La Fédération burkinabé de football vient de tirer au clair cette situation honteuse qui commençait à tacher sérieusement l’image de ce pays dont l’intégrité est l’identité même. Dans un communiqué adressé à la Fecafoot, le Burkina précise les circonstances de ce vote malencontreux effectué à Doha au Qatar.
Le 19 décembre 2021, le comité exécutif de la CAF se réunit à Doha au Qatar. Et à cette réunion, le Burkina Faso est représenté par l’ancien président de la fédération burkinabé de football, qui est actuellement président de la commission de futsal et de Beach soccer au sein de la Confédération africaine de football (CAF). Une situation quasi similaire à celle Seidou Mbouombo Njoya au sein de la CAF aujourd’hui.
C’est cet individu qui a pris sur lui de prendre parti au nom de son pays pour qu’on retire l’organisation de la Can au pays des Lions Indomptables. Un engagement que ne partagent pas les autorités du football du Burkina Faso. Une position que rejette bruyamment le peuple du Faso. Les hommes intègres ne galvauderont cette identité pour rien au monde. Et ils l’ont fait savoir au Cameroun par cette lettre adressée ce mardi 21 décembre 2021 à la Fecafoot.
Rappelons que c’est le Burkina qui donne le coup d’envoi de cette compétition le 09 janvier 2022 au stade Olembé à Yaoundé. Ce sera face au pays organisateur, le Cameroun.
Il est difficile de comprendre l’acharnement que la FIFA exerce sur le Cameroun depuis quelques semaines en vue d’invalider l’organisation par le pays de Roger Milla, de la phase finale de la Coupe d’Afrique de Football. L’argument évoqué pour mener ces tacles mal placés est le COVID et le variant Omicron qui se répand à nouveau dans le monde. Or, ils sont prêts à faire jouer la compétition dans un autre pays alors que le COVID n’est pas terminé. Inutile de souligner que l’Euro, la Champions League européenne et tous les championnats de ces pays sont en cours, alors que le COVID bat son plein.
L’autre argument, c’est le caprice annoncé par certains clubs européens de voir décaler la CAN pour le mois de juin, simplement pour leurs intérêts égocentriques. Comme quoi, pour le plaisir sportif de quelques clubs occidentaux, tout un continent doit sursoir sur sa fête du football et s’aligner sur les désidératas quelques coach hautains et irrévérencieux à l’endroit du football et des footballeurs africains.
Certains pays comme le Maroc et l’Egypte ont fait le choix de trahir la cause africaine. Mais rien n’est perdu. Patrice Motsepe, au sortir d’une audience que lui a accordé le Chef de l’Etat du Cameroun, a réassuré le continent que la compétition se tiendra bel et bien au Cameroun. Mais la CAF peut dire une chose, et la FIFA dont elle dépend dire autre chose. C’est pourquoi, jusqu’au coup d’envoi définitif de cette compétition à Yaoundé, il faudra rester vigilant.
Les africains doivent s’unir autour du Cameroun pour conserver cette CAN. Il en va également de l’indépendance sportif de notre continent.
Stéphane NZESSEU
C’est extraordinaire ! Alors que nous sommes rendus à moins de 20 jours du coup d’envoi de la compétition sportive la plus attendue du continent, des pressions injustifiées s’abattent sur le Cameroun. Et des ombres insoupçonnables veulent à tous les prix priver à Roger Milla et Samuel Eto’o cette CAN tant rêvée. Plus que jamais, l’heure est venue pour tous les camerounais et tous les africains de se lever pour barrer la route à tous ces spectres qui veulent nous priver de ce moment de communion panafricaine.
Les problèmes de la CAN Camerounaise commencent avec l’arrivée à la tête de la Confédération africaine de football (CAF) du Malgache Ahmad Ahmad le 16 mars 2017. Alors que ce dernier prenait la place du camerounais ISSA HAYATOU, tout portait à croire qu’il voulait très vite effacer du souvenir, le passage à la tête de la CAF de cet emblématique dirigeant du football africain. Très vite, au cours de la même année de son élection, il décide unilatéralement (au cours d’un symposium de la CAF à Rabat), sans concertation préalable avec les autorités camerounaises de faire passer la phase finale de la compétition de 16 équipes à 24 équipes.
