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lundi, 14 décembre 2020 14:09

Maurice Kamto fait le procès de la presse

Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun n’apprécie pas le traitement que fait la presse de son pays sur les cas de détention des militants de son parti politique.

Sur les antennes d’Afrik inform média en ligne d’information, Maurice Kamto a indiqué son désaccord sur le traitement des arrestations des militants de son parti politique le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Au cours de son interview accordée à l’organe de presse qui diffuse en ligne, il a été demandé à Maurice Kamto ce que son parti politique comptait faire après la fin de son assignation à résidence, la libération des militants du MRC, des mesures qui paraissent comme une «main tendue» du gouvernement.

«Je suis étonné par les raccourcis que vous prenez. Et le milieu de la presse camerounaise est assez coutumier de cela. La main tendue du gouvernement, c’est en direction de qui ? Qu’est-ce qui justifiait les arrestations de départ ? Vous ne vous êtes jamais posé la question, et c’est ce qui me frappe dans la manière dont les milieux de la communication traitent des évènements au Cameroun…On arrête des gens parce qu’ils ont marché pacifiquement, après en avoir fait une déclaration dans les services de la préfectorale. Et vous trouvez que le fait de les libérer, c’est une main tendue. Ce qui veut dire qu’implicitement vous dites que le gouvernement aurait pu continuer à les garder et ça aurait été normal… mais soyons sérieux ! Je ne sais pas si vous le faites exprès ou si c’est de la provocation», a déclaré Maurice Kamto qui trouve que les journalistes «vivent dans une autre planète».

Cette sortie du leader du MRC a suscité la réaction du journaliste Denis Nkwebo, président du Syndicat national des journalistes du Cameroun (SNJC).

«Entre la presse camerounaise et Maurice Kamto, qui est plus coutumier des raccourcis que qui? J'attends la réaction de Afrik Inform», a tweeté le président du SNJC.

Liliane N.

 

 

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Le candidat au scrutin du 7 octobre 2018 du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, est engagé avec le rappeur Valsero, pour la sécurisation des résultats des urnes.

Depuis qu’ils ont matérialisé et officialisé leur alliance, Maurice Kamto et Valsero leader du mouvement «les enfants de la révolution» sont en ordre de bataille. Dans la plupart des meetings aujourd’hui organisés par le candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), le rappeur engagé auteur de «Lettre au Président» répond toujours à l’appel. Il écume désormais les plateaux télévisés pour convier la population à plébisciter Kamto, qui pour lui, est celui qui est capable de gérer le pays après l’élection présidentielle. Ce dernier a en commun avec le tireur de penalty, une même préoccupation: protéger à tout prix le vote des camerounais le 7 octobre 2018. C’est cette préoccupation qui justifie l’accord signé le samedi 1er septembre 2018 à Yaoundé.

La question de la sécurisation des votes est devenue récurrente dans cette élection présidentielle. Au MRC, on redoute des cas de fraude qui pourraient nuire au couronnement de Maurice Kamto. Interviewé par Radio France internationale (RFI) Kamto n’y est pas allé d’une main molle. Il a pointé du doigt le parti politique au pouvoir, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC). «La fraude est dans l’ADN du RDPC. Et il faudrait un miracle pour qu’ils s’en défassent», a-t-il déclaré.

Sans s’arrêter qu’aux accusations, le candidat du MRC, a indiqué qu’en cas de ce qu’il qualifie de «fraude», il y a des actions qui vont être posées par ses concitoyens. «Mais tout ce que je peux dire, c’est qu’ils sachent qu’ils trouveront les Camerounais en face d’eux parce que plus que jamais, notre peuple est mobilisé. Donc les Camerounais seront là, ils vont aller voter, ils vont surveiller le vote, ils vont le défendre si nécessaire. En ce qui concerne les coupures d’internet, oui c’est une perspective qu’il ne faut pas écarter. On a vu les coupures d’internet dans la zone anglophone. Pourquoi ne seraient-ils pas tentés de le faire à l’occasion de la prochaine élection ? Mais on sera là d’une manière ou d’une autre. Nous nous assurerons que nous avons des résultats sortis des urnes», a-t-il déclaré.

Pour revenir à Valsero, rappelons que celui-ci en date du 20 septembre 2018, a tenu une conférence de presse au cours de laquelle, il a invité les jeunes à se porter volontaire pour surveiller leur vote. «Le 7 octobre prochain, quel que soit les résultats, nous serons comptables soit parce que nous n’avons pas voté, soit parce que nous avons mal voté, soit encore parce que nous n’avons pas surveillé nos votes», a-t-il déclaré.

