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Innocent D.H.

Innocent D.H.

L'engin de marque Sem de la société Tractafric a été réceptionné le 03 septembre dernier à l’esplanade de la mairie de Mbouda. C'était au cours d'une cérémonie qui a connu la présence du maire Wadji, avec à ses côtés, le préfet du département des Bamboutos.

 

De l'avis des spécialistes de ce domaine, cette pelle chargeuse acquise par la commune de Mbouda est dotée d’un godet chargeur d’une capacité maximale de 1500 litres, d’un moteur, d’un stabilisateur et d’une cabine. L'engin est capable d’effectuer les travaux les plus complexes, et fait partie de la catégorie des machines de terrassement. Il est l’un des véhicules de chantier les plus sollicités actuellement sur le marché, arguent les spécialistes. La pelle chargeuse est également pourvue d’un large godet sur l’avant pouvant pivoter et effectuer des mouvements verticaux.

Toujours dans le registre des fonctionnalités de cet engin de chantier, il lui est reconnue la capacité de servir à déblayer et niveler les surfaces après terrassement, à remblayer des espaces creux à savoir des trous et tranchées. Il sera également réservé aux activités de manutention, chargements et déchargements.

Et c'est une personnalité administrative conquis que le préfet du département des Bamboutos s'est exprimé à l'issue de la cérémonie de réception de cette pelle chargeuse neuve. « Vous savez que l’une des missions cardinales d’une mairie est l’enlèvement des ordures ménagères. C’est une tâche quotidienne. Je pense que le maire a compris qu’au lieu de chercher tout le temps à louer les engins pour assumer ses responsabilités, il fallait serrer la ceinture pour acquérir cette pelle chargeuse qui au-delà de cette mission d’enlèvement des ordures, constitue une source de recettes indéniables pour cette commune. Je suis certain que cet engin va booster les recettes de la commune de Mbouda. Et avec ces recettes, la mairie pourra donc résoudre d’autres problèmes urgents tout au moins des services sociaux de base », reconnaît François Franklin Etapa.

Coût d'acquisition

Un plus de 72 millions de francs, c’est la somme décaissée par la commune de Mbouda pour l’acquisition de cette pelle chargeuse neuve par la commune de Mbouda. L’acquisition de cet engin est une volonté de l’exécutif communal conduit par le maire Wadji dans le but de bâtir cette commune dont l’image reste moins reluisante au regard des défis liés à l’enlèvement des déchets ménagers mais aussi à la qualité des infrastructures, apprend-on.

Innocent D H

 

Une séance de travail consacrée à l’examen des préalables techniques et opérationnels à la mise en service d’un 4ème scanner sur la plateforme portuaire de la capitale économique camerounaise a eu lieu le 9 septembre dernier. C'était sous la présidence du directeur général des douanes, Fongod Edwin Nuvaga.

 

Selon les explications de la direction générale des douanes dans sa dernière newsletter, ce nouvel équipement permettra de passer au peigne fin, " les marchandises destinées à l’exportation, suivant une procédure bien décrite et assimilée par les différents acteurs ". A travers l’appareil dont la mise en service se prépare, le gouvernement compte accélérer l’implémentation de sa politique de scanning systématique des conteneurs tant à l’importation qu’à l’exportation.

A titre rappel, le premier scanner a été installé au port de Douala en juin 2006, afin de réduire les délais de passage des marchandises conteneurisées. Face à l’accroissement des volumes de marchandises sur cette plateforme portuaire, qui continue d’être la principale porte d’entrée au Cameroun, trois nouveaux scanners ont été mis en service en septembre 2016.

De sources bien informées indiquent que les flux financiers, qualifiés d’« illicites » dans le secteur du commerce international, auraient couté au Cameroun la somme brute de 31,5 milliards $ sur la période 2008-2017. Il s'agit ici d'un chiffre contenu dans une étude sur les « flux financiers illicites (FFI) en matière de commerce international au Cameroun » publiée, le 30 septembre 2020, par une coalition d’organisations de la société civile locale, conduite par le Centre régional africain pour le développement endogène et communautaire (Cradec).