Conséquences, le cahier de charge prescrit au pays des lions indomptables jusqu’à lors est complètement modifié. Les exigences sont multipliées de manière exponentielle. Le nouveau cahier des charges prévoit l'utilisation de six stades pour la compétition, deux stades d’au moins 15 000 places, deux stades d’au moins 20 000 places et deux stades d’au moins 40 000 places afin d'accueillir le match d’ouverture et la finale.
Le Cameroun ne va pas se laisser ébranler. Sentant l’affront ouvert, pour l’honneur de la Nation Vert-Rouge-Jaune, les autorités politiques vont faire le choix de terminer les travaux déjà engagés dans certains stades. Plus encore, la construction de nouveaux stades va s’accélérer, de même que la réfection d’autres infrastructures. Six stades sont donc prévus pour recevoir la compétition. Le Limbe Omnisports Stadium dans le Sud-Ouest est terminé depuis 2014, le Stade Omnisports de Bafoussam à l'ouest est livré en novembre 2016. Les travaux du stade de Douala, 50 000 places, et ceux du Stade d'Olembé, 60 000 places (Stade Paul Biya) ont débuté en mars 2015 et devaient s'achever au plus tard en 2018. Deux stades sont rénovés pour la compétition, le stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé et le Stade Roumdé Adjia de Garoua qui doit compter 40 000 places.
Malgré tous ces efforts, le 30 novembre 2018, la CAF décide de retirer l’organisation de la compétition au Cameroun. La raison est toute trouvée : les infrastructures ne sont pas au point. C’est l’Égypte qui va finalement organiser la CAN 2019. Une entente est trouvée avec les autres pays pour déplacer l’organisation camerounaise pour 2021. Et comme si toutes les forces de la nature militaient contre la tenue de cette fête sportive au Cameroun, la pandémie du Covid-19 va obliger la CAF à reporter une fois de plus la phase finale de la compétition pour début janvier 2022. Entre temps Ahmad Ahmad sera rattrapé par ses agissements peu scrupuleux. Suspendu par la FIFA avant même la fin de son mandat, il va perdre son poste de Président de la CAF au cours de l’Assemblée Générale de 2021.
Patrice Motsepe qui lui succède semble plus avenant vis-à-vis du pays des Lions Indomptables. Dans un premier temps, c’est de loin qu’il va observer les aller et retours des équipes d’inspection de la CAF au Cameroun. Des inspecteurs dont le discours ambivalent, voire hypocrite va contribuer à maintenir la pression sur la Cameroun. Lorsqu’ils sont à Yaoundé ou à Bafoussam, en visite d’inspection, le discours est aux louanges : “le Cameroun a de très belles infrastructures. Les travaux sont à 90% de taux de réalisation”. Mais une fois dans les bureaux au Caire, le discours change. “Le Cameroun a encore beaucoup à faire, de nombreux travaux sont loin d’être achevés.”
Patrice Motsepe va s’éprendre d’amitié pour le Président de la FECAFOOT d’alors, Seidou Mbouombo Njoya. L’ancien patron du football camerounais comptait parmi ses soutiens lors de la bataille électorale pour la tête de la CAF. Motsepe va peser de tout son poids pour que soit signé au Cameroun le fameux accord cadre qui attribue juridiquement l’organisation de la compétition au pays de Samuel Eto’o, le 22 octobre 2021. Puis va suivre une série d’évènements qui vont une fois encore complexifier la marche vers la CAN 2022 : l’élection à la tête de la FECAFOOT.
Pour cette élection, la CAF et la FIFA ont fait le choix de soutenir Seidou Mbouombo Njoya. Motsepe va même battre campagne pour lui. Pour preuve cette fameuse rencontre de Kinshasa où il est expressément demandé à Samuel Eto’o d’être le 1er Vice-Président de Seidou. Ce dernier va refuser et la suite on la connait.