Grégoire Owona le vice-président de la Commission nationale de la campagne du RDPC pense qu’en brandissant ces histoires de fraude et en menaçant d’aller dans les rues, certains candidats de l’opposition ne veulent pas seulement accepter le moment venu la victoire de Paul Biya. «Dommage que certains ayant fait du «Paul Biya doit partir» leur unique ambition électorale et appréhendant le rejet de leurs promesses fallacieuses par la grande majorité des électeurs veuillent user de violence en promettant la descente dans la rue en cas de défaite. Ils devraient encore y réfléchir et j’espère que l’Etat prendra tout simplement ses responsabilités pour préserver et consolider nos acquis républicains», déclare-t-il dans l’édition du 4 octobre 2018.

Liliane N.

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Le PSG s’est largement imposé au Parc des Princes ce soir face à l’Etoile Rouge de Belgrade (6-1). Entré en fin de match, Eric Maxim Choupo-Moting est revenu sur cette rencontre en zone mixte : “On a fait un très bon match aujourd'hui. C’était une bonne performance de toute l’équipe. Et aussi individuelle, avec Neymar et ses buts. On a été très sérieux, car Belgrade n’a pas encaissé de but contre Naples. De plus, on restait sur une défaite. Mais aujourd'hui, on a montré qu’on avait de la qualité et il faut qu’on continue comme ça.”

L’international camerounais a enfin évoqué l’homme du match, Neymar, auteur d’un triplé. “Neymar ? C’est super fort. Tout le monde connaît ses qualités et aujourd'hui il les démontre encore. Tout le monde a envie de le regarder jouer. Le Parc qui m’acclame ? Ça fait toujours du bien, surtout que je suis nouveau ici. Je le dis toujours, dès que je joue je donne tout.“

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jeudi, 04 octobre 2018 17:24

5 ans de prison pour un imam exorciste

Il est reconnu coupable d’avoir incité une caissière à piocher dans la caisse de son entreprise pour payer les séances de prière qu’il organisait à son profit. Tous les deux ont été condamnés à restituer le corps du délit, en plus d’être privés de liberté.

Cinq ans d’emprisonnement. C’est la peine infligée le 11 septembre 2018 à M. Souley Njoya devant le Tribunal de grande instance (TGI) du Mfoundi. Ce dernier est un imam et tradipraticien au quartier Ngousso à Yaoundé. Comme sa coaccusée, Sylvannie Nicaise Tchoua qui a écopé de la même peine, ils sont reconnus coupables des faits d’abus de confiance aggravée et complicité mis à leur charge par la société camerounaise de distribution de produite alimentaire (Condovia). Ils sont condamnés à verser la somme totale de 47,3 millions de francs représentant la réparation du préjudice subi (matériel et commercial) et les honoraires des avocats de l’entreprise.

 En outre, ils devront solidairement supporter le paiement de la somme de 2,3 millions de francs de frais de justice (dépens) et une amende de 100 mille francs. Le non-paiement de l’amende et des dépens est assorti d’un emprisonnement supplémentaire de deux ans. Les deux condamnés sont écroués à la prison centrale de Kondengui depuis 2015. Accusée de complicité des faits au centre de la procédure, Florence Makoumé est déclarée non coupable «au bénéfice du doute».

En rappel, l’affaire qui vient de connaître son dénouement devant le TGI du Mfoundi trouve ses origines d’un trou de caisse décelé en novembre 2014 dans la comptabilité de Sylvannie Nicaise Tchoua. Cette dernière occupait au moment de faits les fonctions de caissière à la Condovia. Interpelée, elle va reconnaître le forfait. «Je reconnais avoir pris cet argent pour le remettre à Souley Njoya. Mais, c’est lui qui me demandait de prendre l’argent dans la caisse», déclare-t-elle.

 Elle indique que l’argent était versé pour des séances d’exorcisme qu’organisait l’imam à son profit. Elle espérait que les prières allaient lui permettre de retrouver les trois hommes qui l’ont escroquée une partie des fonds litigieux, une somme de 11 millions de francs. Pour la réussite du traitement, elle affirme que l’imam Souley Njoya lui a exigé de verser 11 millions de francs, pendant trois mercredis, à la même heure.