Innocent D H

 

C'est en collaboration avec l’Agence de promotion des PME (APME). Le guichet agricole est un dispositif qui permettra de faciliter aux petites et moyennes entreprises œuvrant principalement dans la transformation des produits agricoles, l’accès aux crédits bancaires.

 

A en croire les révélations faites par Jean Marie Louis Badga, directeur général de l'APME, au cours d'un récent atelier organisé à Douala, « Nous avons engagé un processus dans le cadre du programme de transformation des produits agro-alimentaires, pour la création d’un guichet agricole au sein de la Banque camerounaise des PME (…) Nous avons commencé ce processus par des études, pour identifier un certain nombre de produits financiers ».

L'APME explique que le dispositif va offrir divers produits parmi lesquels se trouve le « cautionnement mutuel ». « Les sociétés de cautionnement mutuel (SCM) sont des associations à but non lucratif créées par de petits entrepreneurs (…) et/ou par divers organismes de production. La principale fonction des SCM consiste à offrir aux banques une garantie, afin que les PME puissent obtenir un crédit à des conditions favorables », apprend-on.

« La principale caractéristique des SCM est la mutualité, un principe de solidarité qui unit les petits entrepreneurs (…) économiquement faibles, et leur permet de s’apporter une aide réciproque grâce aux garanties constituées par les versements des différents adhérents », ajoute l'agence de promotion des PME. Ce qui fait dire à certains experts de la finance, que ce mécanisme pourrait révolutionner l’accès des PME camerounaises aux crédits bancaires.

Innocent D H

L'information est rapportée par nos confrères du quotidien à capitaux publics Cameroon Tribune. Il a été interpellé le 1er septembre à Ngaoundéré, capitale régionale de l’Adamaoua, avec trois autres membres du 3R.

 

Selon Cameroon Tribune, les quatre hommes sont accusés d’« infraction internationale, tentative de trouble à l’ordre public, faux en écriture publique et authentique, immigration clandestine avec complicité ». Ils doivent comparaître devant le tribunal militaire pour répondre de ces accusations.

L'on apprend en outre que Hamadou Bouba a été arrêté suite à un renseignement fiable, alors qu’il projetait d’organiser des kidnappings dans la ville. Une descente menée par le bureau de la lutte contre la grande criminalité de la légion de gendarmerie de l’Adamaoua dans un domicile au quartier Bali, dans le centre-ville, a permis de mettre la main sur ce chef rebelle centrafricain, ainsi que sur son complice, Mamadou Abdoul Aziz, de nationalité camerounaise. L’enquête ouverte suite à cette opération et l’exploitation des suspects a abouti à l’interpellation de trois autres membres du groupe rebelle et d’un complice camerounais, rapporte le média public.

Lors de la perquisition, les gendarmes sont tombés sur de faux documents, de registres d’actes de naissance vierges, des cachets de plusieurs autorités camerounaises et de faux diplômes. Les éléments des forces de l’ordre ont également mis la main sur des photos des suspects posant en tenue de combat avec leurs camarades. Le mouvement rebelle 3R est l’un des plus puissants groupes armés en République centrafricaine (RCA), accusé de multiples exactions.

Innocent D H

Le Ministre d'Etat, Ministre de l'Enseignement supérieur (Minesup) vient de présider avec ses collaborateurs une réunion, en prélude à la rentrée universitaire prochaine, prévue entre le 5 et le 15 octobre 2021. Occasion pour le Pr. Jacques Fame Ndongo, d'aborder avec les parties prenantes divers aspects importants de l'Enseignement supérieur au Cameroun.

 

Élargie aux questions relatives à la rentrée universitaire 2021, la réunion de concertation n'a pas éludé les sujets se rapportant à la maitrise de la recherche et au renforcement de l’employabilité des diplômés grâce, notamment, aux incubateurs d’entreprise.

