Le Cameroun comme Etat unitaire souffle cette année ses 47 bougies. Cet anniversaire sera célébré ce lundi sur l’ensemble du territoire et dans les missions diplomatiques du Cameroun à travers le monde. A Yaoundé, siège des institutions, la fête de l’Unité connaît toujours une saveur particulière.
Comme à l’accoutumée, le président de la République, Paul Biya, chef des forces armées, présidera personnellement les cérémonies prévues au Boulevard du 20 mai et au Palais de l’Unité, en présence des corps constitués nationaux, ceux du corps diplomatique et de nombreux invités spéciaux.
Cameroon Tribune rappelle que « Paul Biya dont le mandat vient d’être renouvelé par une écrasante majorité des Camerounais au terme de la présidentielle du 7 octobre 2018, présidera ainsi le premier « 20 mai » de l’ère des « Grandes Opportunités » ».
Avant l’arrivée du Chef de l’Etat, il est prévu un office religieux à 6h à la cathédrale Notre Dame des Victoires, située à un jet de pierre du Boulevard du 20 mai, suivi de la mise en place des troupes et des participants au défilé. La grande parade civile et militaire se déroulera entre 11h15 et 13h15 sous le regard des personnalités de la République.
Le programme officiel des festivités publié par le Directeur du Cabinet civil de la présidence de la République, indique des animations populaires après le défilé à l’esplanade de chacune des sept sous-préfectures de la ville de Yaoundé avant la réception offerte le soir par le couple présidentiel, Chantal et Paul Biya au Palais de l’Unité.
La fête nationale de l’Unité est placée cette année sous le thème : « Unité dans la diversité, atout majeur du peuple camerounais dans sa marche résolue vers l'émergence ». Ce message apparaît à la fois comme une exhortation à l’unité au moment où le pays est secoué par des velléités sécessionnistes et une exaltation de la diversité linguistique, culturelle et ethnique du Cameroun considérée comme une chance et un atout pour son émergence économique.
Des notions chères au Président Biya qui dans un récent message sur Twitter souligne à ses compatriotes qu’au lieu de s’attacher à leurs « différences linguistiques » ils feraient mieux de demeurer des « frères et sœurs, unis pour trouver des solutions concrètes à nos problèmes ».
Otric N.
L’objectif final visé est d’assurer le bon ordre, la tranquillité, la sécurité et la fluidité de la circulation, tant au Boulevard du 20 mai que dans les périphéries.
Axes menant au Boulevard du 20 mai. Tous les usagers de la route en provenance du Littoral et du Sud, désirant se rendre côté Nord de la cité-capitale et vice-versa, devront éviter de passer par le Rond-point de la poste centrale, le Boulevard du 20 mai et la Place de l’An 2000 dès 06H00. Ils emprunteront les itinéraires de contournement suivants :
Echangeur Ahala-Carrefour Tropicana-Ekounou-Nkondengui-Emombo-Terminus Mimboman-Carrefour Hôtel du Plateau-Station Oilibya Omnisports-Ngousso-Eleveur-Fougerole-Stade Olembé. Carrefour Awae-Commissariat de Sécurité publique du 3ème arrondissement à Nkoldongo-Descente Fanta Cintron-Carrefour Bout Carré Mvog-Ada-Carrefour Elig Essono-Carrefour Etoa-Meki-Rond-Point Nlongkak.
Carrefour Cami Toyota-Carrefour Mvog Atangana Mballa-Oilibya Olézoa-Carrefour Trois Statues-Carrefour Monseigneur Vogt-Chapelle Obili-Carrefour Obili-Total Melen Mokolo.
Sur l’itinéraire Quai des nattes – Carrefour Warda-Nouvelle Route Bastos-Palais des Congrès-Ront-Point-Mballa, les usagers de la voie publique pourront emprunter les points de traversées suivants, avant et après le passage du cortège présidentiel :
1er point : Echangeur simplifié :
2ème point : Entrée principale du Palais des Congrès ;
3ème point : Rond-Point Ecole Publique Bi lingue Bastos.
