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Jean Claude Tsila dans un communiqué rendu public ce Mardi a regretté le comportement irresponsable des habitants et a résolu que ceux qui seront pris dès Jeudi vont répondre de leurs actes. 

 

Un laissez aller qui prend de plus en plus d’ampleur

Et dont les effets se font ressentir depuis quelques semaines, après la décision prise par L’Etat d’alléger les mesures mises en place au mois d’Avril afin de lutter efficacement contre la crise sanitaire : « L’embellie qui a été observée sur le front de la lutte contre la propagation du Covid-19 grâce aux efforts conjugués du Gouvernement de la République et de tous a laissé croire à certains habitants de la cité capitale Camerounaise que cette pandémie a été vaincue… 

Ce mirage donne lieu à des attitudes et des comportements inciviques de la part de certains de nos concitoyens qui pourraient saper des mois d’efforts soutenus et de sacrifices ».

 

Les comportements en question

Ce sont des agissements qui «  se résument au non – respect des mesures barrières édictées par les pouvoirs publics, notamment :

Le port systématique du masque dans les lieux publics

Le respect de la distanciation sociale dans les débits de boissons et les véhicules de transport en commun, les taxis, les motos ».

Coronavirus et responsabilité individuelle : Quand des Camerounais privilégient la boisson en lieu et place des masques de protection

 

Les sanctions

Dans le document, Jean Claude Tsila rappellent à tous que : « L’Ensemble de ces mesures demeurent en vigueur ».

Par conséquent, il informe à tous que : « Des contrôles visant le respect de ces mesures débuteront le Jeudi 14 Mai 2020, sur l’ensemble du Département du Mfoundi et s’effectueront sous la houlette des Sous – préfets et des responsables locaux des Forces de Maintien de l’Ordre…

Ces contrôles visent aussi bien les véhicules de transport en commun, les motos taxis que les débits de boisson et les lieux de culte. Aussi, tout véhicule de transport en commun ou toute moto surpris en marge du respect des mesures barrières (port du masque par le chauffeur et les clients) sera systématiquement conduit à la fourrière municipale ».    

De plus, « Il en sera de même des débits de boissons et des lieux de culte qui feront le cas échéant, l’objet de fermeture temporaire. Quand aux habitants de la cité capitale réfractaires au port systématique du masque dans les lieux publics, ils seront interpellés et remis en liberté après avoir arboré le masque… ».

A la fin de sa mise en garde, le Préfet du Département du Mfoundi en appelle à la conscience de tous et de chacun car, « C’est grâce à un sens élevé des responsabilités et de civisme pour le renforcement du respect des mesures barrières en vigueur que sera définitivement vaincue la pandémie du Covid-19 ».

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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Jean Claude Tsila demande à tous ceux qui ne veulent pas être sanctionnés s’ils n’ont pas de masque facial, de rester chez eux.

 

Dans le département du Mfoundi, les autorités entendent appliquer la tolérance zéro, pour ce qui est du respect de la mesure relative, au port généralisé du masque facial. Jean Claude Tsila le Préfet de ce département, indique que la sensibilisation est finie. On est actuellement rendu à la phase de répression. Et parlant justement de répression, il n’exclut pas l’idée d’une détention provisoire pour toute personne qui sera désormais vue dans un lieu ouvert au public, sans masque facial.

 

“Nous sollicitons la responsabilisation de chaque citoyen face à la menace du Covid-19. Nous allons peut- être plancher sur une privation momentanée de la liberté. Ceci afin que les gens comprennent que s’ils ne veulent pas porter de masque, qu’ils ne se retrouvent pas sur la place publique. Il est question pour nous de limiter la circulation de la maladie et pour cette raison, leurs déplacements seront aussi limités. Dans les prochains jours, ces mesures seront effectives dans le Mfoundi. Des directives ont été données lundi par le gouverneur du Centre et il revient maintenant aux autorités administratives de les implémenter. Notamment les sous-préfets, les maires qui sont sur le terrain et les responsables des services de sécurité”, a déclaré le Préfet du département du Mfoundi au cours d’une interview qu’il a accordée à Cameroon tribune, le quotidien gouvernemental.

