Selon nos informateurs, le ministre Alim Hayatou est décédé ce lundi 5 avril 2021 des suites de maladie.
Le gouvernement et le Cameroun sont une fois de plus endeuillés. Alim Hayatou le secrétaire d’Etat au ministère de la Santé a rendu l’âme ce 5 avril 2021, dans une formation hospitalière dont l’identité n’a pas encore été révélée. Ses proches affirment qu’il a été emporté par une maladie qu’il traînait depuis des mois. Selon des sources de Cameroon info net, ses proches sont actuellement en concertation avec Cavaye Yeguie Djibril le président de l‘Assemblée nationale pour préparer la suite des événements.
Il convient de préciser qu’Alim Hayatou était chargé de la lutte contre les Epidémies et les pandémies au ministère de la Santé. Il occupait ce poste depuis plus de 20 années. Il était aussi le Lamido de Garoua au Nord et président du Conseil des chefs traditionnels du Cameroun. Il avait prêté serment le 23 juin 2020 et avait pris ses engagements au cours d’une audience conduite par le président de Tribunal de première instance de Garoua.
Alim Hayatou était originaire de la région du Nord. Il a vu le jour en 1946 dans la ville de Garoua. Il était un membre de la grande famille Hayatou. Cette illustre personnalité comptait parmi ses frères, Issa Hayatou, ancien Président de la Confédération africaine de football, Sadou Hayatou, ancien Premier ministre du Cameroun, de regretté mémoire. Il faut noter qu’il est le deuxième membre du gouvernement qui meurt en fonction en l’espace d’un mois. Le 8 mars 2021, c’est Adoum Gargoum, le ministre délégué auprès du Ministre des Relations Extérieures, chargé de la coopération avec le monde islamique, qui a rendu l’âme des suites du covid19, selon les informations de la CRTV.
Liliane N.
Le pape François affirme que le Cardinal Christian Tumi a été un fidèle collaborateur des papes.
Dans sa posture de chef de l’église catholique, le pape François a écrit une lettre à Mgr Samuel Kleda Achevêque métropolitain de Douala, successeur à cette fonction du Cardinal Tumi. Dans cette lettre, le pape dit ce qu’il retient du défunt homme de Dieu qui a quitté la terre des hommes le samedi 3 avril 2021.
«Le Cardinal Tumi marqua de manière inoubliable l’Eglise ainsi que la vie sociale et politique de son pays, s’engageant toujours courageusement pour la défense de la démocratie et la promotion des droits humains. Parvenu à un âge avancé, il resta toujours disponible au service de la paix et de la réconciliation», a écrit le pape François dans sa lettre qui date du dimanche 4 avril 2021.
Pour ce qui est de son service au sein de l‘église catholique, le pape François garde du Cardinal Tumi, l’image d’un fidèle collaborateur.
«Créé Cardinal par saint Jean-Paul II en 1988, il fut un fidèle collaborateur des Papes assumant diverses charges au sein de la Curie Romaine. Que le Seigneur accueille son Serviteur dans sa paix et dans sa joie! En gage de réconfort, en ce temps de Pâques, je vous adresse, Excellence, la Bénédiction apostolique ainsi qu’à la famille et aux proches du Cardinal défunt, notamment aux personnes qui l’ont entouré ces dernières années, et à toutes celles qui prendront part, dans l’espérance de la résurrection, à la célébration des obsèques», a-t-il écrit.
Le pape François a présenté ses condoléances à la famille et aux proches du Cardinal Christian Tumi, ainsi qu’à toute personne qui est touchée par son départ. Aussi le vatican reste dans l’attente du programme des obsèques de l’unique Cardinal du Cameroun.
Liliane N.
Le Cardinal Christian Tumi a rendu l’âme le 3 avril 2021, dans la ville de Douala.
Selon des informations rendues officielles, c’est des suites de maladie, que le Cardinal Christian Tumi est décédé. Il est mort à la polyclinique IDIMED située dans la ville de Douala. Il y avait été interné depuis une semaine déjà.
Après l’annonce de sa mort, une vidéo présentant sa dépouille a circulé sur la toile, provoquant ainsi la colère de ses proches, connaissances et autorités. D’ailleurs le Dr Malachie Manaouda ministre de la Santé a condamné cet acte et a ouvert une enquête qui doit sanctionner les auteurs.
«Dans ces moments de compassion, suite au décès du Cardinal Tumi, il est inacceptable que des images qui violent son intimité soient diffusées. Une investigation a été prescrite pour établir les responsabilités à cet effet. Nos sincères condoléances à l’Eglise Catholique. RIP», a déclaré le ministre de la Santé.
