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La milice séparatiste qui avait revendiqué l’enlèvement de la sénatrice a annoncé qu’elle sera exécutée avant le 20 mai prochain si rien n’est fait concernant leurs exigences.

 

Dans un message en circulation sur les réseaux sociaux depuis quelques jours, l’un des leaders du mouvement séparatiste Ambazonia defence Force (ADF), Capo Daniel, a révélé que « l’horloge tourne pour l’exécution de madame Mundi Regina ».

Ce mouvement séparatiste qui a revendiqué l’enlèvement de la sénatrice, a choisi la date symbolique du 20 mai pour exécuter l’élue si le gouvernement ne réagit pas favorablement à leurs revendications.

En effet, ils ont exigé la libération de 75 prisonniers arrêtés dans le cadre de la crise anglophone, dont Nfor Ngala Nfor, un autre leader de la milice en échange de la sénatrice. Pour l’heure, le gouvernement n’a réagi ni à l’annonce de l’enlèvement, ni aux menaces d’exécution. Un silence que l’opinion publique dénonce vertement.  

Seul l’archevêque de Bamenda, Mgr Andrew Nkea, est monté au créneau pour demander la libération. Dans un communiqué daté du mardi 10 mai, il a rappelé que la sénatrice Mundi est une mère et une grand-mère et plaidé pour que les commanditaires de son enlèvement ordonnent sa remise en liberté saine et sauve.

En rappel, Regina Mundi, sénatrice du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), a été enlevée dans la journée du samedi 30 avril 2022 au lieu-dit Foncha Street à Bamenda, chef-lieu de la région du Nord-Ouest, alors qu’elle était venue assister à un événement. Des sources sécuritaires ont rapporté que des hommes armés l’ont enlevé à bord de son véhicule Prado avec son chauffeur Mamouda.

Le mouvement séparatiste Ambazonia Defense Forces (ADF), dirigé de l’extérieur du pays par Ayaba Cho Lucas, avait revendiqué le rapt le lendemain par la voix de Capo Daniel. Une autre vidéo publiée par les séparatistes mettait en évidence la sénatrice détenue lisant un message dans lequel elle disait renoncer à ses fonctions pour embrasser la cause indépendantiste.

Le premier secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale Serge Espoir Matomba suggère la limitation de la consommation de la bière, dans les débits de boisson.

L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 Serge Espoir Matomba souhaite que la consommation de la bière dans les débits de boisson, soit limitée. La raison avancée est que le Cameroun a veut besoin des hommes sobres et lucides.  

«La fermeture des bars et débits de boissons pendant l'application des mesures barrières nous a démontré que les Camerounais peuvent vivre sans consommer plus de 3 bouteilles de bière par jour. Lorsque je serai Président, je veillerai à ce que la consommation dans ces lieux d'ivresse respecte les normes préconisées par les professionnels de santé. Soit, pas plus de 10 verres standard par semaine et 2 verres standard par jour et par individu. Notre pays a besoin des Hommes sobres et lucides», a écrit Serge Espoir Matomba sur sa page Facebook.

Cette sortie de Serge Espoir Matomba, survient au moment où les syndicats des débits de boissons et bars (Syndebarcam) ont saisi par voie de correspondance le ministre du Commerce, pour dénoncer une hausse des prix des bières et autres boissons hygiéniques.

« Les distributeurs qui sont nos principaux fournisseurs sont jusqu’à date, incapable de nous donner une explication sur cet état de fait. Plus grave, certains en profitent pour nous vendre quand ils en ont en majorant les prix du cassier pratiquement de 1000 FCFA », indique le président du Syndicat des bars.

Dans un communiqué disponible sur sa page Facebook, la Fondation camerounaise des consommateurs (Focaco) affirme que cette hausse des prix « est nulle et de nul effet! ». Car « les bières, les eaux minérales et les boissons hygiéniques sont des produits dont les prix sont soumis à la procédure d’homologation préalable conformément à l’Arrêté N°00095 /MINCOMMERCE du 14 janvier 2022. »

Selon la Focaco, l’augmentation annoncée des prix par le Syndebarcam est « arbitraire, unilatérale, illégale et passible de poursuite judiciaire ».

« Cette attitude cavalière du Syndebarcam est la résultante de la politique de tolérance administrative mise en place par le Gouvernement camerounais qui reçoit en plein visage l’effet boomerang avec malheureusement pour conséquence la violation des droits des consommateurs», affirme Alphonse Ayissi Abena, le président exécutif Focaco.