La circulation routière sera libre sur le reste de l’agglomération de Yaoundé pendant le déroulement des cérémonies au Boulevard du 20 mai et sera rétablie dès la fin du service d’ordre au Boulevard du 20 mai vers 14h 00.
Axes menant au Palais de l’Unité
La circulation routière y fera l’objet d’une interruption de 16 heures 30 minutes à 20 heures 30 minutes
Points concernés :
Boulevard 20 mai-Rond-Point Place An 2000 –Quai des nattes-Carrefour WardaNouvelle Route Bastos-Carrefour Sous-préfecture Yaoundé II – Entrée Principale Palais des Congrès-Ront-Point Balla-Palais de l’Unité.
Ne pourront emprunter cet axe que les véhicules automobiles des personnalités se rendant à la réception au Palais de l’Unité. Les points de traversée ci-après seront aménagés le long de cet itinéraire lors du passage du cortège.
1er Point : Rond-Point An 2000 :
2ème Point: Carrefour Warda dans les sens Collège de la Retraite-Rond-Point Ministère de l’Education de Base et vice-versa ;
3ème Point : Echangeur simplifié ;
4ème Point : Entrée principale Palais des Congrès.
La circulation routière sera rétablie dès la fin de la réception au Palais de l’Unité. Le délégué régional de la Sûreté nationale du Centre sait pouvoir compter sur le civisme et la compréhension habituelle des populations et des usagers de la voie publique de la cité-capitale pour l’ordre, la discipline et la sécurité règnent tout au long de ces festivités.
Yaoundé, le 14 mai 2019
Le délégué régional de la Sûreté nationale du centre par intérim.
Sur la plateforme aéroportuaire de la base aérienne 301 de Garoua, les vrombissements des aéronefs sont montés d'un cran. La scène rentre en droite ligne des préparatifs de la parade du 20 mai. Les avions prennent et reprennent incessamment les voies aériennes pour un vol qui se veut en patrouille. A la manœuvre, le commandant des troupes, le colonel Barthélemy Marie Tsila qui veille au grain. Pour lui : "il y aura le chaud aérien, nous allons montrer aux gens les capacités de ces avions", dit-il.
Pour les répétitions du défilé pédestre, au sol des pas cadencés et vigoureux s'enchaînent au rythme de la fanfare. Et le Commandant Barthélemy Marie Tsila ne manque pas régulièrement d'inviter les troupes au respect strict des alignements et des distances à maintenir entre les carrés et surtout des gestes utiles. " Le chef de l'Etat a mis tous les moyens à notre disposition. Nous allons partir à Yaoundé pour le défilé. Donc, c'est un honneur pour nous", précise le commandant de la Base aérienne 301 de Garoua.
A divers niveaux des préparatifs, les petits plats sont entrain d'être mis dans les grands pour que la Base aérienne de Garoua fasse étalage de son savoir-faire le jour de la fête de l'unité pour une démonstration grandeur nature de sa volonté de promouvoir la relation Armée-Nation.
Innocent D H
Le Cameroun va vivre un moment inédit dans l’univers littéraire africain. Le 22 mai prochain, la cérémonie de remise du tout premier Prix Orange du livre en Afrique se tiendra à l’Hôtel Hilton à Yaoundé. La Fondation Orange, en partenariat avec le ministère des Arts et de la Culture, est à l’origine de cet événement placé sous le très haut patronage du chef de l’Etat et présidé par le ministre des Arts et de la Culture (Minac), en sa qualité de représentant personnel du président de la République.
Dans l’objectif de peaufiner les lignes de ce rendez-vous du 22 mai, indique Cameroon Tribune, Frédéric Debord, Directeur général de Orange Cameroun et Président du conseil d’administration de la Fondation Orange a rendu une visite de travail vendredi dernier au Minac. Dans sa délégation, le Secrétaire général de la Fondation Orange, Elizabeth Ehabe.
Pour le ministre Bidoung Mkpatt, les efforts émis par ses hôtes pour favoriser la promotion de la culture « sont incommensurables et devraient inspirer d’autres compagnies. » D’après Frédéric Debord, la Fondation Orange Cameroun a obtenu la tenue de cette cérémonie après une longue bataille.