Et, pendant les séances d’exorcisme, l’imam la mettait nue dans une couverture noire, lui faisait des lavages mélangés de parfum en plein carrefour la nuit, à 21 h pile. L’imam la traînait dans toute la ville en cassant des oeufs et en parlant une langue qu’elle ne comprenait pas. Le marabout lui a même exigé de lui apporter la terre du lieu où elle avait remis les 11 millions de francs à ses prétendus escrocs. Les sorties de fonds pour supporter les frais d’exorcisme n’ont fait qu’aggraver son trou de caisse de 11 millions de francs.

Restitution de 25 millions

En guise de défense, M. Souley Njoya a expliqué pendant les débats qu’il a fait la connaissance de Mme Tchoua via Florence Makoumé, une patiente qu’il a guérie d’un écoulement de sein quelques années plutôt. «Mme Tchoua voulait que je prie pour qu’elle rétablisse le contact avec trois personnes à qui elle a remis 11 millions de francs et qui ont cessé de faire signe de vie». Les prières sollicitées, a-til expliqué, ne consistaient qu’en des invocations sur le Coran et des lavages spirituels.

Pour l’opération, la patiente devait supporter le paiement du «matériel de travail», constitué «des beignets, du riz, du sucre et du carburant pour ma voiture.» M. Njoya indique que c’est Mme Tchoua qui a préféré tout convertir en argent, soit 350 mille francs. Pour la rétribution de son travail, il affirme n’avoir demandé que 1,5 million de francs. Rien d’autre. Mais Mme Tchoua a promis de lui donner 2,5 millions en cas de succès. Elle a tenu parole «lorsqu'elle a renoué le contact avec ses escrocs».

L’accusation, pour asseoir la culpabilité de l’imam, s’est pleinement appuyé sur le fait qu’après son arrestation, le guide religieux a souhaité un arrangement à l’amiable avec le plaignant, promoteur de Condovia. Il a, de ce fait, effectué deux virements d’un montant total de 25 millions de francs de son compte d’épargne domicilié à la banque Afriland au profit de l’entreprise Condovia.

Pour relativiser cet argument, M. Njoya a opposé que c’est sous l’effet de la contrainte qu’il a effectué l’opération après humiliation et torture qu’il dit avoir subi du fait des enquêteurs. Les avocats de l’imam ont déroulé une série de faits qui, selon eux, ont entaché la procédure de plusieurs irrégularités et violation des droits de la défense.

La défense de l’imam n’a pas convaincu le tribunal. Lequel l’a reconnu coupable et condamné au même titre que Sylvannie Nicaise Tchoua, qui l’a accablé. Florence Makoumé, qui les a mis en contact, est sortie de l’affaire au bénéfice du doute.

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Sept personnes dont deux kamikazes ont été tuées à Kolofata (Extrême-Nord) dans une attaque attribuée à la secte Boko Haram.

Selon les mêmes sources, les deux kamikazes, des jeunes filles, avaient réussi à s’introduire parmi la population de Kolofata avant d’actionner leurs charges, occasionnant la mort de cinq personnes et une dizaine de blessés.

 D’après plusieurs témoignages, «les détonations étaient fortes, notamment pour la première kamikaze qui s’est fait exploser et dont des débris ont touché beaucoup de personnes». Le nombre de morts pourrait augmenter vu que « le pronostic vital de certains blessés est engagé », ajoutent les témoins.

Selon beaucoup d’observateurs, les pluies qui s’abattent actuellement dans l’Extrême-Nord du Cameroun favorisent les mouvements des terroristes.

Cette attaque survient quatre jours seulement après le passage du président de la République à Maroua, chef-lieu de la région. Paul Biya y tenait une campagne dans le cadre de l’élection présidentielle du 7 octobre prochain. 

Dans son discours de circonstance, Paul Biya a félicité les populations qui ont sur faire face aux multiples menaces terroristes de Boko Haram.

Face à un envahisseur barbare qui détruisait, brûlait, tuait, vous avez résisté autant qu’il
était possible. Vous avez soutenu nos forces de défense et de sécurité. Les comités de
vigilance ont joué un rôle essentiel dans votre résistance“, a-t-il dit.

“Maintenant que l’ennemi a été repoussé hors de nos frontières, il nous revient de
reconstruire, de faciliter le retour des déplacés et de tout faire pour recréer les conditions d’une vie normale sous ses différents aspects, administratifs, scolaires, économiques et sociaux”, a ajouté Paul Biya.

Depuis le début de la guerre contre Boko Haram, le Cameroun a enregistré plus 2.000 morts, civils comme militaires, selon des sources médiatiques concordantes.

