutou le Préfet du département du Wouri s’oppose à une décision prise par Jean-Jacques Lengue Malapa le Maire de la Commune de Douala 1er. La décision du Maire qui pose problème concerne la fermeture des écoles maternelles communales de sa zone de compétence.
Le Maire a sorti deux communiqués. Dans le premier, il affirme qu’en dépit des mesures de lutte contre le Coronavirus prises par le gouvernement, on note que les écoles maternelles restent un foyer de contamination. Pour cela et voulant lutter à sa façon contre la pandémie, Douala 1er ferme jusqu’à nouvel ordre ses écoles maternelles. Dans le deuxième communiqué le Maire a indiqué qu’il s’agit d’une suspension momentanée. Elle ira du 1er au 7 mars 2021 pour permettre la désinfection des écoles. Les cours reprendront donc dans ces écoles, le 8 mars prochain.
La décision du Maire Lengue Malapa qui semble avoir été prise sans concertation d’autres autorités de la région du Littoral n’a pas été cautionnée par Benjamin Mboutou le Préfet du Wouri. En date du 2 mars 2021, il a signé un arrêté dans lequel, il indique que ladite décision du Maire de Douala 1er est rapportée pour atteinte à la cohésion sociale et incompétence de son auteur. De ce fait l’autorité administrative demande à ses collaborateurs à savoir le Sous-préfet de l’Arrondissement de Douala 1er, le Délégué départemental de l’Education de base du Wouri de respecter l’arrêté qu’il a signé.
S’alignant sur la position du Préfet du Wouri, Léopold Ymga Djamen le délégué régional de l'Education de Base pour le Littoral a ordonné au délégué départemental du Wouri et à l'inspecteur d'arrondissement de Douala 1er de «procéder dès ce jour (02 mars 2021 NDLR) à l'ouverture des écoles» dans les conditions qu'il a fixées. Il a ordonné la reprise du processus d’enseignement/apprentissage pour tous les élèves non déclarés «Covid-19 négatif», l’admission progressive dans les salles de classe, sous présentation d’un bulletin de santé déclaré «Covid-négatif» des autres élèves et enseignants qui ne se seront pas soumis au testing massif. Le délégué régional a précisé pour le déplorer que «la mesure prise par monsieur le Maire de la commune de Douala 1er a été hâtive non concertée et inappropriée».
Liliane N.
Dans une lettre ouverte rédigée ce 1er Mars, l’homme politique en évoquant la « Souveraineté du Peuple Camerounais » s’indigne en outre de ce qu’il considère comme « l’épreuve des trahisons » de la classe à laquelle il appartient.
« Au moment où l’Existence du Cameroun comme Etat Souverain fait face à une négation minutieusement planifiée par certaines Puissances et Institutions Internationales, honteusement mise en action par quelques Satellites opérant dans notre Société sous les Camisoles de « leaders politiques, leaders de la société civile », l’UPC a le Devoir Historique de réagir.
Du haut de ses 73 ans, de Son Statut Fondamental de Sentinelle de la Souveraineté du Cameroun et de Son Peuple, l’Ame Immortelle du Peuple Camerounais use de son Autorité pour opposer aux girouettes, adeptes des jongleries machiavéliques, aux commerçants de la guerre et à leurs Sous-traitants locaux, les Vertus de la Vérité et rappelle la détermination des Filles et Fils de cette Nation à sauvegarder les acquis de la Réunification et l’Indépendance du Cameroun.
Les faits historiques sont parfois têtus. Au point où, se référer à l’Histoire de son Pays afin de comprendre les Enjeux de l’heure devient fondamental pour dénouer les méandres et éloigner du Cameroun, les nuages et complots qui s’y amoncèlent.
Par conséquent, il importe d’élaguer les postures extrémistes pour faire triompher le Patriotisme Légendaire dont notre Pays a besoin aujourd’hui pour vaincre ses ennemis.
L’UPC tient à partager avec tout le Peuple Camerounais, son immense indignation face à la détermination de certaines grandes Puissances et Institutions Internationales à déstabiliser le Cameroun. Et dans la même perspective, placer notre Pays sous la conduite de leurs satellites réfugiés dans la classe politique camerounaise.
