Dans une tribune publiée ce dimanche 25 octobre 2020, le secrétaire à la communication du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) condamne d’un ton ferme la tuerie des 06 élèves à Kumba dans la région du Sud-Ouest Cameroun. Jacques Fame Ndongo martèle que ces terroristes sans conscience n’anéantiront jamais la République.
« Lovées dans l’Olympe scintillant de leur pureté, de leur candeur et de leur soif du savoir, les six élèves massacrés hier à Kumba par des séparatistes loufoques, baroques et forcenés parlent à la conscience universelle. C’est l’humanité qui est flagellée, ulcérée et crucifiée. C’est la condition humaine qui est stipendiée et abâtardie », postule d’entrée de jeu, le secrétaire à la communication du Comité central du RDPC.
Jacques Fame Ndongo ne comprend pas comment des humains peuvent-ils arriver à commettre ces genres de crimes, s’ils ne sont des « illuminés moyenâgeux, des sado-masochistes ». « J’accuse les barbares qui massacrent des innocents avec un cynisme inégalé. J’accuse les scélérats qui s’opposent à l’école, à la connaissance, à la compétence, c’est-à-dire à l’avenir du Cameroun, de l’Afrique, du monde », dénonce-t-il. Il condamne ainsi avec la dernière énergie ces « sado-masochistes qui se complaisent dans la sauvagerie la plus abjecte. J’accuse ces brigands sécessionnistes qui exterminent la jeunesse camerounaise si talentueuse, si inventive, si géniale. J’accuse ceux qui égorgent le Cameroun de demain ».
Ces sanguinaires vont répondre de leurs actes macabres quel que soit le temps que ça mettra, croit fermement le Ministre d’Etat, Ministre de l’enseignement supérieur (Minsup). D’ailleurs, « L’Histoire retiendra qu’ils ont voulu assassiner le Cameroun. Ils ont plutôt tué leurs desseins macabres et rétrogrades. Leur combat est voué à l’échec : toute la Nation est mobilisée contre ces sadiques sanguinaires. Honnis soient ceux qui les soutiennent, implicitement ou explicitement, parce qu’ils veulent vouer aux gémonies le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef des armées, S.E Paul BIYA, apôtre de la paix, de l’unité, du progrès et de la coopération rénovée, dans une Humanité juste et équilibrée », fait savoir l’Homme politique.
D’un ton ferme, Jacques Fame Ndongo interroge ces « Wisigoths des temps modernes ». « Terroristes sans conscience, avez-vous une âme, qui s’attache à la conscience universelle ? avez-vous une conscience pour AIMER nos enfants, vos enfants, nos élèves, nos élèves qui sont la fleur et le nectar du Cameroun ? », écrit-il.
Le secrétaire à la communication du parti du flambeau est sans équivoque, la République ne sera jamais anéantie. « La République est debout. Sous la houlette du Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, la République avance, fière, digne, intrépide et déterminée, avec tous et pour tous, dans la légalité, la fraternité et la solidarité », indique le Minsup.
Le Pr Jacques Fame Ndongo déclare pour finir, « Honte aux prétendus « libérateurs du peuple » ou « chasseurs du Président démocratiquement élu » : ils rêvent de prendre en otage l’école et les élèves, c’est à dore l’avenir de notre cher et beau pays : « L’école n’est pas une arène politique. L’école aux écoliers, la politique aux politiciens » (dixit S.E Paul BIYA, Yaoundé, le 4 octobre 1991) ».
Innocent D H
Un groupe de femmes font un sit-in depuis ce matin devant les bureaux de Samuel IVAHA DIBOUA comme en témoigne l’image.
L’assassinat des enfants de Kumba et les images effroyables qui ont circulées sur les réseaux sociaux ont entraîné une vague d’émotions tout à fait particulière. Cette vague d’émotions a conduit quelques femmes de la ville de Douala à prendre une initiative spontanée, celle de manifester pour dire « stop à la guerre dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ».
Elles sont plus d’une dizaine. Elles choisissent de se définir comme des femmes, des mères, des filles, des sœurs et se sentent concernées au premier rang par l’assassinat brutal de « leurs enfants ».
Elles ont pris des photos de ces images qui circulent sur les réseaux sociaux depuis quelques heures pour symboliser les personnes pour qui elles viennent ainsi faire des réclamations. Elles ont choisi symboliquement la devanture des bureaux du Gouverneur de la région du Littoral, parce que celui-ci est le représentant du Chef de l’Etat. Donc c’est symboliquement devant le Chef de l’Etat qu’elles viennent poser leurs doléances qui se résument en la fin de la guerre dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest Cameroun.
