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Selon l’individu qui avait choisi une autre nationalité en lieu et place de celle du Cameroun, ses compères et lui auraient reçu une autorisation des autorités de la Confédération Helvétique

 

L’information a été publiée sur le site de nos confrères de “panoramapapers.com” : “Nous avons reçu un préavis favorable pour la manifestation du 28 août. Cette manifestation inclut un cortège: départ quai Wilson, en face du palais éponyme - avenue de France - arrivée sur la place des Nations. Nombre de personnes attendues : entre 500 et 1000 max”.

C’est de la même source qu’on apprend que: “ Le plan horaire a été arrêté et, les manifestants auront personnellement la responsabilité de veiller à la sécurité le jour dit...Un véhicule avec la sonorisation est autorisé et tous ceux qui ont envie d’adjoindre leurs voitures dans le cortège ont l’obligation de le signaler afin que les places de stationnement leurs soient indiquées ; Si les banderoles et les drapeaux sont admis, la distribution des tracts est quant à elle formellement interdite.

Pour que les choses soient bien claires pour les uns et les autres, Patrice Nganang relève qu “une autre séance est prévue avec la police le 25 août, le cas échéant, pour caler les derniers détails de la manifestation.

Hilaire et moi coordonnons l’organisation sur place et aurons besoin de contributions de différentes délégations pour mieux planifier l'événement...Nous y reviendrons mais n’hésitez pas à être proactifs”.  

Sans tenir compte de leurs innombrables défaites, Nganang et Cie veulent en remettre une couche

L’on a encore en mémoire,  la cuisante déculottée reçue par tous ceux qui se sont aventurés il y a quelques semaines à s’en prendre au couple présidentiel alors annoncé à l’hôtel Intercontinental dans la capitale Suisse ;

Tout a été mis en œuvre pour leur ôter l’envie de revenir: eau sale, gaz lacrymogène, bastonnade, arrestation et paiement des amendes; Conscients d’avoir lamentablement échoué, nombreux sont ceux qui, en recevant les soins, ont reconnu que “le Président de la République les a eu”.

Toutefois, à l’annonce de cette autre manifestation baptisée “anti Biya”, il est évident que les leçons n’ont pas été tirées car ces quidams sont résolus à troubler le séjour privé du Président de la République et de son épouse.

Et pourtant, nombreuses sont les voix qui s’élèvent au quotidien, celle des Camerounais qui refusent de voir l’Institution de leur pays ainsi agressée, insultée, traînée dans la gadoue;

Ils arguent encore et toujours que : “Quelques soient les problèmes que traverse le Cameroun, malgré la situation quasi déplorable dans laquelle vit une certaine frange de la population, il est inconcevable, inadmissible que le Cameroun soit ainsi traîné dans la boue; Il n’est pas question et il ne l’a jamais d’ailleurs été, de la personne Biya Paul, non loin s’en faut. Nous somme entièrement contre l’agression verbale, physique du Chef de l’Etat Camerounais, du Président de la République du Cameroun et nous ne cesserons jamais de le marteler…”.

Des parlementaires ont eux aussi invité et attiré l’attention des “partenaires du Cameroun” en insistant sur le fait que, tout comme dans d’autres pays, “Les problèmes qui sont les nôtres se règlent par nous et non pas qui que ce soit d’autre”.

Une mise en garde qui concerne très certainement aussi le gouvernement helvétique.


Nicole Ricci Minyem

 

Published in Les Potins
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Par la plume de son porte-parole Joseph Ateba, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun affirme par ailleurs se désolidariser de la manifestation prévue par la Brigade anti-sadinards le samedi 17 juillet 2021, à Genève.

Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) ne souhaite pas voir l’image de Maurice Kamto être associée à la manifestation anti-Biya prévue demain samedi 17 juillet 2021, à Genève en Suisse. Cela est dit dans une sortie faite par Joseph Ateba le porte-parole du parti, qui révèle que l’écrivain Patrick Nganang est en train d’initier une telle action.

«Un certain monsieur Patrice Nganang fait circuler sur les réseaux sociaux un post avec une image de Monsieur Maurice Kamto, président national du MRC, avec en dessous de cette image la mention «I am Kamto». Il annonce que les T-shirts avec cette image et cette inscription «seront là samedi» et que «Patrice Nganang est entrain de venir distribuer à Genève. Je tiens tout d’abord à indiquer que le président Kamto n’a jamais rencontré cette personne avec laquelle il n’a aucun contact. Qu’il est l’une des victimes de ses attaques haineuses, injures et autres propos dégradants», a écrit Joseph Ateba.

Le MRC précise par ailleurs ne pas faire partie des initiateurs de la manifestation de demain. Aussi, le parti ne veut pas être mêlé de près ou de loin à ladite manifestation.

