Les experts de la Confédération africain de football feront une visite d’inspection au Cameroun du 24 au 30 septembre 2019 dans le cadre de l’Organisation du Championnat d’Afrique des Nations 2020.
La Confédération africaine de football (Caf) évaluera les diverses infrastructures retenues pour le Championnat d’Afrique des Nations (Chan) 2020 qu’organisera le Cameroun, du 24 au 30 septembre 2019. Cette annonce a été faite par l’instance de gestion du football africain ce lundi 23 septembre 2019 sur son site. La délégation de la CAF, constituée de 7 personnes, sera conduite par le premier vice-président, le Congolais, Constant Omari.
Cette délégation visitera, indique la Caf, les installations sportives et hôtelières des villes de Yaoundé, Douala, Bafoussam et Garoua. Cette visite sera peut-être l’occasion pour le Cameroun d’être fixé sur la date effective de cette compétition continentale. Initialement prévue au mois de janvier 2020, cette date risque d’être décalée au mois de juin de la même année.
Selon le ministre des Sports et de l’Education physique, le Pr Narcisse Mouelle Kombi, lors de la cérémonie d’ouverture du « Séminaire d'harmonisation et d'imprégnation de la présentation des infrastructures sportives en construction ou en réhabilitation du Chan 2020 et de la Can 2021 », cette édition du Chan se déroulera « Bafoussam dans l’aire culturelle grassfield, Douala et Limbe dans l’aire culturelle Sawa, Garoua dans l’aire culturelle soudano-sahélien et Yaoundé dans l’aire Fang-Beti ».
Sur le terrain la majorité des infrastructures sportives en chantier connaissent des avancées mitigées. Si les infrastructures hôtelières rassurent, ce n’est pas le cas pour les voies routières, qui principalement à Douala soulèvent des inquiétudes à cause de la décrépitude de la plupart des routes. On se souvient d’ailleurs que cet état des lieux est la conséquence du retrait de la Can 2019 au Cameroun, qui a été confiée à l’Egypte. Le pays des Lions Indomptables a par la suite, hérité de l’édition 2021.
Marie MGUE
Les Lions U17, champion d’Afrique en titre ont été battus par le Paraguay dimanche dernier lors de leur premier match de groupes au tournoi amical international Uefa assist.
La première sortie de la sélection nationale des moins de 17 ans au Tournoi Uefa assist, qui a débuté le 22 septembre dernier en Turquie, s’est soldée en échec. Les protégés de Thomas Libiih ont été battus dimanche dernier par la sélection paraguayen lors de son premier duel de la phase de groupes sur le score de 3 buts à 1. L’unique réalisation camerounaise a été inscrite par son buteur Leonel Wamba.
Logés dans le groupe B, les Lions U17 seront aux prises contre l’Ecosse le 24 septembre 2019 dans le cadre de la deuxième journée de cette compétition amicale qui permet aux Camerounais de préparer leur participation à la prochaine Coupe du Monde de leur catégorie prévue au Brésil. Après l’Ecosse, le Cameroun sera opposé à l’Angola à la dernière journée de groupes.
Tout comme le Cameroun, le Nigeria, le Sénégal et l’Angola, tous qualifiés pour le Mondial U17 2019, représentent l’Afrique au tournoi amical d’Istanbul en Turquie, organisée par l’Uefa en collaboration avec la CAF dans le cadre du programme « Assist 2019 ». Huit sélections au total, réparties en deux groupes de quatre équipes chacun participent à cette compétition qui s’achèvera le 26 septembre prochain. Chaque sélection disputera trois matches. Le Cameroun est logé dans le même groupe que le Paraguay, l’Ecosse et l’Angola tandis que le Sénégal et le Nigeria se retrouvent dans le deuxième groupe en compagnie de la Turquie et du Gautemala. Ce tournoi a pour but, de favoriser le développement du football dans le monde entier.
Le onze camerounais : Ekoi Manfred, Ze Essono, Ndzie Fabrice, Ngolna Patrice, Ngatchou Ricky, Dibongue Jordan, Amadou Daouda, Yannick Noah, Mvoue Steve, Alioum Seidou, Wamba Leonel
Marie MGUE
29 joueuses ont été présélectionnées pour préparer la rencontre du 03 octobre prochain contre la République Démocratique du Congo comptant pour le 3e Tour aller des Éliminatoires des Jeux Olympiques Tokyo 2020.