Ce qui indubitablement débouchera à la mise entre parenthèses de la Souveraineté du Peuple Camerounais dans la gestion des Intérêts du Cameroun. Depuis quelques jours, nous écoutons les contenus de leurs Communiqués.
Ces apôtres de la déstabilisation du Cameroun pensent trouver dans l’arrivée d’un nouvel exécutif à la tête des Etats-Unis d’Amérique, une dynamique plus attentive. Ils réapparaissent dans les réseaux sociaux, utilisent tous les arcanes diplomatiques du monde pour demander que le Cameroun, qui devait être leur Patrie, soit placé sous la tutelle des industries de la guerre.
La soif du pouvoir devenant plus aveuglante encore, ils jubilent et sollicitent un accompagnement plus avéré pour déstabiliser les Institutions de notre Pays.
Et, de manière à peine diffuse, un leader d’un parti politique de l’opposition n’a pas hésité de souligner que le « moment venu, il ne manquera pas d’être reconnaissant » des « pays et institutions » étrangères accompagnatrices d’une « mission » au Cameroun.
Les positions de certains représentants d’une Puissance devant les instances de l’organisation des Nations-Unies nous fondent à affirmer sans ambages qu’il y aurait quelque part un acharnement, mieux, une détermination des officines et leurs satellites à semer le chaos au Cameroun.
Les Patriotes jaloux de la Dignité et de la Souveraineté de notre Peuple doivent le savoir et redoubler de vigilance. Le Peuple Camerounais doit démasquer les marionnettes, les sous-traitants et pantins réfugiés dans la Classe Politique Camerounaise et chargés de réaliser certaines missions néfastes pour l’Avenir du Cameroun.
Voilà la Vérité.
Ces derniers jours, les postures et communiqués de certains leaders de l’opposition camerounaise, relèvent d’un plan stratégique des stratèges de certaines officines et puissances étrangères procédant à un véritable lavage de cerveaux à domicile des populations camerounaises, à un moment délicat de notre Histoire.
Face à cet acharnement dont fait l’objet le Cameroun et ses Institutions de la part de ce Collège du Grand Damier Planétaire et ses affidés, l’UPC rappelle à juste titre que :
1- Le Chef de l’Etat S.E Paul BIYA élu démocratiquement lors de l’Election Présidentielle du 07 Octobre 2018, démontre dans sa gouvernance son attachement à la sauvegarde de la Souveraineté du Peuple Camerounais.
Ce qui fonde l’Amour dudit Peuple à son endroit. Dès lors, tous les Vrais Amis de notre Nation doivent lui apporter leurs soutiens dans la gestion des crises que traverse le Cameroun en ce moment.
2- Ceux qui ont mis sur pieds des plans machiavéliques pour nier la capacité du Peuple Camerounais à être Jaloux de sa Liberté et à choisir en toute Souveraineté ses Représentants dans le cadre des élections, sont abasourdis par le sursaut d’orgueil de ce Peuple qui a catégoriquement rejeté les multiples coups d’Etat Institutionnels élaborés dans certaines officines.
3- Dans la Paix et en toute Sérénité, les Camerounaises et les Camerounais tiennent en tout temps et en tous lieux à exprimer librement leur attachement à l’Unité et l’Indivisibilité de notre Nation.
Serge Espoir Matomba refuse toute ingérence américaine dans les affaires internes du Cameroun
Le Parti Historique, l’UPC, invite la Communauté Internationale à se rendre à l’évidence que ceux dont le programme politique réel se ramenait à l’utilisation des Elections au Cameroun, comme un prétexte pour créer des conditions propices à un soulèvement populaire et à la prise du pouvoir par la rue, ignorant au passage l’Orgueil, le Patriotisme et la Maturité Politique du Peuple Camerounais, ont été pris dans leur propre piège.