Liliane N.

 

Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Maurice Kamto a signé son grand retour hier 11 mai 2022, sur un plateau spécial de la chaîne de télévision Vox Africa.

 

Après le retour dans les débats médiatiques du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto a signé son grand retour hier soir sur un plateau spécial de la chaîne de télévision Vox Africa. Le président du MRC n’a évoqué que des sujets phares du pays, parmi lesquels celui l’élection présidentielle de 2018 dont il continue de se proclamer vainqueur.

« L'histoire dit aussi que c'est Paul Biya qui a gagné en 2018, mais je dis qu´il n´a pas gagné. Je continue à dire que j'ai gagné l'élection présidentielle en 2018 », a-t-il déclaré.

Le président du MRC Maurice Kamto a également été conduit à s’exprimer sur les militants du MRC qui restent incarcérés. Certaines langues affirment que ce dernier a été abandonné par leur leader.

« Les Camerounais ont besoin de martyrs. Mais le martyrologue doit quand même faire quelque chose de plus. Ceux qui sont restés ont été condamnés pour des allégations liées à la grande mutinerie à la prison centrale », a-t-il déclaré.

Pour ce qui est de son engagement politique, Maurice Kamto a affirmé qu’il n’a jamais milité dans un parti avant le sien créé en 2012.

« Je n'ai milité dans aucun parti politique », a-t-il ajouté.

Concernant ceux qui ont quitté le MRC, Maurice Kamto a indiqué que son parti n’est pas une formation politique qui fait dans le partage des postes.  

« Le MRC n'a pas été créé pour mettre en place un comptoir et partager les postes aux gens, mais il a été créé parce que nous voulons une alternance démocratique au sommet de l´État et pour proposer une alternative aux Camerounais. Pour le reste, chacun est libre de ses opinions… De 2018 à 2022, deux cadres importants ont quitté le MRC. Monsieur Djamen Célestin et monsieur Folefack. Je ne parle pas de ceux qui sont venus pour la circonstance, ensuite ce sont dit un coup, qu'ils repartaient dans les médias pour faire la communication et qui aujourd'hui ont créé aussi un parti politique parce que c'était un coup de vent. C'est tellement éphémère qu'on ne peut pas insister là-dessus », a-t-il déclaré.

 

Liliane N.

Lorsqu’on ne parle pas des poignards utilisés par certains “élèves” au sein des établissements scolaires, on parle de viol collectif ou encore de partouze, sans oublier les bagarres entre élèves et enseignants…

Des maux au sein d’un milieu qui aurait dû rester celui de l’instruction mais qui malheureusement semble être devenu celui d’une jungle au sein de laquelle on retrouve des bandits vêtus de la tenue de classe des élèves, engagés à tout mettre en œuvre pour détruire l’école au Cameroun.

Une situation qui a amené le député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale à faire cette sortie: 

 

“En moins de 24h, dans 3 établissements scolaires, des élèves ont été poignardés par leurs camarades. Lycée d'Ekite à Edéa, lycée bilingue de Bafoussam Ndiengdam, lycée Leclerc de Yaoundé. Des élèves de 1er cycle.

Où avons-nous échoué dans l'éducation de nos enfants? Nous nous devons de nous remettre en question en tant que parents. Ce phénomène en aucun cas, nous ne pouvons l'imputer à notre système scolaire.

La jeunesse va à la dérive : drogue, sexe, alcool, armes blanches, sectes,... Tels sont les nouveaux centres d'intérêts.

Plus que jamais, nous devons sensibiliser cette jeunesse face aux multiples dangers auxquels ils sont exposés. Les sensibiliser quant à l'apparence du bien-être sans aucun effort. 

Nous voyons bien aujourd'hui à travers le phénomène "Porta potty" que cette vie de luxe après laquelle la jeunesse court pensant acquérir sans aucun effort des centaines de milliers de francs, il s'agit d'un leurre.

Aucun bien acquis sans la force du travail n'est gratuit. Le travail est la clé de la réussite.

Le reste n'est que distraction, perdition et ruine de l'âme.

Il y a quelque temps, l'on préconisait la fouille systématique à l'entrée des établissements scolaires. Mais les élèves n'ont plus peur de leurs enseignants, la vapeur s'est plutôt renversée. 

