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Le préfet du département de la Menoua informe l’opinion que la cérémonie des obsèques aura lieu le 13 août 2021, à la place des fêtes de la ville de Dschang.

Les autorités ont décidé de donner des obsèques officielles, aux 58 défunts de l’accident de la route survenu le 27 janvier 2021 à la Falaise de Dschang, dans la région de l’Ouest. A cet effet, le préfet du département de la Menoua a rendu public un communiqué pour apporter plus d’éclaircis par rapport auxdites obsèques. La cérémonie sera présidée par Awa Fonka Augustine le gouverneur de l’Ouest. Elle aura lieu le 13 août prochain à la place des fêtes de la ville de Dschang. Et il est prévu qu’elle débute à partir de 10 heures.

«A cet effet, il (le préfet de la Menoua NDLR) les familles concernées à bien vouloir prendre part à ladite cérémonie pour qu’ensemble nous puissions accompagner les âmes de ces derniers dans leurs dernières demeures», peut-on lire dans le communiqué de l’autorité administrative.

Dans son communiqué, le préfet rappelle que jusqu’ici, 49 familles sur les 51 ont pu déclarer la perte de leurs proches dans la tragédie.

«Cependant l’on dénombre deux autres corps sans vies encore inidentifiables. Il appelle donc ceux n'ayant pas jusqu’ici déclaré ces personnes décédées à se présenter dans ses services pour clarification. En outre, certaines personnes dont les noms figurent sur les bordereaux de voyage du bus Menoua Voyage Express n’ont pas donné signe de vie depuis l’accident, malgré les communiqués», peut-on lire dans le communiqué de l’autorité administrative.  

 A titre de rappel, l’accident de la Falaise de Dschang de janvier 2021 a causé le décès d’une cinquantaine de personnes qui ont toutes été calcinées. 29 personnes ont été grièvement blessées. L’accident a été provoqué par la collision entre un bus de transport de la compagnie «Menoua Voyages», parti de Douala et une camionnette transportant du «carburant frelaté» se rendant à Santchou en provenance de la capitale départementale de la Menoua.

Liliane N.

 

En route pour les vacances dans son pays depuis Ngaoundéré, Chancella Ndongar a été stoppée au poste de contrôle de Touboro pour avoir « protesté contre les mesures sanitaires » mises en place.

 

Des images d’une jeune dame menottée, les larmes aux yeux, assise à même le sol dans des conditions inhumaines font le tour de la toile et suscitent de l’indignation.

Agence Cameroun Presse a appris que la victime, Chancella Ndongar, étudiante en deuxième année de droit à l’Université de Ngaoundéré dans l’Adamaoua et de nationalité tchadienne se rendait dans son pays pour les vacances.

Elle a été stoppée au poste de contrôle de Touboro pour défaut de test COVID-19 et pour avoir refusé de payer indûment la somme de 10,000F que lui a imposée la police camerounaise. Ces derniers auraient forcé le conducteur du minibus dans lequel elle se trouvait de faire descendre ses bagages avant de la menotter.

Malgré la présentation de ses pièces d’identité complètes et sa carte d’étudiante en cours de validité, Chancella Ndongar a passée plus de 5h de temps sans de l’eau à boire ni de quoi manger.

Selon Dang-Info 24, depuis l’avènement de la pandémie a Coronavirus, l’arnaque est devenue la mission première de la police et la gendarmerie camerounaise, précisément sur le trajet Ngaoundéré-Touboro.

A la suite de l’affaire Chancelle, Dang info nous fait savoir qu’un autre étudiant a avoué qu’en janvier dernier, il s’est fait « arnaqué » au poste de contrôle de Berem quand il se rendait au Tchad pour des raisons de santé.