S'agissant du recrutement spécial des titulaires du doctorat ou du PhD, l'on apprend selon le communiqué final ayant sanctionné les travaux que, " Le président de la commission centrale de supervision de cette opération spéciale ayant fixé à 573 le nombre d’enseignants à recruter dans le cadre de la troisième et dernière phase, les propositions de répartition des postes par Université ont été effectuées, séance tenante, avec la participation active et méthodique des Vice-Chancellors et des Recteurs des Universités d’Etat. Cette clef de répartition sera soumise à la sanction de M. le Président de la Commission Centrale (le Pr Séraphin Magloire Fouda, Secrétaire Général des services du Premier Ministre, Chef du Gouvernement) ".

Pour ce qui est du point sur les thèses de doctorat ou PhD soutenues, en vue d’une gestion rationnelle de la production du capital humain à l’échelon pédagogique supérieur, chaque Vice-Chancellor ou Recteur a fait état du nombre de thèses de doctorat ou de PhD soutenues, par Université, par année académique, par établissement et par spécialité depuis les trois dernières années académiques.

La rencontre a fait la part belle à la rentrée académique 2021. Il ressort des travaux que le Ministre d’Etat, les Vice-Chancellors et Recteurs se sont appesantis, en outre, sur les questions liées aux infrastructures (au regard de la hausse exponentielle des effectifs : 169 766 nouveaux étudiants attendus à la rentrée 2021 – 2022 (entre le 5 et le 15 octobre 2021).

En outre, des précisions sur les pré-inscriptions ont été données par les Vice-Chancellors et Recteurs. Le binôme " enseignement présentiel et enseignement distanciel " sera optimisé en 2021–2022 grâce, notamment, à la mise en service dans chaque Université d’Etat, au campus de l’Université Inter-Etats Congo – Cameroun à Sangmelima, et au niveau central (Minesup) de 10 centres de développement du numérique universitaire (CDNU) déjà construits et équipés par la coopération chinoise, dans le cadre du E-National Higher Education Network. Ces centres modernes sont offerts à la jeunesse estudiantine du Cameroun par Son Excellence Paul Biya, Chef de l'Etat en vue de l'arrimage optimal des étudiants camerounais à la civilisation cybernétique.

" Le Ministre d’Etat, ses proches collaborateurs et les chefs des Institutions universitaires publiques ont aussi examiné des questions relatives au fonctionnement général des Universités, notamment l'efficience des incubateurs d'entreprise fonctionnels dans chacune des universités d'Etat et le nécessaire accompagnement juridique, administratif et financier des dix Centres de développement du numérique universitaire, catalyseurs de la mutation digitale en cours dans les Universités camerounaises ", rapporte le communiqué.

Innocent D H

 

Réunis mardi, 07 septembre 2021 au palais des congrès de Yaoundé, les juges du Conseil constitutionnel ont jugé « irrecevable » la requête introduite par Denis Émilien Atangana. En effet, le président du Front des démocrates camerounais (FDC) avait saisi l’instance pour connaitre du « maintien en fonction illégale de 18 directeurs généraux de sociétés publiques ».

Pour certains observateurs, c'est sans surprise que la décision du Conseil constitutionnel a été accueillie. Saisie pour connaître du « maintien en fonction de 18 directeurs généraux », le Conseil rejette la requête pour défaut de qualité du plaignant.

La décision du Conseil constitutionnel (CC) s'appuie sur la loi fondamentale. La constitution camerounaise dispose clairement en son article 47 que l'instance peut être saisie sur « les conflits d’attribution : entre les institutions de l’État ; entre l’État et les régions ». L’alinéa 2 de cet article précise quelle est la qualité des personnes qui peuvent entreprendre cette saisine : « le Conseil Constitutionnel est saisi par le président de la République, le président de l’Assemblée nationale, le président du Sénat, un tiers des députés ou un tiers des sénateurs. Les Présidents des exécutifs régionaux peuvent saisir le Conseil Constitutionnel lorsque les intérêts de leur région sont en cause ».