On les voit taper sur les surveillants et narguer les enseignants. Après une enquête menée auprès du corps enseignant, l'on constate qu'ils sont tous unanimes sur le fait d'éviter tout conflit avec les élèves car "on ne sait jamais ce qui peut sortir de la poche ou du sac".

"Je prodigue mon conseil s'ils écoutent tant mieux, s'ils n'écoutent pas je ne force rien. J'ai mes enfants à faire grandir" telles sont les déclarations d'une enseignante.

Nous avons du pain sur la planche en tant que parents car, aujourd'hui nous devons combattre les nouvelles technologies qui portent le plus souvent des enseignements contraires à l'éthique et à la morale”.

 

N.R.M

La convocation adressée au chef de la diplomatie française est signée par le juge d’instruction du deuxième cabinet au tribunal de Grande instance de la commune III du district de Bamako.

 

Le ministre français des Affaires étrangères est attendu le 20 juin devant le juge d’instructions du pole économique et financier au tribunal de grande instance de Bamako. Jean-Yves Le Drian doit être entendu dans le cadre d’une enquête où il est accusé de porter « atteintes aux biens publics et de commettre d’autres infractions aux dépens de l’Etat du Mali ».

De source judiciaire au Mali, cette enquête fait suite à une plainte d'une plateforme de plusieurs associations de la société civile malienne, dénommée "Maliko" ("La cause du Mali"). Plus précisément, il s’agit d’une affaire datant de 2015, relative à une « attribution de marché de fabrications de passeports maliens à une société française » à laquelle le fils du ministre serait lié.

A cette époque, Ibrahim Boubacar Keïta était encore président du Mali et c'est la société française Oberthur Technologie qui avait obtenu le marché pour une dizaine d'années.

La justice malienne essaie donc d’élucider si Jean-Yves Le Drian, à l’époque ministre de la Défense, a appuyé le dossier « pour défendre une entreprise française ou ses intérêts ».

Le Quai d'Orsay a indiqué ne pas avoir été informé de cette convocation. "Aucune notification, ni information d’aucune sorte ne nous sont parvenues par les canaux appropriés", a commenté le ministère.

Alors que certains se demandent si le diplomate français va se présenter à Bamako, un internaute répond : « Le Vice-président de la République de Guinée Equatoriale s’est bien présenté au tribunal à Paris, Jean-Yves Le Drian peut bien et doit le faire. Sans que cela lui enlève ce qu’il est : un ministre du gouvernement français. C’est ici que nous allons mesurer le degré de démocratie et du respect des lois des français ».

Cette convocation intervient alors que les tensions entre le Mali et la France sont de plus en plus fortes. Les relations se sont progressivement dégradées entre les deux pays depuis le renversement en 2020, du régime d’Ibrahim Boubacar Kéita par les militaires avec à leur tête, le Colonel Assimi Goita. En fin janvier 2022, le gouvernement de transition du Mali a expulsé l’ambassadeur français de son territoire. Ces autorités ont également annoncé au début de ce mois, la dénonciation des accords de défense avec la France et l’Union européenne.

 

Selon le ministre des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, des moyens terrestres ont été mis en place pour porter secours aux 11 occupants de l’aéronef.

 

Hier 11 mai 2022, un aéronef ayant à son bord 11 personnes a disparu des radars des services de la circulation aérienne. L’engin faisait le trajet Yaoundé-Nsimalen-Dompta-Belabo-Yaoundé-Nsimalen. D’après le communiqué du ministre des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, l’aéronef a été localisé dans la forêt, non loin de Nanga Eboko dans le département de la Haut-Sanaga, région du Centre.

« A la suite du constat de la disparition de l’aéronef, des moyens aériens et terrestres ont immédiatement été déployés pour sa recherche. L’aéronef a finalement été localisé dans la forêt, non loin de Nanga Eboko. Des moyens terrestres font actuellement route vers le site de localisation de l’aéronef pour porter assistance à ses occupants », a écrit le ministre Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena.

Aussi, le patron des Transports demande aux populations locales et aux autorités de se mobiliser pour la conduite des opérations de sauvetage des occupants de l’aéronef.

Liliane N.

Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun condamne le fait que le RDPC l’ait associé aux associations de la diaspora camerounaise, qui envisagent de boycotter la tournée européenne de l’artiste Grâce Decca.