Pour lui, il est important de servir à tout le continent une démonstration d’efficacité. « Il faut qu’on mette la barre suffisamment haut pour que cette toute première édition au Cameroun marque de façon indélébile l’histoire de ce concours », a-t-il déclaré, avant d’admettre que le pays de Calixthe Beyala et Léonora Miano est une excellente terre d’accueil à ce Prix Orange.
Le Prix lancé en octobre 2018 répond à la volonté de la Fondation Orange de valoriser des talents littéraires africains et l’édition locale. Cette distinction sacre un texte de fiction écrit en langue française par un écrivain africain et publié par une maison d’édition basée sur le continent. La périodicité de publication des livres admis à participer était fixée entre le 1er janvier 2017 et le 30 octobre 2018.
Plus de 60 auteurs ont soumis leurs ouvrages. Six livres finalistes sont en lice pour ce tout premier Prix Orange parmi lesquels « Munyal, les larmes de la patience » de la Camerounaise Djaïli Amadou Amal. Elle se retrouve en compétition face à un Ivoirien, deux Marocains, un Tunisien et un Sénégalais.
Le vainqueur aura une dotation de 10.000 Euros (6.500.000 FCFA) et bénéficiera d’une campagne de promotion de son ouvrage. Cette cérémonie vient consacrer 10 ans d’activités au Cameroun de la Fondation Orange engagée dans les trois domaines de mécénat que sont l’éducation, la santé et la culture.
Otric N.
Ce mardi 14 mai 2019, les Lionnes Indomptables de football feront leurs adieux au public camerounais. Dans cette logique, l’équipe nationale de football féminin livrera un duel de gala contre les pensionnaires de l'Académie nationale de football (Anafoot) au stade militaire. Cette rencontre sera l’ultime sortie sur le sol camerounais, de Christine Mani et ses coéquipières qui sont en stage préparatoire de la Coupe du monde féminine 2019, au Centre d’excellence de la CAF à Mbankomo à Yaoundé depuis le 7 mai dernier. C’est l’occasion pour Alain Djeumfa et ses filles, de partager, de communier, et surtout de recevoir l’onction du public, avant leur départ pour le Mondial.
Les Lionnes peaufineront leur dernier stage préparatoire en Espagne, avant de s’envoler pour la France, terre d’accueil de la phase finale du Mondial féminin qui aura lieu du 7 juin au 7 juillet prochain. « Nous aurons un match d’au revoir au Stade Militaire de Yaoundé. Nous partirons ensuite en Espagne pour le stage d’acclimatation. Nous aurons un match amical international contre la sélection espagnole le 17, un autre le 22, le 26 et le dernier le 2 juin. Nous allons rejoindre la France le 6 juin à Montpellier, base de nos deux premières rencontres », a expliqué le sélectionneur national au début du dernier regroupement. Logé dans le groupe E, le Cameroun affrontera à la phase de groupes, le Canada, la Nouvelle-Zélande et le Pays-Bas. Le premier match des Lionnes Indomptables aura lieu le 10 juin prochain contre le Canada.
Avant la rencontre de mardi, le président de la Fédération Camerounaise de football (Fecafoot), Seidou Mbombo Njoya a rendu une visite surprise aux 23 Lionnes en stage samedi dernier, au Centre d’Excellence de la CAF à Mbankomo. Il a pour l’occasion vu le match qui opposait les candidates à la Coupe du Monde de Football Féminine France 2019 à l’équipe cadette d’Apejes de Mfou, remportée par l’équipe nationale. Le président de la Fecafoot a félicité les Lionnes pour leur prestation et les a encouragé dans l’esprit de vainqueur. « Tout est mis en œuvre pour une bonne prestation des camerounaises à la Coupe du Monde. C’est un honneur pour les filles d’arborer les premières, les équipements du « Coq Sportif » à la phase finale de la Coupe du Monde de Football avant leurs compères masculins depuis plus de 30 ans », a affirmé Seidou MBOMBO NJOYA.