«Les organisateurs de la manifestation de samedi 17 juillet ont diffusé sur les réseaux sociaux un document comportant la liste des organisations qui y prennent part. Le MRC n’y figure pas et n’est mêlé ni de près ni de loin à cette manifestation. M. Nganang doit cesser l’exploitation de l’image du MRC dont il n’a jamais été militant et la manipulation de l’opinion dans un délire tribal inacceptable pour tout camerounais attaché aux valeurs républicaines et l’harmonie entre toutes les populations de notre pays», a écrit Joseph Ateba.

Liliane N.   

Published in Parti politiques

Dans une publication faite sur son compte Facebook, l’écrivain Patrice Nganang parle d’un parti politique qui pourrait voir le jour pour l’échéance de 2025.

 

Dans la publication qui date du 3 mars 2020, l’écrivain Patrice Nganang évoque l’idée de créer un parti politique. Ce parti pourrait servir pour l’élection présidentielle de 2025. L’écrivain indique que ledit parti ne sera que pour Bagangté, une ville logée dans la région de l’Ouest. La publication qui semble avoir été faite pour répondre à un certain Rodrigue Batogna, interpelle aussi le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), le parti politique de Maurice Kamto. 

 

« Avec un parti spécifique pour le Nde, même Atanga Nji n'aura aucun problème à régulariser cela, car son calcul c'est évidemment d'affaiblir le MRC chez les Bamiléké dont c’est la base, il va donc dire, go ahead - problème de papiers résolu vite vite, et en 2025, deux sièges de députés assurés donc. Le RDPC peut laisser cela si on fait une bonne campagne, avec les Bangangte, le tout financé par la diaspora Bangangte, les Bangangte ayant l'une des diaspora les plus grandes de ce pays. Nous mettons tout l'argent nécessaire à la disposition de ce parti, les Camerounais vont se mettre en rang pour porter le dossier de ce parti au pays du clé et argent en main. Resultat donc: 2 députés », a écrit l’écrivain.

 

Non pas sans manquer de s’en prendre à Maurice Kamto, l’écrivain affirme que le Mrc a temporisé avec le chassement du régime actuel. On pourrait donc comprendre que le parti dont il évoque, s’il voit le jour, viserait à changer ledit régime. 

« Le leader du MRC fait espérer les camerounais et juge quand il doit mener une approche contre le régime Biya. Même ses proches ignorent ses stratégies jusqu'à la dernière minute. « Attendez mon mot d’ordre », a-t-il dit à Douala. On attend donc tous. Conséquence, il donnera son mot d’ordre quand il l’aura souhaité, quand il aura le temps. Il le fera quand ça lui chante, quand son calendrier le lui permet. Comme de 2011 on s’est retrouvé en 2018 vite-vite, eh bien, on va se retrouver en 2025 très vite aussi », a-t-il ajouté.

 

Liliane N.

 

Published in Parti politiques
jeudi, 08 août 2019 07:53

Patrice Nganang serait–il fou ?

Le très célèbre écrivain camerounais naturalisé américain semble perdre la raison. Depuis quelques mois, il a décidé de s’en prendre dans un premier temps au Chef de l’Etat et à sa famille au nom de la démocratie. Et depuis quelques jours, il se fend en déclaration invitant au génocide des camerounais sur d’autres camerounais. L’intellectuel s’est résolument engagé à organiser des situations de crime contre l’humanité au Cameroun.

 

Patrice Nganang est docteur en littérature comparée. Doctorat obtenu à l’université Johann Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main. Il est depuis 2007, professeur de littérature comparée à l’université d’Etat de New York à Stony Brook. Après son escapade au Cameroun en décembre 2017, à l’occasion de laquelle il avait été arrêté pour outrage à Chef d’Etat et après avoir publiquement insulté les parties intimes de la première dame épouse du Chef de l’Etat, il va donner quelques cours à l’université de Princeton. Il a à son actif, près de 14 ouvrages publiés.

De ce qui précède, Patrice Nganang peut être considéré comme un véritable producteur du savoir. Seulement, il est difficile de croire que ce soit un intellectuel de ce rang qui tienne des propos du genre « Faites-moi confiance et je ne blague pas, je l’ai devant moi, lui Biya, et j’ai un fusil, je vais lui donner une balle exactement dans le front. Je le dis depuis Yaoundé où je suis ». Paroles prononcées à l’endroit du Président de la République.

 

Pire, il a ces derniers jours ouvertement appelé au crime sur certaines communautés camerounaises par d’autres dont il se réclame. Un discours qui a été unanimement rejeté par tous les acteurs de la classe politique camerounaise et même de ceux qui jadis soutenaient quelques unes de ses idées. Comme si cela ne suffisait pas pour assouvir sa boulimie pour le chaos, il a décidé de s’attaquer à ses camarades de lutte dans ce qu’ils qualifient de front révolutionnaire pour le départ de Paul Biya de la tête du pays.

Si patrice Nganang n’a pas perdu le nord, qu’est ce qui pourrait bien expliquer cette fatwa lancée à l’endroit de certains leaders politique et d’opinion ? Il a posté sur son mur Facebook « Mes frères ne nous laissons pas séduire par ces Beti-Bulu, qui le jour font semblant d’être avec nous, mais la nuit retournent se cacher dans les jupes de leurs mères. Préparons nous à agir car l’heure n’est plus à la blague. Ce que Junior Zogo vous a montré, prouve à suffisance qu’on ne doit plus laisser un Bulu nous infiltrer ».