Voilà pourquoi, du haut de ses 73 ans de combat pour la Sauvegarde de la Souveraineté du Peuple Camerounais, l’UPC exhorte une certaine opposition camerounaise à tourner définitivement la page de la logique insurrectionnelle et à inscrire son action sous les prismes de la modernité et du respect scrupuleux des Institutions Républicaines et ceux qui les incarnent.
Il est temps pour les leaders de cette classe politique de comprendre qu’il est possible de diriger le Cameroun grâce à l’expression de la Souveraineté de son Peuple que représente le décret des Urnes.
Vouloir tournez le dos à cette caractéristique de notre Nation pour se transformer en un simple mercenaire, laudateur voire serviteur invétéré de la déstabilisation du Cameroun, c’est véritablement choisir sa place dans les marécages du déshonneur et de la trahison du Peuple Camerounais.
Vaillant Peuple Camerounais Souverain, C’est le lieu pour l’Union des Populations du Cameroun de saluer et de féliciter les Patriotes Camerounais qui ont toujours su rappeler à toute notre classe politique que dans un pays démocratique comme le Cameroun, seules les élections fondent l’accès au Pouvoir d’Etat.
Dans le cas d’espèce, les faits sont têtus et ne sauraient être violés. Par conséquent, tous les mercenaires de l’opposition camerounaise, demandeurs de soutien et visa auprès de certaines puissances et officines étrangères pour semer le chaos au Cameroun, doivent mettre fin à cette aventure désastreuse pour leur avenir politique.
L’UPC appelle le Peuple Camerounais à la Vigilance, à la retenue et au calme. Notre Peuple doit faire confiance aux Institutions de la République et tourner le dos aux plans de déstabilisation conçus dans certaines officines pour s’accaparer des richesses du Cameroun.
Ensemble, unis dans l’Amour de notre Nation, nous allons trouver des solutions aux crises que connait notre Pays.
Nous reconnaissons que notre Peuple est assez avisé pour vaincre les multiples stratégies des ennemis de notre Nation.
Voilà pourquoi, face aux multiples stratégies et campagnes de manipulation de nos populations orchestrées par certains réseaux et lobbies qui cherchent par tous les moyens à mettre entre parenthèses notre Souveraineté, pour acter leur logique de déstabilisation du Cameroun, nous voulons compter sur vous.
Ces réseaux adeptes de la logique insurrectionnelle, veulent par tous les moyens utiliser et susciter les affrontements entre les Camerounais.
Très attachée à l’Unité, l’Indivisibilité, la Souveraineté et la Sauvegarde de l’Intégrité de notre Territoire, l’Union des Populations du Cameroun apporte son total soutien aux Institutions de la République pour faire respecter la Volonté du Peuple Camerounais quant à la gestion des Défis et Enjeux qui interpellent le Cameroun.
C’est ce lundi que le magistrat municipal, par ailleurs président de la Section du Rassemblent Démocratique du Peuple Camerounais du Mfoundi 5 a entamé la tournée des différents quartiers et villages de cette commune, afin d’offrir « à ses mamans, sœurs et filles, le précieux sésame de la fête du 08 mars ».
Ce lundi 01er mars, la caravane conduite par Augustin Bala en personne s’est tout à tour arrêté au stade du Kilombo - Mvog-ada, à la grande satisfaction de toutes les femmes de Djoungolo ; Puis à l'esplanade de l'ancienne Mairie, pour donner du sourire aux dynamiques femmes du G14;
C’est ensuite à Elise Bar que le Maire et sa délégation ont marqué un stop, et ont remis aux dames de force 18 et de Kong lycée bilingue, le paquet qui leur revenait ;
Puis, c’était au tour de celles qui résident aux alentours de la chefferie de Ndzengue Jean marie, par Nkolmesseng. Pour ce premier jour, le magistrat municipal a marqué une halte à Abom, au niveau du domicile du deuxième Adjoint au Maire, Ekobena Mbida Joseph afin de faire plaisir aux charmantes dames d'Essessalakok, résident à Abom et à Ngona.
La remise s’est faite dans un esprit d’équité parce que chaque présidente de comité de base venait accompagnée de onze (11) autres membres de bureau.