Marie MGUE
D’après le communiqué signé par Maurice Kamto le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, les «marches blanches» seront organisées du 1er au 8 juin 2019.
Contrairement à ce que pensaient d’aucuns, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) n’a pas fini avec ses «marches blanches». Par le biais de son président national Maurice Kamto, cette formation politique annonce à ses militants et ses alliés, la tenue d’autres manifestations publiques à partir du 1er juin 2019. Elles se tiendront jusqu’au 8 juin de l’année en cours. Dans le communiqué que Christian Penda Ekoka et Paul Eric Kingue cosignent, on peut lire ce qui suit: «les marches pacifiques reprennent selon le calendrier suivant: samedi 1er juin 2019 : manifestations pacifiques dans diverses localités du pays, préparatoires à la «méga marche» à Yaoundé».
Maurice Kamto et ses proches collaborateurs suscités indiquent que la reprise des marches après quatre mois d’interruption est motivée par «la conscience patriotique». Ladite conscience leur impose le devoir de continuer «la lutte pour le rétablissement de la paix et de la concorde nationale». Ces derniers ajoutent «nous marchons principalement pour les raisons suivantes: exiger la libération immédiate et sans condition du président Maurice Kamto, de ses leaders alliés Christian Penda Ekoka, Albert Dzongang, Paul Eric Kingue, Valsero et autres responsables nationaux du Mrc, Alain Fogue Tedom, Michelle Ndocki, Célestin Djamen, ainsi que leurs militants, sympathisants et de citoyens innocents illégalement et arbitrairement arrêtés puis incarcérés dans le cadre des marches blanches, pacifiques du 26 janvier 2019, la réforme consensuelle de l’ensemble du système électoral avant l’organisation de toute nouvelle élection».
Les leaders du Mrc affirment que les marches sont également organisées pour décrier un certain nombre de choses qui se passent dans les régions anglophones et en rapport avec la crise socio politique qui y sévit durant trois années déjà. «…Non à l’exclusion déguisée du Mrc et de ses partis alliés au jeu politique, non à la sécession et donc à la partition du Cameroun, non à la guerre dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, non à la succession de gré à gré…», peut-on lire dans le communiqué.
A titre de rappel, le Mrc avait annoncé l’organisation des marches le 6 avril dernier. Lesdites marches ont été reportées par le biais d’un communiqué signé par M. Christopher Nveh le Secrétaire général du Mrc. Christopher Nveh avait indiqué que cette manifestation allait se tenir le 13 avril. Au finish cette programmation a été annulée. A cette époque le Mrc prévoyait marcher pour dénoncer premièrement le fait que le gouvernement veuille organiser des élections, alors que les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-ouest sont toujours en proie à la crise socio-politique.
Liliane N.
« L’objectif de ce forum est d’explorer les nouvelles opportunités pour le partenariat bilatéral et également déterminer les stratégies ciblées pour des secteurs nouveaux à découvrir. La Corée est prête à partager ses expériences de développement économique avec le Cameroun et prête à investir davantage au Cameroun en tant que partenaire le plus fidèle et le plus fiable », a indiqué l’ambassadeur de Corée au Cameroun, Bok-Ryeol Rhyou.
A en croire le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, la Corée et le Cameroun entretiennent les relations diplomatiques depuis 1961 et ces deux pays ont développé de nombreux projets bilatéraux d’envergure dans des domaines de l’énergie, la santé, la formation professionnelle, les TIC, etc. Et le Cameroun compte continuer de booster ces échanges.
En 2008, la Corée du Sud est devenue la 13e puissance économique mondiale avec un PIB de 1 024 milliards de dollars américain. Au niveau des échanges, en 2007, il s'agit de la 11e et 13e puissance commerciale mondiale respectivement en termes d'exportation et d'importation de marchandises. Si l'on exclut les échanges intra-Union Européenne, la Corée du Sud devient respectivement la 6e et la 7e puissance exportatrice et importatrice de biens
« L’expérience de la Corée mérite d’être explorée et nous l’utilisons certainement pour accompagner la stratégie de développement du Cameroun visant à faire de notre pays un pays émergent à l’horizon 2035. C’est le sens de la présence d’un conglomérat comme Samsung dans les domaines des Tic », précisera Alamine Ousmane Mey, ministre en charge de l’Economie qui a pris part aux travaux.