Toutes de noire vêtue, elles portent le deuil. Le deuil de ces enfants tués au cours de cette attaque, mais aussi de la maman des quatre enfants décédée après avoir appris la nouvelle. Elles portent également le deuil de tous ces parents qui sont en larmes. Les uns pour avoir perdu leurs fils dans cette guerre soit parce qu’ils se sont radicalisés, soit parce que ceux-ci étant dans les forces de défense de la République, ont perdu la vie.
Les autres, pour ces femmes déplacées, qui ne peuvent plus nourrir convenablement leurs enfants, ces filles qui n’ont presque plus d’avenir et qui sont réduites pour certaines à vendre leurs corps par la prostitution. Elles portent le deuil de toutes les camerounaises aujourd’hui éplorées et elles ne demandent rien d’autre que la fin de la guerre dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
D’autres mouvements du même type sont annoncées pour les prochaines heures dans plusieurs parties du territoire camerounais et même à l’étranger. Ceci en espérant que le gouvernement aura la volonté de proclamer un jour de deuil ou un moment où tout le pays accordera une minute de silence en mémoire de jeunes camerounais partis trop tôt à cause d’une guerre qu’ils n’ont pas demandée.
Stéphane NZESSEU
Jeune entrepreneur basé à Pouma - Département de la Sanaga Maritime, il est spécialisé dans le revêtement des sols et des mûrs avec un matériau spécial, Il a accepté de répondre aux questions de l’Agence Cameroun Presse.
- Pouvez – vous nous parler de votre activité ?
Merci déjà pour l’opportunité que vous me donnez de m’exprimer dans votre média, je dois avouer que c’est une grande première pour moi. Je fais dans la décoration des murs, des sols, des piscines avec la pierre de Pouma. Je la découpe pour donner la forme voulue par les clients ou en vrac.
Je me suis lancé dans cette activité depuis quatre ans maintenant, après un bref séjour à Douala parce que j’étais en quête d’un emploi malheureusement pour moi, mes efforts ont été vains.
Au lieu donc de rester traîner à longueur de journée dans les rues de la capitale économique, à broyer du noir, j’ai pris la décision de revenir chez moi et de me lancer dans cette activité.
Je n’ai pas été dans une école de formation, non. Vous savez, j’ai grandi en ayant à portée de main et à profusion, ce matériau que j’ai donc décidé de valoriser.
- Quels sont qui sont vos principaux clients ?
Je n’ai pas de clients spécifiques ; bien que les premiers soient bien évidement mes frères. Mais, quelquefois, des personnes venues des autres villes du Cameroun ont passé des commandes, après avoir, soit entendu parler de mon travail, soit vu ce que je fais.
- Avez – vous réussi à vous établir dans d’autres villes du Cameroun, à travers notamment des points de vente ?
Non, pas du tout. Je n’ai pas encore établi des points de vente ailleurs. Toute mon activité est concentrée dans ma ville natale, comme je l’ai dit plus haut.
- Travaillez – vous en partenariat avec d’autres personnes ?
Installé dans mon village, j’ai pensé à moderniser ma petite entreprise en faisant dans un premier temps appel à un client qui venait acheter les pierres de Pouma pour les couper à Buea ; malheureusement la situation socio sécuritaire ne nous a pas donné l’opportunité d’étendre les activités de ce côté mais, je dispose d’une machine qui me permet de couper les pierres dans mon atelier.
- Quelles sont les difficultés auxquelles vous faites face ?
Je fais face à de grandes difficultés, parce que j’aimerais sortir de ma localité et étendre mon champ d’action. Je suis installé à Pouma depuis quatre ans et je crois qu’il est temps de sortir de ma localité d’origine.
Mais vous savez, comme la quasi majorité des jeunes entrepreneurs, je fais face à des difficultés d’ordre financiers. Si j’avais le financement nécessaire, je pourrais avoir une bonne matière première, parce que ce n’est pas toutes les pierres qu’on coupe ; je pourrais acquérir de la matière première notamment de bons disques de coupe qu’on ne commande qu’en Europe.
- Avez – vous des attentes ? Si oui, quelles sont – elles ?
J’aimerais bien sûr que mes concitoyens passent plus de commandes chez moi, qu’ils consomment les produits locaux. Les Camerounais, vous savez préfèrent les carreaux chinois. Ils évoquent la cherté de nos produits et services ;
Ils n’ont cependant pas conscience qu’en revêtant leurs surfaces avec les pierres de Pouma, ils n’ont pas toujours conscience qu’on n’a pas besoin de laver quotidiennement les murs.
- Un dernier mot ?