La sélection camerounaise de football, 3e meilleure équipe africaine, entame ce lundi 23 septembre 2019 un stage préparatoire à Yaoundé. Les Lionnes Indomptables affûtent leurs armes en vue de leur match aller des Éliminatoires de la zone Afrique du tournoi olympique de football féminin des Jeux Olympiques prévus du 24 juillet au 9 août 2020 à Tokyo au Japon. Les Camerounaises affronteront le 3 octobre prochain la République Démocratique du Congo (Rdc) à Yaoundé.
En prélude à ce duel, le sélectionneur national, Alain Djeumfa a présélectionné 29 joueuses, internationales et locales, qui débuteront le stage ce lundi. Ce stage s’achève le 8 octobre 2019, juste avant le match retour à Kinshasa.
Les Lionnes Indomptables ont arraché leur ticket pour cette étape des Éliminatoires de football féminin en éliminant la sélection éthiopienne. Ce stage de 11 jours permettra aux pouliches d’Alain Djeumfa d’améliorer leurs performances avant le match aller du 3e Tour contre la RDC.
Listes des joueuses présélectionnées
Les enfants vulnérables et déplacés internes de la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest résidant dans le Nord étaient aux petits soins de l’Association La belle Etoile. 160 de ces enfants ont reçu samedi 21 septembre à Garoua des dons en fournitures pour une réussite de l'année scolaire scolaire 2019/2020 en cours.
Aux premières lignes des bénéficiaires de ces dons symboles d'actions bienfaitrices de l'Association La Belle Étoile, les élèves déplacés internes des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest dans le Nord qui n’avaient faute de moyens, pas encore repris le chemin des classes depuis la rentrée effective le 02 septembre denier. Pour Konamafon Samira du département de Ngog-Etoundja région du Nord-ouest, l’une des bénéficiaires : « Il n’y a pas d’argent pour payer notre scolarité encore moins des fournitures scolaires. Aujourd’hui, j’ai eu des sacs et cahiers, je suis très contente. Je demande aux âmes de bonne volonté de venir à notre aide ».
Contexte du geste de générosité
L’Association La Belle Etoile Cameroun à travers ce geste de générosité se donne pour noble mission, de contribuer à la prise en charge et au soutien des orphelins, enfants vulnérables scolarisés, ainsi que les déplacés internes des régions anglophones dans la partie septentrionale du Cameroun. A en croire les explications d’Ariane Noubissi, présidente de l’Association : « Cette remise s’inscrit dans le cadre du concept du vivre ensemble. Les enfants vulnérables sont souvent abandonnés à leur propre sort. On croit toujours que ce sont des enfants qui n’ont pas la chance d’aller à l’école ».
Après avoir reçu des fournitures scolaires, les enfants concernés ont saisi l'occasion pour formuler d'une seule et même voix leur remerciement à l'endroit de la donatrice. En retour, ils prennent l'engagement ferme de produire des bons rendements en fin d’année scolaire. C'est le cas de Hapsatou Moussa, récipiendaire: « ça va me permettre d’aller à l’école et de me battre pour sortir au moins deuxième de ma classe », précise-t-elle.
Cette cérémonie de remise des dons scolaires a servi de passerelle au lancement de la troisième édition du parrainage de ces enfants démunis pour un meilleur encadrement et des résultats probants aux différentes échéances scolaires en fin d'année.
Innocent D H
Vendredi 20 septembre 2019, cinq éléments de la secte islamique Boko Haram ont été tués lors d’une embuscade tendue par les forces de l’ordre camerounaise de Tolkomari (Extrême-Nord), a appris samedi de sources sécuritaires, APA.
Cinq djihadistes ont péri vendredi dans l’Extrême-Nord du Cameroun dans une embuscade tendue par l’armée camerounaise, a appris APA de source sécuritaire. Si aucune victime n’est à signaler dans les rangs de l’armée, tout semble indiquer que les assaillants, piégés nuitamment au niveau d’un cours d’eau, venaient du Nigeria voisin et avaient été repérés par des comités de vigilance.
