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Liliane N.

Liliane N.

Des combattants séparatistes ont revendiqué le meurtre des 5 policiers tués au lieu-dit «Tjonction» à Bali, dans la Région du Nord-Ouest.

Le weekend a été particulièrement ensanglanté du côté de la région du Nord-Ouest et précisément au lieu-dit «Tjonction» à Bali, dans la Région du Nord-Ouest. Il faut noter que Bali est une Commune logée dans le  département du Mezam. 5 policiers surpris par des hommes armés y ont été tués le dimanche 18 juillet 2021. Selon une source policière, ces éléments du maintien de l’ordre effectuaient une patrouille de routine.  

«Ils ont balancé des bombes qui ont tué toutes les personnes qui se trouvaient à ce Check point ensuite, ils ont emporté les armes, les munitions et les pièces d’identité des victimes. Les policiers qui sont morts s’appelaient Major Bikoi, Major Mamdi (du GMI), Major Meng, Major Oba (du GSO) et Temgoua qui est un TC de Bali », a fait savoir la source.

Jusqu’à présent le ministère de la Défense n’a pas encore dit un mot sur cet événement tragique qui a endeuillé la police camerounaise. Il faut quand même noter que par le biais d’une vidéo qui a circulé sur la toile, les séparatistes ont revendiqué le meurtre.

Liliane N.

La police Suisse n’a pas lésiné sur les grands moyens pour faire respecter la décision d'interdiction de la manifestation de ce 17 juillet et pour protéger l'hôtel Intercontinental où séjourne le président de la République Paul Biya et sa suite.

La manifestation de ce samedi 17 juillet 2021 ne s’est pas sûrement passée comme l’auraient souhaité les activistes camerounais. Malgré le fait qu’ils ont bravé l’interdiction qui planait sur ladite manifestation, ils ont dû rencontrer en face d’eux, les éléments de la police  Suisse. Celle-ci avait deux missions à savoir : faire respecter l’interdiction et protéger l’hôtel intercontinental de Genève dans lequel le président Paul Biya, son épouse Chantal et sa délégation résident depuis dimanche dernier.

Selon nos sources et les vidéos en circulation sur la toile, la police Suisse pour disperser les manifestants, s’est servie de gaz lacrimogène et des tirs d’eau sur ces derniers, qui ont tenté de de franchir le cordon de sécurité, établi pour la circonstance. Pour l’instant, on n’a pas le bilan des dégâts. Toutefois, par le confrère Crtv Web, on a appris que le couple présidentiel est en sécurité. Le gouvernement helvétique a veillé au respect de l'interdiction de la manifestation publique projetée. La police a quadrillé les entrées de l'Office des Nations Unies jusqu'à l'hôtel Intercontinental. Et Samuel Mvondo Ayolo le Directeur du Cabinet Civil a assuré que tout est sous contrôle à l’hôtel Intercontinental.

Liliane N.

Par la plume de son porte-parole Joseph Ateba, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun affirme par ailleurs se désolidariser de la manifestation prévue par la Brigade anti-sadinards le samedi 17 juillet 2021, à Genève.

Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) ne souhaite pas voir l’image de Maurice Kamto être associée à la manifestation anti-Biya prévue demain samedi 17 juillet 2021, à Genève en Suisse. Cela est dit dans une sortie faite par Joseph Ateba le porte-parole du parti, qui révèle que l’écrivain Patrick Nganang est en train d’initier une telle action.

«Un certain monsieur Patrice Nganang fait circuler sur les réseaux sociaux un post avec une image de Monsieur Maurice Kamto, président national du MRC, avec en dessous de cette image la mention «I am Kamto». Il annonce que les T-shirts avec cette image et cette inscription «seront là samedi» et que «Patrice Nganang est entrain de venir distribuer à Genève. Je tiens tout d’abord à indiquer que le président Kamto n’a jamais rencontré cette personne avec laquelle il n’a aucun contact. Qu’il est l’une des victimes de ses attaques haineuses, injures et autres propos dégradants», a écrit Joseph Ateba.

Le MRC précise par ailleurs ne pas faire partie des initiateurs de la manifestation de demain. Aussi, le parti ne veut pas être mêlé de près ou de loin à ladite manifestation.

«Les organisateurs de la manifestation de samedi 17 juillet ont diffusé sur les réseaux sociaux un document comportant la liste des organisations qui y prennent part. Le MRC n’y figure pas et n’est mêlé ni de près ni de loin à cette manifestation. M. Nganang doit cesser l’exploitation de l’image du MRC dont il n’a jamais été militant et la manipulation de l’opinion dans un délire tribal inacceptable pour tout camerounais attaché aux valeurs républicaines et l’harmonie entre toutes les populations de notre pays», a écrit Joseph Ateba.