Je ne peux que vous remercier pour cette opportunité que vous me donnez d’être connu ou mieux connu. Nous avons besoin de consommer les produits locaux ; Nous sommes à notre niveau, des ambassadeurs de notre pays, car, avec peu de moyens, nous valorisons nos richesses
Consommer les produits locaux c’est également contribuer à l’éradication du sous ou manque d’emplois et, d’autres jeunes peuvent apprendre de nous…
Entretien mené par Nicole Ricci Minyem
Alors que le monde entier s’émeut des assassinats sauvages de mineurs survenus Samedi dans le Département de la Meme, nombreux sont ceux qui montent de plus en plus au créneau, afin de pointer un doigt accusateur sur les Soldats Camerounais en prenant comme prétexte la tragédie de Ngarbuh mais aussi le meurtre des enfants dans l’Extrême-Nord.
Le clientélisme politique a fait son niveau au 237 depuis bientôt deux ans, à cause de certains « leaders » qui, refusant d’assumer leur échec à l’issue des élections présidentielle d’Octobre 2018, multiplient des actions pour jeter l’opprobre sur tous leurs concitoyens qui ne prennent pas faits et cause pour eux.
Point besoin de revenir sur les insultes et autres propos discourtois contre le Président de la République, les membres du Gouvernement et leurs adversaires politiques. L’occasion faisant une fois encore le larron, ils ont déversé leur haine contre les éléments des Forces de Défense et de Sécurité qui, jours et nuits, montent pourtant la garde afin d’assurer leur sommeil.
Qu’on le veuille ou non, la réalité est toute autre
À moins de faire preuve d’une grande malhonnêteté intellectuelle, il serait hasardeux de se lancer dans des explications abracadabrantes et convaincre les Camerounais que ceux qui ont travaillé à reconstruire les salles des classes, afin d’offrir un cadre d’apprentissage aux jeunes apprenants se sont, quelques semaines plus tard, amusés à commettre des actes d’une telle barbarie ;
Qu’Ils ont fait don des fournitures scolaires aux enfants à qui ’ils prévoyaient de faire éclater la cervelle quelques jours plus tard ;
Qu’au cours des dernières semaines, ils ont bataillé dur afin de démanteler les noyaux durs des criminels, alors qu’ils envisageaient de revenir plus tard, détruire l’élément moteur du devenir de cette localité : Ses Enfants…
Raisonnement machiavélique des esprits tordus
Et qui ne peut venir que des individus dont l’ambition affichée est d’arriver au pouvoir, par tous les moyens, même les plus vils.
Accuser les Forces de Défense et de Sécurité aujourd’hui n’absout pas ceux qui, sans faire appel à une bribe d’humanisme, ont accepté qu’en leur nom, des promoteurs de guerre cotisent de l’argent afin d’armer les ambazoniens, dans le but d’incriminer le Chef de l’Etat. Ces armes devaient être utilisées contre qui ?
C’est en leur nom que des ces femmes dont la lutte consiste à invectiver les Camerounais et à afficher leur nudité ont affirmé que leur « But est de poser des actes qui vont inciter le Gouvernement à agir, justifiant ainsi l’intervention de la Communauté Internationale dont la présence va permettre de se débarrasser plus facilement de Paul Biya… ».
Que mettent – elles dans « Poser des actes qui vont inciter le Gouvernement à agir » ? Cela va-t-il jusqu’au meurtre de petits enfants ?
Comportement primitif
Pour dire le moins, parce que rien, mais alors rien, ne saurait justifier le meurtre de :
Victory Cmibon Ngamenyi – 11 ans ;
Anamgim Jenifer – 11 ans ;
Ngemone Princess – 12 ans ;
Che Telma Nchangnwi – 11 ans ;
Zakame Rema – 9 ans ;
Chema Syndi – 9 ans.
Il est immoral et même amoral de se complaire dans des accusations, lorsque d’autres enfants luttent encore pour rester en vie.
Nicole Ricci Minyem
Des révélations graves de la présidente du CPP ce matin sur les antennes de Radio Balafon à Douala. Aucune procédure n’est en cours dans aucune ambassade ou au sein d’Interpol pour l’arrestation des terroristes qui commandites des crimes depuis l’étranger dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Samedi soir, vers minuit, le ministre de la communication tient un point de presse pour faire le point sur le drame survenu dans les tours de 11 heures dans la journée de samedi 24 10 2020. Au cours de ce point de presse, René Emmanuel SADI rappelle aux camerounais que des ressortissants des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest tapis à l’étranger travaillent à entretenir la guerre. Un discours qui n’est pas nouveau.
Depuis le début de cette crise, le gouvernement dénonce cette diaspora qui se reconnaît dans les revendications ambazoniennes, et qui participe au financement de cette crise. On se serait attendu à ce que l’Etat du Cameroun initie des procédures pour interpeller ces autres complices et comparses du terrorisme.
« Aucune procédure n’a été initiée par le gouvernement pour interpeller les ambazoniens à l’étranger… »
Cette déclaration est celle Kah Walla. Sur lees antennes de Cyrille BOJIKO ce lundi 26 octobre 2020 matin, la président du CPP a fait savoir qu’elle est entrée en contact avec plusieurs ambassades de pays étrangers où se trouvent ces camerounais qui font l’apologie du terrorisme. A sa grande surprise, presque toutes ces ambassades n’ont reçu aucune demande de poursuite ou même de rapatriement de certains qui commandites des actes terroristes sur le sol camerounais.