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La présidente du Cameroon People’s Party (Cpp) invite les camerounais à participer massivement au scrutin de dimanche prochain afin de mettre fin au régime de Biya et éliminer le système qui retient notre pays en otage depuis 58 ans.

Bien que n’étant pas en course pour la présidentielle 2018, Edith Kah Walla a tenu à ne pas passer inaperçue en cette période électorale. A quatre jours du scrutin qu’elle qualifie de «moment clé de notre histoire», la femme politique et candidate à l'élection présidentielle 2011 appelle les camerounais de tous bords à participer au vote sans violence ni discours de  haine.

Pour elle, l’élection de dimanche prochain comporte une dynamique, celle de la transition politique. En y participant, chaque camerounais pourra mettre fin au régime de Biya et éliminer le système qui retient notre pays en otage depuis 58 ans; s'engager dans un processus de réconciliation nationale et de reconstruction.

Notamment, «traiter le problème anglophone et développer le sentiment d'identité nationale assurant à chaque Camerounais de jouir de l'égalité des droits et de l'égalité des chances dans la nation; traiter la question de la guerre pour l'indépendance, son impact sur la vie des citoyens, sur notre histoire politique et de tirer les leçons utiles pour construire notre avenir», estime Kah Walla.

Mais aussi, poursuit-elle, «redéfinir et reconstruire les institutions de l'État afin d'abolir leur conception coloniale et de bâtir des institutions modernes et fonctionnelles adaptées à nos principes et à nos valeurs. Déterminer la forme de l'État qui permettra aux citoyens de notre pays d'affirmer leurs identités infranationales spécifiques et d'assurer la fourniture de biens et services publics de base à la population. Réécrire la constitution et réformer les institutions clés, y compris le système électoral, sur la base du dialogue national et du processus de reconstruction».

Selon la présidente du Cpp, le dynamisme politique observé par les Camerounais ordinaires au cours des dernières semaines fait croire que le Cameroun est plus proche que jamais de cet objectif de transition politique.

«Cette élection se déroule sous une menace extrême de violence. Des groupes armés luttant pour l'indépendance dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest ont menacé de recourir à la violence. Le gouvernement s'est engagé à organiser des élections dans les régions secouées par la violence.

En outre, nous assistons à un niveau de discours de haine tribale au cours de cette élection comme jamais vu auparavant au Cameroun. En tant que Cameroon People’s Party, nous rappelons à tous les Camerounais que ce pays tout entier nous appartient à tous. Notre richesse réside dans notre diversité ethnique et culturelle.

Nous devons, à tout moment, garder ces éléments fondamentaux à l'esprit et exercer nos droits politiques sans violence ni animosité. La capacité d'accepter et de respecter les différences d'opinions politiques est essentielle pour la nouvelle nation que nous avons déjà commencé à construire», écrit Kah Walla.

Enfin, le Cpp souhaite inciter tous les Camerounais à rester engagés, actifs et déterminés à apporter des changements et une transition politique dans notre pays, au-delà du 7 octobre. Car, «il ne suffit pas de voter, nous devons nous appuyer sur la dynamique créée ces dernières semaines pour poursuivre l'action politique en vue d’obtenir la transition politique».

Otric N.

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Des artistes camerounais ont commencé à partager des photos d'eux-mêmes avec une pancarte qu'ils tiennent dans leurs mains où il est écrit: 

"Nous avons besoin de la paix",
"La paix nourrit, la guerre consume",

"La paix et l'amour sont les deux bases solides auxquelles nous devons nous confier",
"La paix réunie, la guerre sépare" 

Ils espèrent convaincre la population de cesser les violences et d'annuler toutes futures violences prévues, avant ou après l'élection présidentielle de 2018 
Les élections commenceront le dimanche 7 octobre et déjà plusieurs des candidats, opposant le chef de l'État Paul Biya, ont prévu un vague de violence s'ils ne sont pas proclamé victorieux.

Voici les photos des artistes en question avec leurs pancartes à la main:

  

  

  

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La bonté du B.I.R. n'a aucune limite.