 

Il convient de rappeler que le port généralisé du masque dans les lieux publics fait partie des 7 nouvelles mesures gouvernementales, prises pour lutter contre la propagation du Coronavirus au Cameroun. Si on peut noter que ladite mesure commence à entrer dans les habitudes de vie des camerounais de la capitale, on observe également que certains n’ont toujours pas compris son importance. Dans le département du Mfoundi spécifiquement, les autorités ont décidé d’interpeller et de sanctionner les récalcitrants.

 

Liliane N.  

 

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Jean Claude Tsila la Préfet du département du Mfoundi reproche à ces prostituées de perturber le confinement des voyageurs récemment entrés au pays.

 

Il faut faire respecter les mesures prescrites par le gouvernement pour lutter contre le Coronavirus. Constituant des obstacles au respect desdites mesures, une cinquantaine de prostituées a été placée en garde à vue, sur décision de Jean Claude Tsila, le Préfet du département du Mfoundi.

L’autorité administrative qui s’est exprimé sur ce sujet sur les antennes de la Crtv, a révélé que ces belles de nuit allaient rendre visite aux personnes récemment entrées au Cameroun et mises en quarantaine. Etant donné qu’elles venaient des pays touchés par la pandémie du Coronavirus. 

Il fallait prendre cette décision, vu qu’on peut imaginer que de par leur activité, ces prostituées entrent en contact avec un nombre important de personnes. Alors quand on connaît aujourd’hui la vitesse avec laquelle le virus du Covid-19 se propage, il y a effectivement lieu de s’inquiéter et de prendre des mesures qui s’imposent. 

A titre de rappel, il faut noter qu’en début de semaine, Joseph Dion Ngute le Premier Ministre a présidé un Comité interministériel. Le but de cette assise était de procéder à l’évaluation du respect des mesures adoptées par le gouvernement. Il en est sorti que de nombreuses mesures ne sont pas du tout respectées. Le chef du gouvernement a convié ses collaborateurs à tout faire pour changer la donne. 

Aussi, il ne sera pas surprenant de voir des sanctions comme celles appliquées par Tsila pour amener les camerounais à se plier à des mesures qui vont leur sauver la vie.   

Il faut savoir que le Préfet du département de la Mefou et Afamba a aussi de son côté, décidé de fermer pour une durée de 60 jours un débit de boisson dans son territoire de commandement. Le reproche fait audit débit est le non-respect de la mesure prescrivant la fermeture des bars dès 18 heures.


Liliane N. 

 

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Jean Claude Tsila le Préfet du département du Mfoundi annonce de ce fait, que des mesures pour remédier au problème, seront prises très bientôt.

 

Les motos-taxis restent visibles dans les principaux axes de la ville de Yaoundé. Ils y circulent de jour comme de nuit. De fois, ils prennent d’assaut le carrefour Mokolo en face du supermarché Niki. A bord de leurs engins, ils n'hésitent pas à garer devant les passants pour proposer leurs services. Certains sont garés de part et d'autre sur les trottoirs, et sur le terre-plein en attente des potentiels clients. D'autres embarquent et déposent leurs passagers sans se soucier du respect du code de la route. Avec un, deux ou même quatre clients à bord, les conducteurs de motos-taxis vont vers plusieurs destinations, à savoir Nkolbisson, Oyom-Abang, Me-len, Obili. Le spectacle est quasi le même à la Poste centrale, à l'Hôtel de ville, à Montée Ane rouge. Les motos-taxis envahissent les rues en faufilant entre les véhicules.

Pourtant il convient de rappeler que dans un communiqué datant du 12 janvier 2012, Jean Claude Tsila le Préfet du département du Mfoundi indiquait aux motos-taxis, les axes routiers où il leur était interdit de circuler. C’était un communiqué conjointement signé avec Gilbert Tsimi Evouna le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé. Les axes en question sont Place d’Awae (Carrefour Mvog-Mbi, Carrefour Olezoa), le Boulevard de la réunification (Place de Melen, Carrefour Emia), Place Elig-effa (Gare routière de Yaoundé-Ouest, Messa), Place de droits de l’homme (Sous-préfecture de Tsinga, Roind-point Bastos, Carrefour Bastos), Place Tongolo (Carrefour Etoudi, Hôpital général, Hôpital gynéco obstétrique), Stade Omnisport (Quartier Mfandena, Carrefour Olibiya, Carrefour Coron).

