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Patrice Ebemby Mboma le père de Lydienne Taba déclare saisir le Président de la République pour lui faire part des attitudes curieuses, qu’il observe dans le déroulement de l’enquête en rapport avec le décès de sa fille.

Patrice Ebemby Mboma le père de Lydienne Taba ne cache pas son étonnement face à des attitudes qu’il qualifie de «curieuses» dans le déroulement de l’enquête avec l’affaire de sa défunte fille. Ces attitudes qui le poussent a adressé une lettre ouverte au Président de la République concernent entre autres la reconstitution des faits, la disparition du gardien voisin de la résidence de l’ancien Sous-préfet de Lokoundje, le fait que le matelas ayant recueilli le sang de sa fille n’ait pas été mis sous scellé, aucun statut légal de détention de l’autorité suspectée.

«La reconstitution des faits a été faite en empêchant aux membres de la famille de la défunte de poser des questions et surtout sans qu’il ne soit permis aux journalistes d’y accéder. Le rapport de reconstitution des faits n’a jamais été mis à la disposition de la famille ni n’a été portée à la connaissance des avocats du Collectif Fousse qui se sont bénévolement constitués. Le gardien voisin  de la résidence du Sous-préfet qui avait entendu la détonation de l’arme à feu est jusqu’à date de ce jour, porté disparu sans qu’on ne puisse savoir pourquoi. Le matelas qui est l’objet ayant recueilli tout le sang de la victime à l’exclusion de tout autre objet n’a pas été mis sous scellé alors que cela aurait été l’élément principal à sauvegarder. A la date de ce jour, aucun statut légal de détention n’est retrouvé dans le dispositif pénal camerounais quant au sort du Sous-préfet depuis la survenance de cet horrible acte…», peut-on lire dans la lettre ouverte adressée au Chef de l’Etat.

Les doléances

Patrice Ebemby Mboma dit avoir des doutes sur le fait que la justice sera rendue dans l’affaire relative au meurtre de sa fille. Il demande par ailleurs au Président de la République d’ordonner qu’il y ait de nouveau une reconstitution des faits, cette fois-ci en présence de leurs conseils, que la famille soit entendue sur la plainte déposée par leurs avocats, que soient mis sous scellés le matelas et la douille qui a ôté la vie à leur fille. Aussi, il demande que les menaces proférées contre leurs conseils cessent.

Liliane N.   

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Selon le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, il ne s’agit non plus de « rébellion, de révolution ou d’hostilité contre la patrie, encore moins des actes terroristes ».

 

Des précisions que le malheureux candidat à l’élection présidentielle d’Octobre 2018 a apportées dans un document ayant comme entête «le code du marcheur pacifique, patriotique et républicain».

Maurice Kamto, peut - être pour se montrer plus convainquant, vis-à-vis des personnes qui n’arrivent plus à lui faire confiance, au regard des échecs que ses actions précédentes ont engrangé, fait savoir qu’ : « Il s’agit simplement de l’expression pacifique de l’exaspération, face à un pouvoir qui n’entend ni les supplications, ni les pleurs des populations qui souffrent atrocement dans un pays qui se fissure ».

Il finit sa campagne de persuasion en donnant quelques conseils :

« Les marcheurs pacifiques sont des citoyens patriotes, républicains qui rejettent toute violence avant, pendant et après leurs marches. Ne jamais oublier que la lutte vise à sauver le pays et non à le détruire… ».

Maurice Kamto peut – il encore convaincre ?

Alors que les heures se rapprochent du jour tant attendu par ceux qui ont adhéré au Mouvement pour la Renaissance du Cameroun et qui, dans leur grande majorité ont passé la grande partie de leur carrière comme proches collaborateurs du Chef de l’Etat Camerounais, le Peuple lui, s’interroge.

On a par exemple vu et entendu les conducteurs de motos dans la cité économique du 237, qui refusent d’être considéré comme du « bétail à insurrection ».  

Sur les réseaux sociaux, des messages se font plus pressants et viennent des « victimes » des marches de 2019, abandonnées à leur triste sort dans plusieurs lieux d’incarcération et qui, aujourd’hui, ne bénéficient que du soutien des membres proches de leur famille.

Des personnes qui se mordent amèrement les doigts aujourd’hui parce qu’elles avaient cru au discours prônant la « Renaissance » tel qu’annoncée en 2013, lors de la création de cette formation politique ;  Un discours qui, malheureusement à la longue s’est révélé trompeur.

Appel à l’insurrection : Maurice Kamto reconnaît la légitimité de Paul Biya et tombe le masque sur ses véritables intentions

Qui veut à nouveau prendre le risque de marcher ?

