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Une maxime qui est comme le résumé des maux qu’il a développé dans le cadre de son éditorial hebdomadaire car, de son point de vue, les NTIC ont apporté en Afrique la pédocriminalité, l’homosexualité et le terrorisme…

 

L’éditorial du Chef de Division Communication au Mindef

“Longtemps présentée comme une œuvre philanthropique de civilisation de peuplades jugés incultes au plan scientifique et arriérés au plan de la culture, la colonisation a connu ses heures de gloire. 

 

Or, très vite, la louable intention affichée va servir de paravent à d’ignobles actes de prédation, que l’on tentera de ranger dans le cadre d’un opportunisme purement accidentel.

 

A se demander ce qu’il y’a d’opportuniste et d’accidentel dans la planification, le financement, la promotion et la conduite d’expéditions chargés de prendre le contrôle de contrées lointaines afin d’en spolier les richesses?

 

L’extermination, l’asservissement et la déportation de populations entières, l’interdiction des pratiques culturelles et culturelles locales, la destruction et le pillage des objets de l’art indigène, tout ceci ne constituerait qu’une insignifiante excroissance sur le projet de propagation de la science universelle dont seule une minorité se réclamait jusqu’alors dépositaire, selon certains.

 

Mais, il serait erroné de croire que la fin légale de l’esclavage ou de la aura donné un coup d’arrêt définitif aux veilletés de domination.

 

Bien au contraire, l’ancienne ambition de totalitarisme global que l’on disait en voie de caducité retrouve un surcroît de vitalité.

Pour preuve, la vaste campagne de subversion intellectuelle, morale et sociétale lancée en direction des Nations les moins financièrement avantagées. 

 

A la différence qu’en lieu et place du galion d’autrefois qui en constituait le navire amiral, les nouvelles technologies de l’information et de la communication font office de cheval de Troie de l’actuelle flambée des tentatives d’aliénation de nos peuples.

Puisque ces NTIC sont aujourd’hui employées telles des armes de destruction massive de cette même connaissance dont elles étaient censées faciliter l’accès. 

 

Il est vrai que le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions 

 

L’incitation à des attitudes irrévérencieuses vis - à - vis de l’Etat et ses symboles, le mépris pour les codes de bienséance en société, la ringardisation des pratiques séculaires, la légitimation à marche forcée du vice au détriment de la vertu;

 

Tous ces faits tendent à terme à l’émergence de l’africain dépourvu de conscience, cette disposition spirituelle qui est la seule bouée de sauvetage susceptible de lui permettre de réchapper au cours de la déshumanisation, et donc, de lui conserver sa capacité de penser et de décider.

 

Car à l’heure du conformisme mimétique encouragé par des mots d’ordre directifs eux - mêmes charriés par une infosphère libertaire et libertine, penser et décider sont devenus des propriétés en danger d’extinction rapide, parce qu’elles s’inscrivent à contre - courant de la tendance au copier - coller de tout ce que nous recommande l’outre - mer. 

 

Ainsi, le coronavirus qui n’aurait d’origine qu’africaine, ne causerait d’hécatombes qu’en Afrique; et il n’y a qu’en Afrique où les mesures barrières prises dans l’optique de son endiguement seront taxées d’attentatoires à l’exercice de la liberté d’expression.

Comme si les effusions, la promiscuité et les mouvements de foule garantissaient une quelconque immunité collective aux africains. 

 

De même, les rares restrictions aux déplacements édictées par nos gouvernements sont prises pour des emprisonnements de masse, par ceux - là même qui sous d’autres cieux étaient pourtant soumis et restent soumis à d’interminables suites de confinement et reconfinements.

 

Des points de vue insidieusement orientés, goulument repris en cœur par nombre de nos frères et sœurs, plus soucieux de se concilier les bonnes grâces de prédateurs, que du bien - être de leurs communautés d’origine.

Pas besoin alors de s’interroger sur l’émergence, la persistance et la récurrence de déviances, inconnues ou marginales qui affectent le présent et oblitèrent le devenir de nos sociétés africaines.

 

La pédocriminalité, l’homosexualité et le terrorisme sont de ces déviances - là.