Lire aussi : Hygiène et salubrité : Célestine Ketcha Courtes a primé les meilleurs quartiers de la capitale politique

Les voies principales interdites aux conducteurs de motos-taxis sont Yaoundé I (Route Emana-Messa assi-Olembe ; Route Marché Etoudi-Hôpital général, Rue Noa Tsogo, Rue manguier); Yaoundé II (Boulevard Jean Paul II, Route du Mont Febe-Ambassade de Grèce, Rond-point Febe, Rue Flamenco, Rue Nana Tchokonté-Marché Mokolo-Madagascar).

Pour leur défense, la plupart des conducteurs de motos-taxis affirment ne pas être au courant de l'interdiction sus mentionnée. Ils déclarent ignorer qu’ils ne peuvent que circuler dans les zones périphériques de la ville de Yaoundé pour la desserte des localités et quartiers enclavés.

 

Liliane N.

 

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Ils ne sont pas d’accord avec la décision de l’autorité administrative qui leur interdit de circuler dans les axes principaux de la capitale.

 

Dans son édition du 10 mai 2019, le quotidien Le Jour rapporte que les conducteurs des motos-taxis ne comptent pas rester les bras croisés après l’arrêté préfectoral de Jean Claude Tsila, le Préfet du département du Mfoundi. Notre confrère écrit dans ses colonnes, que ceux-ci envisagent de mener une résistance le 13 mai si la décision de l’autorité administrative venait à être véritablement mise en application. « Pour se faire entendre, les autorités et responsables de syndicats selon des sources ont remis une copie de l’édition de Cameroon Tribune du 7 mai 2019 dans laquelle Jean Claude Tsila, le Préfet du Mfoundi et Joseph Bertrand Mache Njouonwet, celui du Wouri se sont exprimés sur la question à la page 7 », peut-on lire dans le journal.

 

D’après notre confrère les conducteurs des motos-taxis se sont donnés rendez-vous devant un kiosque au quartier hôtel du Plateau, hier 9 mai 2019. Ils avaient en main des copies de l’édition de de Cameroon tribune susmentionnée. « Nous ne ferons pas fi de leur décision. Nous allons faire notre travail lundi comme à l’accoutumée, mais s’ils tentent de nous interdire de circuler comme nous voulons, on va nous entendre », déclare l’un des conducteurs mécontents dans les colonnes du journal.

 

Pour mieux comprendre ce qui se passe, il convient de rappeler que le 6 mai 2019, Jean Claude Tsila a rendu public un communiqué dans lequel, il informait l’opinion de l’interdiction qui plane désormais sur les motos taxis à se retrouver dans les axes principaux de Yaoundé. Les voies principales dont il est question sont Yaoundé I au niveau de la Route Emana-Messa assi-Olembe; la Route Marché Etoudi-Hôpital général, la Rue Noa Tsogo, la Rue manguier. A Yaoundé II les engins à deux roues sont interdits au Boulevard Jean Paul II, à la Route du Mont Febe-Ambassade de Grèce, au Rond-point Febe, à la Rue Flamenco, à la Rue Nana Tchokonté et au Marché Mokolo-Madagascar.

 

Les motos taxis ne doivent pas franchir selon le communiqué de l’autorité administrative, les points suivants Place d’Awae (Carrefour Mvog-Mbi, Carrefour Olezoa), Boulevard de la réunification (Place de Melen, Carrefour Emia), Place Elig-effa (Gare routière de Yaoundé-Ouest, Messa), Place de droits de l’homme (Sous-préfecture de Tsinga, Roind-point Bastos, Carrefour Bastos), Place Tongolo (Carrefour Etoudi, Hôpital général, Hôpital gynéco obstétrique), Stade Omnisport (Quartier Mfandena, Carrefour Olibiya, Carrefour Coron).

 

Liliane N.

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Parmi les décisions fortes qu’il a prises, Jean Claude Tsila exige désormais le port d’un uniforme et, il interdit aux conducteurs de moto-taxis de circuler dans plusieurs axes de la ville de Yaoundé.

 

Dans un communiqué signé par l’autorité administrative il y a quelques heures,  il est indiqué que : « Les agents de la police municipale vont désormais arborer un uniforme estampillé : police municipale. Un uniforme  qui est complètement différent des tenues que portent les gendarmes et les policiers.

 

Un indicateur qui va permettre d’identifier aisément ceux qui, par le passé, se sont illustrés par des actes de barbarie et d’incivisme. Plus d’une fois, on a assisté à des empoignades entre les automobilistes, les motocyclistes et les agents de la police municipale. On leur fait le reproche d’outrepasser leurs missions, en procédant entre autres à des interpellations, à l’identification des individus ou encore en faisant usage de la force contre les citoyens.