Dans le communiqué qu’il a rendu public ce mercredi 11 mai 2022, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) de Maurice Kamto, dénonce le rapprochement que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) a fait entre lui et les auteurs du boycott envisagé de la tournée européenne de l’artiste Grâce Decca.

Pour mieux comprendre, il faut indiquer que le RDPC dans son communiqué du 6 mai 2022, a laissé entendre que les personnes qui envisagent d’organiser le boycott de la tournée de Grâce Decca font partie d’«une organisation partisane BAS/MRC». Pour le parti de Maurice Kamto, il s’agit de la stratégie de communication gouvernementale et du RDPC pour ternir l’image du MRC.

«Le RDPC fait preuve, une fois de plus de mauvaise foi et d’un subtil amalgame lorsqu’il est écrit : «un groupuscule d’individus se réclamant d’une organisation partisane BAS/MRC a lancé des mots d’ordre de boycott et promesses de violences physiques». Les liens supposés entre les principaux activistes politiques et le MRC, parti politique légaliste, font en effet partie intégrale et de façon subtile, de la stratégie de communication gouvernementale et du RDPC le parti au pouvoir. Le RDPC n’a de cesse d’insinuer, maladroitement il est vrai, une supposée connivence des objectifs et des revendications entre des activistes camerounais et le MRC. Fidèle à ses idéaux de changement dans la paix, le MRC condamne de telles insinuations et allégations», peut-on lire dans le communiqué du MRC France.

En outre, le MRC demande au RDPC de faire preuve du bon sens de la responsabilité politique et lui demande de s’abstenir de toutes formes d’amalgames.

«Les militants du MRC revendiquent ouvertement leur appartenance à notre parti politique, à travers leur carte d’adhérent et nul besoin  de se dissimuler à travers un groupe d’activistes», peut-on lire dans le communiqué du MRC.

Liliane N.

      

 

L’une des promesses faites par le secrétaire général du Front des Bams Anti-Bas créé pour sévir contre les ressortissants de l’Ouest qui vont s’en prendre à Grâce Decca 

 

Les membres de la brigade anti sardinads et leurs complices, engagés à semer le chaos au Cameroun par tous les moyens, n’ont eu de cesse d’envoyer des menaces à l’artiste musicienne Grâce Decca, sous prétexte qu’elle n’a pas pris position contre la guerre qui sévit dans les régions du Nord et du Sud Ouest ; guerre que certains parmi eux financent au passage, afin de chasser le Président de la République du pouvoir et y installer celui qui, de leur point de vue, répond parfaitement à leur aspirations.

“Une démocratie” dont ils maîtrisent seuls les contours et qui leur donnent la prétention de croire qu’ils peuvent imposer leur point de vue à tout un Peuple ;

Ayant pratiquement échoué au Nord et au Sud Ouest et certains étant aujourd’hui jugés aux Etats - Unis car des preuves ont été données qu’ils sont ceux qui financent les ambazoniens, ils espèrent allumer un autre feu de tension, d’où cette volonté de s’attaquer à l’icône de la musique Camerounaise.

Ces éléments de la Bas seraient en grande majorité des ressortissants de la région de l’Ouest Cameroun, d’où la naissance de cette entité, dont voici la quintessence du communiqué rédigé le 10 mai dernier à Bafoussam :

“Il est porté  à la connaissance du public qu’un Front des bamilékés opposés aux agissements de la Bas vient d’être mis sur pied, pour combattre les actes antidémocratiques et sauvages de ce groupuscule de désoeuvrés en perdition dans l’Union Européenne.

Les membres de la Bas originaires de la région de l'Ouest, n’ont reçu aucun mandat, d’aucune autorité fût - elle traditionnelle, pour agir au nom des bamilékés.

Il est désormais établi que leurs agissements ternissent l’image de toute une communauté et vont à l’encontre du vivre ensemble indispensable pour le maintien de la paix dans notre pays…”.

En conséquence,

“Le Front des Bams Anti-Bas, créé pour les besoins de la cause, met en garde tout ressortissant de la région de l’Ouest, qui s’aventurera à perturber de quelque manière que ce soit, non seulement la tournée en France de l’Artiste musicienne Grâce Decca, mais aussi et désormais, de tout artiste Camerounais souhaitant se produire dans la diaspora.

Des mesures de représailles ciblées, sans état d’âme, seront engagées contre les membres de leurs familles au Cameroun, quel que soit le lieu de leurs résidences…”.

 

Nicole Ricci Minyem

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Sunday, 05 June 2022 11:01