Il faut savoir que Christian Wiyghan Tumi était l’unique Cardinal du Cameroun. Il s’est illustré dans la recherche d’une sortie de crise au Nord-Ouest et au Sud-Ouest. Le portrait que lui a consacré Culture Ebene, indique qu’il a été ordonné prêtre le 17 avril 1966 pour le diocèse de Buéa. Il est allé poursuivre sa formation en sciences de l’éducation au Nigéria puis à Londres (Grande-Bretagne). Il a étudié la théologie à l’Institut catholique de Lyon (France) où il a obtenu une licence. Il a eu son doctorat en philosophie à l’Université de Fribourg (Suisse).
De retour au Cameroun, il a été nommé Recteur du grand séminaire régional de Bambui dans l’archidiocèse de Bamenda. Il a été Evêque de Yagoua et a été consacré le 6 janvier 1980 par le pape Jean-Paul II en personne. Le 19 novembre 1982, il est devenu Archevêque coadjuteur de Garoua, diocèse dont il est devenu Archevêque le 17 mars 1984. Enfin, il a été Archevêque de Douala le 31 août 1991, jusqu’à sa retraite.
Liliane N.
Le député Jean-Michel Nintcheu s’en prend cette fois-ci à son camarade Joshua Osih pour s’être récemment associé à des leaders de partis politiques de l’opposition, qui ont mis sur pied une plateforme républicaine pour travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité du Cameroun.
Le député Jean-Michel Nintcheu n’est pas contre l’initiative portée par certains leaders de partis politiques de l’opposition, qui veulent travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité du Cameroun. D’ailleurs dans le communiqué presse parvenu à la rédaction d’Agence Cameroun Presse, il indique qu’il salue cette action. Ce qu’il dénonce, c’est la présence du député Joshua Osih son camarade parti dans ladite initiative.
«…Le comité exécutif régional déplore qu’un membre dont l’auto exclusion a été constatée en date du 21 mars 2021 (article 8.2), ait été associé à une initiative aussi délicate qui engage la crédibilité, la légitimité et la notabilité du SDF sans aucune concertation préalable», a écrit l’honorable Jean-Michel Nintcheu dans son communiqué.
Il faut rappeler que depuis un temps, les députés du SDF Jean-Michel Nintcheu et Joshua Osih sont à couteaux tirés. Le premier des élus du parti de la balance suscité a dénoncé le fait que le deuxième se soit associé à des parlementaires qui ont écrit une correspondance au gouvernement américain pour indiquer que la souveraineté du Cameroun est non négociable. Aussi dans ladite correspondance, ils demandaient le rapatriement des camerounais en situation irrégulière aux Etats-Unis.
Joshua Osih et Jean-Michel Nintcheu se sont livrés à une véritable guerre épistolaire qui selon des indiscrétions a pour base, la succession du Chairman Ni John Fru Ndi à la tête du SDF.
Liliane N.
Dans son communiqué, le Pr Narcisse Mouelle Kombi le ministre des Sports et de l’Education physique indique que les concours sont ouverts à compter du 1er avril 2021, à tous les artistes-musiciens et artistes-plasticiens (individuel ou collectif) de nationalité camerounaise.
Les choses commencent à se préciser de plus en plus pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui va se jouer dans notre pays en 2022. Les préparatifs aussi du tournoi semblent aller bon train au niveau national et international. Le Pr Narcisse Mouelle Kombi le ministre des Sports et de l’Education physique (MINSEP) a publié hier 1er avril 2021, un communiqué dans lequel, il informe les camerounais du lancement d’un concours national pour la proposition de l’hymne et de la mascotte de la CAN 2021.
«Le ministre des Sports et de l’Éducation Physique, président du Cocan 20-21 à l’honneur de porter à l’attention du public de l’ouverture des concours artistiques nationaux pour la proposition de l’hymne officiel et de la mascotte officielle de la CAN Total 2021. Lesdits concours sont ouverts à compter du 1er avril 2021 à tous les artistes-musiciens et artistes-plasticiens (individuel ou collectif) de nationalité camerounaise», peut-on lire dans la correspondance du MINSEP.
Toujours dans ce communiqué, le ministre Mouelle Kombi ajoute que «les fiches d’inscription ainsi que les règlements spéciaux des concours sont disponibles à la direction du tournoi (Stade Omnisports de Yaoundé), dans les délégations régionales et départementale des Sports et de l’Éducation Physique et sur le site Minsep.cm».
Il faut noter que le MINSEP a fixé la date limite de recevabilité des dossiers de candidature en français ou en anglais au 14 avril 2021 à 15heures précises pour ce qui est de la proposition de la Mascotte et au 21 avril à 15 heures précises en ce qui concerne la proposition de l’Hymne.
Liliane N.