« J’avais un passeport dûment visé, une CNI, mon carnet de vaccination, un laisser-passer spécial délivré par l’ambassade du Cameroun au Tchad et un test COVID-19 PCR négatif. Ils m’ont dit que la frontière est fermée, que je suis un passager clandestinIls m’ont estoqué une modique somme de 20,000F avant de m’abandonner seul sur la route 5h après mon arrestation pour ne pas dire séquestration. » peut-on lire dans un poste de Dang info sur son compte Facebook.

Dans un post très populaire sur les réseaux sociaux, le journal tchadienne Alwhida info qualifie les voyageurs tchadiens de « vache à lait pour les policiers camerounais ».

S.K.

Le Colonel Kalkaba Malboum justifie aussi l’échec de la team Cameroun par un manque de moyens financiers.

 

C’est connu de tous, le Cameroun n’a remporté aucune médaille à la 32ème édition des Jeux Olympiques (JO) de Tokyo. Tous les 12 athlètes qui représentaient le pays ont été sortis de leurs compétitions respectives dès leur entame. Sans grande surprise, le Cameroun s’est classé parmi les dernières nations des JO.

En sa qualité de président du Comité National Olympique et Sportif du Cameroun (CNOSC), dont la structure est pointée du doigt, le Colonel à la retraite Hamad Kalkaba Malboum a rejeté toute accusation qui parle d’une mauvaise politique en matière d’encadrement des athlètes, surtout le volet de l’octroi des bourses olympiques. Pour lui, il y a la survenue de la pandémie du Coronavirus et le manque de moyens financiers qui expliquent cet échec.   

« Le Cameroun n’as pas eu accès au podium, mais je pense que nos athlètes se sont battus au mieux de leur forme. Il y avait plus forts qu’eux. Il faut maintenant tirer les leçons de cette participation, se réajuster pour Paris 2024… Nous avons fait une évaluation à chaud, on va faire une évaluation plus approfondie une fois au Cameroun pour voir quels sont les problèmes de préparation auxquels nous avons été confrontés, et quelles sont aussi les difficultés que nous avons rencontrées compte tenu de l’environnement de pandémie, des engagements de notre pays à divers fronts… Moi j’ai le sentiment que le potentiel, le talent existe. Mais nous n’avons pas eu les moyens disponibles en temps voulu pour essayer de mettre les sportifs au niveau souhaité. Il y a aussi l’environnement qui ne permettait pas les déplacements d’un pays à un autre. Il a manqué pour certains de nos athlètes de bons sparring parthners», a-t-il déclaré sur les antennes du confrère la CRTV.

 

Liliane N.

 

Ernest Obama est accusé aussi de propagation de fausses nouvelles.

Pour la toute première fois depuis le début de l’affaire qui l’oppose à la Fondation Ayah Abine, Ernest Obama l’actuel Directeur général (DG) de Bnews1 s’est présenté hier 10 août 2021, au Tribunal de première instance (Tpi) de Yaoundé. Poursuivi par la Fondation Ayah avec la chaîne de télévision Vision 4 pour des faits qui se sont produits au moment où il y travaillait encore, Ernest Obama par la voix de son avocat a choisi de plaider non coupable. En fait, avec le Groupe L’Anecdote, il doit répondre des faits de diffamation, propagation de fausses nouvelles, et chantage.

A l’audience du 13 juillet 2021, le Tpi de Yaoundé s’était déclaré compétent pour juger cette affaire. Ce que ne pensent pas les avocats du Groupe L’Anecdote et de l’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga. Ils ont fait appel de la décision rendue le 13juillet 2021. Cette décision déclarait le Tpi de Yaoundé compétent pour juger ladite affaire. Toutefois, la Cour d’appel du Centre doit se prononcer sur ce contentieux avant le 14 septembre 2021. Et, c’est à cette date que la prochaine audience est prévue. Elle sera consacrée pour l’ouverture des débats.