Au-delà de la position des alliés d’hier, les propos entendus par ci, par là font supposer que l’aura de Maurice Kamto est en chute libre. Très peu de personnes se sentent prises en compte par le leader du mrc et ceux qui profitent des actions ; ils sont moins nombreux encore, ceux qui se reconnaissent dans sa position, celle qui ne parle que de « Non participation au processus ou encore appel à telle ou telle autre marche », sous des prétextes aussi fallacieux les uns que les autres.

Aujourd’hui, plus que jamais, les Camerounais se sentent investis du pouvoir de construire leur pays, en préservant les acquis, même si ceux-ci sont en nombre infimes.

Ils sont résolus à tourner le dos aux adeptes du chaos, qui veulent profiter des situations pareilles afin d’évincer des Institutions, un Président de la République investi par le Peuple Camerounais.

Maurice Kamto : «Si jamais le régime en place s’aventure à organiser les régionales, j’appellerai au départ de l’actuel Président de la République Paul Biya»

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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Le Ministre des Affaires Etrangères de la République du Congo affirme que la parole du Président de la République est très attendue à la conférence internationale organisée à Brazzaville dans la capitale de son pays, à l’occasion des 60 ans des indépendances des pays africains francophones, et des 80 ans de la participation des troupes africaines à la libération de la France en 1940.

C’est au terme de l’audience qu’il a eu avec le Président de la République Paul Biya, que Jean-Claude Gakosso le Ministre des Affaires Etrangères du Congo a dit ce qu’il pensait du Chef de l’Etat. Il a affirmé que le Chef de l’Etat est une mémoire de la sous-région. Et fort de cela, sa prise de parole est très attendue. «Nous espérons vivement que le Président Paul Biya sera à Brazzaville parce que sa parole est très attendue. C’est un patriarche, la mémoire de notre sous-région», a déclaré le Ministre congolais.

Parlant aussi de cette conférence internationale à laquelle, le Chef de l’Etat Paul Biya est prié de prendre part, le Ministre Jean-Claude Gakosso a déclaré que «j’étais porteur d’un message du président Denis Sassou Nguesso à son frère et ami, le président Paul Biya… Brazzaville va abriter le 24 octobre de cette année un colloque universitaire certes, mais un colloque au cours duquel les chefs d’Etat vont s’adresser à la jeunesse africaine et au monde avec des messages d’espoir surtout par ces temps où ressurgissent des phénomènes comme le racisme..Nous n’acceptons plus la domination, nous n’acceptons plus l’humiliation. Nos chefs d’Etat vont porter cette parole forte devant le monde, devant l’Afrique, devant notre jeunesse».

C’est le 12 septembre 2020 que le Ministre Jean-Claude Gakosso a été reçu au Palais de l’Unité par le Chef de l’Etat Paul Biya.

Liliane N.

 

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Franck Derlin Oyono Ebanga le désormais ancien Sous-préfet de Lokoundje a été appelé à d’autres fonctions.

Les nominations à la préfectorale faites par Paul Biya le Président de la République ont touché Franck Derlin Oyono Ebanga qui jusqu’au 9 septembre 2020, était encore le Sous-préfet de l’arrondissement de Lokoundje dans la région du Sud. L’administrateur civil âgé de 30 ans, a été rappelé à d’autres fonctions. Il est remplacé par Christian Séraphin Manga Ombolo.

Du 9 septembre jour de nominations à ce 10 septembre 2020, on n’a toujours pas eu l’information concernant le redéploiement de Franck Derlin Oyono. Cependant certaines indiscrétions laissent entendre que son remplacement à la tête de l’arrondissement de Lokoundje est une conséquence de l’affaire Lydienne Taba sa défunte petite amie. Il convient de rappeler que cette affaire dure depuis le 25 juillet dernier. La défunte fille qui était étudiante, a été tuée «accidentellement» par balle à Kribi, dans la région du Sud. L’affaire faisant grand bruit parce que le Sous-préfet étant suspecté, il est depuis lors sur le gril. Il avait été incarcéré pendant quelques jours, le temps des enquêtes, et alors que les conclusions n’ont jamais été rendues, il a été remis en liberté.

Lydienne Taba la défunte a été inhumée le 29 août 2020 dans son village natal à Lobethal Mouanko, dans le département de la Sanaga-Maritime, région du Littoral. Il y a un collectif d’avocats, «Universal Lawyers and Human Rights Defense», conduit par Me Dominique Fousse, qui s’est saisi de son affaire. Ledit Collectif a porté plainte à Franck Derlin Oyono au Tribunal militaire d’Ebolowa.