Vendredi 13 septembre, c’est l’armée camerounaise qui perdait cinq de ses valeureux militaires dans une attaque du groupe djihadiste nigérian Boko Haram visant leur poste militaire à Soueram, près de Fotokol. Huit autres militaires avaient été blessés.
Notons que depuis 2013, les attaques de Boko Haram ont eu des conséquences sur la Santé Publique et sur la vie sociale des camerounais de l’Extrême-Nord. En effet, sur la santé publique, les attaques de Boko Haram se sont intensifiées le long de la frontière nord-ouest du Cameroun, résultant dans le pillage de villages et les meurtres de civils innocents, ainsi que les enlèvements de masse.
Ces attaques ont été caractérisées par des meurtres, des attentats à la bombe, des vols, et la destruction de biens (y compris des écoles, les foyers et les entreprises) dans la région de l’Extrême Nord. L’effet terrorisant sur la santé publique et les conditions socio-économiques est devenu si dévastateur que la plupart des institutions et des entreprises ont fermé dans de nombreux villages.
Sur le plan social, une évaluation menée dans les quatre Départements de la région de l’Extrême-Nord les plus touchés par cette insurrection (Diamare, Logone et Chari, Mayo-Sanaga, et Maya-Sava) par l’UNICEF et le Ministère de l’éducation de base a révélé que jusqu’à 120 écoles ont été forcés de fermer dans dix districts pour l’année scolaire 2014-2015, avec de nombreux bâtiments désormais occupés soit par la population déplacée, soit par des groupes armés.
On estime que plus de 29.000 élèves sont à risque de perdre la totalité année scolaire en raison de la fermeture des écoles. Même dans les écoles qui n’ont pas été contraintes de fermer, le conflit a eu un impact sur la présence des enseignants, avec près de 383 enseignants du primaire reportés absents. Pour le Ministère de l’Economie, la planification et l’aménagement du territoire du Cameroun (MINEPAT), Boko Haram a conduit à une chute drastique du nombre de touristes dans les sites touristiques tels que ceux de Waza et de Rhumsiki. Les autres secteurs de l’industrie les plus touchés par l’insurrection incluent l’hôtellerie, le transport, le commerce, l’agriculture et l’élevage.
Danielle Ngono Efondo
En battant la sélection italienne en finale, les volleyeuses américaines ont remporté la 16e édition du Championnat du monde des moins de 18 ans qui s’est déroulé du 05 au 14 septembre 2019 en Egypte.
La sélection américaine de volleyball féminin U-18 a remporté pour la première fois, le Championnat du monde de volleyball de la catégorie. C’était au terme de la 16e édition, qui s’est déroulée du 05 au 14 septembre 2019 au Caire en Egypte. Les Américaines se sont imposées de justesse en finale, face à la sélection italienne, tenante du titre, sur le score de 3 sets à deux (25-17, 19-25, 25-18), 22-25, 15-10) au bout d’un duel amplement disputé pendant deux heures de temps.
Vainqueur de la 15e édition en Argentine en 2017, les volleyeuses Italiennes se sont contentées de la médaille d’argent. La médaille de bronze a été décrochée par le Brésil. La Chine et la Japon occupent respectivement la 4e et 5e place au classement général.
Le pays hôte du tournoi, l’Egypte, est la première équipe africaine dans le classement final de cette compétition mondiale. Après avoir perdues leur dernier match contre la Turquie 3-0 (25-19, 25-22, 25-18), les Égyptiennes ont chuté à la dixième place du tournoi. C'est le deuxième meilleur classement de la sélection Égyptienne à une phase finale du Mondial après la neuvième position occupée en 2005 parmi 16 équipes en lice.
La sélection camerounaise qui faisait partie des trois représentants de l’Afrique à ce Championnat mondial, a terminé la compétition à l’avant-dernière place du classement, devant le Congo. Le Cameroun a réalisé une seule victoire lors du match de classement. A la phase de groupes, les Lionnes du volleyball U-18 se sont inclinées face à la Chine, le Brésil, l'Egypte et le Porto Rico dans la poule A.
Mondial volleyball féminin U-18
Classement final
René Emmanuel Sadi était face à la presse ce dimanche pour répondre aux médias internationaux qui veulent faire passer les éléments de la Grande Muette pour des « scélérats »
Un reniement qui trouve sa source dans un article publié le 19 Septembre dernier, par le site « Médiapart » et titré : « Au Cameroun, les basses œuvres d’une unité spéciale équipée par la France ».