Immédiatement après son élection et la frustration du Président de la FIFA dont Samuel Eto’o n’est plus l’ami depuis un bon bout de temps, on entend parler d’une revendication de “club anglais” qui refusent que les footballeurs africains descendent au Cameroun. L’argument avancé, c’est la résurgence d’un nouveau variant COVID-19.
Or, au plus fort de cette même crise, l’UEFA a organisé l’Euro de football. Il s’est tenu les Jeux Olympiques. Au plus fort de cette crise, la CAF a supervisé au Cameroun la brillante tenue de la Coupe d’Afrique des A'. Au plus fort de cette crise, il est en train de se jouer l’UEFA Champions League avec des stades pleins. Toutes les compétitions internationales suivent leur cours.
D’où vient-il que ce ne soit que la CAN que ces footballeurs-là ne puissent pas jouer en toute sécurité ? Évidemment que le problème est ailleurs. Et alors que des discussions sont en cours dans les couloirs du football mondial pour savoir si oui ou non ces centaines de stars africaines qui illuminent le football européen vont accomplir leur pèlerinage footballistique au Cameroun, il devient urgent pour la communauté internationale de dénoncer ce genre de manœuvres qui ne servent pas le sport roi.
Le Cameroun doit organiser sereinement sa CAN. #TouchPasAMaCAN !
Stéphane NZESSEU
En plus de soutenir matériellement et financièrement les ambazoniens et autres groupes terroristes qui sévissent dans les Régions du Nord et du Sud Ouest, ceux qui, pour des raisons obscures sont déterminés à mettre le Cameroun à feu et à sang, ont adressé une lettre aux officiels de la Confédération Africaine de Football.
Affiliés dans un cercle vicieux, dans lequel ils prônent les meurtres, les assassinats et autres brutalités contre les Camerounais qui, dans leur quasi majorité ne partagent pas leurs points de vue, ces individus qui, depuis des lustres, n’ont eu de cesse d’accumuler de retentissantes défaites, déclarent qu’ils vont, cette fois s’en prendre aux équipes nationales de la Tunisie, de la Mauritanie, de la Gambie et du Mali dont les rencontres, dans un premier temps, vont se jouer au stade de Limbé.
Quelques bribes de leur lettre
“ Au moment de la rédaction, les ambassadeurs menacent d’attaquer les équipes nationales de Tunisie, de Mauritanie, de Gambie et du Mali qui joueront dans le groupe F à Limbé, dans le Sud Ouest du Cameroun…
La brigade anti sardinard convoque la Confédération Africaine de Football, l'International, la Fédération des associations de football et Total Energies prennent leurs responsabilités et empêchent le tournoi d’avoir lieu…
Le monde est confronté à un gouvernement irresponsable qui essaie de profiter du prestige international créé par l’organisation d’un tel tournoi pour maintenir le pouvoir”.
La compétition va se dérouler du 9 Janvier au - Février 2022, en terre Camerounaise.
N.R.M
Alors que les clairons de la catastrophe annoncée par ceux qui décidément ne veulent pas que la grande messe du football Africain se déroule au Cameroun rentre dans le régistre des faits divers, la Confédération Camerounaise de Football publie le prix des billets d’accès au stade.
La compétition, convient - il de le rappeler va se dérouler du 9 Janvier au 6 Février 2022. Le public est dès lors convié à assister à des rencontres de haute gamme qui vont se jouer dans six stades, répartis dans cinq villes: Stade Omnisports du Complexe sportif d’Olembe - Le Stade Omnisports de Mfandena - Le Stade Omnisports du Complexe sportif de Japoma - Limbe Omnisports Stadium - Stade Omnisports de Bafoussam Kouekong - Stade Omnisports de Roumdé Adia.