« Le Cameroun veut transformer les produits de notre sous-sol pour en ajouter de la valeur afin de commercer avec le reste du monde, dans le but d’améliorer notre balance commerciale. Nous voulons tirer profit de l’expérience coréenne. La Corée n’a pas de richesses du sous-sol mais, elle a des richesses humaines et c’est là le sens de ces échanges qui aident à mieux nous en inspirer et à permettre à notre pays de poursuivre sereinement la croissance, la diversification, l’intégration, le partage de la richesse créée une croissance inclusive », va-t-il ajouter.
De son côté la Corée du Sud veut trouver de nouvelles opportunités d’investissements au Cameroun. S.E Bok-Ryeol Ryou l’Ambassadeur de la Corée du Sud au Cameroun a indiqué que les travaux de son pays permettent à son pays de déterminer les stratégies ciblées pour de nouveaux secteurs à explorer. «La Corée est prête à partager ses expériences de développement économique avec le Cameroun, à investir davantage au Cameroun».
Otric N.
Dans son édition du 10 mai 2019, le quotidien Le Jour rapporte que les conducteurs des motos-taxis ne comptent pas rester les bras croisés après l’arrêté préfectoral de Jean Claude Tsila, le Préfet du département du Mfoundi. Notre confrère écrit dans ses colonnes, que ceux-ci envisagent de mener une résistance le 13 mai si la décision de l’autorité administrative venait à être véritablement mise en application. « Pour se faire entendre, les autorités et responsables de syndicats selon des sources ont remis une copie de l’édition de Cameroon Tribune du 7 mai 2019 dans laquelle Jean Claude Tsila, le Préfet du Mfoundi et Joseph Bertrand Mache Njouonwet, celui du Wouri se sont exprimés sur la question à la page 7 », peut-on lire dans le journal.
D’après notre confrère les conducteurs des motos-taxis se sont donnés rendez-vous devant un kiosque au quartier hôtel du Plateau, hier 9 mai 2019. Ils avaient en main des copies de l’édition de de Cameroon tribune susmentionnée. « Nous ne ferons pas fi de leur décision. Nous allons faire notre travail lundi comme à l’accoutumée, mais s’ils tentent de nous interdire de circuler comme nous voulons, on va nous entendre », déclare l’un des conducteurs mécontents dans les colonnes du journal.
Pour mieux comprendre ce qui se passe, il convient de rappeler que le 6 mai 2019, Jean Claude Tsila a rendu public un communiqué dans lequel, il informait l’opinion de l’interdiction qui plane désormais sur les motos taxis à se retrouver dans les axes principaux de Yaoundé. Les voies principales dont il est question sont Yaoundé I au niveau de la Route Emana-Messa assi-Olembe; la Route Marché Etoudi-Hôpital général, la Rue Noa Tsogo, la Rue manguier. A Yaoundé II les engins à deux roues sont interdits au Boulevard Jean Paul II, à la Route du Mont Febe-Ambassade de Grèce, au Rond-point Febe, à la Rue Flamenco, à la Rue Nana Tchokonté et au Marché Mokolo-Madagascar.
Les motos taxis ne doivent pas franchir selon le communiqué de l’autorité administrative, les points suivants Place d’Awae (Carrefour Mvog-Mbi, Carrefour Olezoa), Boulevard de la réunification (Place de Melen, Carrefour Emia), Place Elig-effa (Gare routière de Yaoundé-Ouest, Messa), Place de droits de l’homme (Sous-préfecture de Tsinga, Roind-point Bastos, Carrefour Bastos), Place Tongolo (Carrefour Etoudi, Hôpital général, Hôpital gynéco obstétrique), Stade Omnisport (Quartier Mfandena, Carrefour Olibiya, Carrefour Coron).
Liliane N.