Selon les révélations de Kah Walla, une de ces ambassades a reçu un jour un « coup de fil » d’une autorité camerounaise demandant aux services de cette ambassade d’empêcher l’entrée sur leur sol de certaines personnes. Mais l’ambassade de répondre que dans leur pays les choses ne se passent pas comme ça. Qu’il y a des droits qui protègent les gens et qu’en l’absence d’une procédure judiciaire, une telle injonction est tout simplement irrecevable.
Une curiosité et une vacuité procédurale qui contraste avec le discours qui accuse des acteurs de la crise dans des pays, des personnes bien connues, identifiées selon cette politicienne. Et pourtant il n’y a rien de plus facile que de saisir Interpol avec des éléments probants et des mandats internationaux seront produits à l’endroit de ces personnes. Acte qui légitimera les actions diplomatiques qui suivront pour mettre la main sur ces commanditaires. Kah Walla s’étonne de la paresse de ces administrateurs qui choisissent juste « d’enfumer les camerounais » avec des discours qui ne se suivent d’aucune action allant dans le sens de la résolution effective de la crise.
Stéphane NZESSEU
Tous les regards sont aujourd’hui tournés vers la Président de la République. Le peuple est dans la frayeur la plus extrême et son principal leader semble loin. Le Chef de l’Etat va-t-il s’adresser à la Nation ?
Depuis la survenance de ce massacre ce samedi 24 octobre 2020, le Président de la République est au cœur des opérations. On l’a appris du ministre de la Communication le soir du drame de Kumba, le Chef de l’Etat a donné des instructions à son gouvernement pour que des mesures urgentes soient prises pour la prise en charge des enfants blessés et même des familles éplorées.
Paul BIYA aurait communiqué avec le Premier Ministre pour renforcer le dispositif administratif dans la ville de Kumba. Une délégation interministérielle y a été dépêchée. D’autres initiatives du Chef de l’Etat sont en cours. Comme pour démontrer que Paul BIYA est au cœur de la stratégie de riposte après ce drame.
Par ailleurs, des instructions sont également données pour que l’armée renforce le dispositif sécuritaire dans la ville de Kumba.
Mais visiblement, les camerounais ne sont pas satisfaits de cette méthodologie furtive de travail. Depuis samedi dernier, ils sont nombreux les acteurs de la société civile et même des ressortissants des zones en guerre qui s’interrogent : Pourquoi notre Président ne nous parle-t-il pas ?
La sortie du Chef de l’Etat est manifestement très attendue. Celle-ci aura le mérite de faire comprendre aux camerounais qu’ils ne sont pas abandonnés par leur Chef de l’Etat devant un tel drame. La parole du Chef de l’Etat est également attendue par les forces de défense sur le terrain. Eux qui de plus en plus s’interrogent sur la stratégie et l’objectivité des missions qu’ils exercent sur le territoire. Parce que certains nous confient qu’il est difficile en tant qu’homme de tirer sur ses frères, parfois du même village, ou des familles par alliance.
Le message du Président de la République est attendu face à ce drame qui a mis en larmes toutes les populations camerounaises, de tous bords. Tous les hommes politiques, tous les clivages se sont unis dans l’indignation pour condamner ce massacre ignoble. Tous les leaders de la classe politique de notre pays ont pris la parole pour pleurer avec le peuple. D’autres ont déjà effectué des descentes sur le terrain pour consoler les familles et prendre des nouvelles des blessés. Mais Paul BIYA semble ne pas être très présent. Parlera-t-il à son peuple ?
Stéphane NZESSEU
Inscrite dans la même logique que le leader du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale politique dont elle est Porte Parole, la jeune dame, après les incidents cruels de ce jour a choisi d’interpeller deux catégories d’acteurs.
D’abord aux séparatistes
« Déposez les armes !
Cessez de tuer, d'abuser de décimer les populations anglophones.
Vous disiez vouloir défendre les intérêts du peuple anglophone, vous en êtes devenus les cruels bourreaux. Finalement quel était le but de votre combat ? Il s'agissait bien des enfants anglophones non ? Quand vous empêcher l'éducation, et que vous exterminez ces citoyens quel est le sens de votre combat bref pour qui luttez-vous ? Pourquoi au fait » ?
Ensuite aux hommes politiques et autres leaders d’opinion
« Arrêtez de faire la langue de bois ou la récupération politique de la crise anglophone.
Ces discours du style « Non à la crise anglophone, l'armée tue les populations anglophones… » sont largement dépassés, quand au nom d'un combat l'on peut entrer dans une école et tuer de sang froid 5 enfants innocents dont le crime est d'être allés s'instruire.