Deux conditions doivent au préalable être remplies: Avoir son pass sanitaire qui prouve qu’on n’est pas atteint par le Covid 19 et disposer des moyens qui donnent accès au stade. Pour chaque spectateur, les fonds vont de 3000 à 20000 FCFA.
Les équipes sont réparties dans six groupes pour six stades dont quatre flambants neufs.
Le Cameroun qui accueille la compétition, est logé dans le Groupe A avec le Burkina Faso - l’Ethiopie - le Cap - Vert et va évoluer au Stade Omnisports du Complexe sportif d’Olembe. Les équipes du Groupe B, dont le Sénégal - le Zimbabwe - la Guinée - le Malawi prendront leur quartier à Bafoussam; Celles du Groupe C avec le Maroc - le Ghana - Les Comores - le Gabon vont elles aussi jouer à Yaoundé, mais plutôt au Stade Ahmadou-Ahidjo.
Les équipes du Groupe D, à l’instar du Nigéria - de l’Egypte - du Soudan - de Guinée Bissau sont affectées au Stade Roumdé Adjia à Garoua.
Au complexe sportif du Stade Omnisports de Japoma, c’est le Groupe E avec les équipes comme l’Algérie - la Sierra Léone - la Guinée Equatoriale - la Côte d’Ivoire et enfin le Groupe F constitué de la Tunisie - du Mali - de la Mauritanie et enfin de la Gambie est envoyé au Limbe Omnisport Stadium.
Nicole Ricci Minyem
L'annonce est du Comité local d'organisation de la CAN (Cocan) qui indique que, tous les billets d’accès au stade, y compris ceux de la finale, seront disponibles à la vente dès le début du mois de décembre dans les points de vente y afférents. Les fans du football auront la possibilité d'acheter leur billet en ligne, via une plateforme numérique y dédiée à cet effet.
Selon Éric Binfon, président de la commission billetterie du Cocan qui s'est confié à la Radio publique jeudi dernier, une fois le ticket acheté en ligne, « vous vous présentez dans n’importe quel kiosque, vous présentez votre ticket et on va vous imprimer votre billet ».
Cependant, du fait de la pandémie de Covid-19, les billets seront vendus en fonction de la limitation du nombre de spectateurs dans les stades défini par la Confédération africaine de football (CAF), d'où l'intérêt pour les fans de réaliser leurs achats le plus tôt possible. En effet, la confédération avait autorisé une jauge de 25% de spectateurs pour les matchs du Championnat d’Afrique des nations (CHAN), compétition réservée aux joueurs locaux qui a servi de test grandeur nature dans la perspective de l’organisation de la CAN 2021.
L’on apprend que le quota arrêté pour la CAN sera connu d’ici la fin du mois de novembre en cours. « Nous sommes en train de travailler de telle manière à minimiser toutes les chances pour qu’un faux billet soit dehors », affirme le président de la commission billetterie du Cocan.
Innocent D H
Document juridique contenu dans le cahier de charges de la Confédération africaine de football (CAF), l’accord-cadre sera signé vendredi et non plus ce mardi. Selon de sources crédibles, le report serait dû à un problème de vol qu’aurait connu le secrétaire général de la Confédération africaine de football, le Congolais Veron Mosengo.
Autres raisons évoquées, à l’origine du report de la signature de l’accord-cadre de la CAN Total Energies 2021, la tournée spéciale d’inspection des infrastructures, que conduit en ce moment le ministre d’Etat, secrétaire général à la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh.
Font également partie de la délégation que conduit le SGPR : le Ministre des Sports et de l’Education physique, le Pr. Narcisse Mouelle Kombi, président du comité local d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) ; Seïdou Mbombo Njoya, président par intérim de la Fécafoot, ainsi que des anciennes gloires du football africain tels que Roger Milla, Patcick Mboma, Samuel Eto’o Fils, El-Hadji Diouf, Geremi Njitap, Gaëlle Enganamouit, Rigobert Song. La première phase de cette tournée spéciale d’inspection vient de prendre fin ce mardi, 19 octobre. La délégation qui s’est rendue sur les sites de Douala et Bafoussam devant abriter les poules de la CAN 2021, a exprimé une grande satisfaction sur la capacité des infrastructures notamment les installations sportives et hôtelières dans les deux régions, à accueillir cette compétition dès janvier prochain.