Leurs derniers et plus récents faits d’armes, les affrontements qu’ils ont provoqué avec les conducteurs de motos. Une situation désagréable qui a entraîné de nombreux dégâts matériels. Quelques jours plus tôt, c’est contre les vendeurs à la sauvette et les commerçants du marché central de Yaoundé qu’ils ont fait acte de violence. Une scène indescriptible qui a nécessité l’intervention des forces de maintien de l’ordre. C’est d’ailleurs cette dernière altercation qui a amené le préfet du Mfoundi, à prendre la décision de les suspendre pendant trente jours.

 

Circulation des motos taxi

Le communiqué préfectoral précise en plus, que les conducteurs de motos n’ont plus le droit de circuler dans les axes principaux de la ville de Yaoundé. Des précisions leurs sont données dans le document et, désormais ils connaissent les quartiers et les points qu’il leur est interdit de franchir. Ces restrictions marquent également la fin de la suspension de trente jours formulée par le préfet contre les conducteurs de deux roues.

 

La certitude que tout ira mieux dorénavant  

Afin de s’assurer du respect des décisions prises, Jean Claude Tsila a remis au devant de la scène, le Comité national de lutte contre le désordre urbain dont il assure la présidence.

 

Dans les prochains jours, le préfet et ses équipes vont mener une campagne de sensibilisation. Pour l’autorité administrative, la police municipale a été mise sur pied,  pour lutter contre le désordre urbain. C’est un partenaire majeur pour les autorités : «Nous nous sommes réunis au niveau du gouvernement et nous avons reconnu l’importance de cette police. Côté profils, il y aura une minutieuse sélection. Ils vont recevoir une formation de qualité des agents de la police et de la gendarmerie qui maîtrisent mieux le maintien de l’ordre public. Ils seront soumis également à une enquête de moralité».

 

Nicole Ricci Minyem 

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 Un mois après la suspension de la police municipale, le Préfet du département du Mfoundi en parlant du retour de la police municipale à Yaoundé, reprécise le rôle qui est le sien.

 

Le temps de la suspension des activités de la police municipale dans la ville de Yaoundé s’est révélé être un test, pour voir la capacité de la population dans toutes ses couches à s’autogérer. Le verdict des  autorités administratives est sans appel. « Ces syndicats ont fait la démonstration de leur incapacité à s’autogérer », a déclaré Jean Claude Tsila le Préfet du département du Mfoundi. Cela revient à dire que la police municipale est importante pour lutter contre l’incivisme et le désordre urbain.

« Nous ne nous sommes pas croisés les bras pendant cette période de suspension. Au niveau du gouvernement, la réflexion a été engagée et le constat est clair. La police municipale est indispensable. Nous sommes arrivés à cette conclusion-là, pour suppléer l’action de la police nationale et de la gendarmerie nationale. Cette police est nécessaire pour mettre de l’ordre dans nos marchés, mais également au niveau de la circulation dans la ville », souligne Jean Claude Tsila dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune.

Toutefois, les autorités se veulent précises sur le travail qui est attendu de la police municipale. Parce qu’il convient de noter que celle-ci s’est souvent illustrée par des actions ayant provoqué au soulèvement populaire. Comme cela fut le cas au mois de février dernier. Le 13 de ce mois, suite à un contrôle inopiné de ladite police, il y avait eu une altercation avec un conducteur de moto-taxi. L’altercation ayant dégénéré, le Préfet s’était vu obligé de suspendre pour la période d’un mois, la police municipale.

« La police municipale a des cibles. Il y a d’abord la lutte contre le désordre orchestré dans nos marchés, où des routes sont construites puis envahies par des commerçants qui s’installent sur la chaussée. Ils accompagnent aussi les dispositions prises par rapport aux motos-taxis et à l’acte que j’ai signé avec le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé pour fixer les zones ouvertes et les zones interdites à leur circulation. La police municipale nous aide en somme à lutter contre le désordre urbain. C’est vrai nous avons des services classiques, mais le problème d’effectifs est tel qu’à certains moments il va falloir stationner des éléments de la police municipale à des endroits précis », souligne le Préfet.

Liliane N.     

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Sunday, 05 June 2022 11:01