Nous avons tous assez parlé de la responsabilité globale du gouvernement dans cette crise, la pression est maintenue aussi bien au niveau local qu'à l'international.
A présent, parlez aux séparatistes, condamnez en chœur leurs horreurs! Mettez-les face à leurs crimes! Convoquez leurs responsabilités devant Dieu, devant l'histoire et devant l'humanité.
Demandez-leur de déposer les armes.
Lorsque l'un d'entre eux décapite, écartèle, assassine y compris des enfants, ce n'est pas un membre du gouvernement qui tient la machette ou la gâchette... ».
Aurons t –ils le courage de défendre cette autre horreur ?
Face à cette horreur, cette douleur, cette souffrance dans lesquelles sont plongées depuis quelques heures, ces Pères et Mères qui ont simplement envoyé leurs enfants s’instruire..
Qui pourra se lever et pointer un doigt accusateur contre le Gouvernement Camerounais ?
Mais au fait, où sont donc les grands spécialistes de Défense des Droits de l’Homme, qui n’ont pas manqué, au cours des dernières années, de venir « blablaterez » sur les différents fondements qui, d’après eux sont piétinés par l’Etat du Cameroun ?
Où sont – ils, pour défendre les Droits de ces Enfants violement assassinés ce Samedi ?
Auront – ils l’outrecuidance, de développer ces supposés principes lorsque viendra le moment pour ces criminels de répondre de leurs crimes ?
Les Camerounais veulent voir, après ces meurtres, l’importance des drones et autres images satellitaires qui vont permettre d’interpeller, dans les plus brefs délais, les assassins de ces êtres innocents dont le seul crime est d’avoir aspiré à acquérir des connaissances.
Nicole Ricci Minyem
Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité sociale dit stop à la barbarie.
Comme les hommes politiques et les membres du gouvernement qui ont réagi jusqu’ici, Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité sociale (Mintss) condamne le meurtre des élèves de l’école privée Mother Franscica International. Pour le Mintss, en s’en prenant aux enfants, en tuant les élèves sans défense et qui se trouvaient dans leur lieu d’acquisition du savoir, les auteurs de cet acte barbare sont allés loin. Ils ont dépassé les limites.
« Non non et non ! La ligne rouge a été franchie. Jusqu'où irez-vous ? La ligne rouge a été franchie ! Pas les enfants ! Pas les enfants sans défense ! Les enfants qui voulaient seulement assurer l'avenir du Cameroun en prenant leurs leçons à l'école ! stop à la barbarie. Trop c'est trop ! Stop stop stop!», a écrit le membre du gouvernement sur sa page Facebok.
A titre de rappel, six élèves ont été tué à bout portant le samedi 24 octobre 2020 dans leur école à Kumba, dans la région du Sud-Ouest. Leur établissement scolaire a été attaqué par des hommes armés dont l’identité n’a pas encore été clairement révélée. De graves soupçons pèsent sur les combattants sécessionnistes.
La communauté nationale et international réclame justice pour ces enfants décédés et ceux qui ont été blessés.
Liliane N.
Joshua Osih le vice-président du Social democratic front pense que les Forces de défense doivent être postées devant les établissements scolaires, dans les régions anglophones.
Parmi les points essentiels de sa communication faisant suite au meurtre des élèves de l’école privée Mother Franscisca International Bilingual Academy, on retient l’aspect sécuritaire à revoir pour les établissements scolaires situés dans les deux régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest (Noso). Joshua Osih pense qu’en faisant protéger les établissements par les Forces de défense, on garantirait en conséquence, le droit des enfants à l’éducation.
«Les écoles doivent être désormais intégralement protégées par nos Forces de défense et de Sécurité. C’est un impératif qui doit être mis en place pour garantir le droit de nos enfants à l’éducation dans un environnement sûr et sécurisé. Ces mesures doivent également être étendues aux routes principales menant aux écoles pour ainsi en assurer la sécurité», a écrit l’Honorable Joshua Osih.
Pour parler spécifiquement de l’école attaquée par des hommes armés samedi dernier, il se trouve que celle-ci justement, n’avait bénéficié d’aucune mesure sécuritaire. René Emmanuel Sadi dans la communication gouvernementale en rapport avec ce triste évènement, le mentionne. L’école privée «n’a lancé ses activités qu’en ce début d’année scolaire 2020/2021, à l’insu des autorités administratives compétentes, et n’a pu bénéficier des mêmes mesures de protection que d’autres établissements scolaires du Département de la Mémé», a indiqué le Ministre de la Communication.
L’activiste Boris Bertolt affirme pour sa part que la déclaration du Ministre n’est pas juste. Sur sa page Facebook, il présente la plaque de l’établissement scolaire pour montrer qu’il s’agit d’une vieille école en activité depuis.