Le Pr Jacques Fame Ndongo cadre du parti au pouvoir le Rassemblement démocratique du peuple camerounais rappelle aux partis de l’opposition, que le code électoral en vigueur est le fruit d’un projet de loi déposé par le gouvernement, voté par le Parlement et promulgué par le Chef de l’Etat
En sa qualité de Secrétaire à la Communication du Comité Central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), le Pr Jacques Fame Ndongo a décidé de répondre au MRC, PCRN, SDF et l’UDC pour ne citer qu’eux, sur leur initiative de mettre sur pied une plateforme républicaine pour travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité du Cameroun. Précisant que le RDPC est un parti qui est ouvert aux débats, le cadre du RDPC souligne aussi que pour une contribution sur le code électoral, le parlement est incontournable.
Retrouvez ci-dessous le communiqué du Pr Jacques Fame Ndongo :
CONTRIBUTIONS SUR LE CODE ELECTORAL BIS : LE PARLEMENT EST INCONTOURNABLE
Le RDPC a pris connaissance du communiqué publié, ce jour, par sept Partis politiques, dans le but de collecter des contributions, en vue de l’élaboration d’un « système électoral accepté et partagé par tous pour un jeu démocratique crédible, équitable, juste, transparent et pacifique».
Le RDPC a cinq observations :
1- Au Cameroun, le débat politique est libre, démocratique, transparent, responsable, pacifique, conformément aux lois et règlements de la République. (« Ne nous battons pas : débattons », Paul BIYA dixit). Le RDPC aime le débat d’idées. Il est prêt, sur tous les sujets.
2- Le code électoral en vigueur est le fruit d’un projet de loi déposé par le gouvernement, voté par le Parlement et promulgué par le Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, élu par le peuple camerounais libre, souverain et maitre de son Destin.
3- Les Partis politiques représentés au Parlement (et qui en ont convenance) ont le loisir de présenter une proposition de loi au Parlement, conformément aux dispositions constitutionnelles et législatives.
4- « In fine », il appartiendra au Parlement, le cas échéant, de se prononcer sur la recevabilité d’une éventuelle proposition de loi (quant à sa constitutionnalité) et, le cas échéant, sur son adoption, si tant est que les 2/3 des députés et des sénateurs soient d’avis qu’il faille accorder du crédit à pareille proposition de loi.
5- Il ne s’agit donc point, simplement, de collecter des suggestions et de les « exploiter ». Encore faut-il braver victorieusement les fourches caudines démocratiques et incontournables du Parlement. « Les contributions » émanant des « Partis politiques, organisations ou personnalités de la société civile » et « exploitées par un secrétariat technique » ad hoc ne peuvent pas, au regard des lois et règlements de la République, être adoptées par la rue, ou par un conclave lové dans l’évanescence nébuleuse de certaines imaginations fécondes, mais par le Parlement. Tout le reste ne serait que logorrhée et fantasmagorie.
Pr. Jacques FAME NDONGO
Secrétaire à la Communication du Comité Central du RDPC
Membre du Bureau Politique
Les leaders du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, l’Union démocratique du Cameroun, le Social democratic front pour ne citer qu’eux, ont signé un communiqué qui annonce la création d’une plateforme républicaine pour travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité de notre pays.
Le communiqué des leaders de ces partis politiques de l’opposition circule en ce moment sur la toile. Maurice Kamto du MRC, Cabral Libii du PCRN, Joshua Osih du SDF, Tomaino Ndam Njoya de l’UDC, Pierre Nkwemo de l’UMS, Prince Ekosso de l’USDP et Hilaire Dzipan du MP ont signé ce 1er avril 2021, un communiqué annonçant la création d’une plateforme républicaine. Le but de cette plateforme est de travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité du Cameroun.
Dans ledit communiqué, ces leaders indiquent qu’il a été observé de nombreux désaccords sur plusieurs dispositions du Code électoral. Ils affirment qu’il y a aussi des contradictions et des vides juridiques. Les conséquences de tout cela sont qu’il y a un obstacle à la plénitude de l’exercice d’un droit fondamental, le droit de vote, puis, à l’éventualité d’une alternance pacifique et démocratique.
Retrouvez ci-dessous le communiqué signé par les leaders suscités des partis politiques de l’opposition
Jean Baptiste Puewe le Secrétaire de la Fédération communale du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun à Banka, dans la région de l’Ouest, est décédé dans la journée du mercredi 31 mars 2021.
Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) est endeuillé. Alors que le parti politique pleurait Lazare Soub qui fut son unique député, la fin de la journée d’hier 31 mars 2021, s’est plutôt encore assombrie avec le décès de Jean Baptiste Puewe le Secrétaire de la Fédération communale du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun à Banka.
Parlant au nom de son parti, Maurice Kamto dans un communiqué rendu public ce jeudi 1er avril a salué la mémoire des disparus et adressé ses condoléances aux différentes familles biologiques.