Détermination du requérant

Face à ce rejet, le président du FDC s’est dit certes désolé, mais estime que « malgré toute sa pertinence sur le fonds », le Conseil Constitutionnel n’a pas saisi cette opportunité pour créer « un historique précédent ». L'homme politique confie être déterminé à poursuivre sa démarche visant à obtenir gain de cause sur la longévité illégale de certains directeurs généraux des entreprises publiques au Cameroun. Denis Émilien Atangana compte saisir, l’Assemblée nationale, le Sénat et le tribunal administratif « sur des questions très précises en rapport avec les manifestations et les conséquences du maintien en fonction des plus de 18 directeurs généraux et directeurs généraux adjoints des entreprises ou établissements publics, des PCA en complète violation de la Loi Nº 2017/011 du 12 juillet 2017 et surtout du caractère manifestement illégal et frauduleux des actes qu’ils posent dans ces conditions », fait-il savoir. En effet, selon les dispositions de l'article 70 de cette loi, la durée du mandat d’un dirigeant d’entreprise publique ne peut excéder neuf ans. Après décompte fait par ses soins, le FDC révèle que 18 de ces dirigeants alignent plus de 9 ans.

Innocent D H

Dans un post succinct ce lundi, 06 septembre 2021 sur son compte Facebook, le premier vice-président du Social democratic front (Sdf) salue le courage de tous les jeunes qui bravent toutes barrières dans la zone anglophone pour la quête du savoir.

 

Sur sa page Facebook, le premier vice-président du Sdf écrit : « En cette rentrée scolaire, accordons une attention spéciale à nos enfants dans les régions de l’Extrême-Nord, du Sud-Ouest et du Nord-Ouest qui ne pourront pas reprendre le chemin de l’école à cause du terrorisme. Priver des enfants d’éducation est sans doute le pire crime contre l’humanité imaginale. Je salue le courage de tous ceux qui bravent les obstacles afin d’assurer notre avenir ».

En effet, la crise socio-politique qui perdure dans les deux régions anglophones depuis plusieurs années rend difficile la mobilité des personnes dans cette partie du pays. Devient également pénible, le déplacement des enfants appelés à reprendre le chemin des classes. Un fait que condamne Joshua Osih dans sa publication.

Et en cette année scolaire comme en 2020, les élèves reprennent les classes dans un contexte de crise sanitaire du coronavirus. Dans les différents établissements scolaires du pays, les mesures barrières continuent d’être vulgarisées pour limiter la propagation de la maladie.

Innocent D H

L’annonce a été faite ce lundi, 06 septembre 2021 par le Ministre camerounais de la Défense. Joseph Beti Assomo indique qu’un exercice de simulation aura lieu le 28 septembre prochain au cours duquel, les forces de sécurité vont se déployer pour empêcher une attaque terroriste, suivi d’un mouvement de foule, d’un effondrement de tribune ou d’une prise d’otages.

 

L’exercice de simulation d’une attaque terroriste au cours d’une rencontre de football de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) prévu le 28 septembre aura lieu au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Dénommée opération « Shield », elle sera déployée pour assurer la sécurité de la grand-messe du football africain que le Cameroun accueille dès janvier 2022.

Selon les explications du Ministère de la défense, cet exercice s’inscrit dans le but de, « s’instruire et de s’entraîner afin que les engagements opérationnels de demain ne soient qu’une répétition des exercices d’aujourd’hui ». Le Ministre Joseph Beti Assomo justifie que, « Le Cameroun organise le début de l’année prochaine, la CAN Total Energie 2021. Cette fête du football africain va se tenir dans un contexte marqué par un certain nombre de foyers de tension. En raison de cet environnement, le Cameroun se doit d’être capable d’assurer la sécurité de tous ».

On sait que le Cameroun fait face à des incursions terroristes de Boko Haram dans la partie septentrionale du pays, mais aussi les exactions des combattants séparatistes dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Pour palier toute éventualité, l’opération « Shield » va mobiliser le Ministère de la Défense (Mindef), la Délégation générale à la sûreté nationale et le Ministère de l’Administration territoriale. Au Mindef, des sources excipent qu’il est question de « réfléchir aux problématiques liées à la gestion d’une crise afin de fixer un cadre de travail pratique et cohérent qui s’inspire de la réglementation en vigueur au Cameroun ».