Pourtant, la maxime le dit et le répète, qu’à beau mentir qui vient de loin.

A  bon entendeur”!!!   


N.R.M     

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Telle est la quintessence du message porté cette semaine par le  Chef de Division de la Communication au ministère de la Défense au cours de son émission hebdomadaire 

 

“Cette sentence d’un moraliste du XVIIIème siècle prend tout son sens à la lecture de l’avalanche de réactions suscitées par la tragédie survenue le jeudi 14 de ce mois d’Octobre de l’an 2021, dans la ville de Buea, Région du Sud-Ouest. 

 

Alors que les familles étaient frappées de plein fouet par la nouvelle de la brutale disparition de leurs enfants, et que la Nation dans sa totalité baignait dans l’émotion et la consternation, l’on notait pourtant d’étranges et curieuses dissonances dans le concert des protestations. 

 

Il se trouve qu’entre la légitime indignation, la vigoureuse réprobation et la sincère compassion, seront venus se glisser des discours hypocrites dont les oripeaux de vertu arborés ne parvenaient pas à masquer la maléfique de l’esprit. 

 

Portés par des faiseurs d’opinions de tout bord, abondamment recyclés par des malveillants tapis derrière l’anonymat des réseaux sociaux, les narratifs falsifiés, les imputations infondées et déclarations incendiaires brillaient par leur dangereuse partialité, fumisterie et superficialité. 

 

Personne en effet d’entre ces apprentis sorciers, intervenants aux vocations soudaines d’intrépides éveilleurs de conscience, fanatiques pyromanes des plateformes médiatiques, n’a eu le courage de relever que la tragédie unanimement déplorée, résultait en réalité d’un mépris de la loi d’une part, et d’un abus d’autorité d’autre part. 

 

Personne parmi ces redresseurs de tort pour rappeler aux populations que la vraie liberté réside dans l’obéissance aux lois que l’on s’est données. 

 

Autrement, combien d’accidents sur nos routes, combien d’actes de cyber ou de pédocriminalité, combien de crimes et d’actes de violence de toutes sortes nous auraient été épargnés, si au lieu de chercher à asseoir sa réputation sur le malheur de ses concitoyens, on les sensibilisait sur les incommensurables avantages qu’il y a à respecter les lois de la république ? 

 

Donc, plutôt que de prendre des libertés d’avec la vérité dans nos vertes diatribes contre l’Etat, il aurait été courageux de nous mettre en garde contre les germes d’une catastrophe dont chacun de nous est porteur, que l’on soit civil ou soldat. 

 

Car tout compte fait, l’obéissance à la loi est le commencement de la sagesse. C’est aussi une attitude citoyenne, qui peut nous éviter bien des migraines. 

 

À toutes les personnes ayant précocement quitté le berceau de nos ancêtres pour l'au-delà, les Forces de Défense et de Sécurité et la Nation toute entière explorée et compatissante”.

 

N.R.M

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Tel est le sujet clé évoqué par le chef de Division de la Communication au Mindef cette semaine dans le cadre de son rendez - vous hebdomadaire

 

Pour le Capitaine de Vaisseau, cette place qu’occupe le Cameroun sur le plan international lui a valu “ Trois décennies à se voir renouveler la confiance du conseil de sécurité, l’arène onusienne où se confrontent les perspectives géostratégiques portées par les acteurs prépondérants de la scène mondiale.

Pour le Cameroun qui ne fait pas partie des puissances formant ce cénacle sélectif et singulièrement restrictif, se faire accepter de manière ininterrompue dans des missions d’un aussi grand retentissement politico - diplomatique que le maintien de la paix est en soi une prouesse...   

 

Pouvoir au respect des accords et traités internationaux. Ainsi se décline le second volet des missions assignées aux forces de défense Camerounaise. Un impérieux devoir à dominance humanitaire que remplissent nos contingents de militaires de la gendarmerie et des armées, avec une rare conviction et une égale abnégation, ce depuis leur tout premier déploiement en opération de maintien de la paix sous la bannière des Nations - Unies, instance faîtière en la matière. C’était au Cambodge, il y’a de cela 30 ans. 