Pour mieux comprendre, il convient de rappeler que lors d’une édition de l’émission «Tour d’horizon», Ernest Obama avait laissé  entendre que la Fondation Ayah dirigé actuellement par le fils du magistrat Ayah Abine avait une certaine proximité avec les séparatistes. En fait, le journaliste Obama relayait les propos d’un ex-combattant séparatiste reconverti. Plus grave, ce dernier a accusé la Fondation Ayah de livrer les armes aux séparatistes. Selon le confrère Le Jour, «de janvier 2020 jusqu’à ce jour, les comptes bancaires de la Fondation Ayah ont été fermés alors que cette ONG ne fait l’objet d’aucune plainte».

Décidé à laver l’honneur de la Fondation Ayah, le fils d’Abine en date du 7 janvier 2020 a saisi le Tpi de Yaoundé Centre administratif. Il a porté plainte au nom de leur Fondation contre le Groupe Anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga et Ernest Obama.

Liliane N.

L’entrepreneure, fondatrice et directrice de AppsTech basée aux Etats Unis a été déférée au Tribunal de 1er Instance de Bonanjo ce mercredi après avoir passée la nuit à la Légion de Gendarmerie de Douala.

Selon la présidente du Cameroon’s People Parti (CPP), Edith Kah Walla, Rebecca Enonchong, l'une des figures de l'entrepreneuriat féminin les plus connues et les plus distinguées en Afrique est entre les mains des forces de l’ordre depuis la matinée du mardi 10 aot.

Kah Walla affirme que Rebecca Enonchong a été interpellée à la suite d’une plainte verbale formulée par le procureur de la République pour ‘outrage à magistrats’.

Des sources non officielles indiquent qu’au cours d’une réunion avec le Procureur General, cette dernière aurait demandé que toutes les affaires la concernant soient instruites par un seul et unique enquêteur, d’où son interpellation pour ‘outrage à magistrats’.

Rebecca Enonchong qui réside aux Etat Unis est au Cameroun depuis quelques jours seulement. Selon Mimi Mefo Info, son frère en a profité pour déposer une plainte contre elle dans le cadre d’une affaire familiale qui les oppose.

C’est ainsi qu’une enquête a été ouverte. Cette dernière s’est rendue compte que ladite enquête a été confiée à plusieurs enquêteurs. Raison pour laquelle elle s’en est offusquée dans les bureaux des enquêteurs.

La présidente du Cameroo's People Party parle d'une détention arbitraire et demande sa libération. L’hashtag Free Rebecca est déjà devenu virale.

En attendant de voir la suite des évènements, notons que Rebecca est l’une des figures les plus connues et distinguées dans le domaine du high-tech sur le continent africain.

L’entrepreneure et fondatrice d’AppsTech a été portée au sein du conseil d’administration de l’entreprise publique djiboutienne Djibouti Télécom.

Connue et reconnue pour son travail, la camerounaise officie aux côtes des experts du secteur à l’instar de l’économiste ivoirien Claude Caliste  M’bahia.

S.K.

Les affrontements qui se sont déroulés dans la soirée du 10 août 2021 entre ces deux communautés, ont fait un minimum de 9 personnes tuées et plusieurs dizaines de blessés.

Selon nos sources, la situation était suffisamment grave dans l’arrondissement de Logone-Birni situé à l’Extrême-Nord du pays. Durant des heures, les Arabe Choa et les Mousgoum se sont violemment affrontés dans le canton d’El Birké. Alors que certains avaient des flèches, d’autres ont pris des machettes. On parle d’un minimum de 9 morts avec des dizaines de personnes blessées. Jusqu’ici on n’a pas encore l’origine des affrontements. Ce qu’on a appris toutefois est que, dans cette partie du pays, les batailles intercommunautaires sont très récurrentes. Et la plupart du temps, elles sont causées par des problèmes fonciers. D’ailleurs au mois de juin dernier, il y a eu de pareils affrontements dans la localité de Makari entre les Kotoko et les Arabes Choa. Le bilan dressé était de deux morts et plusieurs blessés.