L’auteur de ce papier a affirmé avec autorité que : « Le Bataillon d’Intervention Rapide, une unité d’élite de 5 000 soldats, est soupçonné de pires exactions dans des chambres de tortures secrètes… ».
De façon péremptoire, il indique selon le ministre René Emmanuel Sadi que : « Du matériel militaire français est utilisé contre les populations du Cameroun » mais aussi que « le BIR est régulièrement accusé de violer les droits de l’Homme et de réprimer, sous couvert de la lutte anti-terroriste, les populations locales…».
Le porte parole du gouvernement dans son communication, continue à relater les exactions qui sont attribuées aux Forces de Défense et de Sécurité : Ces sycophantes ajoutent que « des véhicules militaires de type Bastion, de fabrication française, sont utilisés par le Bataillon d’Intervention Rapide, qui occupe l’un des plus grands centres de torture clandestin», et que « dans le Sud du pays, où l’armée camerounaise réprime dans le sang la minorité anglophone, le BIR utilise également ces blindés fabriqués en France …».
Ils affirment enfin, non seulement que « des armes françaises servent au régime du Président Paul Biya, à affamer, assujettir un peuple ou à réprimer violemment les civils, en toute violation des droits et traités internationaux, mais aussi, que dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, le BIR procède à des interventions de contre insurrection, visant à couper les populations civiles des insurgés, des méthodes qui leur ont été enseignées par des formateurs français, américains, et israéliens, selon les principes élaborés par la France, à l’époque des guerres d’Indochine et d’Algérie, et perfectionnés par les Américains en Irak ».
Des affabulations qui ne laissent planer aucun doute, sur les intentions de ces détracteurs à ce moment crucial pour le Cameroun
« Il n’y a point de doute qu’il y a là encore, comme on a eu à le constater, en d’autres circonstances, une claire intention de manipuler l’opinion nationale et internationale, d’attiser les rancœurs et les tensions, dans un pays résolument engagé et mobilisé pour le rétablissement de la paix et de la sécurité, là où elles sont aujourd’hui menacées, de diaboliser et de stigmatiser une armée forte et crédible, dont le principal crédo repose, nous le savons, sur des principes sacrés, notamment, le respect des institutions républicaines, et la défense populaire, et peut-être aussi, de mettre en question le bien-fondé de sa participation au Grand Dialogue National… ».
Avant de conclure son propos et condamné « ces allégations calomnieuses relatives aux exactions et autres graves atteintes aux droits de l’Homme dirigées sur des cibles civiles », René Emmanuel Sadi est revenu sur le travail abattu par les éléments du Bataillon d’intervention Rapide, notamment dans les domaines de la Santé, de l’Education, des Travaux Routiers… sans parler de ce qui est leur mission première, protéger, au détriment de leur vie celle de leurs concitoyens.
C’est cette armée qui sait pouvoir compter sur le soutien du gouvernement et de tous les camerounais qui reconnaissent que le Cameroun, leur pays est leur plus grande richesse et qu’il est important de le protéger au-delà de toutes autres considérations.
Nicole Ricci Minyem
L’Ambassadeur itinérant pense qu’on aurait pu faire confiance à un entraîneur local.
Roger Milla l’ancien Lion indomptable s’est exprimé sur le choix porté sur le portugais Toni Conceiçao, pour entraîner la sélection masculine de football. La gloire du football camerounais aurait voulu que cette fois-ci, le nouvel entraîneur sorte de notre terroir. Il l’avait déjà fait savoir quelques jours avant que le nom de Toni Conceiçao soit dévoilé. L’Ambassadeur itinérant indiquait que le Cameroun doit apprendre à faire confiance aux locaux, comme le font d’autres pays du continent.
« Il y a des pays en Afrique qui ont eu des entraîneurs locaux, notamment le Sénégal avec Aliou Cissé ou l’Algérie avec Djamel Belmadi. Pourquoi pense-t-on qu’au Cameroun que les locaux ne peuvent pas le faire également ? Jean Paul Akono n’a-t-il pas gagné une médaille d’or aux Jeux olympiques de Sydney en 2000 ? Il faut qu’on leur fasse confiance enfin », déclarait-il.