 

Trois décennies à œuvrer à la protection des civils, à concilier les positions et réconcilier les factions en opposition, pour un retour de la paix dans les pays où cette denrée fait cruellement défaut.

Et la liste de ces pays en détresse de paix de s’allonger chaque jour, plongés qu’ils sont par d’autres entités dans d’interminables conflictualités dites de basse intensité, mais des conflictualités aux interactions tellement inextricables que leur résolution, rebute même aux plus déterminés des bonnes volontés.

Trois décennies aussi, à se voir renouveler la confiance du conseil de sécurité, l’arène onusienne où se confrontent les perspectives géostratégiques portées par les acteurs prépondérants de la scène mondiale.

Pour le Cameroun qui ne fait pas partie des puissances formant ce cénacle sélectif, se faire accepter de manière ininterrompue dans des missions d’un si grand retentissement politico - diplomatique que le maintien de la paix, est en soi une prouesse. 

 

Sauf que cette dernière n’est ni le fruit du hasard ni une quelconque faveur de la part de quiconque, mais la résultante de l’engagement, l’activisme et la bonne foi de nos dirigeants politiques. Cette dynamique est avantageusement complétée par les capacités matérielles et les compétences opérationnelles de nos contingents.

 

Un autre aspect digne d’éloge est la haute tenue morale de nos troupes, de nombreux autres contingents s’étant fait congédier notamment pour des cas d’incontinence pulsionnelle, ternissant par conséquent la réputation et l’estime de leurs pays sur le plan international.

La prestation du septième contingent de nos militaires en mission multidimensionnelle intégrée des Nations - Unies pour la stabilité en centrafrique, est d’autant plus méritoires des félicitations du Président de la République, Chef des forces armées, que son mandat aura couvert la période électorale de Décembre 2020 en RCA, période ayant enregistré une montée vertigineuse des tensions entretenues par des factions armées manifestement hostiles au processus de consolidation de la légalité institutionnelle dans ce pays voisin. 

 

Dans ce contexte potentiellement éruptif, la sécurisation des populations de Bossangoa, Batangafo et Poua entre autres localités confiées aux bons soins de nos hommes, relevait d’un exercice de haute voltige. 

 

Mission pourtant accomplie avec un remarquable brio jusqu’au retour solennel en terre Camerounaise.

 

Au huitième contingent récemment déployé de poursuivre dans cette voie de la performance opérationnelle et de la vertu humaine, pour que continuent de s’épanouir les fleurs de la paix en RCA, en Afrique et partout dans le monde en droite ligne des engagements internationaux du Cameroun promoteur de paix.      


N.R.M      

Published in Défense

Au terme de la réunion d’évaluation sécuritaire tenue à la 5ème région militaire à Bamenda dans la région du Nord-Ouest le mercredi 22 septembre 2021, le Ministre délégué à la Présidence chargé de la Défense (Mindef), Joseph Beti Assomo a dans une déclaration a soutenu que le retour de la paix est indéniable.

 

Le Ministre délégué à la Présidence de la République a avant toute chose exprimé aux familles biologiques des forces de défense tombées sur le champ de bataille dans la crise anglophone, ses condoléances à son nom propre et celui du Président de la République, chef suprême des forces armées. Un message qui trouve tout sens, à la suite d’une série d’attaques qui ont arraché à la vie, une quinzaine de militaires dans la région du Nord-Ouest dans les attaques contre les combattants séparatistes.

A la même occasion, le Mindef a reconnu que les hommes armés sont en possession d’un matériel sophistiqué. Ce qui laisse penser à une alliance avec des forces exogènes, souligne-t-il.

Le membre du gouvernement indique que, le Cameroun a besoin de recouvrer la paix menacée dans ces deux régions. Et cela n’est possible qu’avec l’apport « sincère et patriotique » de tous les fils et filles du pays conformément à la politique du chef de l’Etat, rappelle Joseph Beti Assomo qui a exhorté les jeunes encore cachés dans les brousses, à déposer les armes et de revenir à la raison, afin de participer activement à l'œuvre de construction du pays, un défi majeur pour les Camerounais de tout bord.