«Voici la plaque de l’école dans laquelle le carnage a eu lieu ce samedi à Kumba. René Emmanuel Sadi dans son communiqué affirme que cette école est illégale et a ouvert ses portes il y’a juste trois semaines. Donc cette plaque date de 3 semaines?», a écrit l’activiste.
Liliane N.
Ils sont réunis au sein du CODE (Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques des Camerounais de la Diaspora), du Cercle Belgo-Africain Pour la Promotion Humaine, du Mouvement de février 2008 au Cameroun, du Collectif National contre l’Impunité au Cameroun, de l’Action Solidaire Internationale, de la Fondation MOUMIE, du Comité Citoyen pour la Libération des Prisonniers Politiques au Cameroun, Action Solidaire Pour Marafa (ASMA).
Le samedi 24 octobre 2020, des individus armés ont fait irruption dans une école du quartier Fiango à Kumba, chef-lieu du département de la Mémé, région du Sud-ouest Cameroun et massacré d’innocents enfants dont le seul tort est d’être allé à l'école. On dénombre provisoirement à ce jour 06 morts et plus d'une dizaine de blessés. Face à ce massacre d’enfants de trop qui vient s’ajouter à celui de Ngarbuh en février 2020, la diaspora camerounaise de Belgique monte au créneau.
« A chaque meurtre, les populations accusent les milices séparatistes ou les forces de l'ordre d'être à l'origine des atrocités. Nous condamnons sans réserve ces crimes barbares et lâches et plaidons pour qu’une enquête sérieuse soit conduite dans les meilleurs délais et que les responsables de ce massacre de Kumba soient poursuivis et punis conformément à la loi », indique cette diaspora.
Elle relève en outre que dans les régions anglophones du Cameroun, depuis 2017, une partie des forces sécessionnistes a acquise des armes et équipements militaires au même titre que l'armée régulière. « D'autres groupes armés aux ambitions floues ont également vu le jour dans cette partie du territoire camerounais. Le pouvoir central de Yaoundé qui a toujours pensé à l'option militaire dans la résorption de cette crise anglophone dans le contexte de cette guerre asymétrique a jusqu'ici contribué inéluctablement à l'échec de l'établissement de la paix durable et constructible dans cette partie du territoire camerounais. Ailleurs, lorsqu'une telle figure s'est présentée, les parties ou la partie belligérante la plus diligente, a provoqué des négociations ou des médiations nationales et mêmes internationales avec pour corollaire le cessez-le feu et le rétablissement de la paix », précise-t-elle.
En présentant ses condoléances aux familles éprouvées et souhaitant un prompt rétablissement aux blessés, la diaspora camerounaise de la Belgique condamne toute tentative de récupération politique par des aventuriers sans foi ni loi qui n’ont aucun schéma alternatif crédible et légitime de sortie de crise.
Propositions
Aux autorités camerounaises, la diaspora demande : de prendre en urgence toutes les mesures nécessaires afin que les présumés assassins des civils dans le NOSO soient retrouvés avec diligence et mis aux arrêts ; de s’assurer que les présumés assassins des civils, que ce soit du côté des groupes séparatistes ou du côté de l’armée régulière, bénéficient d’un procès équitable et puis conformément à la loi s’ils sont reconnus coupables ; faire mener immédiatement une enquête exhaustive, indépendante et impartiale sur les violences dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest depuis le début de la crise ; et enfin, respecter les dispositions de la Charte africaine des Droits de l’homme et des Peuples ainsi que tous les instruments connexes qui garantissent l’intégrité physique et physiologique des peuples.
Cette diaspora invite la classe politique camerounaise, à s’unir aux organisations de la société civile afin de chercher des solutions durables à ces attaques qui continuent à endeuiller les familles camerounaises. Le dialogue national initié il y a de cela un an par le pouvoir de Yaoundé n'étant qu'une foire sans fondement dont les résolutions ne pouvaient contribuer qu'à cette situation de ni paix et de ni guerre que nous visons actuellement dans les régions anglophones du Cameroun.
Au peuple camerounais, la diaspora de Belgique fait savoir que, l’heure est venue de ne plus se limiter à pleurer nos morts et à dénoncer les crimes dont nous sommes en permanence victimes. Il faut maintenant des actes concrets et efficaces.
Enfin, elle adresse aux Etats frères africains que, le drame camerounais ne peut plus être regardé avec indifférence. Lorsque la case du voisin brûle, la tradition africaine impose à chacun d’agir pour éteindre le feu. Ces années de massacres et de souffrances au Cameroun sont un profond déshonneur pour l’ensemble de notre continent.
Innocent D H
Tout en condamnant l’assassinat des élèves survenu samedi dernier à Kumba, l’Union européenne et les Etats-Unis réclament des sanctions pour les auteurs.