«Face à cette double perte pour notre parti et les familles concernées, je voudrais, en mon nom propre et au nom du MRC, présenter mes sincères condoléances aux familles si durement éprouvées, ainsi que l'expression de ma compassion émue (...) C'est l'occasion pour moi d'exprimer aux illustres et valeureux disparus ma profonde reconnaissance et celle du MRC pour les sacrifices consentis en vue du rayonnement et de l'implantation de notre parti auquel ils étaient très attachés et dévoués. Je leur fais la promesse que nous continuerons avec plus d'ardeur le combat que nous menions ensemble», a écrit Maurice Kamto président national du MRC.
Pour revenir à l'ancien député Lazare Soub, dans l'hommage que Maurice Kamto lui a rendu, il a indiqué qu'il était un homme politique pétri d'expérience.
«M. Lazare Soub était un homme politique chevronné, homme de terrain populaire, travailleur et batailleur infatigable, fin connaisseur des subtilités politiques de la société camerounaise, en particulier de la ville de Douala où il était établi de longue date. Sa riche expérience du champ politique camerounais, qui lui avait valu d’être élevé au Comité des Sages de notre parti, nous manquera cruellement», a-t-il écrit.
Liliane N.
L’agence de transport interurbain Avenir Voyage avait été suspendue pour une période d’un mois après avoir été dans un accident de la circulation, qui a fait 5 morts dans la nuit du 21 au 22 février 2021 à Foumbot.
Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena le ministre des Transports (MINTRANSPORT) a levé la sanction qui pesait sur l’agence de transport Avenir Voyage. Cette dernière avait écopé d’un mois de suspension d’activités pour un énième accident de la route dans lequel il était impliqué. Ledit accident avait eu lieu dans la nuit du 21 au 22 février 2021 dans la ville de Foumbot située dans la région de l’Ouest. Il y avait eu un bilan de 5 morts.
Dans son communiqué qui date du 26 février 2021, le MINTRANSPORT en infligeant cette suspension d’activités d’1 mois à Avenir Voyage, avait précisé que l’agence allait faire l’objet d’une observation. Et elle devait soumettre au contrôle technique qui allait être fait sous la supervision des responsables de son département ministériel, tous ses véhicules affectés au transport interurbain des personnes. Il faut donc croire qu’en levant la sanction, le ministre a été rassuré du respect des mesures qu’il avait prescrites.
Toutefois, il convient de souligner que cette sanction n’était pas la première à laquelle Avenir Voyage devait faire face. Il y a d’abord eu celle suivant le grave accident survenu dans la nuit du 26 au 27 décembre 2020 à Ndikinimeki, région du Centre. On avait compté 39 morts et 14 blessés graves. Le ministre Ngalle Bibehe Massena avait infligé à titre conservatoire, un mois de suspension d’activités à Avenir voyages. Il avait dans la foulée prescrit une enquête ayant révélé des dysfonctionnements qui engageaient la responsabilité de l’agence de transport dans cet accident.
Liliane N.
Le ministère de la Défense fait savoir que l’armée a été prise à partie par une meute criminelle sur l’axe Mbonge-Kumba, dans la matinée du 26 mars 2021.
Depuis des jours, l’armée essuie des accusations de meurtre de civils à Mbonge, un village situé dans la région du Sud-Ouest. Le journal en ligne de la femme des médias Mimi Mefo dans une de ses publications parle de pas moins de 20 jeunes dont des femmes, des personnes âgées et des enfants qui ont été tués à Mbonge.
«Parmi les personnes exécutées sommairement lors du raid militaire de vendredi, il y a «environ neuf combattants séparatistes», peut-on lire dans la publication du journal de Mimi Mefo.
Portant les accusations similaires contre l’armée Sosthène Médard Lipot du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) a requis l’ouverture d’une enquête pour élucider les évènements du 26 mars 2021. L’homme politique affirme aussi que les Forces de Défense et de Sécurité ont en plus de tué des séparatistes, ont assassiné des civils.
Ces accusations sont suffisamment graves. Le ministère de la Défense a décidé de faire une mise au point sur ce qui s’est véritablement produit le 26 mars 2021 à Mbonge.
«Il s’est agi d’une patrouille des éléments du 21e Bataillon de Fusiliers Marins Commandos prise à partie par une meute criminelle lourdement armée sur l’axe Mbonge-Kumba dans la matinée du 26 mars 2021. Le bilan de cet accrochage est de 02 terroristes neutralisés, 05 engins explosifs improvisés, des détonateurs télécommandés et plusieurs armes de guerre récupérés (…) Quelques terroristes rescapés avaient rassemblé de force les populations apeurées sur la place du village pour reconstituer risiblement dans des postures morbides, ce qui est aujourd’hui malheureusement et maladroitement brandi comme preuves de massacres », explique le ministère de la Défense dans sa mise au point.
Liliane N.