Allant jusqu’à citer nommément des personnalités. « Demandons à  JP Remy Ngono, Ekanga, Mme Noah et les autres de rejoindre leurs frères qui ont détruit notre pays depuis 36 ans. On n’a pas besoin  des enfants de vipère chez nous. Aucun d’eux ne doit être épargné ». Des propos manifestement tribalistes et extrémistes. Aucun démocrate ne pourrait tenir ouvertement de tels propos.

Où va-t-il arriver ? Quelles sont finalement ses réelles intentions ? Pour qui roule Patrice Nganang ? Car il devient évident qu’il ne sert pas les intérêts des camerounais. Au contraire !

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Société
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L’homme qui a renié la nationalité camerounaise, se prévaut le droit de déclarer que  « les Bulu sont les Hutu du Cameroun »

 

Une affirmation qui n’a pas été du goût de la lauréate du Prix Fémina 2013 qui affirme qu’ « incriminer de la sorte un groupe humain entier dont il est aisé de démontrer qu’il est loin de jouir de l’appartenance du chef de l’Etat à cette communauté  n’a pas de sens ».

 

L’intégralité de sa réaction

« Vous le savez, je ne m’exprime pas sur le Cameroun. On me le reproche d’ailleurs assez souvent, ce qui ne suscitera de ma part aucun changement d’attitude dans une situation d’ores et déjà trop polarisée.

 

Pourtant, ce matin, je voudrais dire un mot des propos ci-dessous qui me bouleversent. Ils révèlent, bien sûr, l’état d’une partie de l’opinion et, surtout, les extrémités vers lesquelles certains seraient prêts à pousser le pays pour des raisons opaques, tant ces mots s’éloignent de tout patriotisme véritable, de tout esprit de fraternité.

 

La déclaration ci-dessous sous-entend que les hutu du Rwanda seraient en quelque sorte des génocidaires ataviques, qu’ils le seraient parce que hutu (leur nom devient ici une manière de désigner les criminels), qu’il n’y aurait eu, parmi eux, personne à sauver, et qu’il en est toujours ainsi (l’énoncé est au présent, le propos affirmatif). Ceci est déjà insupportable, inadmissible en soi. Aucun de nous ne peut laisser dire cela, laisser passer cela.

 

Mais au-delà, en ce qui concerne les bulu du Cameroun, la violence de ces mots est injuste et irresponsable. Si des bulu comptent bien parmi les bénéficiaires du régime actuel au Cameroun, d’autres aussi en profitent. Et non seulement des ressortissants de toutes les régions du pays font-ils partie des privilégiés de ce système, mais en ce qui concerne la communauté bulu (visée dans sa globalité, sans la moindre nuance), faut-il rappeler qu’elle habite une des régions les plus sinistrées du Cameroun? Faut-il redire qu’il n’y a même pas de route pour se rendre à Sangmelima? Est-il nécessaire de faire remarquer que, comme ailleurs, on s’est aussi battu en pays bulu pour la libération du Cameroun?

 

Incriminer de la sorte un groupe humain entier dont il est aisé de démontrer qu’il est loin de jouir de l’appartenance du chef de l’Etat à cette communauté, n’a pas de sens. Cela ne peut que servir à dresser les Camerounais les uns contre les autres, un peu plus chaque jour.

 

Ceux qui profitent du régime au Cameroun sont connus de tous. Chacun a un nom, lequel ne saurait se confondre avec celui de sa communauté. Ce ne sont pas des villages entiers qu’il faudra un jour traduire devant la justice, mais des individus. Il importe de s’en souvenir.

 

Ceux qui se sont autrefois battus pour libérer le Cameroun du joug colonial l’ont tous fait en tant que Camerounais. Pour le Cameroun. Pour l’Afrique. C’est la vision qu’ils nous ont laissée, un héritage fédérateur, fraternel, un puissant désir d’unité qui transcendait les frontières du Cameroun. C’est ce qu’il faut faire prospérer, aujourd’hui plus que jamais.

 

Les luttes politiques sont légitimes. La haine de l’autre ne l’est jamais.

NB : Ne vous laissez pas enfumer par des explications selon lesquelles « bulu » ne ferait pas référence à la communauté bulu. Le procédé visant à utiliser le nom d’un groupe humain en guise de métaphore du mal (ou même de la souffrance comme cela arrive aussi) est de toute façon plus que problématique. En particulier dans le climat qui règne actuellement au Cameroun.

 

Si même il s’était agi d’indiquer que tout le groupe n’est pas responsable des méfaits dus à une minorité (cas donc des hutu dont l’expérience sert d’étalon), l’analogie ne sied pas. On n’en est tout de même pas là. Enfin, tout ce qui est excessif… ». 

 

Published in Tribune Libre






Sunday, 05 June 2022 11:01