Cette fois-ci c'est la localité de Bakebe, dans le département de la Manyo dans la région Sud-Ouest du Cameroun que les soldats du Bataillon d'Intervention Rapide sont allé faits des dons.
Les habitants de cette localité ont reçu de la nourriture, des matelas et du matériel de cuisine 

La population était très heureuse de les recevoir et de savoir qu'ils étaient présents et que ce petit village n'avait pas été oublié.
Ce village a souffert de menaces des terroristes sécessionnistes, mais même dans le danger absolu, ses habitants ont décidé de ne pas s'enfuir et de rester chez eux

Rappelons-le, la présence sécessionniste fait rage dans les localités du Nord-Ouest et Sud-Ouest, faisant fuir les habitants de ces dites régions, mais certains d'entre eux décident, malgré le danger séparatiste, de rester et de ne pas abandonner leurs villages 

 

 

 

 

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C'est à Bamenda que le Bataillon d'Intervention Rapide avait commencé le processus de déblocage de la route bloquée par des arbres tombés dans la nuit.

Le B.I.R., équipé de tronçonneuses, découpa les arbres pour mieux les dégager, quand soudain les soldats se sont vu proposer de l'aide de la part des locaux.

Les photos ci-dessous, montrent la fraternité du peuple camerounais à son meilleur

 

 

 

 

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mercredi, 03 octobre 2018 17:15

Port de Douala-Bonabéri Chose promise, chose due

Le 06 octobre 2011, le Président de la République traçait les grandes lignes de la modernisation du Port de Douala-Bonabéri.

Pour le Chef de l’Etat, Douala doit devenir ‘’le port’’ de référence du Golfe de Guinée. Tout un programme qui en faisait une grande réalisation en cours d’implémentation. Cyrus Ngo’o, au gouvernail depuis le 24 août 2016, a engagé plusieurs chantiers pour non seulement donner du contenu à la promesse présidentielle, mais aussi et surtout arrimer le Port de Douala-Bonabéri aux standards internationaux.

Le processus de modernisation du Port de Douala-Bonabéri, tel qu’annoncé par le Président Paul Biya le 06 octobre 2011, lors de son séjour à Douala dans le cadre de la campagne présidentielle de cette année-là, est en cours de réalisation. Et ce dans les meilleures conditions, selon la direction du Port Autonome de Douala.

Ce sont plusieurs chantiers qui vont de la normalisation de toutes les activités du Port de Douala-Bonabéri, la rénovation des infrastructures et superstructures, l’enlèvement des épaves qui jonchent les quais, les plans d’eau et les darses, la révision des concessions, jusqu’à l’acquisition de nouveaux équipements nautiques, la réhabilitation d’autres en passant par la sécurisation de l’espace portuaire etc. Un vaste chantier, en somme.

Avec l’appui du Gouvernement, les responsables du port de Douala ont recouvré l’entièreté des 1000 hectares de l’espace portuaire. L’on note également l’acquisition des dragues pour l’entretien permanent du chenal, la construction de nouveaux quais et la réhabilitation de certains autres ont été lancées. Les infrastructures et superstructures du port vont compléter le dispositif. Ces actions et d’autres doivent permettre de résorber définitivement le déficit de fluidité du Port et favoriser la réduction du temps de transit.

Une stratégie pour l’amélioration de la qualité́ des services portuaires est mise en œuvre avec l’ensemble de la communauté portuaire. Elle est devenue un impératif sur le plan commercial. «C’est le résultat de la coordination des intervenants dans les prestations de service. Evidemment, pour implémenter tout ceci, il faut des hommes et des femmes bien outillés. La compétence des ressources humaines est un facteur-clé de succès de toute chaine logistique», avou Cyrus Ngo’o, le DG du Port autonome de Douala.

Un port bien équipé́ sans un personnel qualifié ne pourra jamais atteindre ses objectifs. C’est pourquoi nous devons placer la ressource humaine au centre de la stratégie de développement. La performance d’un port réside aussi dans les taux de fret pratiqués par les compagnies maritimes et le délai de rotation des navires. Plus un navire reste à quai, plus le coût est élevé́, de même pour la marchandise.

Ainsi, l’efficacité́ du port traduit généralement la rapidité́ et la fiabilité́ des services portuaires. D’autres aspects peuvent être évoqués : la qualité des transports de surfaces ; la sécurité et la sûreté ; la qualité des procédures administratives et de la communauté portuaire.

En effet, l’existence d’une communauté portuaire participe de la volonté de l’autorité portuaire d’impliquer tous les intervenants pour une gestion participative à l’effort de développement et de promotion de l’activité portuaire. Le but recherché ici est la prise en compte des spécificités de chaque acteur, afin de produire un service portuaire global, performant et compétitif.

Enfin, il y a la performance des équipements et de la ressource humaine, ainsi que l’efficacité et la qualité des services des opérateurs portuaires.

Otric N. 

Published in Economie
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Sunday, 05 June 2022 11:01