Innocent D H

 

 

L’agence sera aux commandes de 350 localités alimentées par des centrales solaires. Le transfert par le Ministère de l’Eau et de l’Energie de ces systèmes solaires photovoltaïques est envisagé par les acteurs pour le mois de septembre en cours, indiquent des sources dignes de foi.

 

Selon les informations publiées par notre confrère ecoMatin, grâce à sa campagne d’électrification rurale par le système solaire photovoltaïque, le Cameroun a réussi à électrifier 350 localités en quatre ans, entre 2016 et 2020. La troisième phase prévoit d’électrifier 150 nouvelles localités, pour un objectif de 500 localités d’ici à la fin de l’année 2021.

Le site Energies-media annonce que ces centrales encore gérées par le Gouvernement à travers le Ministère de l’Eau et de l’Energie, avec le concours de son partenaire technique chinois Huawei Technologies Co Ltd, devraient bientôt passer sous le contrôle de l’Agence d’Electrification rurale. A en croire cette source, le transfert du projet à cette entité est très imminent, et pourrait être effectif dès ce mois de septembre 2021, un peu plus d’un an après l’annonce faite par le Ministre de l’Eau et de l’Energie.  

Le site rapporte que, « L’Agence d’électrification rurale du Cameroun (AER), qui s’impatiente de voir la fin du processus de transfert à ses services, du projet gouvernemental d’électrification de 350 localités par systèmes solaires photovoltaïques, pourrait voir ce processus bouclé avant la fin du troisième trimestre 2021 ». Energies-media vient d’apprendre en outre auprès des acteurs proches du projet au ministère de l’Eau et de l’Energie (Minee), que le système de télégestion des centrales solaires, qui inclut la gestion des paiements par les utilisateurs, sera transféré à l’AER au courant du mois de septembre 2021.

Le transfert devrait induire la gestion par l’AER de la production et de la distribution de l’énergie solaire aux consommateurs, et surtout la gestion des retombées financières générées par la consommation des habitants des 350 localités. La maintenance des installations qui est assurée par le chinois Huawei Technologies Co Ltd devrait également être dévolue à l’AER dans le cadre du transfert des technologies.

Innocent D H

Ils se sont réunis dans la cité capitale de la région de l’Ouest du 24 au 26 août dernier pour constituer les bases d’une plateforme fonctionnelle. Objectif, transformer le sous-secteur de la filière pommes de terre afin de le rendre plus compétitif. 

 

Au cours des travaux de réflexion, les participants du Cameroun, Ministère de l’Agriculture et du Développement rural (Minader) et Projet Centres d’Innovations Vertes pour le Secteur Agroalimentaire (ProCISA) ont identifié la création d’une plateforme multi acteurs (PMA) comme l’une de ses priorités majeures. Le bureau régional de la GIZ au Cameroun note à juste titre, « Une initiative validée par les acteurs clés de la filière au Cameroun au cours d’un atelier en novembre 2019 et un taskforce a été créé, constituée des acteurs clés comme semenciers, autorités du Minader, GIZ, Centre de formation allemand (AHA) et les commerçants ».  

La rencontre a permis aux acteurs de définir la vision, les objectifs et la structure de pilotage de la plateforme multi acteurs ; d’apprécier les différents stades d’évolution de la mise en place d’une PMA basée sur l’exemple du Kenya où il existe une plateforme active appelée « the national Potato Council of Kenya ».

L’on apprend que, la PMA pour la filière pomme de terre sera le forum pour l’engagement, Le plaidoyer, la recherche de solutions et la gestion de l’information dans le but de transformer la chaîne de valeur pomme de terre au Cameroun. Il s’agira ainsi d’une plateforme qui va assurer la défense des intérêts des membres, la mise à disposition des données statistiques fiables, la coordination et une bonne coopération entre les acteurs ainsi que l’organisation structurelle de cette filière. En l’état actuel des choses, le secteur fait face à nombre de difficultés parmi lesquelles, l’inexistence des données fiables qui cause ainsi beaucoup de préjudices au secteur.

Innocent D H

  

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01