Liliane N.   

Frédéric DebordFrédéric Debord le Directeur d’Orange Cameroun est aussi accusé de licenciements abusifs.

C’est une information relayée par le confrère Investir au Cameroun. Frédérick Debord le Directeur général (DG) d’Orange Cameroun n’est plus au pays. Le journal en ligne affirme que selon l’une de ses sources bien informées et autorisées, c’est dans la nuit du 14 juillet 2021, qu’il est parti. La raison donnée pour justifier ce départ est qu’il coïncide avec «son congé annuel planifié à l‘avance».

Seulement, le congé annuel de Frédérick Debord arrive au moment où il pèse sur lui, des accusations d’harcèlement sexuel et de licenciements abusifs. Le confrère EcoMatin dans son édition du 13 juillet 2021 a indiqué que le DG d’Orange Cameroun, est sous le coup des poursuites judiciaires.

« Fréderic Debord a été assigné en Justice, au même titre que la structure qu’il dirige, pour licenciement abusif d’une ancienne cadre de la maison, au motif de détournement d’une modique somme de 9 554 FCFA. Le DG d’Orange Cameroun est aussi englué dans des affaires de mœurs, notamment des faits de harcèlement sexuel passés sous silence ces dernières années. Appelé à comparaître le 28 juin dernier devant le tribunal, il ne s’est pas présenté », peut-on lire dans l‘édition du confrère EcoMation suscitée.

Sauf qu’Orange Cameroun ne se reconnaît dans aucune de ces accusations. L’entreprise de téléphonie mobile a rendu public un communiqué le 14 juillet 2021. Elle parle plutôt d’une campagne de dénigrement.

«Orange Cameroun informe l’opinion nationale qu’une campagne de dénigrement est actuellement orchestrée à travers divers médias par des ex-employés qui sont licenciés pour des fautes éthiques et professionnelles. Ces licenciements ont été décidés conformément aux procédures en vigueur au sein de l’entreprise et notifiés aux autorités compétentes. En tant qu’entreprise responsable et citoyenne, Orange Cameroun fait confiance à la Justice pour connaître des faits et statuer s’il y a lieu, conformément à la législation en vigueur. Orange Cameroun est profondément attachée aux valeurs d’éthique et de conformité qui sont portées au quotidien par l’ensemble de son personnel. Depuis plusieurs années, un dispositif sécurisé de prévention, de dénonciation et de gestion de toutes formes d’abus est animé en permanence», peut-on lire dans ledit communiqué.   

Liliane N.

Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale fait savoir au public, qu’il n’existe qu’un seul site internet de pré-enrôlement en ligne du nouveau système de production de passeports biométriques camerounais.

Les cyber criminels n’ont pas perdu le temps pour lancer l’arnaque pour l’étape de pré-enrôlement en ligne du nouveau système de production de passeports biométriques camerounais. Les demandeurs de ce document de voyage s’arrimant à la nouvelle donne, ont été pour certains trompés par ces cyber criminels. Car ceux-ci ont conçu un faux site internet pour cette étape. Ledit site dénoncé est : www.passacam.cm.

La situation est devenue assez grave au point de nécessiter une sortie officielle de Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale. Dans un communiqué parvenu à la rédaction d’ACP, l’autorité précise qu’il n’y a qu’un seul site. Et c’est le www.passcam.cm.  

«Par conséquent le public est invité à faire preuve de vigilance et de responsabilité face à des faux sites de pré-enrôlement en ligne créés par des cybercriminels qui ont pour unique dessein d’arnaquer les usagers demandeurs de passeports», a écrit le DGSN.

A titre de rappel, la nouvelle procédure pour les passeports biométriques est entrée en vigueur le 1er juillet 2021. Il convient ici de faire un rappel des quatre étapes par lesquelles il faut passer pour l‘obtention de ce document.

La toute première est le pré-enrôlement qui se fait en ligne. Le demandeur doit ouvrir en ligne son dossier sur le site internet de la Délégation générale à la sûreté nationale. Ensuite, il va payer par Mobile Money, Orange Money ou une carte de crédit les frais de délivrance du passeport. Puis, il va prendre rendez-vous en ligne pour l’enrôlement.