Le partage va se poursuivre ce Jour car, du point de vue d’Augustin Bala – Maire de la Commune de Yaoundé V, « Aucune femme, jeune fille, maman ne doit se sentir lésée car, nous avons pensé à toutes ce Dames, grâce à qui nous sommes ce que nous sommes. Elles nous soutiennent au quotidien, nous accompagnent dans nos actions, portent parfois nos problèmes et nos soucis et supportent nos caprices…
Il est donc tout à fait normal de penser à leur faire plaisir, en ce jour qui leur est dédié et leur dire aussi, qu’au-delà du port du pagne, c’est une journée au cours de laquelle elles doivent elles aussi marquer un temps d’arrêt, afin de réfléchir à nos côtés, plus que par le passé, à ce qu’il convient de faire, afin de rendre l’Arrondissement de Yaoundé 5 viable… ».
Au-delà du pagne du 8 mars, le magistrat municipal a convié les Dames de son Arrondissement le 7 Mars prochain, pour dit – il, « Une autre surprise »…
En rappel, le thème de célébration de la 35ème édition de la Journée Internationale de la Femme est : Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19.
Nicole Ricci Minyem
Il s’agit de 279 adolescentes, enlevées vendredi dernier dans un pensionnat de leur lycée, construit à Jangebe, nord-ouest du pays. Dans un communiqué aux premières heures de la matinée par le gouverneur de cet Etat, on sait qu’elles ont toutes été libérées.
Après leur libération, elles ont été conduites dans les locaux du gouvernement de Zamfara, a annoncé Dr. Bello Matawalle -gouverneur de cet État à nos confrères de l'AFP.
« Je suis heureux d'annoncer que les filles ont été libérées. Elles viennent juste d'arriver dans la maison du gouvernement, et sont en bonne santé…Le nombre total de filles enlevées dans l'école est de 279, elles sont toutes ici avec nous, nous remercions Allah ».
Une énième attaque
En plus des kidnappings recensés au cours des années antérieures, celui qui s’est passé dans la nuit du 25 au 26 Février dernier était le quatrième, dans le même Etat depuis le début de l’année en cours.
Selon les informations données par la même source, « des hommes lourdement armées se sont introduits dans le pensionnat alors que tout le monde dormait, ont bâillonné les responsables et obligé les adolescentes à les suivre, sans qu’elles n’aient le temps de se couvrir… En partant, ces bandits ont aussi emporté du bétail ».
Demandes et paiement de rançon
Dans l’optique de perpétuer leurs crimes, ces « bandits de grands chemins » multiplient des actions comme celle dont il est question ici, pour exiger de fortes rançons au gouvernement nigérian.
« Tenus en laisse », les autorités de l’avis de nos confrères de l’Afp sont obligés de se soumettre, notamment celles de Zamfara qui « ont l'habitude de discuter avec les groupes criminels avec lesquels ils négocient depuis plus d'un an des accords d'amnistie en échange de la remise de leurs armes…
Ce sont les responsables de l'État de Zamfara qui avaient d'ailleurs négocié la libération en Décembre 2020 de 344 garçons qui avaient été enlevés par des bandits de leur pensionnat dans l'État voisin de Katsina ».
Présents dans le Nord du Cameroun
Les éléments de la secte terroriste Boko Haram ont, à de nombreuses reprises traversé les frontières qui délimitent leur pays pour commettre des exactions dans la partie septentrionale du Cameroun. A leur actif, des raids dans les fermes, l’enlèvement avec demandes de rançon, assassinat et bien d’autres crimes.
Fort heureusement, les Forces de Défense et de Sécurité veillent au grain, les traquant jusqu’à leur dernier retranchement, à travers des actions menées en partenariat avec les comités de vigilance présents dans chaque village, le plus petit hameau.
Nicole Ricci Minyem
C’est à travers un tweet publié sur sa page Facebook que le membre du Gouvernement a tenu à apporter des précisions par rapport à l’utilisation de cette somme d’argent mise à la disposition du département ministériel dont il a la charge.
