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L’Etat a débloqué  la somme de 70 millions de F Cfa pour subventionner le processus d’intégration des ex-combattants de Boko-Haram  dans la région de l’Extrême-Nord.

Le gouvernement camerounais vient de débloquer la somme de 70 millions de FCfa pour la prise en charge des ex-combattants de Boko Haram dans la région de l'Extrême-Nord Cameroun. L’annonce a été faite la semaine dernière par Faï Yengo Francis, le coordonnateur national du Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration (CNDDR), en visite au centre régional de Maroua. Cet organe a été créée par décret présidentiel du  30 novembre dernier afin d’offrir un cadre d’accueil et de réinsertion sociale aux ex-combattants de  la secte islamiste  nigériane et aux «groupes armés» des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, secouées par la crise anglophone depuis octobre 2016. La subvention a été  mise à la disposition du secteur numéro 1 de la force multinationale mixte de lutte contre la secte islamiste.

Cependant, cette nouvelle n’a pas  fait que des heureux. Selon  le trihebdomadaire l'Œil du Sahel, la nouvelle du déblocage de ces fonds a créé  des remous au sein de l’armée camerounaise, notamment parmi les militaires de la Force multinationale mixte (FMM) déployée dans l’Extrême-Nord pour combattre le groupe terroriste nigérian. Ces  militaires  selon ce journal, estiment que le gouvernement réserve un « traitement de faveur » aux ex-combattants, qui  « ont massacré beaucoup de personnes et tué également plusieurs hommes en tenue, particulièrement les militaires ». La nouvelle est également mal perçue par la population locale,  qui a confié  à ce journal, que «  le fait de médiatiser cette annonce peut engendrer un soulèvement ».

En mai 2019, le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (CNDDR) a annoncé que près de  165 combattants ont déposé les armes. Selon cet organe, 109 de ces repentis ont déposé les armes à Mora, localité de l’Extrême-Nord frontalière du Nigeria. Dans la zone anglophone secouée par une crise sécuritaire dite anglophone, 21 séparatistes ont intégré le programme à Bamenda, capitale régionale du Nord-Ouest et bastion de la contestation anglophone, et 35 autres à Buea, chef-lieu de la région du Sud-Ouest.

C’est depuis 2014, que  les combattants de Boko Haram sévissent dans la région de l’Extrême-Nord, frontalière du Nigeria. Depuis le début de l’année 2019, plus de 52 personnes ont été tuées dans plusieurs attaques  dans cette région, malgré l’intervention de la Force multinationale mixte (FMM) déployée dans l’Extrême-Nord pour combattre le groupe terroriste nigérian.

 

Marie MGUE

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Pendant trois jours, les experts internationaux de défense et de sécurité, venus des pays d’Afrique, d’Europe, d’Amérique et d’Asie, les preneurs de décisions de la sous-région vont réfléchir à  la promotion d’une industrie sous régionale de la défense à travers l’identification des starts-up locales à fort potentiel défense. 

 

Dans son allocution de circonstance, qui est intervenue après celles de quelques autres personnalités du monde de la sécurité, Joseph Beti Assomo, le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, qui avait à ses côtés, d’autres membres du gouvernement, a relevé l’importance de ces assises : « cette nouvelle expérience d’accompagnement des startups en relation avec l’industrie de la défense est révolutionnaire et construit un partenariat gagnant-gagnant entre les pays… ».

 

Et pour répondre aux enjeux sécuritaires auxquels sont confrontés de nombreux pays dans le monde et dont le Cameroun n’est pas épargné, le ministre en charge de la défense au Cameroun a relevé que : « A cause des conflits qui minent la sécurité au Cameroun, les stratèges militaires semblent avoir changé de cap, au regard de la ténacité des menaces ainsi que de leur coloration protéiforme. Dotées de moyens technologiques avancés, les forces de défense camerounaises sont dotées des moyens technologiques très avancées, ce qui nous a permis, jusqu’ici, d’allier avec professionnalisme, les combats et les techniques qui vont avec ».

 

Pourtant, cet appareillage n’est pas suffisant pour venir à bout de l’agression des bandes terroristes qui disposent quelquefois d’un matériel assez performant. Il est donc important, selon Joseph Beti Assomo, pour les pays africains : « d’acquérir une véritable indépendance stratégique, qui va consolider les acquis, tout en se dotant des moyens de s’approprier  d’une véritable industrie militaire, qui corresponde aux réels besoins de nos pays, et du paradigme de la menace. C’est d’ailleurs à ce niveau que se situe le premier palier de la sécurité collective ».

 

Les thèmes de réflexion

Plusieurs thématiques ont été choisies, pour animer les assises de Yaoundé et, les participants s’y penchent, afin de parvenir à l’atteinte des objectifs d’une sécurité qui répond aux défis de la mondialisation : Piraterie sur le Golfe de Guinée : la protection des frontières, la gestion des réfugiés - Géopolitique sous-régionale : zone CEMAC - Les défis de la cyber sécurité, que les organisateurs ont ouvert sur deux axes de réflexion (Télécommunications : enjeux et opportunités pour la sécurité nationale Internet et réseaux : gestion de l’image et de l’intégrité nationale).

 

Organisé par la société camerounaise Will&Brother et placé sous le parrainage du Ministère camerounais de la Défense, le premier Salon Sécurité – Police a permis aux jeunes startup- peurs, d’exposer leur génie créateur. Le premier étage du palais des Congrès de Yaoundé, qui sert de cadre à ces assises a été choisi pour exposer, les réalisations des camerounais et, les visiteurs ont par exemple pu admirer les Drones et autres matériels de sécurité et de sûreté.

 

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La bonté du B.I.R. n'a aucune limite.

Cette fois-ci c'est la localité de Bakebe, dans le département de la Manyo dans la région Sud-Ouest du Cameroun que les soldats du Bataillon d'Intervention Rapide sont allé faits des dons.
Les habitants de cette localité ont reçu de la nourriture, des matelas et du matériel de cuisine 

La population était très heureuse de les recevoir et de savoir qu'ils étaient présents et que ce petit village n'avait pas été oublié.
Ce village a souffert de menaces des terroristes sécessionnistes, mais même dans le danger absolu, ses habitants ont décidé de ne pas s'enfuir et de rester chez eux

Rappelons-le, la présence sécessionniste fait rage dans les localités du Nord-Ouest et Sud-Ouest, faisant fuir les habitants de ces dites régions, mais certains d'entre eux décident, malgré le danger séparatiste, de rester et de ne pas abandonner leurs villages 

 

 

 

 

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C'est à Bamenda que le Bataillon d'Intervention Rapide avait commencé le processus de déblocage de la route bloquée par des arbres tombés dans la nuit.

Le B.I.R., équipé de tronçonneuses, découpa les arbres pour mieux les dégager, quand soudain les soldats se sont vu proposer de l'aide de la part des locaux.

Les photos ci-dessous, montrent la fraternité du peuple camerounais à son meilleur

 

 

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01