Tout comme les hommes politiques, les hommes des médias, la société civile, les partenaires du Cameroun à savoir l’Union européenne et les Etats-Unis condamnent, ce qui s’est passé à l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academy de Kumba, dans la région du Sud-Ouest le samedi 24 octobre 2020.
Pour l’Union européenne, l’acte barbare constitue une violation du Droit international sur les populations civiles. « La Délégation de l'Union Européenne au Cameroun condamne l'attaque contre des élèves au sein du Mother Francisco Memorial College à Kumba (région du Sud-Ouest) et adresse ses condoléances aux proches des victimes. Cette attaque constitue une violation du droit international sur les populations civiles. Les responsables devront répondre de leurs actes », peut-on lire dans sa déclaration.
Les Etats-Unis, le meurtre des élèves de l’école suscitée est un acte odieux et méprisable. Il « montre un dédain envers les vies innocentes qui représentent l’espoir d’un avenir positif. La violence doit cesser dorénavant et les enfants devraient pouvoir exercer leur droit d’aller à l’école sans craindre pour leur sécurité. Les auteurs de cette attaque doivent être tenus pour responsables et traduits en justice », affirment les américains.
Dans leur communiqué parvenu à notre rédaction, les américains ont présenté leur condoléance aux familles des enfants décédés et exprimé leur soutien à celles dont les enfants ont été blessés. Ils ont témoigné leur gratitude à tous ceux qui fournissent des soins médicaux aux blessés.
A titre de rappel, selon le bilan officiel, six élèves ont été tués par des hommes armés. Ils étaient âgés entre 9 et 12 ans. 13 enfants sont blessés et 7 le sont grièvement.
Liliane N.
Sisiku Ayuk Tabe affirme que les hommes armés qui ont tué les élèves à Kumba samedi dernier, sont dirigés par Sako Ikome.
C’est depuis la prison principale de Kondengui dans laquelle il est incarcéré, que Sisiku Ayuk Tabe l’ancien président autoproclamé de la république imaginaire a réagi, après le meurtre de six élèves de l’école privé Mother Franscisca. En condamnant cet assassinat, Ayuk Tabe pointe du doigt Sako Ikome un autre leader séparatiste.
«J'ai vu des vidéos troublantes de l'attaque barbare contre une école à Kumba. Ces criminels qui ont assassiné nos enfants sont dirigés par Sako Ikome, et non le vrai gouvernement intérimaire de notre révolution», a écrit Sisiku Ayuk Tabe.
Du peu qu’on sait, on peut dire que Samuel Ikome Sako est un pasteur âgé de 64 ans. Après l’arrestation et l’incarcération de Sisiku Ayuk Tabe c’est lui qui a pris les rênes du combat pour la sécession. Depuis un certain temps, les rapports entre ces deux leaders sécessionnistes se sont fissurés. Et cela n’est pas sans conséquence sur le terrain. Après des assassinats comme celui de samedi dernier, les deux factions se rejettent la faute.
Il faut aussi rappeler que Sisiku Ayuk Tabe avait été arrêté au Nigéria, pays depuis lequel il conduisait la lutte sécessionniste. Avec ses compagnons il est écroué à la prison principale de Kondengui depuis janvier 2018. Il a été condamné en août 2020 à la prison à vie pour «terrorisme» et «sécession». Cette peine a été confirmée en appel en septembre 2020.
Liliane N.
L’artiste musicien ivoirien vient de publier sur con compte facebook un message de condoléances à tout le peuple camerounais accompagné des images illustrant le deuil que le peuple camerounais fait pour les enfants de Kumba
Son message est concis, expressif et suffisamment empathique pour donner de se rendre compte que des citoyens, mais davantage, des grands noms de la culture de côte d’Ivoire à l’instar du « Miiimi » sont touchés par ce drame ubuesque perpétré sur le sol camerounais. Par sa voix, c’est en quelque sorte toute la Côte d’Ivoire musicale, voire culturelle qui se fait entendre.
« UNE GRANDE PENSÉE À TOUT MES FRÈRES CAMEROUNAIS !!! PAYS FRÈRE !!! QUE DIEU DANS SA BONTÉ NOUS AIDENT !!!PEACE AND LOVE CAMEROUN. » C’est ainsi qu’il a articulé ses condoléances aux peuple camerounais.
Comme lui, ils sont nombreux les artistes musiciens qui se sont indignés de ce qui s’est passé à Kumba ce samedi 24 octobre 2020. Et sous cette publication, de nombreux camerounais, mais aussi des citoyens de l’Afrique et du monde ont saisi l’occasion pour d’aucuns lui dire « merci » à l’instar de Martin Camus Mimb, Ange Sabiong…, et pour d’autres exprimer à nouveau leur émoi, leur tristesse face à cette situation horrible.