Nous reviendrons sur cette information dans les prochaines publications.

Liliane N.

Midjiyawa Bakary s’est rendu dans la ville de Mokolo dans le Mayo-Tsanaga, afin de mettre à la disposition des comités de vigilance du matériel de travail, leur transmettre les encouragements du Président Paul Biya et réconforter les populations victimes des exactions de Boko Haram.

Les comités de vigilance dans le département du Mayo Tsanaga, région de l’Extrême nord du pays viennent de recevoir un nouveau matériel de travail constitué essentiellement de; téléphones portables, torches et machettes pour redynamiser la veille, dans un contexte marqué par des exactions à répétition de la secte islamiste Boko Haram dans la région.

 S’adressant aux membre des groupes d’auto-défense dans le département, le gouverneur leur a transmis les félicitations du Chef de l’Etat pour le travail abattu jusqu’ici.

« Le chef de l’Etat nous a instruit de féliciter les comités de vigilance pour le travail qu’ils ont abattu jusqu’ici. Etant donné que Boko Haram à changé de méthodes, le chef de l’Etat a demandé qu’ils rebondissent également sous une autre forme pour accompagner comme ils l’ont fait par le passé, nos forces de défenses et de sécurité, leur donner des informations pour une intervention en temps réel. » a-t-il indiqué au micro de nos confrères de la CRTV.

Quant aux bénéficiaires, ils ont remercié le Président de la République pour le geste et promis d’en prendre grand soin. « Les comités de vigilances qui étaient un peu découragés par rapport au manque de matériel vont reprendre le travail normalement. Nous lui disons infiniment merci. » A déclaré Emmanuel Viziga, président des comités de vigilance dans le Mayo Tsanaga.

En visite de travail en fin juillet dernier dans la région de l’Extrême nord suite à deux attaques terroristes ayant fait treize morts, le ministre délégué à la Présidence chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo avait recommandé aux comités de vigilance ainsi qu’aux populations de travailler main dans la main avec les Forces de Défenses et de Sécurité pour une réponse efficace aux menaces constantes de Boko Haram.

S.K.

Il s’agit des agences Solidarité Voyages et Avenir de la Kadey. Auteures d'accidents de la circulation ayant fait 38 morts, elles ont été suspendues indéfiniment. Toutefois, selon le Mintransports, ils peuvent espérer une indulgence au terme de l’exploitation complète des rapports d’enquêtes.

 

Le ministre des Transports, Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe, vient de décider de la suspension de deux agences de voyages, Solidarité Plus Voyages et Avenir de la Kadey, auteures de deux accidents de la circulation ayant fait près de 40 morts en l’espace de quelques heures le 05 aout dernier.

C’était la principale décision prise hier lors d’une réunion de crise entre le ministre Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe et les promoteurs et responsables des agences de transports routiers interurbain de personnes et de marchandises.

Il était question d’identifier les causes des trois derniers accidents mortels des 04 et 05 aout à Makenene, Awae et Batchenga, toutes des localités de la région du Centre, et de voir comment y remédier. Les accidents impliquant les agences de voyages : Charter Express, Avenir de la Kadey et Solidarité Voyages, avaient fait respectivement 02, 16 et 32 morts et plusieurs blessés graves.

En dehors de la suspension, le ministre a déroulé des nouvelles mesures pour limiter les accidents de la circulation. Entre autres, il a été demandé a tous les bus appartenant à des agences de transport d’être désormais munis de ceintures de sécurité.

Il faudra également mentionner désormais les heures de départs et d’arrivées par les chefs d’agences des sites respectifs sur les bordereaux de routes, afin de déterminer la durée exacte du voyage pour se rassurer du respect des délais de routes prescrits.

Le ministre demande également de lui faire parvenir tous les week-end les listes de tous les conducteurs assorties, de la photocopie de leur permis de conduire, ainsi que la photocopie des cartes grise de tous les véhicules ; de transmettre systématiquement pour tout dossier de demande d’agrément, les photocopies de permis de conduire des conducteurs, leurs affiliations à la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) et la liste des véhicules à exploiter.