Innocent D H

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Dans le cadre de sa tribune hebdomadaire “honneur et fidélité” le chef  de la division communication au ministère de la Défense croit savoir que “Seule notre volonté à tous de rester maîtres en nos terres est de nature à nous épargner les tourments de l’oppression…”

 

“ S’il est de nos jours, un mot qui puisse le mieux qualifier le contexte international que nous vivons, c’est bien le mot ambigüité. Nombre de certitudes parmi les plus affermies sont tant et si bien ébranlées, qu’il est aujourd’hui malaisé, sinon impossible de se faire une opinion ou de défendre une position, sans que l’une et l’autre ne soient submergées par un flot d’extrapolations plus inintelligibles, plus fantasques les unes que les autres.

La ductilité des interprétations est telle que même les repères que l’on pouvait jusqu’ici croire intangibles sont allègrement écartelés, édulcorés.

Les groupuscules terroristes peuvent ainsi se prendre pour des Etats, des Etats agir comme des groupes terroristes. Latitude est laissée aux sociétés militaires privées d’interférer dans les affaires internes d’autres Etats.

Devant le fait accompli, très souvent un casus belli, la loi et le droit ne font plus le poids. Pis encore, la variabilité numérique, géographique, idéologique  et surtout économiquement orientée du vaisseau communauté internationale entretient ce clair - obscur de l’éthique et la morale internationales.

Ceux tirant un substantiel bénéfice de cette dilution consentie de la jurisprudence conventionnelle se targuent de faire de la realpolitik. Toutefois, il est permis de douter que ce point de vue permissif soit partagé par les nombreux peuples qui, à travers tous les continents, se débattent à la fois contre la résurgence de la loi du plus fort et la légitimation de l’hydre terroriste.

Du reste, la tentation est désormais grande au sein de l’extrémisme violent, d’user de tous les moyens disponibles pour contester la légitimité des Etats,dans le but de se substituer à ces derniers.

Il y aurait donc tout lieu de s’attendre à une recrudescence et un durcissement de l’action de l’action hostile. La récente reconfiguration de la carte des organisations terroristes, notamment dans le Sahel et le Bassin du Lac Tchad, la montée en gamme des matériels mis en œuvre par lesdites organisations, la sophistication sans cesse accrue de leurs méthodes de combat et la mutualisation de leurs moyens sont les signes avant - coureurs d’un probable et prochain regain d’offensive de leur part.

L’actuelle agitation notée dans les migrations internationales pourrait d’ailleurs leur bénéficier en termes de ressources humaines et de transfert de compétences.

Confrontés qu’ils sont d’une part, à la réalité du fléau terroriste, et d’autre part, à l’incertitude de l’aide extérieure, les Etats au contact de la calamité se doivent à leur tour, de consolider le front de lutte.

La permanence des échanges entre les responsables civils et militaires du niveau opérationnel à l’échelon politico - stratégique sera l’un des facteurs déterminants de la réussite commune contre la pandémie obscurantiste, l’autre facteur déterminant étant l’adhésion des populations.

Sans cette adhésion en effet, il serait de peu d’effet de détruire les places forces des terroristes, une tâche toujours recommencée qui finirait par entamer le potentiel capacitaire des Forces de maintien de l’ordre, sans parler des désastreuses répercussions sur ces mêmes populations dont les adeptes de la terreur font leur abri et leur principale cible aussi.

L’éventualité d’une intervention extérieure pour se défaire du carcan mortifère est par ailleurs à écarter, rien ne pouvant remplacer ni la légitimité par la nature d’appartenance aux territoires qui nous sont disputés, encore moins notre détermination d’en conserver l’entière possession.

En un mot, seule notre volonté à tous de rester maîtres en nos terres est de nature à nous épargner les tourments de l’oppression”.  

 

N.R.M

 

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Le chef de la Division de la Communication au ministère de la Défense en a longuement parlé tout au long de son éditorial le 14 août dernier pendant la tranche d’antenne consacrée à ce département ministériel, dans son émission hebdomadaire “Honneur et Fidélité” sur la Crtv.