Liliane N.

Published in Société

L’instruction présidentielle est contenue dans une correspondance administrative adressée par le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh au secrétaire général des services du Premier ministre. Une initiative du Président Paul Biya qui intervient deux jours après la convocation des collèges électoraux pour le 06 décembre prochain en vue des premières élections régionales au Cameroun.

 

C’est connu de tous, l’Extrême-Nord Cameroun est depuis mai 2014 le théâtre d’incursions des terroristes de la secte Boko Haram dont les exactions ont profondément affecté la plus belle des régions. Les conséquences sur les plans sociaux économiques sont visibles. Aux dégâts matériels qui sont multiples, les pertes en vie humaines se sont multipliées au fil des ans. Selon les chiffres de Crisis groupe actualisés en 2017, 2 000 civils et militaires ont été tués et plus d’un millier de personnes avaient été enlevées dans l’Extrême-Nord. Le groupe terroriste a eu à voler au moins 17 000 têtes de bétail et de millier de petits ruminants, pour une valeur approximative de 06 millions de dollars. Des boutiques, centres de santé et domiciles privés ont été pillés par Boko Haram. Néanmoins, aujourd’hui les attaques djihadistes dans cette partie du pays restent sporadiques grâce aux efforts de l’armée camerounaise qui fait preuve de professionnalisme dans la préservation de l’intégrité du territoire.

Comme si cela ne suffisait pas, ces derniers jours, la nature a été sans pitié face à la région de l’Extrême-Nord. Des pluies diluviennes se sont abattues dans cette unité administrative du 28 au 29 août 2020 et ont provoqué des inondations avec d’énormes dégâts. La pression des eaux a été sans pitié pour plusieurs localités (Maroua, Bogo, Avakaï, Mora etc) dont les populations ont été sinistrées. C’est le cas par exemple, du pont de Palar qui relie la ville de Maroua à celle de Mora qui s’est effondré.   

Face à ces situations difficiles, la région de l’Extrême avait donc besoin d’un programme de reconstruction pour lui permettre de retrouver ses attraits d’en temps. Et le Président Paul Biya dans clairvoyance qui ne souffre d’aucune contestation vient d’instruire la mise sur pied d’un programme spécial de reconstruction de cette région.

« De l’ordre de Monsieur le Président de la République, j’ai l’honneur de vous faire connaître qu’il instruit le Premier ministre, Chef du Gouvernement, de prendre des dispositions urgentes et nécessaires à la mise en place d’un programme Spécial pour la reconstruction de la région de l’Extrême-Nord », écrit Ferdinant Ngoh Ngoh au secrétaire général des services du Premier ministre le 27 août 2020.  

Cet ordre intervient dans un contexte marqué par la convocation, le 07 septembre dernier des collèges électoraux dans l’optique de procéder aux élections régionales au Cameroun le 06 décembre prochain dans les Chefs-lieux de département. Preuve que le parachèvent du processus de la décentration est en mouvement dans le pays. Cette reconstruction annoncée contribuera davantage à œuvrer en faveur du développement local.

Rappelons que la reconstruction des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest secouées par une crise socio-politique depuis près de quatre ans, est en cours. Elle résulte aussi de la décision du Chef de l’Etat.

Innocent D H

 

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Christelle Nadia Fotso demande par ailleurs au Président de la République d’encourager les militants du Rassemblement démocratique du peuple camerounais à prendre part, aux messes publiques qui suivront celle à laquelle, elle invite.

C’est en fait une sorte de lettre ouverte que la fille du défunt Fotso Victor a adressée à Paul Biya le Chef de l’Etat. Dans cette lettre qui a été publiée dans l’édition de ce 9 septembre 2020 du quotidien Le Jour, l’enfant du défunt homme d’affaires convie le Président de la République à une messe privée qu’elle organise à Paris en France en mémoire de celui-ci qui fut jusqu’à sa mort, militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc).

Dans cette lettre, Christelle Nadia Fotso donne l’impression qu’elle fait aussi des reproches au Président de la République, qui lors des obsèques de son père, s’était fait représenter et avait envoyé une lettre de condoléances à la famille.

«Vous avez envoyé une lettre de condoléances à sa famille sans aucun doute sincère mais inadéquate. La mort de ce personnage emblématique exigeait plus. Les obsèques du Patriarche Fotso auraient dû être un moment de deuil et recueillement nationaux auxquels votre gouvernement et vous auriez dû participer pleinement. Cela aurait créé un consensus qui aurait au minimum mis à mal ce doute tapageur et nocif qui grandit de jour en jour dans notre société sur notre capacité à construire un avenir commun radieux plus égalitaire. Cela aurait empêché un désordre familial qui est à l’image du désordre national. Il n’a été possible que parce que vous avez fait le choix violent et anhistorique du silence en encourageant ainsi d’autres à faire celui de l’indifférence, de la complaisance et de vénalité», écrit-elle.