Au cours de cette réunion de crise, Jean Ernest Ngalle Bibehe a déclaré que les propriétaires d’agences de transport public qui ne s’y conformeront pas seront sanctionnés en conséquence.

 

S.K.

L'information a été donnée ce Mardi, par Célestine Ketcha Courtès, ministre de l'Habitat et du Développement Urbain à travers un communiqué

 

Les “Populations des quartiers de Nkolmesseng et d’Oyom Abang, dans le Commune d’Arrondissement de Yaoundé V et VII, impacter par les travaux à réaliser dans le cadre du Projet du Développement des Villes Inclusives et Résilientes (PDVIR), financé conjointement par la Banque Mondiale et le Gouvernement Camerounais et placé sous la supervision du Département ministériel dont elle a la charge que les fonds en vue de l’indemnisation des populations impactées sont disponibles.

Le maire de ville de Yaoundé, accompagné des Autorités préfectorales, effectuera une descente dans les communes ce Mercredi 11 Août 2021.

Ladite descente a pour objectif d’une part, d’informer les autorités traditionnelles et les Populations concernées sur le calendrier de paiement des compensations liées aux pertes foncières, aux destructions de biens et aux déplacements des activités économiques ; Et d’autre part de les sensibiliser sur le processus qui précède le début des travaux…”.

La crainte de se voir flouer permanente au sein desdites populations

les exemples des expropriation et des indemnisations suivis de cris de douleur, de détresse ainsi que des plaintes sont légions au Cameroun; Les populations qui se voient obligées d’abandonner leurs  biens immobiliers ou économiques n’ont aucune idée ou presque, de la valeur financières de leurs avoirs, si bien qu’ils sont incapables, dans leur grande majorité de revendiquer quoi que ce soit;

Par ailleurs, il se pose le sempiternel problème de l’acquisition des terrains sur lesquels ils ont par exemple bâti leurs domiciles, enterré les personnes mortes au sein de leur famille respective... 

D’autres encore, appâtés  par les billets de banque sont en mesure de sous évaluer leurs biens et à la fin, après avoir utilisé inutilement leur argent, tombent dans une misère indescriptible et deviennent des “mendiants” aigris et envieux.

Deux autres points, d’une importance tout aussi capitale, nécessitent d’être évoqués. Il s’agit d’abord du rôle de l’autorité traditionnelle car, il s’avère que nombreux sont ceux qui font preuve de maladresse, mais plus encore de malhonnêteté vis à vis de leurs administrés, contournant la Loi avec la complicité des agents véreux qui, au passage reçoivent de fortes sommes d’argent.

Il est ensuite question des querelles entretenues au sein de certaines familles, des litiges fonciers qui constituent eux également de grosses entraves aux opérations d’indemnisation car, l’autorité administrative se voit  embarrassée lorsqu’elle se trouve devant une pléthore de candidats sur un seul terrain.

Toutes choses et bien d’autres qui doivent être prises en compte par Célestine Ketcha Courtès tout au long du processus d’indemnisation.

 

Nicole Ricci Minyem         

          

Cameroon’s Ambassador to the neighbouring country, Désiré Jean Claude Owono Menguele prefers parties at loggerheads arrive at a consensus.

 

Cameroonians residing in Equatorial Guinea have been warned against dragging their compatriots to court in the neighbouring country.

In a release signed by Cameroon’s Ambassador to Equatorial Guinea, Désiré Jean Claude Owono Menguele that has gone viral, it is clearly stated that the only way to initiate legal proceedings against a compatriot should be when all avenues for a consensus explored with the help of officials at the Embassy have been fruitless.

He states that defaulters of this order should henceforth be expecting repressive measures to befall them.

Read the full communique below.

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01