 

Son propos

“ La perfidie intellectuelle de certaines Ong au Cameroun

Même mille et une fois répété, jamais un mensonge ne deviendra une vérité. Certaines personnes, certaines organisations, devraient le savoir; et elles le savent d’une manière plutôt pertinente, parce que s’étant prévalu dans un passé de plus en plus lointain, hélas, d’une autorité morale, d’une notoriété et d’une légitimité alors et l’indécrottable persistance qui les caractérise, dans cette lancinante répétition d’inférences cognitives auxquelles l’opinion est soumise et désormais habituée.

Nous sont servis les mêmes allégations à quelques variantes près, les mêmes témoignages orientés dénués de preuves et déversant des tonnes des pires atrocités sur le compte du camp de la légalité.

Mais comme pour continuer d’entretenir ce qui resterait de cette illusion d’impartialité à laquelle plus personne ne croit, même chez les spéculateurs de l’humanitaire, voici que sont mis en parallèle les porteurs des armes de la paix et la sécurité qui œuvrent sans relâche au mieux - être de la collectivité nationale, et les spadassins de l’aspiration au martyr qui s’explosent et explosent les vies.

Ce semblant d’équité n’est qu’une entreprise de relations publiques destinée à l’édulcoration de la gravité des sanglants exploits de la mortifère imposture terroriste, diabolisation de l’action responsable des pouvoirs publics.

En suscitant de la sorte un épais brouillard dans les esprits, le pernicieux amalgame tend à perturber la lucidité du jugement  entre les preux chevaliers de la République qui protègent et défendent nos populations, autrement dit, nos soldats qui sont prêts à donner leur vie pour que vive la Patrie, et les hordes fanatisées d’une idéocratie du bain de sang permanent érigée en programme de gouvernance, comme stratégie de développement économique.

A la poudre et l’épée qui nous sont imposées par l'insatiable monstruosité accapareuse, nous devons opposer notre irréversible volonté de rester uni en tant que Peuple du Cameroun.

C’est la puissance générée par cette fusion de tempéraments qui nous permet encore aujourd’hui de faire mieux que résister aux assauts multiformes de combat devant notre inépuisable ténacité.

Dans cette heureuse perspective déjà en voie de matérialisation, en dépit du sang des nôtres qui continue de couler, le lien Armée - Nation mérite au plus haut point d’être entretenu, consolidé, explicité et voire sublimé par chacun d’entre nous.

Ce lien n’est point une simple coalescence chimique, fut - elle moléculaire, mais une immanence biologique inscrite en chacun des brins de notre ADN.

Le lien Armée - Nation est un état mental, une connivence intellectuelle et idéologique, un désir existentiel. Ensemble, Armée - Nation assureront la victoire du Peuple Camerounais sur les ennemis de sa paix, sa prospérité et sa souveraineté, de quelque bords qu’ils proviennent.”  


N.R.M     

 

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Il s’agit d’un don d’une valeur de 120 millions de Francs CFA, constitué entre autres du matériel de formation contre les engins explosifs improvisés

 

Ce dernier a été remis au Centre Spécialisé d’Instruction, d’Application, et de Perfectionnement du Génie (CSIAP-GEN) par Matthew J. Miller, chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique au Cameroun.

Pour Saïd Kamsouloum, secrétaire général du ministère de la Défense et représentant personnel du ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense les responsables du ministère de la Défense, « ce don vient s’ajouter au dispositif local de lutte contre les explosifs improvisés que les ennemis placent comme des pièges sur les différents champs de bataille… ».  

Dans le packaging, il y avait également des équipements de protection médicale contre le Corona Virus et de stockage frigorifique réceptionnés par les responsables affectés au Centre de Recherche en Santé des Armées (CRESAR).

Heureux par cette autre manifestation de solidarité, Joseph Beti Assomo, ministre de la Défense a réagi à travers une note dans laquelle on peut lire :  

« Les équipements de protection médicale contre le Covid-19 et les équipements de lutte contre les engins explosifs improvisés vont permettre aux Camerounais d'être plus en sécurité, soutenant ainsi nos objectifs mutuels d'amélioration de la santé et de la sécurité» a indiqué pour sa part, le donateur… ».