Précisions du Minsanté
« Je lis ça et là : 25 ambulances à 7 milliards…faux. Il s’agit de dix (10) ambulances médicalisées de type B et quinze (15) de type C.
Six (6) scanners dont deux (2) de soixante quatre (64) barrettes et quatre (4) de seize (16) barrettes ;
Trente cinq (35) appareils de radiographie mobiles ; deux cent cinquante (250) moniteurs multiparamétriques avec électrocardiogrammes ;
Cinq cent (500) concentrateurs d’oxygène ; cent soixante deux (162) respirateurs de réanimation ; cent cinquante (150) oxymétries de pouls ;
Mille (1000) tensiomètres électriques ; mille (1000) stéthoscopes ; cinq cent (500) thermomètres électroniques ; six (6) appareils de radiographie hausse/ poumon ;
Six (6) appareils de mammographie ; trente cinq (35) numériseurs de films radiographie ; sept (7) panoramiques dentaires ».
Prêcher le faux pour connaître le vrai
Aujourd’hui, nombreux sont les Camerounais, si ce n’est tous qui refusent de retomber dans la politique des non- dits, celle de l’opacité. Pour avoir des informations par rapport aux sujets qui les intéressent, ils n’hésitent pas à prêcher le faux pour connaître le vrai.
Il faut dire que les réseaux sociaux, à l’instar de tweeter et de Facebook leur donnent l’opportunité d’atteindre directement leurs objectifs, « obligeant » ainsi les membres du Gouvernement à réagir.
C’est ce qui vient de se passer avec cette fausse information de l’achat de « 25 ambulances à 7milliards de FCFA ». Le sujet est devenu viral sur la toile et, des comparaisons ont été faites entre le Cameroun et d’autres pays qui utilisent très peu d’argent pour l’achat de ces véhicules médicalisées.
Obligation de s’expliquer
Un tollé quasi général qui a obligé Manaouda Malachie – ministre de la Santé Publique à faire une sortie que certains considérèrent comme « défensive », alors qu’il aurait pu agir autrement ; notamment communiquer sur l’obtention de cet argent et à quelles fins il est dédié avant que cela n’aille dans tous les sens.
Des changements sont toutefois perceptibles
Même s’ils demeurent subtils. On en a relevé quelques uns, depuis l’avènement du Corona Virus, avec les multiples levées de fonds, dont celles faites par certains parlementaires, qui ont toujours mis à la disposition du public, des informations relatives à la gestion de l’argent qu’ils ont collecté.
Manaouda Malachie a souscrit à cette dynamique, en faisant régulièrement des comptes rendus relatifs aux divers dons reçus, à la gestion de ces derniers…
Une dynamique positive
Qui doit s’étendre sur tous les autres secteurs de la Santé publique, et, qui doit faire tâche d’huile, au sein de l’appareil gouvernant. Les ministres, les directeurs généraux et tous ceux qui ont le pouvoir de signature devraient peut être arrêter de donner du grain à moudre aux « professionnels des fake », en s’expliquant au quotidien sur la gestion de la chose publique, notamment les fonds mis à leur disposition pour tel ou tel autre projet.
Une culture qui va également tordre le cou aux bandits à col blanc dont certains sont aujourd’hui derrière les barreaux.
Nicole Ricci Minyem
Séraphin Magloire Fouda le Secrétaire général du Premier Ministère dans une correspondance adressée au Ministre de l’Education de base, justifie l’interdiction de la tenue des Jeux Fenasco ligue B par la résurgence de la pandémie du Coronavirus.
Selon la correspondance du Secrétaire général au Premier Ministère adressée au Ministre de l’Education de Base, la décision de surseoir à l’organisation des Jeux FENASCO ligue B vient de Joseph Dion Ngute le Chef du gouvernement. Au lieu de penser à l’organisation de ces Jeux, le Premier Ministre instruit à la place que le Ministre de l’Education de base se préoccupe de la mise sur pied de toutes les mesures barrières nécessaires pour barrer la voie au Coronavirus.