Christelle Nadia Fotso pense donc que le Chef de l’Etat peut se rattraper en assistant à la messe privée qu’elle organise à Paris le 17 septembre prochain. Pour elle, la présence du Président Paul Biya impactera positivement aussi son parti le Renouveau.

Elle trouve que c’est «la plus belle des offrandes: l’opportunité de donner un second souffle au Renouveau ». En s’adressant toujours au Chef de l’Etatn elle ajoute «je vous invite personnellement à la Cathédrale Saint Louis des Invalides de Paris pour la messe privée qui se tiendra le 17 septembre prochain à 14h30 et vous prie humblement d’encourager vos militants et partisans à assister en patriotes ou nationalistes aux messes publiques qui suivront à 18h à l’église Saint Sulpice le même jour et le 24 octobre à la Cathédrale Saints Michel et Gudule de Bruxelles».

Liliane N.

 

 

 

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Célestin Bedzigui le 1er adjoint au maire de Monatelé a tenu informer ses collègues maires de l’action faite en direction du Président de la République.

Selon Sa Majesté Célestin Bedzigui, ça fait déjà six mois que les maires élus lors des élections municipales du 9 février 2020 sont sans salaires. La situation ne se résolvant pas, celui qui porte aussi la casquette de 1er adjoint au maire de Monatélé, a décidé de saisir Paul Biya le Chef de l’Etat par voie de correspondance. Sa démarche individuelle, il l’a fait savoir aux autres maires, en leur précisant qu’il est aussi question de montrer au Chef de l’Etat les difficultés auxquelles la décentralisation va faire face.

«Chers collègues, membres des Exécutifs Communaux, j'ai pris la responsabilité, dans une démarche individuelle, ce jour, d'informer par note circonstancielle, le Président de la République du sort dont nous  sommes victimes depuis 6 mois par le non-paiement de nos salaires. Cette démarche vise autant à  informer le Chef de l'Etat des difficultés et des risques encourus dans la mise en œuvre de la décentralisation qu'à aider le MINDDEVEL (ministre de la Décentralisation et du Développement Local, NDLR) dans les difficiles tractations que nous pensons  qu'il a avec le Ministère des Finances et le FEICOM.  Je ne saurai malheureusement  partager ici  le message tel que je l'ai formulé, tenu par l'obligation de réserve qu'impose la communication avec l'illustre destinataire», a écrit Célestin Bedzigui à ses collègues maires.

Il convient ici de rappeler que c’est 16 septembre 2015 que le Chef de l’Etat a signé un décret fixant les modalités de rémunération des délégués du gouvernement (actuels maires de villes), des maires et de leurs adjoints. D’après ce décret, la répartition doit se faire de la façon suivante:

  • Délégués du gouvernement (actuels maires de villes): 400 000 FCFA
  • Maires: 250 000 FCFA
  • Adjoints aux délégués du gouvernement: 200 000 FCFA
  • Adjoints aux maires: 150 000 FCFA

Liliane N.

 

 

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Le Chef de l’Etat a signé le décret indiquant la date des élections régionales ce lundi 7 septembre 2020.

 

La date de la tenue des toutes premières élections régionales est connue. Paul Biya le Président de la République a décidé de convoquer les collèges électoraux le 6 décembre 2020 au chef-lieu de chaque département pour élire les conseillers régionaux. Dans l’article 2 du décret rendu public ce jour, le Chef de l’Etat précise que les bureaux de vote seront ouverts ce jour-là, à partir de 8 heures et fermés à 18 heures.

Ce décret annonçant la date de déroulement des élections régionales ne surprend pas. Etant donné que la semaine dernière, le Président de la République a sorti le décret fixant le nombre de Délégués par Département et le nombre de Représentants du Commandement traditionnel. Ledit décret a été pris en application de la loi du 25 Avril qui fixe le nombre, la proportion par catégorie et le régime des indemnités des Conseillers municipaux.

Il en est donc qu’au terme des élections régionales du 06 décembre 2020, la région de l’Adamaoua qui compte cinq (5) Départements aura Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. Le Centre qui compte dix (10) départements, aura le même nombre de Délégués de département, dont Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. La région de l’Est avec quatre (4) Départements va avoir Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel.