La deuxième étape consistera à l’enrôlement physique dans un centre choisi par le demandeur. Elle sera composée de l’ouverture et la vérification du dossier soumis en ligne, avec les originaux des pièces exigible. Il y aura la prise de paramètres (photos, empreintes et signature) et le scan des pièces. A cela va s’ajouter l’approbation des informations et leur validation, puis la remise d’un récépissé au demandeur.

La troisième étape est consacrée à la production. Après l’enrôlement, dans le cas où il n‘y a pas de rejet, le passeport biométrique est produit en 48 heures. S’il y a un rejet, le demandeur en sera notifié par mail et SMS.

La quatrième et dernière étape est consacrée au retrait du passeport. C’est par SMS et mail, que le demandeur va être notifié. Celui-ci doit faire vérifier son identité avant de retirer le document. Il est possible de faire retirer le passeport par un tiers à condition d’être muni d’une procuration dûment légalisée.   

Liliane N.

Le rappeur Tenor ainsi qu'un autre occupant du véhicule sont actuellement pris en charge à l’hôpital Laquintinie de Douala.

 

L’artiste camerounais Tenor a été victime d'un accident de la circulation ce jeudi jeudi 15 juillet 2021. Il revenait d’un concert organisé par la slameuse Lydol à l'Institut français de Douala. L'accident est survenu au niveau du rond-point Bessengue, sur le chemin de retour après sa prestation.

Une jeune dame, âgée de 22 ans selon les premiers recoupements, étant à bord du véhicule de l’artiste a perdu la vie sur le champ. Le chauffeur et l'artiste ont été blessés et transportés à l’hôpital Laquintinie de Douala. L'artiste s'en serait sorti avec un bras cassé et quelques brûlures. Selon son manager, ils subissent actuellement une batterie d'examens afin de cerner d'autres éventuelles séquelles du choc.

Quelques heures après l'annonce de cet accident, l'équipe managériale a publié un communiqué afin de revenir sur les circonstances de l'incident. "Il (Tenor, ndlr) était accompagné d'un chauffeur, un ami et ils prenaient le soin de raccompagner certains fans après une séance de photos à la suite de son spectacle", peut-on lire dans la note.

Seulement, celui-ci a été très mal reçu par le public qui estime qu'il est sujet à plus d'ambigüité. Depuis lors, les questions se multiplient sur la toile. Le nombre exact d'occupants du véhicule restent aussi confus. Selon le communiqué controversé et certains médias, quatre personnes étaient dans le véhicule et le chauffeur des circonstances reste introuvable. Tous ces détails ont suscité la curiosité de plusieurs internautes. Des influenceurs se sont d'ailleurs engagés à élucider l'affaire et à retransmettre dans plusieurs directs annoncés.

 

Liliane N.

Selon nos sources, Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki ont été placés en garde à vue hier, mercredi 14 juillet 2021, à l'issue de la confrontation avec Malicka Bayemi, à la Division régionale de la police judiciaire du Littoral à Bonanjo.

Il y a du nouveau dans l’affaire Malicka Bayemi vs Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki. Des sources nous apprennent que le journaliste, patron de Radio Sport Infos et l’homme de la sextape, ont été placés en garde à vue hier 14 juillet 2021. Ils n’ont pas pu regagner leurs domiciles respectifs, après qu’ils aient eu une confrontation qu’ils ont eue avec Malicka.

Le confrère le quotidien Le Jour dans son édition de ce 15 juillet 2021, rapporte que «la Délégation générale à la sûreté nationale (DGSN) et le parquet général étaient en désaccord sur l'opportunité de la garde à vue des deux suspects. Alors que la DGSN plaidait pour leur libération, le parquet général invoquait les raisons sécuritaires pour justifier l'impératif de leur maintien dans les liens de la détention».

Il convient de rappeler que Collectif des 7 avocats qui s’est constitué pour la défense de Malicka Bayemi, lors d’un point de presse a indiqué que le procès de l’affaire débute le 22 juillet prochain. Et les infractions pour lesquelles Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki sont poursuivis sont publications obscènes, fausses nouvelles, proxénétisme et diffamation.

« Ces infractions ont été visées dans le cadre de la citation directe que nous avons déposée au tribunal de première instance de Douala-Bonanjo, et nous estimons qu’ils (les mis en cause) vont comparaître pour les faits qui leur sont reprochés », a déclaré maître Nadine Yanou, membre du collectif dénommé « Universal Lawyers and Human Rights Defence » (ULHRD) que préside Me Dominique Nicole Fousse, avocat au barreau du Cameroun.

Liliane N.