Interrogé par notre confrère Africa Foot United sur la candidature de Patrick Mboma, Roger Milla s’était montré favorable. « Je pense que Pat a déjà eu le courage de mettre sa candidature. Je ne pense pas que ce soit la première fois qu’il veuille travailler pour son pays. A une époque, on voulait le nommer manager général de l’équipe nationale, et ça avait fait un tollé au point où il n’y a pas eu de suite. S’il a déposé sa candidature, je serais à 100% derrière lui, puisque pour le moment, c’est le seul Camerounais qui a déposé sa candidature. S’il y a d’autres candidatures camerounaises, je les soutiendrais également. Mais comme ce n’est pas moi qui décide, il revient aux décideurs de gérer ce dossier », avait-il déclaré.
A titre de rappel, c’est le vendredi 20 septembre 2019, que par un communiqué, le ministère des Sports et de l’Education physique a annoncé que le nouvel entraîneur des Lions indomptables est le portugais Toni Conceiçao. Il faut souligner que celui-ci remplace à ce poste Clarence Seedorf limogé par la Fédération camerounaise de football, juste après la sortie des Lions de la Coupe d’Afrique des Nations, qui s’est jouée en Egypte au mois de juin dernier.
Liliane N.
Elles sont contenues dans un document et reparties en trente (30) points
- S’accorder sur un retour global effectif à la paix, pour mettre fin à l’agonie de la vie, du travail et de l’économie, afin de se remettre sur la voie vertueuse du développement durable.
- Identifier et libérer les leaders des pôles de devoirs, droits et intérêts à même de bâtir la paix pour tous.
- Libérer le grand camarade Zambo Amougou Jean Marie, Président Confédéral de la Cstc, détenu à la Prison Centrale de Yaoundé pour sa participation et contribution au Dialogue National.
- Libérez Ngalim Félix et Mancho Bibixy, Leaders de Anglophone Saxon Youth Council of Cameroon, détenus à la Prison Centrale de Yaoundé pour leur participation et contribution au Dialogue National.
- Recenser tous les déplacés internes ou non, victimes de la crise avec leurs enfants, pour leur localisation, la protection, l’assistance de l’Etat et la création des pôles d’installation avec une domanialisation foncière des cessions des parcelles.
- Développer un réseau d’accueil des enfants et des personnes sinistrées par des familles ou des 374 Collectivités territoriales décentralisées (CTD).
- Adopter une loi des finances appropriée pour les Zones déclarées sinistrées économiquement et les activités socio économiques en difficultés.
- Mettre sur pied un plan de reconstruction et d’expansion économie en ressuscitant les 30.000 emplois de la CDC, de la SONARA, des Communes, de l’agriculture, de la pêche, de l’élevage, du bois et forêts, des BTP, des Banques et établissements financiers, de la Sécurité, des Télécommunications, etc…
- Respecter les droits universels de l’homme du 10 décembre 1948.
- Respecter le Traité Ohada, les Normes Internationales du Travail et les droits fondamentaux des travailleurs de l’Organisation Internationale du Travail(OIT), ratifiés par le Cameroun et en vigueur.
- Respecter la Hiérarchie des Créances salariales et de cotisations sociales de l’Ohada.
- -Relèvement du SMIG de 36.270 francs CFA le mois, à 150.000 francs CFA par mois.
- Relèvement des salaires et indemnités de logement et de transport des travailleurs principalement dans les zones fragiles.
- Modifier la Loi N°92/007 du 14/07/1992 portant code du travail, les lois de la sécurité sociale, les lois de la protection sociale et de l’assurance maladie avec Zonage Sécuritaire et Sociale approprié.
- Relever les salaires, indemnités et accessoires de salaire des travailleurs et des indépendants.
- Revoir la loi sur le statut des fonctionnaires nationaux et locaux conformément à la constitution du 18 janvier 1996.
- Problème des assurances des véhicules et des chauffeurs en zones difficiles de surchauffes ou zones fragiles.
- Inclusion du secteur informel urbain et rural au secteur structuré.
- Institution de l’Assurance maladie universelle suivant la convention 102 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et la recommandation 202 de l’OIT sur les Socles nationaux de protection sociale.
- Prestations familiales pour les travailleurs, femmes, enfants et leurs familles (10.000 francs CFA par enfant par mois).