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L’Extrême-Nord avec six (6) départements avec  Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. La région du Littoral avec quatre départements et Soixante-dix (70) Délégués de département plus vingt (20) représentants du commandement traditionnel. Idem pour la région du Nord divisée en quatre Départements, qui verra l’élection de Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. Le Nord-Ouest avec ses sept départements, aura la même répartition de sièges : Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. La région de l’Ouest avec ses huit départements, aura également  soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel.

La région du Sud avec ses quatre départements aura Soixante-dix (70) Délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. Enfin la région du Sud-Ouest avec ses six (6) départements aura également soixante-dix (70) délégués de département et vingt (20) représentants du commandement traditionnel. 

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Liliane N.

 

 

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L’instruction présidentielle a été récemment répercutée au Premier ministre à travers une correspondance du secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh.   L’argent dédié à cette reconstruction sera défalqué dans le budget de 15 milliards mis à la disposition du Top management de la compagnie.

 

Le Chef de l’Etat camerounais, Paul Biya engagé à redonner à la compagnie aérienne nationale toutes ses lettres de noblesses. Dans le cadre de sa restructuration, il vient d’instruire au Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute, l’achat de deux aéronefs Dash Bombardier Q400. La Camair-Co devra également envoyer en maintenance, l’un des Boeing 737-700 NG et la location de deux moteurs susceptibles de permettre la remise en vol du deuxième Boeing 737-700 NG. Ils viendront ainsi s’ajouter aux MA60 chinois et le premier Bombardier Q400 exploité par la compagnie.

Dash Bombardier Q400 sollicité par le Président de la République est un aéronef crée en 2000, apprend-on. Elle est une fabrication de Havilland Canada (DHC) renommé « Q400 » après acquisition en 1992 de DHC par Bombardier. A sa capacité d’emport de 10 tonnes d’eau ou de retardant en mission de lutte contre les incendies, il est reconnu à cet avion, la capacité de transporter des passagers ou 9 tonnes de frêt. Son système de largage est composé d’une soute, réservoir de 10 000 litres plaqué sous le fuselage, d’un calculateur commandant deux portes permettant un large dit constant flow (débit constant) afin d’assurer l’arrosage au sol quantitatif et qualitatif choisi par l’équipage.

Précisons aussi que le Q400 offre un assez grand espace par passager qui, combiné au NVS, rend le voyage nettement plus confortable et plus agréable que sur les autres avions turbopropulsés régionaux. Sont aussi caractéristiques du Bombardier Q400, la capacité d’embarquer 70 à 90 passagers. La version de 74 passagers comporte 8 places en Business Class et 66 en Economy Class. Sont seulement en Economy, les configurations 82 et 90 sièges.

Innocent D H   

 

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L’économiste Célestin Monga affirme qu’il est mieux de laisser le peuple décider pour ce qui est du changement à la tête de l’Etat.

 

Son tweet de ce mercredi 02 septembre 2020 relance d’une certaine façon, le débat sur le changement à la tête de l’Etat qui divise tant les politiciens au Cameroun. Célestin Monga le célèbre économiste appuyant ses déclarations avec des images d’anciens Présidents parmi lesquels Ahmadou Ahidjo, ayant eu recours à la désignation successorale à la tête de leurs Etats, donne sa position sur la question. Pour lui, il est mieux de laisser le peuple faire son choix.

«J. E. dos Santo (Angola), M. Ould Abdel Aziz (Mauritanie), A. Ahidjo (Cameroun)... Tous ces anciens présidents écrasés par leurs certitudes, qui croient pouvoir choisir leurs successeurs et découvrent ensuite qu’ils s’étaient trompés ! Il vaut mieux laisser les peuples décider», a tweeté Célestin Monga.

Comme bon nombre de ces tweets, celui sus rapporté a suscité de réactions de la part de ses followers. S’il y en a qui sont d’accord avec l’expert en matière d’économie, il y en a qui pensent que tout laisser au peuple est un risque. «Il me revient aussi à l'esprit le destin tragique que connut un général Bissau guineen après avoir laissé le pouvoir aux civils par le biais démocratique des élections, il ne pensait pas encore être parti, il agissait encore comme quand il était au pouvoir, la suite.....hélas», a tweeté l’un des followers de l’économiste Célestin Monga.

Pour passer de la discussion virtuelle à celle qui se fait dans le terroir 237, il faut préciser que la question de la succession de gré à gré à la tête de l’Etat, a été portée par Maurice Kamto et le Mouvement pour la renaissance du Cameroun. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 indiquait qu’un tel plan se prépare à la tête de l’Etat. Cependant, il a été repris par les pontes du régime qui ont réfuté l’idée d’un tel plan.

 

Liliane N.

Published in Politique
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Sunday, 05 June 2022 11:01