A titre de rappel, les Jeux Fenasco regroupent les élèves du secondaire qui viennent des dix régions du pays. Ceux-ci s'affrontent dans 13 disciplines sportives. A la 22ème édition qui s'était déroulée sous le thème "Sport scolaire, pour la paix et l'unité dans la diversité", il y avait eu l'introduction de nouvelles disciplines comme le tennis et l'haltérophilie, la lutte au niveau des ENIEG et une catégorie supplémentaire dans le judo.
Liliane N.
Certains hommes des médias et de la rue pensent qu’un second confinement est possible, malgré que les autorités jusqu’ici n’y font pas allusion.
Des hommes de médias comme le journaliste Bruno Bidjang en service à la chaîne de télévision privée Vision 4, laisse entendre que le Cameroun pourrait se reconfiner. «Possible reconfinement au Cameroun dans les prochains jours...Concertation actuellement au Sommet de l’Etat », a écrit le confrère sur sa page Facebook.
Dans les rues de la capitale, dans les marchés et supermarchés, cette question fait aussi partie des sujets de conversation des camerounais. Est-ce qu’on sera confirmé ? C’est la question la mieux partagée. Un conducteur de moto taxi exerçant au quartier Ancienne Sonel affirme avoir porté sur son engin un officier de police qui lui aurait dit qu’un confinement s’annonce et qui serait bien que dans les ménages, qu’on fasse un plein du garde-manger.
Hier 1er mars 2020, le Maire de la commune d’arrondissement de Douala 1er a décidé de fermer toutes les écoles maternelles communales de sa zone de compétence. Dans le communiqué qu’il a signé, il indique «que malgré les prescriptions du gouvernement dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus, les écoles restent un foyer de contamination».
Toutefois, si de façon officielle la question d’un second reconfinement n’a pas été évoquée, hier en conférence de presse René Emmanuel Sadi le Ministre de la Communication porte-parole du gouvernement a indiqué que la courbe de contamination au Coronavirus est croissante. Le pays a enregistré 25 mille738 cas positifs à la date du 23 décembre 2020, à 35 mille 714 cas confirmés de COVID-19, au 25 février 2021, soit une augmentation de neuf mille neuf cent soixante-seize nouveaux cas positifs dans notre pays, en l’espace de deux mois et deux jours.
Coronavirus au Cameroun: le Ministre de la Communication lance une alerte maximale
Liliane N.
En même temps qu’ils assurent la sécurité de l’école publique de Bounderi, les militaires de la Force mixte multinationale ont décidé de dispenser les cours aux élèves.
L’école de Bounderi située dans le département du Mayo-Sava, à l’Extrême-Nord, est la seule ré ouverte dans le coin. Elle fait partie de ces écoles victimes des exactions de la secte terroriste Boko Haram. Les militaires de la Force mixte multinationale (FMM) ont donc décidé d’apporter leur secours dans l’éducation des enfants scolarisés dans ladite école. Et ce, en plus d’y assurer la sécurité. Ce sont eux qui vont dispenser les cours aux élèves de ladite école de Bounderi.
Il convient de noter que l‘armée est habituée de ce genre d’actions humanitaires. Pour la rentrée scolaire 2019-2020, le Bataillon d’intervention rapide (BIR) a réhabilité dans la localité de Gossi, dans le département de Mayo-Sava des salles de classes et des points d’eau potable. Ce geste avait soulagé énormément les habitants de cette localité qui avaient perdu goût à la vie après avoir été la cible du groupe terroriste Boko-Haram.
«C’est l’action de développement du Haut-commandement, qui est non seulement à Gossi, mais qui va s’étendre partout où les Force de défense et de sécurité sont déployées. Il s’agit pour le commandement de faire comprendre aux populations qu’ils sont là pour eux, et qu’ils devront faire cause pour la sécurité ensemble », avait expliqué le Lieutenant-Colonel Ndikum Azieh, Commandant du Bir Zone Sud, au micro de la CRTV.
On peut aussi citer comme autre action posée par l’armée pour le soutien de l’éducation dans les zones en conflit du pays, la remise du matériel didactique à l’école primaire bilingue de Kumba Mbeng, en novembre 2019.
Liliane N.