Cameroun : Pays attaqué de toutes parts

Quelque soit l’endroit où l’on tourne ses regards, l’on constate que les ennemis de cette Afrique en miniature se font de plus en plus nombreux, bien qu’il soit impossible de dire avec exactitude les raisons qui poussent les éléments de la secte terroriste de boko haram de multiplier des raids dans l’Extrême Nord, les criminels qui perpétuent des exactions dans les Régions du Nord et du Sud Ouest ; sans compter les bandits de grands chemins qui hantent les rues et autres artères de part et d’autres du triangle national.

Une armée qui veille au grain

Accusées par les pourfendeurs du Cameroun, les Forces de Défense et de Sécurité n’hésitent pas à prendre des risques parfois inimaginables afin de préserver l’intégrité national ; Les Soldats sont tenus de se tenir permanemment en éveil, afin d’éviter les nombreux pièges tendus par ces criminels parmi lesquels les engins explosifs.

Formés à une meilleure appropriation de la manipulation desdits engins, les éléments de l’Armée Camerounaise promettent de faire bon usage de ces dons.

 

Nicole Ricci Minyem  

 

 

 

 

 

 

 

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Dans une correspondance faite à Yaoundé en date du 09 juillet 2020, le député à l’Assemblée nationale porte à l’attention du ministre camerounais en charge de la Défense, la montée de l’insécurité dans le département du Mayo-Danay, région de l’Extrême-Nord du Cameroun. Célestin Tabouli révèle que les populations de plusieurs localités dans cette unité administrative subissent ces derniers temps des attaques à mains armées des bandits de grands chemins.  

 

« J’ai l’honneur de porter à votre haute attention que les arrondissements de Datchéka, Kalfou, Kar-Hay et Tchatibali dans le département du Mayo-Danay, sont ces derniers temps victimes d’attaques à mains armées par une bande de bandits qui sèment la désolation dans de nombreuses familles », adresse l’honorable Célestin Tabouli au ministre délégué à la Présidence de la République chargé de la défense, Joseph Béti Assomo. 

L’élu du peuple informe que ces hors la loi, ciblent dans la nuit des citoyens quelque peu fortunés. Ils ont pris l’habitude de s’introduire avec effraction dans leurs domiciles et les dépouillent de leurs biens. 

« La dernière victime en date est le commerçant Bagamla dit « La Santé » de Doukoula qui a reçu la visite de onze (11) brigands armés en cette nuit du 09 juillet 2020 qui, en plus de coups de machette qui lui ont asséné, ont emporté une somme de quatre millions (4.000.000) de nos francs d’après les témoignages recueillis sur les lieux », raconte le député à l’Assemblée nationale.  

Cette menace imposée par l’insécurité galopante dans ces zones du département du Mayo-Danay fait ainsi perdre le sommeil aux populations qui, pour certains sont engagés dans des petits commerces pour subvenir aux petits besoins de leurs familles. 

En guise de proposition de solution, l’honorable Célestin Tabouli souhaite qu’il soit « déployé dans les différents chefs-lieux de ces quatre arrondissements, des unités du Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) pour la sécurisation de cette partie du pays ». 

 

Innocent D H  

 

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La nouvelle a été rendue publique ce vendredi après-midi par l’ambassadeur de France au Cameroun. S.E. Christophe Guillou est allé rencontrer le Chef de l’Etat au palais de l’unité. Et la question du décès de Samuel WAZIZI était au menu des échanges entre les deux hommes.

 

C’est au sortir d’une audience avec le Chef de l’Etat que le diplomate français va faire cette annonce importante. Interviewé par la radio nationale, la CRTV, Christophe Guihou fait savoir qu’au menu des échanges qu’il venait d’avoir avec le président de la République, il y avait la question de la mort dans des conditions troubles du journaliste Samuel Wazizi. Et que Paul BIYA lui a dit qu’il initierait une enquête pour faire la lumière sur ce décès.