- Assurance risques professionnels (RF), pour tous les travailleurs, personnels de transports et rattachés au véhicule ou à la société comme employés ou représentants.
- Relever les montants de la pension vieillesse invalidé décès (Pvid), pour tous les travailleurs et l’indexer aux revenus réels comme l’Impôt sur les revenus des personnes physiques (IRPP) et le pouvoir de vie.
- Réinstaurer la déclaration des revenus des personnes physiques et leur famille pour le paiement de l’impôt sur le foncier et les revenus des personnes physiques en ville et en campagne pour tous.
- Donner plus de considération aux syndicalistes et aux Organisations Syndicales (convention 135 de l’OIT, Droits fondamentaux des travailleurs, etc.…) et reconnaître leur rôle.
- Inclusion des travailleurs, des centrales syndicales et de leurs représentants.
- Instaurer une justice sociale et une Justice équitable pour l’instauration d’une paix globale et d’un développement durable.
- Protection des terres des populations et communautés autochtones et du patrimoine.
- Appliquer les dispositions pertinentes de la décentralisation avec une politique conséquente d’affectation des ressources aux Collectivités territoriales décentralisées (CTD), pour faire d’elle des moteurs véritables de développement durable (MDD).
- Mettre sur pied une politique pour primer le bilinguisme et promouvoir la parfaite maîtrise de l’Anglais et du Français par les citoyens.
- Assurer le passage du relai entre les générations pour un pont de prospérité pour tous…
N.R.M
Arrivé au Cameroun pour signer son contrat, Antonio Conceiçao, le nouveau sélectionneur des Lions Indomptables a fait un saut au stade omnisports de Yaoundé en compagnie de ses adjoints (François Omam Biyick, Jacques Songo'o).
Au sortir de cette brève visite, le technicien portugais a lâché quelques mots à la presse. « Je dis merci au président au président Paul Biya de m'avoir permis de venir au Cameroun. Je suis là pour travailler ».
Nommé vendredi soir entraîneur national de football du Cameroun, le Portugais Antonio Conceiçao Silva Oliveira, dit «Toni Conceiçao», va connaître sa première expérience internationale avec les «Lions indomptables».
Ancien milieu de terrain aujourd’hui âgé de 57 ans, après avoir été éphémère directeur sportif du PAOK Salonique (Grèce) de 2009 à 2010, il n’a jusqu’ici entraîné que des clubs : Standard de Liège (Belgique, 2010-2011), d’Olhanense (Portugal, 2011-2013), Academica de Coimbra (Portugal, 2013-2014), SC Braga (Portugal, 2014-2015), Vitória Guimarães (2015-2016), FC Nantes (2016-2017) et FC Porto (Portugal, depuis 2017).
Secondé par les locaux François Omam Biyick et Jacques Songo’o, le nouveau titulaire du banc de touche, qui remplace le Néerlandais Clarence Seedorf, limogé après la sortie des «Lions indomptables», tenants du titre en 8èmes de finale de la récente Coupe d’Afrique des nations (CAN) égyptienne, hérite d’une sélection en proie au doute.
En effet, après la génération dorée des Patrick Mboma, Rigobert Song Bahanag ou encore Samuel Eto’o Fils, l’équipe senior de football du Cameroun, régulièrement présentée comme «en reconstruction», connaît une instabilité chronique sur les plans aussi bien des effectifs que des performances.
Appelé à constituer un groupe conquérant pour la CAN 2021, qu’accueille le Cameroun, Antonio Conceiçao Silva Oliveira a également pour tâche de qualifier la sélection, qui stagne à la 53ème place du dernier classement de la Fédération internationale de football association (Fifa), à la Coupe du monde de l’année suivante au Qatar.
Son baptême du feu sera le match amical que livrent, 12 octobre prochain à Rades, les quintuples champions continentaux contre les «Aigles de Carthage» de Tunisie. L’information a été officialisée par la Fédération tunisienne de football (FTF). Mais on attend la confirmation officielle de la fédération camerounaise de football.
En effet, la Fédération Tunisienne de Football a annoncé jeudi soir, que les « Aigles de Carthage » affronteront le Cameroun en amical le samedi 12 octobre prochain. La rencontre aura lieu au stade de Rades à partir de 18h00.
Otric N.