 

Le ministère de la Santé vient d’autoriser la mise sur le marché des produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» conçus par Mgr Samuel Kleda, pour la prise en charge des patients atteints du Coronavirus.

Par voie de correspondance, le Dr Malachie Manaouda ministre de la Santé a tenu informé Mgr Samuel Kleda, de l’autorisation de la mise en vente des produits qu’il a conçus pour la prise en charge des patients souffrant du Coronavirus. Le ministre Manaouda apporte la précision selon laquelle, l’indication retenue pour ces produits de l’Archevêque métropolitain de Douala est «adjuvant au traitement du Covid-19».

Selon Ken Clavers le chef de la cellule de communication (Cellcom) du ministère de la Santé, un produit adjuvant est un «médicament ou traitement qui renforce ou complète les effets de la médication principale». Donc, il n’est pas requis de dire que les produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» de Mgr Samuel Kleda sont pour le traitement du Coronavirus. Le Cellcom ajoute que le code de la Santé publique (article L.5111-1) définit ainsi le médicament : «toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique».

Aussi, dans sa correspondance, le ministre de la Santé indique l’autorisation de mise sur le marché camerounais accordée aux produits suscités, a une durée de validité de 3 ans, à compter de la date de signature de l’acte y afférent.

La même autorisation a été aussi a accordée au Dr Yagnigni Mfopou Euloge et les promoteurs de la bonne santé, pour le produit «Corocur, poudre sèche de Thymus vulgaris de 50g, flacon de 60 ml».

Liliane N.

 

Le drame s’est produit hier 14 juillet 2021 au lieudit Douala Bar. Pour l’heure, la cause du drame est reste inconnue.

Le mercredi 14 juillet 2021, les populations du quartier Douala Bar ont été témoin d’un drame, qui s’est produit dans un chantier de construction implanté dans leur zone d’habitation. Le drame a eu lieu dans un immeuble R+4 en construction. L’échafaudage s’est effondré et a causé la mort d’un des ouvriers appelé Ladandi Djekreo. Selon les témoins de la scène, le défunt âgé de 22 ans, a reçu un gros bloc de béton sur le corps. Le projectile lui a été fatal. Son corps a été déposé à la morgue de l’hôpital Laquintinie de Douala. Il y a aussi eu 22 ouvriers du chantier qui ont été blessés. Ils ont également été admis dans le service des urgences de la formation sanitaire suscitée.

Au moment du drame, on apprend que les populations du coin sont venues secourir les ouvriers.  

«Tous les soirs, je les demandais toujours de racler le reste du ciment mélangé au gravier sur les planches. Ils ne le faisaient pas. C’est le poids de ce ciment mélangé au gravier qui est devenu solide et la planche n’a pas supporté le poids. Raison pour laquelle le pire s’est produit. Il y a eu cet effondrement de l’échafaudage», a confié un riverain, témoin de la scène au confrère Doualatoday.com.

Liliane N.

Parmi les nouveaux textes adoptés, il y a la dissolution de la Ligue de football professionnel du Cameroun.

La Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) a finalement tenu comme prévu, son Assemblée générale extraordinaire. Cette Assemblée générale extraordinaire a connu la participation de plusieurs acteurs majeurs du football camerounais, à l'instar d’Issa Hayatou président d'honneur de la Confédération Africaine de Football (CAF) et d’Hamad Kalkaba Malboum le président du Comité olympique et sportif. Les nouveaux statuts et textes réglementaires adoptés, l’ont été sur la base d’un vote de 82 voix pour, 11 voix contre et 2 abstentions, apprend-on.

Il convient de rappeler que le principal point à l’ordre du jour portait sur l’adoption des textes. Cinq d'entre eux étaient sujets à modification et à adoption. Il s’agissait des statuts, du code électoral, du code d’éthique, code disciplinaire et du règlement financier. Il en ressort donc que pour ce qui est des changements, la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC) sera dissous. Il y aura une nouvelle Ligue. Il y a aussi la réduction du nombre de délégués participants de 90 à 60. Et chaque région sera désormais représentée par six délégués et non neuf. Six et non cinq présidents de club représenteront désormais la Ligue 1 et 2.  

«L'Assemblée Générale s'est déroulée dans une ambiance constructive et positive, les délégués ont été curieux et ont aidé à la révision et à l'adoption des nouveaux textes qui aboutiront à  des élections à la FECAFOOT et plus généralement, l'essor du football local, et la prochaine CAN 2021», a déclaré Seidou Mbombo Njoya le président par intérim de la FECAFOOT.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01