Soulignons que Debordo Leekunfa en plus d’être un ami du Cameroun, il fait partie de ces artistes qui n’ont pas leur langue dans la poche. Il l’a au contraire bien pendue lorsqu’il est question de défendre les intérêts des populations et surtout des faibles. Une voix qui de plus en plus devient celle des sans voix. La communauté artistique a encore en mémoire sa prise de position du 19 octobre 2020 au sujet e la crise dans son pays. Dans un message poignant qu’il adressait aux jeunes de la Côte d’Ivoire.
« Mon pays va de mal en pire encore et encore, nous jeunes sommes sacrifiés !!! Jusqu’à quand allons-nous sombrer. Jusqu’à quand allons-nous demeurer comme du bétail électoral, de bouclier humain, de cobayes ! Jeunes, les précédentes années, nos politiques ont trouvé des compromis entre eux et se sont entendus pour accéder à leur fin (le pouvoir et le règne).
Tout ça dans l’intérêt de qui ? Nos politiques, leurs familles et proches sont blindés d’argent et d’or du pays ! Et nous jeunes demeurons dans une souffrance, constante, endurcie, continuelle et infinie. Tout ça parce que 80% de cette jeunesse n’a pas de boulot n’a rien. Elle est désorientée et tellement vulnérable, qu’elle est prête à se prosterner même pour 2000fr ou moins et prêt à tuer!
Quand tout va bien ils nous oublient ! Quand tout va mal c’est nous jeunes qui mourront. »
Un message qui s’adresse également à ces jeunes dans les régions du NOSO, qui se laissent manipuler et s’engagent dans une guerre qui ne leur rapportera rien du tout. Au contraire, une guerre qui sert les intérêts d’autres personnes tapis à l’étranger et qui ont beaucoup d’argents.
Stéphane NZESSEU
L’analyste politique est péremptoire. Face à cette attaque que vient de connaître le Cameroun, il faut absolument contre attaquer pour réduire à néant les forces qui participent à la destruction de la Nation.
« La République du Cameroun est attaquée. Cette attaque est proportionnelle à la méchanceté engagée dans le projet de destruction d'une nation fière et prospère. Dans ce cas d’espèce, la stratégie militaire la plus adaptée et la seule conseillée par les meilleurs experts est la CONTRE-ATTAQUE. » Comme quoi, il y a un temps pour le dialogue, mais il y a également des tems comme ceux-ci où il devient urgent de joindre à la diplomatie, la force. Car manifestement, certains interlocuteurs ont choisi la barbarie sur les populations qu’ils sont sensés défendre pour exprimer leur haine et leur méchanceté. C’est pourquoi Simon Ntonga fait savoir « Aujourd'hui plus qu’hier, le Gouvernement camerounais doit prendre des mesures radicales pour éventrer l'ignoble BARBARIE des terroristes qui respirent l'air pur des régions du NOSO. »
Dans un contexte comme celui-ci où la violence est devenue le mode le plus abject d’expression, et quelle violence, la barbarie la plus ignoble, il devient urgent de reconsidérer un certain nombre de principe même droit de l’hommiste, pour envisager la solution de la force et de la réponse proportionnelle. « Ils ne méritent plus cet honneur judiciaire du « bénéfice du doute ». Avec le CRIME DE KUMBA, ils viennent eux-mêmes de vomir leur bile d'un jaune diabolique sur leur nature humaine. Il faut leur arracher brutalement, le peu d’âme d'humanoïdes qu'ils possèdent encore. »
Il faut attaquer ces humanoïdes… et arracher le peu d’âme qu’il leur reste
« Le démembrement de l'Etat qu'est notre armée, avec notre SOUTIEN SANS FAILLE, doit préparer la farouche riposte. Les organisations internationales qui disent défendre les droits humains ne feront jamais la guerre à notre place. Nombreuses sont des sangsues de l'enfer envoyées par Satan lui-même.
Ne montrons aucun signe de faiblesse. Faisons confiance aux conseils du grand Général Sun Tzu. Il a dit : « L’invincibilité se trouve dans la défense, la possibilité de victoire dans l'attaque. Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu'elle est abondante. » (Art of war)
Alors, au lieu de choisir l'invincibilité en nous défendant simplement pendant qu'on égorge nos enfants, choisissons l'attaque pour une victoire absolue.
Cette guerre, nous la gagnerons face à cet ennemi encouragé par des forces politiques de la honte et de l'échec. Et ces malheureux survivalistes de la diaspora dont la seule activité est d'arpenter les rues à la recherche d'un grain de riz sans vie, veulent détruire un pays qu'ils ont eux-mêmes fuit parfois à coup de millions. Ils ont jeté de l'opprobre sur les vrais citoyens qui ont immigré pour des besoins d'épanouissement et de recherche d'expertise. », dixit Simon Ntonga.
Stéphane NZESSEU