Première curiosité, en tant que ministre de la défense du Cameroun, le Président de la République est le patron du Capitaine Cyrille Atonfack. De ce point de vue, il devrait être informé de la communication que vient de faire le patron de la communication du ministère de la défense du Cameroun. Or, la communication du Mindef est rendue publique vers 13 heures pendant le journal de la mi-journée sur le Poste national de la CRTV, et vers 15 heures, face à l’ambassadeur de France, le Président de la république fait savoir qu’une enquête va être initier. Devrait-on comprendre que ce qui a été publié par la communication du Mindef ne tient pas lieu d’enquête pour le Chef de l’Etat ?

Autre curiosité, le patron de la mission diplomatique française parle bien du « journaliste » Samuel Wazizi. Or, c’est un statut qui semble lui être contesté quand on parcourt la communication du ministère de la défense. Une précision de Christophe Guihou qui pourrait déteindre sur l’objet de son arrestation et les raisons de son traitement particulier par les forces de l’ordre. Il va de soi que tout n’a pas encore été dit autour de cette affaire.

ce ne sera pas la première fois qu’une enquête ordonnée par le Chef de l’Etat révèle des faits contraires à ceux énoncés par certains membres du gouvernement. On se souvient de l’affaire de la bavure militaire sur des femmes portant leurs enfants dans le septentrion du Cameroun. A cette époque, même le ministre de la communication avait tôt fait de mentir au peuple camerounais, arguant que ces faits se déroulaient « au Mali ». Quelques mois plus tard, au terme d’une enquête ordonnée par Paul BIYA, on apprendra qu’il s’agissait bel et bien de militaires camerounais. Ces derniers avaient été traduit devant la justice militaire. Et ce ne fût pas la seule fois. Just wait and see.


Stéphane NZESSEU

 

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Pour le ministère de la défense, Samuel WAZIZI n’a pas été arrêté en tant que journaliste ou animateur, mais parce qu’il était membre de plusieurs groupes séparatistes qui sèment la terreur dans le Nord-Ouest. Il était le principal logisticien de ces différents groupes. La version que vient de servir le capitaine de frégate Atonfack fait froid au dos, et laisse croire qu’une machination internationale est en marche pour fragiliser l’armée du Cameroun.

 

Face aux accusations et à la mobilisation que les hommes de média et les défenseurs des droits de l’homme expriment depuis quelques jours, le ministère de la Défense a apporté des éclaircis sur les détails des évènements qui ont entraîné la mort de monsieur Wazizi.

Selon le Mindef, Samuel Wazizi a été arrêté le samedi 03 Août au cours d’une opération de terrain. Il a été conduit dans les locaux du 21e bataillon d’infanterie motorisée. Le communiqué du Mindef fait savoir qu’à cette étape déjà on a remarqué l’Etat de santé dégradé de celui qu’ils considèrent comme un terroriste travaillant de mèche avec les milices séparatistes.

Il va être transféré à Yaoundé. Une fois entre les mains de la brigade antiterroriste, ne pouvant l’exploiter ils vont le référer à l’hôpital militaire. Il va décéder le 17 Août 2019 à 02 heures 13 min du matin. Le communicant de l’armée camerounaise fait savoir que son certificat de genre de mort a tout de suite été établi.

D’ailleurs le capitaine Atonfack précise dans sa communication que sa famille de Buea était régulièrement en contact avec le jeune Samuel Wazizi. Immédiatement après son décès, sa dépouille a été déposée à la morgue de l’hôpital militaire d’Ekounou. Depuis 10 mois donc, sa famille n’a intenté aucune procédure pour récupérer le corps. Il y serait certainement encore en ce moment.

Sur la question de son statut de journaliste, il apparaît dans la communication de l’armée que ce n’est aucunement un statut qui lui est reconnu et c’est encore moins pour des activités de journalisme qu’il a été arrêté. Mais bien pour sa participation dans des groupes séparatistes qui ont causés des pertes dans les rangs de l’armée de la République.

Dans sa communication, l’armée camerounaise fat remarqué que l’effet d’annonce de cette situation en ce moment et sa comparaison avec des évènements en cours outre-mer, sont des logiques de déstabilisations des troupes camerounaises. Ces actions auraient pour seul objectif de plomber le moral des hommes de l’armée de la République.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01