A titre de précision, l’accord-cadre dont la signature vient d’être reportée au 22 octobre 2021, est un contrat qui lie juridiquement le propriétaire de la compétition au pays organisateur. Le document fixe les droits et obligations des parties, nous apprend-on.
Innocent D H
Le montant est contenu dans une note spéciale signée du Ministre d’Etat, Secrétaire général à la Présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh. La lecture du document permet de se faire une idée sur le budget attribué aux acteurs en charge de l’organisation de la compétition suivant un tableau bien précis.
La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) au Cameroun aura lieu du 09 janvier au 06 février 2022 dans sept stades et six villes du pays. Le calendrier de la compétition étant déjà connu, le Cameroun vient de débloquer plus 13 milliards de F CFA pour le budget de la CAN dénommée « Can Total énergies Cameroun 2021 ».
Cette somme est ventilée dans un tableau qui présentent les organes opérationnels, les activités, le montant, les superviseurs et ordonnateurs.
S’agissant des organes opérationnels, il s’agit de : la Commission Douanes Finances Assurances, la Commission Transports et Logistiques, la Commission Communication et Commission Marketing, la Commission Billetterie, la Commission Compétition, la Direction du Tournoi (aménagement des espaces de travail), la Direction du Tournoi (achat du matériel informatique et bureautique, Les Gouverneurs de Régions et Commission Marketing (Fans zones), la Commission Traduction et Interprétation, la Commission Infrastructures, la Commission Accueil et Protocole, la Commission Hébergement et Restauration, la Commission médicale, la Commission Sécurité, la Commission Mobilisation et Volontariat, la Commission Animation et Manifestation Culturelles, la Commission Télécom et TIC.
Pour ce qui est du montant assigné à chacune, l’on peut relever que, la part du lion est réservée à la Commission Hébergement et Restauration avec une somme de 3 100 860 000 F CFA avec pour superviseur/ordonnateur le MINTOUL. Le plus petit budget revient à la Commission Accueil et Protocole qui a droit à 100 000 000 de F CFA, qui pour ordonnateur le MINREX.
Innocent D H
Le sujet sera au menu des échanges entre le chef de l’Etat Paul Biya et le Président de la Confédération africaine de football (CAF), Patrice Motsepe en visite au Cameroun.
Selon des indiscrétions, le stade Olembé de Paul Biya pourrait ne plus abriter les rencontres de la poule A tel que prévu dans le calendrier de la Coupe d’Afrique des Nations 2021, en raison du non achèvement des travaux.
Le sujet sera d’ailleurs au menu des échanges entre le Président de la République Paul Biya et le patron de la CAF, Patrice Motsepe qui séjourne au Cameroun depuis ce jeudi 16 septembre 2021. La rencontre aura lieu ce vendredi 17 septembre au palais de l’Unité.
Des sources révèlent que le Président de la CAF pourrait annoncer au chef de l’Etat le blanc B de l’instance faitière du football africain, en occurrence la délocalisation de la poule A à Douala pour le stade Japoma, qui est l'un des plus beaux sur le continent africain, ce qui entrainera une autre délocalisation cette fois ci de la poule E qui pourrait alors descendre au stade de la réunification, ou alors tout simplement envoyer la poule A du côté du stade Ahmadou Ahidjo à Yaoundé.
Pour rappel, lors du match test à huis clos du 03 septembre dernier entre les lions indomptables et les flammes du Malawi, comptant pour la première journée des éliminatoires pour la coupe du monde 2022, le Cameroun avait étalé toutes les insuffisances du stade Olembé, à quelques mois de la CAN, alors que ce stade est sensé abriter les matchs d’ouverture et de clôture de la compétition.
Ariane Foguem